AlloCiné
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Votre avis sur Duel ?
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Pour son premier film, le génial Spielberg orchestre une course poursuite de 85 minutes sans dialogues, ni musique, terriblement angoissante et remarquablement filmé. La tension règne sans le moindre répit et on en ressort le souffle littéralement coupé. Brillant.
Ce film est absolument hypnotisant.
Le scénario tient sur un post it, et pourtant, on reste scotché a l'écran du début à la fin.
Un suspens incroyable, on est véritablement solidaire de cet automobiliste confronté à un ennemi "invisible" qui aurait pu s'en prendre à n'importe qui d'autre.
Être "au mauvais endroit au mauvais moment" prend ici tout son sens face à ce Peterbild redoutable et presque effrayant.
Au passage, dommage que les nouvelles versions fassent l'impasse sur le son de monstre lors de la chute finale...
Le scénario tient sur un post it, et pourtant, on reste scotché a l'écran du début à la fin.
Un suspens incroyable, on est véritablement solidaire de cet automobiliste confronté à un ennemi "invisible" qui aurait pu s'en prendre à n'importe qui d'autre.
Être "au mauvais endroit au mauvais moment" prend ici tout son sens face à ce Peterbild redoutable et presque effrayant.
Au passage, dommage que les nouvelles versions fassent l'impasse sur le son de monstre lors de la chute finale...
Une voiture, un camion, une route et un homme. Rarement le petit écran n'a produit quelque-chose d'aussi puissant et efficace. Certes avec le génie et le talent de l'immense Steven Spielberg qui juste après la réalisation du premier épisode officiel de Columbo s'aventure à mettre en scène son premier grand succès boudé aux États-Unis, acclamé en Europe. Avec Duel, film minimaliste par ses dialogues, son scénario, sa réalisation provoque l'effet inverse. Un véritable choc, tellement l'intelligence, le stress, le suspense et la paranoïa sont exploités avec la volonté de nous terroriser et ça marche. Alors oui c'est peut-être vieillot, bête, légèrement ridicule mais c'est efficace et c'est ça le principal.
En 1971, Steven Spielberg faisait une entrée fracassante dans le monde du cinéma avec ce film tourné à l'origine pour la télé américaine, mais distribué en salles suite au succès obtenu au Festival de Télévision de Monte Carlo. L'histoire est signée Richard Matheson, auteur bien connu des fans de fantastique, qui adapte une de ses nouvelles. Duel débute comme une banale tranche de vie quotidienne, avant de se transformer en un véritable cauchemar pour David Mann, ce paisible VRP traqué dans sa Plymouth rouge par un énorme camion plus tout jeune et crachant sa fumée noire. C'est une aventure fantastique qui pourrait arriver à n'importe qui, et l'astuce de Spielberg est de parvenir à créer une angoisse de plus en plus oppressante, et sans avoir recours à des procédés sophistiqués, juste de simples effets empruntés à la vie de tous les jours. Ainsi, il accentue l'aspect menaçant du camion, véritable monstre de métal, en amplifiant la bande-son du moteur diesel et surtout en enchainant les gros plans saisissants de caméras embarquées sur les flancs du camion, sur la calandre agressive, sur le toit de la cabine, au ras du bitume, sur les pneus et sur l'arrière de la citerne... tout ceci provoque une terreur insolite par sa situation, car rien n'est expliqué à David Mann, ni au spectateur, tous deux subissent ; le doute, la peur s'installent inexorablement, nous ne saurons jamais pourquoi ce conducteur de camion en veut à cet automobiliste, et Spielberg ne montre justement jamais le visage du camionneur, juste une paire de bottes et une main par ci, par là. L'angoisse est distillée au compte-gouttes, c'est une poursuite carrément inouïe, à l'atmosphère sèche, avec très peu de dialogues et un montage ultra serré ; la scène du café au milieu s'étend un peu trop et brise le rythme infernal imposé par le réalisateur, c'est le seul petit défaut du film, mais avec un talent diabolique, Spielberg, alors tout jeune cinéaste de 25 ans, stupéfie déjà par sa maîtrise technique, sons sens de l'espace et du suspense haletant, bref c'est du grand cinéma à l'efficacité redoutable, obtenue avec un budget très limité, la marque d'un vrai génie.
Répétitif, voix-off atrocement doublée, dialogues ridicules, tension inexistante, rythme amorphe, aucune surprise, personnage pas approfondis, fin bâclée bref : ennuyeux. Un thriller qui manque de caractère et qui a peut-être mal vieilli. Après quand on le remet dans le contexte de l'époque je peux comprendre que cette idée fasse son effet mais aujourd'hui j'ai franchement du mal à croire que l'on puisse être réellement autant passionné par ce film comme certains peuvent l'être. La force des grands films c'est de réussir à traverser les âges sans se démoder là ce "Duel" parait de nos jours assez désuet. Spielberg ou pas, il lui fallait peut-être un plus"rouler sa bosse" pour nous proposer quelque chose de plus efficace et à la hauteur ce qu'il nous a fait par la suite. Un exercice de style qui ne dépasse pas son matériel de base destiné à n'être qu'un téléfilm. Un Spielberg mineur en somme.
pierrre s.
