Derniers Avis : Land of the dead (le territoire des morts) - Page 10

Un très bon film de zombies de Romero. Une bonne histoire, une vision intéréssante des zombies, leur intelligence leur ruse et tout ça... Cependant ce film n'égal pas L'armée des Morts mais il est tout de même très bien réalisé.

Un bon film de Romero (il en fait plus beaucoup) , avec une nouvelle vision des zombies mais toujours le fait que l'homme est plus dangereux que le zombie . Sanguinolent a souhait , on voit la barbarie aussi bien du coté des humains que de celui des zombies . Le casting est plutôt bon , avec le futur Mentalist qui gère bien et le regretté Dennis Hopper .

Tient la route sans être exceptionnel. Se laisse voir !

(SPOILER):Imaginez que dans Stalingrad assiégé,les Soviétiques se préparent la contre-attaque et à changer le cour de la dernière guerre,mais que lors de la bataille,dans les faubourgs de la ville,le Général Joukov décide de tout arrêter,de les laisser partir parce qu'ils ont besoin d'un espace pour vivre.Ca vous paraît complètement con comme décision?Ca vous parait dangereux?Ca vous paraît totalement débile?A vous oui,à Roméro,ça aurait paru tout à fait normal...Car Roméro lui se complaît dans son rôle de donneur de leçons bien américain,entre deux séquences gore-latex et des personnages cons et caricaturaux au possible(la prostituée,le grand patron super-vicieux,les quotas ethniques sacrifiables,le zombie qui fait plus humain que les autres pour que les spectateurs le prennent en pitié...).Vous l'aurez compris,sous prétexte de nous livrer une réflexion figée et se voulant anti-conformiste du monde d'aujourd'hui,on nous monte à la hâte des séquences merdiques et honteusement mal foutu,la morale de la fin est soit risible,soit consternante vu le passif du gars dans le domaine,et on se prends à se demander pourquoi les gens sacralisent un film juste pour son réalisateur(qui plus est,est ultra-surestimé)alors qu'on a devant les yeux une grosse daube infâme qui mérite à peine d'être distribuée en P2P,c'est à vous à dégouter du milieu...

Dans ce film, il y a un zombi un peu plus intelligent que les autres qui ne tombe pas dans le piège des feux d'artifices qui "hypnotisent" les zombis afin que les humains puissent les tuer facilement.
L'histoire est pas mal mais j'ai détésté la trame de fond qui critique les puissants et les riches.

J'ai beaucoup aimé la nature profonde du film, ce regard posé sur la société dirigée par une élite nombriliste et méprisante qui manipule et utilise la masse pour garder son contrôle.
Par la peur de l'Etranger, représenté ici par le Zombie les élites gardent un moyen de pression sur le peuple, la peur de l'Autre, la peur de l'Inconnu. Mépris impossible à surmonter même en atteignant leur niveau de fortune car ces gens là ne se reconnaissent qu'entre eux, l'ascenseur social n'existant finalement pas. On fait rêver les masses d'un monde bling bling pour les distraire tout en faisant tout pour les bloquer dans leur quotidien (astuce des feux d'artifice pour distraire les zombies).
D'ailleurs, une des plus "belle" séquence du film est l'arrivée des héros dans la ville, où ils trouvent les humains dévorés par les zombies car bloqués entre les clotures électrifiés et les zombies. La métaphore d'un peuple comme prisonnier entre la manipulation des élites (peur de l'étranger) et la volonté des Autres d'exister.

"Le cinéma, comme la peinture, montre l'invisible." Godart

Le choix des principaux zombies n'est d'ailleurs pas anodin, l'allégorie de cette histoire de zombie est personnifiée par le pompiste noir et ses acolytes proches que sont le boucher ou autres figures des "petites gens".
On retrouve leurs alter égos chez les gentils avec la prostituée et l'handicapé (qui ressemble un peu à un zombie d'ailleurs) qui cherchent la même chose que les morts vivants, l'égalité.

Voilà qui est pour la vraie histoire que raconte le film, car si on regarde celle contée au premier degré on s'ennuie assez vite tant le canevas ne surprend jamais et tant Simon "Mentalist" Baker est insipide dans son rôle de chevalier blanc édulcoré. Les quelques situations teintées d'humour ne sauraient effacer le non intérêt qu'a le spectateur pour le sort de ces personnages qui ressemblent plus à des figures, des idées. La caractérisation des protagonistes sauveurs du monde est aussi légère que la tenue d'Asia Argento alors qu'au contraire celle de notre pompiste d'outre tombe semble plus élaborée.

Côté horreur, bien qu'on ne sera que très rarement (voire jamais) vraiment effrayé, on retrouve une ambiance old school au niveau du maquillages et des "effets spéciaux", un gore beaucoup moins policé et civilisé que celui des produits commerciaux. Comme Sam Raimi plus tard avec "Jusqu'en enfer", Romero retourne à la source pour proposer un film qui sent bon leur cinéma d'origine mais qui maquille trop maladroitement le fond de l'histoire.

Un bon divertissement, bien interessant, avec des acteurs qui sont bons dans leurs rôles et une bonne réalisation, pas mal !

perso j'adore romero !! c'est premier film! mais la je suis vrément déçu !! c'est vrement une M....!! je peu pas arriver a comprendre comment des gents peuvent arriver a dire qu'un film et génial juste à cause de sont rélisateur !! franchement, s'il n'y avait pas eux romero comme réalisateur je suis certain que plein de gent aurais crié a la bouse total !!

bon film d'horreur de zombie un bon retour au source pour romero

Film de zombie totalement classique et sans surprise.

