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Duel n'est pas simplement un film, c'est une expérience cinématographique viscérale. Dès les premières secondes, Spielberg nous happe dans un huis clos à ciel ouvert où la tension ne fait que croître jusqu'à un final inoubliable. L'histoire, d'une simplicité désarmante – un représentant de commerce pourchassé par un camionneur fantôme sur les routes désertiques de Californie – se transforme sous la caméra de Spielberg en une allégorie implacable de la lutte pour la survie.
Ce qui frappe avant tout, c'est la maîtrise absolue de la mise en scène. Spielberg utilise chaque élément – le paysage aride, le vrombissement menaçant du camion, les angles de caméra ingénieux – pour créer une atmosphère d'angoisse permanente. On ne voit presque jamais le visage du conducteur du camion, ce qui le rend d'autant plus terrifiant, une incarnation anonyme et implacable du danger.
Le personnage de David Mann, interprété avec justesse par Dennis Weaver, est un homme ordinaire confronté à une situation extraordinaire. On s'identifie immédiatement à lui, à sa peur, à sa détermination grandissante. Chaque tentative pour échapper à son poursuivant est une source de tension insoutenable.
Duel est un film qui ne vieillit pas. Sa simplicité narrative et son efficacité cinématographique en font un classique indémodable. C'est une leçon de cinéma sur la façon de créer du suspense avec peu de moyens, une œuvre qui continue de fasciner et de terrifier les spectateurs, même après des décennies. Un chef-d'œuvre absolu à voir et à revoir.
Ce qui frappe avant tout, c'est la maîtrise absolue de la mise en scène. Spielberg utilise chaque élément – le paysage aride, le vrombissement menaçant du camion, les angles de caméra ingénieux – pour créer une atmosphère d'angoisse permanente. On ne voit presque jamais le visage du conducteur du camion, ce qui le rend d'autant plus terrifiant, une incarnation anonyme et implacable du danger.
Le personnage de David Mann, interprété avec justesse par Dennis Weaver, est un homme ordinaire confronté à une situation extraordinaire. On s'identifie immédiatement à lui, à sa peur, à sa détermination grandissante. Chaque tentative pour échapper à son poursuivant est une source de tension insoutenable.
Duel est un film qui ne vieillit pas. Sa simplicité narrative et son efficacité cinématographique en font un classique indémodable. C'est une leçon de cinéma sur la façon de créer du suspense avec peu de moyens, une œuvre qui continue de fasciner et de terrifier les spectateurs, même après des décennies. Un chef-d'œuvre absolu à voir et à revoir.
J'ai eu besoin de venir ici pour vider mon sac ..... Oui, ce film est légendaire. Il ne vieilli pratiquement pas. La qualité générale de ce long métrage est tout simplement superbe.
Ceci étant dit ...... J'ai grincé des dents pendant tout le film parce que le rôle de l'acteur m'a fait penser a Jerry de Rick et Morty.
Une plymouth Valiant c'est un moteur 6 cylindres de pratiquement 3L. ... Il aurait largement pu 'tracer' ce camion. mais il prend durant tout le film des mauvaises décisions. 'Ok, il faut bien des rebondissements mais il est carrément 'maladroit'...'
Du coup, j'ai aimé le film mais je me suis constamment demandé pourquoi il réagissait de cette façon.
Ceci étant dit ...... J'ai grincé des dents pendant tout le film parce que le rôle de l'acteur m'a fait penser a Jerry de Rick et Morty.
Une plymouth Valiant c'est un moteur 6 cylindres de pratiquement 3L. ... Il aurait largement pu 'tracer' ce camion. mais il prend durant tout le film des mauvaises décisions. 'Ok, il faut bien des rebondissements mais il est carrément 'maladroit'...'
Du coup, j'ai aimé le film mais je me suis constamment demandé pourquoi il réagissait de cette façon.