L'idée de départ est simple, mais elle est géniale! De là vont découler un stress et une tension principalement provoqués par la brillante réalisation de Steven Spielberg.
J'ai été prise dans ce huis clos bizarre, puis j'ai décroché.
Bon, à l'époque ça devait être terriblement stressant! Mais maintenant ça manque tellement de bon sens!!!
spoiler: On ne sait pas pourquoi le camion veut tuer ce commercial, et quand une voiture le dépasse, il ne la suit pas pour ensuite ne pas être être seul sur la route! Même si sa voiture ne roule pas vite, il se prend quelques bon sprint. Et au lieu demander à faire du stop cet idiot demande de passer un message!!!! ???? Et pourquoi il ne la pas entraîné plus tôt dans les plaines du désert pour y mettre le feu derrière lui? INFLAMMABLE
Bon, à l'époque ça devait être terriblement stressant! Mais maintenant ça manque tellement de bon sens!!!
spoiler: On ne sait pas pourquoi le camion veut tuer ce commercial, et quand une voiture le dépasse, il ne la suit pas pour ensuite ne pas être être seul sur la route! Même si sa voiture ne roule pas vite, il se prend quelques bon sprint. Et au lieu demander à faire du stop cet idiot demande de passer un message!!!! ???? Et pourquoi il ne la pas entraîné plus tôt dans les plaines du désert pour y mettre le feu derrière lui? INFLAMMABLE
"Duel" a au moins le mérite de l'originalité avec son scénario tenant sur un arbre magique. Certains crient au génie de Steven Spielberg réussissant à faire de ce presque-rien scénaristique un chef-d'oeuvre quand d'autres crient à l'arnaque... Pour ma part, je couperais la poire en deux, car si la mise en scène est une réussite, le suspense globalement efficace, on ne peut pas non plus dire que les monologues de la voix-off soient particulièrement intéressant... Au contraire, ils ne font que paraphraser ce que l'on voit à l'écran, ne faisant qu'enfoncer des portières ouvertes sans la moindre subtilité psychologique. Et si Steven Spielberg arrive à nous tenir suspendus à cette question : "mais pourquoi le poursuit-il ?", il ne réussit pas vraiment à conclure son film de manière convaincante. A voir tout de même pour le concept.
excellent, j'ai adoré, Denis Weaver est convaincant
Florent B.
Un excellent film captivant et passionnant, qui tient parfaitement en haleine le spectateur. L'histoire, bien que simple, est intéressante et le tout est filmé avec savoir faire. Un thriller bien réalisé qui a lancé la carrière d'un des plus grand réalisateurs du cinéma. Un film culte.
Je suis assez mitigé sur Spielberg mais là comme premier film il a fait fort! Une poursuite complètement folle pendant une 1h30! Le choix de ne pas montrer le conducteur du camion, et ses intentions renforcent le suspense qui est déjà à son comble! La mise en scène est relativement efficace et le montage est parfois très nerveux! Malgré une baisse de régime au milieu du film, celui-ci est vraiment très bon, surtout que l'acteur Dennis Weaver livre une performance assez incroyable.
weihnachtsmann
Un suspense haletant pour ce premier film vraiment réussi. Il réussit à nous passionner et à varier les situations. Très bonne performance de l'acteur.
Premier film choc de Steven Spielberg et déjà une première réussite ! Alors qu'il n'a encore aucune expérience en tant que réalisateur, Spielberg signe ici un très bon film à la réalisation extrêmement efficace. Duel part sur un scénario simple, qui n'a rien de spécialement attrayant mais Steven arrive à nous captiver. Au départ, ce n'est qu'une sorte de course poursuite acharnée entre une voiture et un camion mais peu à peu, le stress se fait ressentir. Cependant, certaines longueurs sont présentes mais rien de bien grave.
On reconnait bien le style de l'époque, vieilles voitures, grosses lunettes, la coiffure, les costumes... Et tous ces petits détails apportent un certain charme au film. De plus, le camion n'a pas été choisi au hasard, on a droit ici à un gros poids lourd, aux allures effrayantes ce qui était obligatoire pour réaliser un tel film.
Duel se différencie de beaucoup d'autres films notamment par le fait qu'il ne comporte que très peu de dialogues. Le plus souvent, on a droit à un "monologue" de l'acteur principal, Dennis Weaver qui joue le rôle de David Mann. Un rôle pas si facile qu'il puisse paraître car si le film est une réussite, c'est également grâce à l'interprétation de Weaver. Toutes ses mimiques, les attitudes, émotions qu'expriment son visage (joie, colère, peur, angoisse,...) sont très importantes car c'est en grande partie sur sa prestation que repose le film. On a également droit à ses réflexions et pensées, qui sont intégrées en voix off et ajoute un aspect de doute et de paranoïa chez cet automobiliste.
spoiler: L'idée de génie qu'a eu Spielberg est de n'avoir jamais montrer le conducteur du camion et donc de le garder secret. De plus, on ne sait toujours pas qu'elles étaient ses intentions lorsqu'il pourchassait ce pauvre automobiliste.
