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Votre avis sur 58 minutes pour vivre ?
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58 pour vivre, mais surtout 120 minutes pour s’émerveiller et se divertir devant ce blockbuster. Le second film de la saga Die Hard reprend les points forts de son ainé : un personnage caustique et charismatique, des scènes d'actions incroyables, un scénario à couper le souffre truffé de rebondissements, et des traits d'humour du début à la fin. Sans pour autant égaler son grand frère, cet épisode 2 est donc un métrage de très bonne facture, à regarder sans modération. A part, peut être, avant de prendre l'avion ..
Die Hard 2 est moins bien que son prédécesseur ! John McClane est devenu un enfant gâté, rebelle et stupide. Les scènes d'actions sont rares et les incohérences multiples
spoiler:
(on les voit couper les cables puis les bad guys remettent le courant pour une piste, les grenades qui durent 20 secondes, la police et l'armée peu réactives qui ne protègent pas les pistes, etc.)
. On a finalement l'impression de regarder un film suspense à deux francs et le temps est long. Ils auraient du rester sur l'idée du "un contre tous". 2/5
. On a finalement l'impression de regarder un film suspense à deux francs et le temps est long. Ils auraient du rester sur l'idée du "un contre tous". 2/5
Opus 2 encore plus (h)ardu pour John McClane, dont le terrain de jeu/chasse est cette fois-ci un aéroport international. Renny Harlin a réussi un film spectaculairement rythmé et excessif. Plus d’action, plus de poursuites et de fusillades, plus d’explosions et effets pyrotechniques, plus de violence et de sang, plus de pourris à dégommer et donc, au final, beaucoup plus de morts. Cependant, « plus » ne veut pas dire « mieux ». Tout est trop « gros », exagéré et invraisemblable dans ce scénario moins bon que celui de « Piège de Crystal ». Mais comme Bruce Willis est au top et qu’il fait toujours autant d’étincelles, on ne va pas bouder notre plaisir. « 58 Minutes Pour Vivre » demeure un pur divertissement d’action non-stop assez jouissif.
La saga est lancée. Ce film est encore un pure concentré d'action et de baston avec l'humour si particulier, mais qu'on adore de John McLane. Génial.
Toujours aussi bon, sans être original, après le building, l'aéroport, on agrandit le terrain de jeu de M. MacLane pour plus d'explosions et de fusilllades. Le méchant est moins fou et drôle que dans le premier volet.
Ouais bof, ça se laisse regarder mais c'est vraiment sans plus. Ce deuxième épisode reprend les mêmes codes que le premier mais il n'atteint pas le même niveau pour autant. Il y a tellement de trous dans le scénario et des moments illogiques que ça en devient pompant, fatiguant. Ca n'a rien de cohérent, le film se noie presque dans sa propre absurdité (le siège éjectable, les balles à blanc, le général Esperanza qui se libère en 2 secondes (il y a qu'un soldat pour l'escorter?)...). Bref, il y a quand même assez d'actions et de cascades pour y arriver jusqu'au bout mais rien de bien mémorable. Le personnage de William Sadler est ici tellement mal écrit et sous-développé; ce qui fait qu'il n'atteint jamais le charisme ni la noirceur d'Alan Rickman (ennemi du premier épisode). Au suivant.
Die Hard, épisode 2. Il y a peut être encore beaucoup d'action mais le film de Renny Harlin manque de relief et est sans saveur. Moyen.
L'inspecteur McLane récidive dans cette suite sans temps mort de piège de cristal ! Une chose est sûr , ne mourez pas après 58 min ! Sinon pas de fin pour vous.
Excellent Film. Aprés un Premier Episode monumentale, le réalisateur Renny Harlin succède au talentueux John Mctiernan avec ce Second Episode mouvementer de la saga Die Hard.Pour Commencer la Réalisation est trés Efficace en étant servi par une BO toujours aussi exquise composer par Michael Kamen qui livre des partitions musicales d'excellente fracture. Ensuite le Scénario est Passionnant en montant les enjeux d'un cran âpres la spectaculaire prise d'otages dans un bâtiment de Los Angeles dans le premier film, cette suite se déroule cette fois en grande partie dans un aéroport de Washington avec un Suspense toujours riche en adrénaline avec son lot de Violence assez Brutales qui n'oublie pas pour autant de nous clouer a notre fauteuil grâce a des Scènes D'Actions toujours aussi Explosifs ainsi qu'une multitude de Morceaux de Bravoure exaltantes qui n'oublie pas pour autant sa dose d'Humour Noir parsemer de Répliques Croustillantes. Enfin Le Casting est au top avec notamment l'acteur Bruce Willis qui reprend pour notre grand plaisir le personnage emblématique de l'inspecteur John Mclane qui reste fidèle a lui même, a ses cotes on retrouve quelques protagonistes du précédant opus tels que sa femme Holly Mclane camper par Bonnie Bedelia et son ami le sergent Al Powell jouer par Reginald Veljohnson qui sont trés convaincants, ajouter a cela de nouveaux arrivants hauts en couleurs tels que qu'un nouveau groupe Terroriste venant cette fois de l'armée avec leurs tète des adversaire coriaces et efficaces mener par le général Esperanza jouer avec finesse par Franco Nero ainsi que son second lieutenant qui prend les traits du Colonel Stuart qui est brillamment jouer par Wiliam Sadler et pour finir les comédiens Dennis Franz et Fred Dalton Thompson viennent compléter le casting pour nous offrir une performance de qualité.En Conclusion, 58 Minutes Pour Vivre est une trés bonne suite au cultissime Piège de Cristal qui est a la fois Plus Spectaculaire,Sanglant et Drôle que son prédécesseur dont les fans d'Actions seront largement satisfait ainsi que ceux qui adorer le premier Die Hard.