Véritable révélation lors de sa sortie, ce film,qui pourra paraitre mou et lent à de jeunes spectateurs, stupéfia pourtant par sa puissance et sa tension, inédites à l'époque. En cela, il partage le triste sort de nombreux films, comme le Parrain, Bullit, ou Python 357, qui semblaient ultra speed dans les 70's et que notre époque survoltée trouvera anémiques. Il lui reste ses qualités visuelles, le montage, la photographie - là encore, la dominante sépia, si souvent imitée-, et toute la symbolique de la confrontation entre une force animale, presque diabolique, et un individu terne, un John Doe monocolore, en lequel l'Américain de la rue pouvait s'identifier.
C'est le thriller simpliste de l'époque. Il n'y a pas vraiment de fil narratif même si on tente très rapidement d'en établir un, c'est un plutôt comme un film d'horreur dans lequel on recherche plus les sensations que l'histoire mais bon. C'est court ça semble un peu longuet et répétitif sur la dernière partie. Il y a des images assez sympa quand même pour le coup et un certain charme de l'époque. Certains y trouveront un sens profond mais je pense que pour le coup c'est hors sujet. Les amateurs du genre seront ravis de découvrir ceci, personnellement j'en tire pas grand chose, sympa, probablement à voir une fois, mais qui ne me touche pas particulièrement.
Le topo est simple, un camionneur déjanté sur les routes désertique des Etats-Unis a décidé de persécuter un pauvre mec routinier, timide et lâche. Mais ca c'était avant, le camionneur fou avec des envies meurtrière va débrider notre cher protagoniste et va le rendre dingue dans cette course poursuite ultra intense !
On ne pouvait faire plus simple, et pourtant l'art et la manière sont présentes, on ne s'ennui pas une seule seconde, le rythme nous prend et nous vivons cette course poursuite premier degré. C'est anxiogène, stressant et ce camionneur mystérieux (car nous le verrons jamais) nous casse bien les bonbons.
On ne pouvait faire plus simple, et pourtant l'art et la manière sont présentes, on ne s'ennui pas une seule seconde, le rythme nous prend et nous vivons cette course poursuite premier degré. C'est anxiogène, stressant et ce camionneur mystérieux (car nous le verrons jamais) nous casse bien les bonbons.
Exceptionnel ce film. Capturé l’image du téléspectateur pendant 1h30, mêlant intrigue, suspense, peur… simplement grâce a une course poursuite dans le désert.
Ce qui est génial, c’est que ce film a été tourné dans un endroit vide, ce désert n’a rien, il n’ y’a qu’un seul acteur, aucun dialogue. Tout le film marche avec le questionnement du téléspectateur.. Que va-t-il ce passer ? Quelle est la raison du camionneur ? Juste un duel ou on attend avec impatience qui restera en vie.
Ce qui est génial, c’est que ce film a été tourné dans un endroit vide, ce désert n’a rien, il n’ y’a qu’un seul acteur, aucun dialogue. Tout le film marche avec le questionnement du téléspectateur.. Que va-t-il ce passer ? Quelle est la raison du camionneur ? Juste un duel ou on attend avec impatience qui restera en vie.
Steven spielberg nous plonge dans un film à l’ambiance extrêmement stressante et pesante. Ce film est un vrai classique à mes yeux. Spielberg nous tient en haleine durant la totalité du film. Le mystère et la tension qui règnent font de ce film une œuvre marquante pour le cinéma.
Cette ambitieuse proposition de nous conserver hantants grâce à une course poursuite pendant 90 minutes échoue à nous embarquer pleinement. Assurément la faute n'en est pas à la mise en scène, réfléchie, parlante, symbolique de Spielberg qui transforme ce camion en ogre ou cette route en jeu de piste. Cependant le choix d'un comédien dénué de tout charisme, bien que cela serve l'idée de la proie qui cherche en une personnalité d'abord soumise voire pleutre les ressources nécessaires à sa survie, empêche empathie ou intérêt. Ainsi, malgré une variété des attaques du chasseur s'amusant à harceler notre anti-héros, la dynamique halète - sans doute par manque de moyens pour travailler effets sonores ou nerveux. Décevant.