Ce film est terrible !! Du Romero comme on l'aime ... Je ne comprends pas les notes des spectateurs :( Le film est salué par la critique presse et c'est les spectateurs qui font faux-bond au réalisateur ... A croire que ses fans fidèles se font rare. Et pourtant c'est un petit chef d'oeuvre. La satire sociale est toujours présente, c'est ici à la lutte entre riches et pauvres que s'attaque Romero : c'est réussi, la soif de pouvoir du mexicain, le grand chef Dennis Hopper (qui signe une bonne prestation) qui ne pense qu'à ses deux gros sacs de billets plutôt que de mettre les voiles ... Simon Baler (que je découvre après The Killer Inside Me et The Mentaliste) nous livre une très bonne prestation et est un futur grand du cinéma. Asia Argento qui ne m'avait pas totalement convaincue dans "Boarding Gate (Olivier Assayas)" me convainc ici dans ce film de Romero. Les zombies, le nerf de la guerre, deviennent intelligents (très bonne idée) mais ne vont pas plus vite pour autant, ça dénature donc pas le zombie, les maquillages sont toujours aussi bon; pour un budget minime, Romero signe encore ici chef d'oeuvre. Je dénombre deux points faibles : On n'arrive pas trop à s'attacher aux personnages (ce qui est important dans un film de zombie, il me semble) et le fait qu'à la fin une masse importante de gens sortent de leurs cachettes après que les zombies aient été détruits à coup de missiles ... Sinon dans l'ensemble, c'est un très bon Romero, la réalisation est efficace et de qualité. Certes Dawn Of The Dead (ou "ZOMBIE") reste le chef d'oeuvre inégalé, mais celui la est très bon et ravira les vrais fans il me semble.

Je me demande bien pourquoi Romero a réaliser ce film .. Le scénario est de piêtre qualité ( ce qui n'a jamais été la principale qualité de la trilogie originelle ) . Les zombies sont bien faient , pour la première fois , ils ont une certaines intelligences et utilisent des objets ( déjà entrevue dans "Zombie" ) , les personnages principaux ne sont pas attachant pour un sous ( entre le mercenaires qui veut quitter le navire , le bruler qui veille sur lui et la prostitué qui tombe à moitié sous son charme , il ne manquait plus qu'un sumo des iles Samoa pour compléter la photo de famille ) . On décelle une incohérence majeur , a la fin du film .

Lorsque tout le monde c'est fait dévorer par les zombies à l'intérieur de la ville , il font sauter les clôtures électriques avec l'Eclaireur de la mort et là comme par hasard on voit que tout le monde c'était planquer dans les immeubles ( je suis seul à trouver ça bizarre ? )

Du côté des acteurs , Simon Baker joue assez juste , tout au long du film . Par contre les autres ...

George A.Romero aurait du passez ce film ( qui d'ailleurs ne comporte pas de morale comme dans tout les films de Romero ) pour s'attaquer à Diary of the Dead .

Il est très dur pour moi de noter ce film d'ou ma note moyenne ("neutral" comme dirait un sympathique acteur belge). Etant fan de la trilogie, j'attendais ce film avec une grande impatience, de grandes espérances, mais autant le dire tout de suite, mon 1er visionnage fut une véritable catastrophe, la cause à une grosse faute de goût. Comment Romero peut-il faire communiquer un chef de bande zombi avec ses amis zombis?!, ses apparitions, actions sont ridicules. Quand il, on croirait voir les raptors dans "Jurassic Park" et l'envie de lui mettre des claques démange. Après plusieurs visionnages, la pilule passe un peu mieux même si je ne m'habituerais jamais. Je ne peux m'empêcher de penser que le film aurait été très bon sans cette faute de goût, avec des zombis traditionnels. Pour le reste, rien à signaler, c'est plutôt bon, même très bon.

Une zombie qui réfléchit nous pousse à une histoire ridicule. De plus le côté gore très exagéré, et les humains incapable de semer des zombie qui marche à 2 à l'heure, nous fait rire de honte.

Alors moi j'aimerais dire un tout grand bravo au plus grand navet de l'histoire du cinéma gore/fantastique, j'ai nommé le territoire des morts. Pas d'histoire, pas de scénario au bout de quelques scènes on finit même par se demander s'il y a vraiment une équipe de production derrière cette daube. Si c'est bien le cas, on peut alors se demander s'ils ont vraiment engagé des acteurs ou plutôt s'ils ont embauché les dix premiers perdus rencontrés sur la route moyennant une forte somme d'argent. Dans Land of the dead, il y a certes des boyaux, des organes arrachés, de l'hémoglobine en veux-tu en voilà, il y a de très beaux mecs, des nanas sexys et courageuses, des armes... bref tout ce qui avait, autrefois, fait le succès de ce chef d'oeuvre (hum, hum) qu'était l'aube des morts... Dans Land of the dead, aussi, on s'ennuie du début à la fin, on rit de temps à autres devant la stupidité de certaines scènes (et oui il faut savoir que Land of the dead n'est pas dénué d'humour !) et on se surprend à rêver d'un monde utopique où les zombies seraient... intelligents ! A quand un "Les Zombies font du ski" ou encore "Les Zombies à l'école ?" Quant au héros de l'histoire, et bien, il n'est pas dénué d'humanité... il n'hésite pas à sacrifier des gens mais d'un autre côté, il laisse la vie sauve à des centaines de zombies et ça mesdames et messieurs, ça ne manquera pas de vous arracher une petite larme au passage... si tant soit peu que vous n'ayez pas quitté la salle entre-temps...