John McTierman laisse sa place de réalisateur à Renny Harlin, ce dernier nous dévoile ainsi le deuxième épisode de la saga d'action culte Die Hard, intitulé « 58 minutes pour vivre ».
John McClane, notre policier adoré se retrouve une fois encore dans une situation inquiétante et explosive, le sentiment de répétition se fait donc ressentir, mais ce n'est pas un problème en soit étant donné que la mise en scène est alléchante au plus haut point. Après un immeuble de 40 étages, John McClane se retrouve plongé au cœur d'un conflit dans un aéroport, endroit particulièrement fréquenté par la population. Ainsi, la tension est très intense et le suspens est à son maximum. Renny Harlin reprend les même ingrédients que Piège de Cristal, faisant de 58 minutes pour vivre un film très charmant, cependant, nous n'avons pas retrouver la même grandeur que son prédécesseur. En effet, Piège de Cristal est encore aujourd'hui un monument du genre, et il était fort probable que 58 minutes pour vivre ne fasse pas mieux. Il manque donc ce petit quelque chose, cette petite magie qui nous émerveille, se caractérisant par de légères longueurs et de petites de baisses de rythme. Malgré cela, le film assure et garantit un spectacle impressionnant par des séquences d'actions prenantes et redoutablement efficaces. D'autant plus que la qualité visuelle accentue l'intensité des scènes, ainsi que le réalisme. Cet aspect technique est séduisant, animé par un fond sonore excellent...La magie de Noël est réduite à un champ de bataille, un champ de bataille centré sur le charismatique John McClane, incarné à merveille par Bruce Willis. Personnage qui ne perd pas de son charme et de son humour, offrant des dialogues subtiles et redoutables. Mais là où 58 minutes pour vivre provoque une certaine admiration, c'est par la puissance du scénario, et l'habilité de sa mise en œuvre, une mise en œuvre saisissante qui relève d'un certain talent. Après des mercenaires armées jusqu'au dent dans le premier volet, voici qu'arrive un commando regroupant mercenaires et militaires organisé d'une manière stupéfiante. Ces derniers donneront du fil à retordre à notre héros à travers des scènes d'actions toujours captivantes sous une acuité sensationnelle ainsi qu'une multitude de rebondissements...des rebondissements efficaces et renversants.
Comme on pouvait s'y attendre 58 minutes pour vivre ne surpasse pas son prédécesseur, mais il conquit pleinement le public. Ce film parvient à nous impressionner, à nous bluffer malgré ces défauts. 58 minutes pour vivre est à la hauteur mais il ne l'est pas assez pour faire de lui une œuvre exceptionnelle. Il devient un film d'action qui manque d'innovation malgré le spectacle qu'il propose.
John McClane, notre policier adoré se retrouve une fois encore dans une situation inquiétante et explosive, le sentiment de répétition se fait donc ressentir, mais ce n'est pas un problème en soit étant donné que la mise en scène est alléchante au plus haut point. Après un immeuble de 40 étages, John McClane se retrouve plongé au cœur d'un conflit dans un aéroport, endroit particulièrement fréquenté par la population. Ainsi, la tension est très intense et le suspens est à son maximum. Renny Harlin reprend les même ingrédients que Piège de Cristal, faisant de 58 minutes pour vivre un film très charmant, cependant, nous n'avons pas retrouver la même grandeur que son prédécesseur. En effet, Piège de Cristal est encore aujourd'hui un monument du genre, et il était fort probable que 58 minutes pour vivre ne fasse pas mieux. Il manque donc ce petit quelque chose, cette petite magie qui nous émerveille, se caractérisant par de légères longueurs et de petites de baisses de rythme. Malgré cela, le film assure et garantit un spectacle impressionnant par des séquences d'actions prenantes et redoutablement efficaces. D'autant plus que la qualité visuelle accentue l'intensité des scènes, ainsi que le réalisme. Cet aspect technique est séduisant, animé par un fond sonore excellent...La magie de Noël est réduite à un champ de bataille, un champ de bataille centré sur le charismatique John McClane, incarné à merveille par Bruce Willis. Personnage qui ne perd pas de son charme et de son humour, offrant des dialogues subtiles et redoutables. Mais là où 58 minutes pour vivre provoque une certaine admiration, c'est par la puissance du scénario, et l'habilité de sa mise en œuvre, une mise en œuvre saisissante qui relève d'un certain talent. Après des mercenaires armées jusqu'au dent dans le premier volet, voici qu'arrive un commando regroupant mercenaires et militaires organisé d'une manière stupéfiante. Ces derniers donneront du fil à retordre à notre héros à travers des scènes d'actions toujours captivantes sous une acuité sensationnelle ainsi qu'une multitude de rebondissements...des rebondissements efficaces et renversants.