De base un télé film le premier film de Steven Spielberg fut après diffusé au cinéma grâce à son succès . Dans ce fameux film Duel Spielberg fait déjà un coup de maître, un très bon thriller certes le scénario est faible, c'est beaucoup trop répétitif mais la tension reste présente . Cela prouvait déjà que Spielberg avait un énorme potentiel !
Mise en scène de dingue, le camion-citerne antagoniste incroyable et hyper flippant. Ce qu'on ne voit pas crée de la tension. Idée / contrainte de mise en scène super simple et bien tenue. Plein d'allégories possibles sur ce camion psychopathe sans qu'on ne sache jamais ses motivations à vouloir tuer le perso principal, pas besoin de les expliquer on les subit juste avec le perso. Dommage la VO qui a un peu mal vieilli. Super fin.
Si "Duel" (1971) est à n'en pas douter le premier tour de force de Steven Spielberg (25 ans seulement), le film s'avère ègalement un chef-d'oeuvre dans la façon d'entrer dans le genre de façon fracassante! Un Dennis Weaver pris en chasse dans sa Plymouth Valiant rouge par un ènorme camion poids lourd dont on ne voit à aucun moment le visage! Le conducteur et le routier s'affrontent à coups de grands morceaux d'anthologies! Avec le temps, "Duel" est rapidement devenu une oeuvre culte et incontournable, entièrement tournè sur les vastes routes californiennes! Implacable, le suspense monte crescendo pour ne plus lâcher le spectateur! Techniquement, les prises de vue se savourent toujours avec un bonheur intense! Une vraie leçon de cinèma en somme que l'on peut dècouvrir dans sa V.F (il est de mise de le voir dans son doublage d'origine) ou dans sa V.O, avec un Dolby True HD qui dèpote grave pour un film aussi ancien...
Film qui nous tient aux tripes durant un long moment. Premier film de steven spielberg qui nous fait déjà frissonner avec ses scènes cultes. Un bon film.
Nicothrash
Premier long métrage mythique de Steven Spielberg, Duel s'il n'est pas exempt de défauts marque les débuts en grandes pompes de l'un des plus grands réalisateurs de tous les temps. On y découvre les prémices de ce que sera son œuvre par la suite. Sur une mise en scène virtuose et avec un budget serré, il nous livre une course poursuite effrénée entre un monsieur-tout-le-monde et un mystérieux routier psychopathe. L'antagoniste n'est d'ailleurs pas véritablement le chauffeur mais plutôt cet immense camion impressionnant de férocité et presque humainement incarné. Les paysages et la plupart des plans de Spielberg sont assez géniaux et le portrait psychologique qu'il dresse en voix off du personnage principal est étonnant. En fait ça saute aux yeux, il maîtrise déjà tout l'art du cinéma, ça transpire la passion et nul doute que Duel inspirera énormément de productions futures. Contrairement à ce que beaucoup ont l'air de penser, ce n'est pas un chef d'œuvre à mon sens, trop de longueurs et une direction d'acteur très caricaturale gênent l'immersion, en revanche, niveau tension, univers musical et mise en scène, c'est une pépite à n'en pas douter. Un point de départ dans le monde du cinéma assez passionnant à découvrir au final, un film marquant et qui a évidemment sa place dans toute vidéothèque qui se respecte.
Spielberg a 24 ans et Duel est déjà un grand film. Le réalisateur monte un suspens intenable à partir d'une simple confrontation sur la route. Il s'affiche comme un Maître du suspens, un virtuose qui sait fait naître chez les spectateurs des sensations qui vous transpercent. Une légende est en marche.
Le film en soit n'est pas génial, en partie à cause du script vraiment très pauvre et du paysage répétitif. En revanche, le travail de réalisation est vraiment très très bon, et beaucoup de plans ou de scènes sont un régal.
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