Toutes les critiques de TéléCinéObs
poster du film Il était une fois Veronica

Il était une fois Veronica

Titre original Era uma Vez Eu, Verônica
TéléCinéObs
1,0
Scénario pauvret, mise en scène à l’unisson, on ne s’attache ni à la problématique du pays ni à sa représentante.
poster du film Samba
TéléCinéObs
4,0
"Samba" emporte le morceau à coups de scènes kafkaïennes (l'association) ou puissamment chaleureuses de fin de réveillon. Autrement dit, et une fois de plus, ils nous "ont".
poster du film Papa Was Not a Rolling Stone
TéléCinéObs
3,0
(...) le premier long-métrage de la romancière Sylvie Ohayon réfute toute sensiblerie nostalgique, évite les clichés sociétaux manichéens et dessine une oeuvre au rythme fluctuant que porte l'énergie revêche de son héroïne et de son actrice principale.
poster du film National Gallery
TéléCinéObs
4,0
Ces presque trois heures sont trop brèves pour saisir l'exception culturelle de ce lieu de transmission vivant, bruissant, participatif et intergénérationnel. Magistral.
poster du film White Bird

White Bird

Titre original White Bird in a Blizzard
TéléCinéObs
4,0
Si le dernier twist, pied de nez spectaculaire, réduit paradoxalement le spectre idéologique du film, il ne gâche en rien l'élégance formelle ni la touffeur érotique dans lesquelles il se love avec malice.
poster du film Lilting ou la délicatesse

Lilting ou la délicatesse

Titre original Lilting
TéléCinéObs
4,0
Le sous-titre français (...) dit bien les qualités de ce joli film, sensible et feutré, qui parle de transmission, d'intégration, de la place des aïeuls et du dialogue entre les générations.
poster du film Geronimo
TéléCinéObs
4,0
"Geronimo" vaut d'abord pour ses duels dansés époustouflants et l'interprétation parfaite de Céline Sallette, vieux sachem en mini-jupe et boots.
poster du film Les Boxtrolls

Les Boxtrolls

Titre original The Boxtrolls
TéléCinéObs
2,0
(...) entre le tour de force et la banalité, "Les Boxtrolls" finissent, hélas, par retomber du mauvais côté.
poster du film Le Paradis
TéléCinéObs
3,0
Pas évident de trouver sa place en tant que spectateur, d'autant que l'inspiration n'est pas toujours là. Mais quand elle l'est, quelle grâce !
poster du film Mommy
TéléCinéObs
4,0
"Mommy" est un mélo qui n'y va pas mollo. Il a pour lui sa fougue, son énergie (...) et l'acuité folle avec laquelle le cinéaste filme les sentiments, exacerbés ou enfouis mais toujours douloureux, de son "triangle amoureux".
poster du film Lou ! Journal infime
TéléCinéObs
1,0
(...) tout est exténué et desséché dans cette brocante infernale.
poster du film Gone Girl
TéléCinéObs
4,0
Un divertissement classieux en même temps qu'un démontage en règle de l'American way of life.
poster du film Tu veux ou tu veux pas
TéléCinéObs
2,0
Inégale dans son rythme mais rehaussée par de délicieuse séquences surréalistes, c'est la fantaisie piquante d'une cinéaste qui regarde son alter égo sans rivalité ni dépit.
poster du film The Tribe

The Tribe

Titre original Plemya
TéléCinéObs
4,0
(...) l'émergence d'un cinéaste aussi surdoué que puissant.
poster du film Horns
TéléCinéObs
1,0
Sous ses airs baroques et trash, il se révèle d'une puérilité et d'un conformisme bas de gamme dignes d'un direct-to-video. Pouah !
poster du film Bodybuilder
TéléCinéObs
2,0
(...) le résultat est plus confus tant la bodybuilding story s'emboîte difficilement dans le drame familial, lequel peine à s'encastrer dans le polar social avec des stars déguisées.
poster du film Still the Water

Still the Water

Titre original Futatsume no mado
TéléCinéObs
2,0
Si Naomi Kawase pousse un peu trop son plaisir de la contemplation, rien n'empêche pourtant une ou deux fulgurance de surgir de l'ennui (...).
poster du film Saint Laurent
TéléCinéObs
5,0
(...) un modèle de biopic parce qu'il ne cherche pas à en être un.
poster du film Avant d'aller dormir

Avant d'aller dormir

Titre original Before I Go to Sleep
TéléCinéObs
2,0
(...) le film préfère se draper dans une gravité de gros malin où l'académisme rampant du réalisateur réduit l'ensemble au rang d'anecdote géante.
poster du film Brèves de comptoir
TéléCinéObs
3,0
Après une ouverture par trop mécanique, la tendresse et la mise en scène de Jean-Michel Ribes, relayées par une bande d'acteurs complices, déploient derrière l'humour absurde une sourde mélancolie qui confère à cette cascade jouissive de bons mots un humanisme lucide et cruel, partagé entre désespoir et instinct de survie.