Comme on pouvait s'y attendre 58 minutes pour vivre ne surpasse pas son prédécesseur, mais il conquit pleinement le public. Ce film parvient à nous impressionner, à nous bluffer malgré ces défauts. 58 minutes pour vivre est à la hauteur mais il ne l'est pas assez pour faire de lui une œuvre exceptionnelle. Il devient un film d'action qui manque d'innovation malgré le spectacle qu'il propose.
Un film d'action plus intense que le précédent. Le scénario est un complot de terrorisme mais dans un aéroport avec en plus le contrôle de tous les appareils communiquant les avions, c'est un contexte très intéressant car c'est une crise plus difficile à gérer que dans un bâtiment. Bruce Willis est excellent dans le rôle du célèbre inspecteur de police et il gère bien dans toutes les scènes d'actions avec un casting d'acteurs plus convaincant que celui du précédent. On ne peut pas s'ennuyer dans ce film car il se passe beaucoup de choses avec quelques retournement de situation. Des scènes de combat bien tournées. Les décors sont bien faits et il y a un bon choix des costumes. Une bonne durée du film pour nous faire passer un bon moment.
Deuxième film de la saga qui met en scène John Mclane, un policier qui est toujours au mauvais endroit au mauvais moment. Dans ce volet, réalisé par Renny Harlin, un groupe de terroristes dirigé par le colonel Stuart (Wiliam Sadler) prend en otage l'aéroport de but est de faire atterrir un avion avec à son bord un puissant baron de la drogue colombien. Il avait tout planifier sauf John McClaine dont la femme se trouve dans un des avions. Une course contre la montre haletante dans laquelle Bruce Willis doit affronter un groupe de terroristes mais aussi un chef de police incompétent et une tempête de neige. Bruce Willis est excellent dans ce qui est devenu le rôle de sa vie. Bref un très bon film avec de l'action, du suspense, des retournements de situation et avec une petite dose d'humour amère. A voir absolument.
Un bon film d'action mais à qui il manque le petit quelque chose qui captive le spectateur de bout en bout. Il souffre légèrement de la comparaison avec le 1er mais reste très agréable à regarder.
John Mc Lane revient. Et le pari était de taille. Refaire Die Hard 1, sans que personne ne remarque la différence. Pari réussit. Non pas qu’on ne voit pas la différence, mais on s’en fout, en fait. En plus, on ne nous cache rien de la manipulation : clin d’yeux au premier épisode, personnages récurrents, seconds rôles pittoresques, exactement la même fin. Bruce Willis fait une seule innovation, il ne nous ressort pas son Marcel blanc ensanglanté, sûrement parce qu’il fait trop froid, cette fois ci. Le concept fonctionne, efficacité du spectacle, c’est tonitruant à l’américaine, scènes d’action d’enfer à plusieurs millions, postproduction aux petits oignons, (j’adore ce filtre sépia qui fait « vieux » film, et qui adoucit l’image, comme la violence à l’écran, classe). Une musique qui sert à la déco, son vraie rôle dans ce genre de production, scénario pas crédible, mais à concept impossible, scénario improbable ; comment croire qu’une bande de mercenaires peut prendre une tour de contrôle en otage à distance par ondes hertziennes ? Encore une fois, le genre est maîtrisé, on en a plein la vue ! On prend un pied terrible, et le réalisme en prend pour son grade.
On passe un bon moment devant ce second opus de la série Die Hard, mais il manque l'empreinte du premier épisode qui lui ferait dépasser le "bon film". L'action et les fusillades sont présent, néanmoins il manque ce petit quelque chose qui ferait toute la différence. Le capitaine Lorenzo chargé de la sécurité aérienne n'a aucun charisme, les actions des "bad guys" sont trop prévisibles à mon goût, Barnes se la joue intellectuel qui sait tout sur tout jusqu'à en devenir agaçant... Bien qu'on passe un bon moment d'action, trop de petits détails qui dérange, des personnages pas assez exploités et un ensemble assez classique.
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