Si le problème majeur du film est la baisse de rythme, Duel contient cependant sa dose de suspens et de tension. Il faut dire qu'il était difficile de tenir 90 minutes sur un sujet si pauvre. Quelques scènes de poursuites (il accélère/il recule/il revient) auraient pu être éviter. Peut-être qu'une musique plus prenante aurait du accompagner ces scènes. Duel n'échappe pas aux petits détails comme la voiture peu abîmée malgré tout ce qu'elle a subi, mais après tout, ça reste un film donc c'est pardonnable. D'autant que ces petits détails ne sont absolument pas gênants.
David Mann était au mauvais endroit, au mauvais moment,
spoiler: à qui la chance ne semblait pas sourire, jusqu'à la fin.
Duel est donc un très bon film classé dans la filmographie de Steven Spielberg d'autant plus que ce n'était que son premier qui a connu du succès. Si son talent se faisait déjà ressentir, il s'est encore amélioré depuis les années si bien qu'il est devenu l'un des meilleurs réalisateurs.
Duel est donc un film (qui fut un téléfilm) très bien réalisé et qui vaut le coup d’œil.
On reconnait bien le style de l'époque, vieilles voitures, grosses lunettes, la coiffure, les costumes... Et tous ces petits détails apportent un certain charme au film. De plus, le camion n'a pas été choisi au hasard, on a droit ici à un gros poids lourd, aux allures effrayantes ce qui était obligatoire pour réaliser un tel film.
Duel se différencie de beaucoup d'autres films notamment par le fait qu'il ne comporte que très peu de dialogues. Le plus souvent, on a droit à un "monologue" de l'acteur principal, Dennis Weaver qui joue le rôle de David Mann. Un rôle pas si facile qu'il puisse paraître car si le film est une réussite, c'est également grâce à l'interprétation de Weaver. Toutes ses mimiques, les attitudes, émotions qu'expriment son visage (joie, colère, peur, angoisse,...) sont très importantes car c'est en grande partie sur sa prestation que repose le film. On a également droit à ses réflexions et pensées, qui sont intégrées en voix off et ajoute un aspect de doute et de paranoïa chez cet automobiliste.
spoiler: L'idée de génie qu'a eu Spielberg est de n'avoir jamais montrer le conducteur du camion et donc de le garder secret. De plus, on ne sait toujours pas qu'elles étaient ses intentions lorsqu'il pourchassait ce pauvre automobiliste.
Si le problème majeur du film est la baisse de rythme, Duel contient cependant sa dose de suspens et de tension. Il faut dire qu'il était difficile de tenir 90 minutes sur un sujet si pauvre. Quelques scènes de poursuites (il accélère/il recule/il revient) auraient pu être éviter. Peut-être qu'une musique plus prenante aurait du accompagner ces scènes. Duel n'échappe pas aux petits détails comme la voiture peu abîmée malgré tout ce qu'elle a subi, mais après tout, ça reste un film donc c'est pardonnable. D'autant que ces petits détails ne sont absolument pas gênants.
David Mann était au mauvais endroit, au mauvais moment,
spoiler: à qui la chance ne semblait pas sourire, jusqu'à la fin.
Duel est donc un très bon film classé dans la filmographie de Steven Spielberg d'autant plus que ce n'était que son premier qui a connu du succès. Si son talent se faisait déjà ressentir, il s'est encore amélioré depuis les années si bien qu'il est devenu l'un des meilleurs réalisateurs.
Duel est donc un film (qui fut un téléfilm) très bien réalisé et qui vaut le coup d’œil.
Revu hier avec des enfants Duel, l'un des premiers films de Steven Spielberg. Au début ils ont quelque peine à entrer dans le film (l'automobiliste qui sort de chez lui, les paysages qui défilent avant que l'on ne découvre le camion...) mais très vite, dès que celui-ci apparaît, ils commencent à s'intéresser. La seule question qu'ils posent durant la projection est : "Est-ce qu'on va voir le chauffeur du camion ?". Quand ils comprennent qu'ils ne le verront jamais, ils trouvent le film un peu bizarre, mais le suspense marche toujours jusqu'à la fin.
Je trouve le film toujours parfaitement maîtrisé, truffé d'idées inventives, surtout la scène du bar où tout devient suspicieux, la présence de l'ennemi étant omniprésente. Finalement c'est l'histoire d'un homme ordinaire, confronté au dépassement de lui-même pour sauver sa peau. Adapté au départ d'une nouvelle du grand Richard Matheson, Duel séduit toujours par son sujet, et me rend surtout très admiratif de par son économie de moyens. Très complexe à tourner (la multiplicité des angles de prises de vues et des raccords) l'oeuvre reste un grand classique, un must aux allures hitchcockiennes que tous les étudiants de cinéma du monde entier peuvent à loisirs disséquer pour en saisir le moindre rouage. La musique aux accents de Psychose renforce encore l'atmosphère tendue, et chaque élément s'imbrique parfaitement l’un dans l’autre.
Les enfants comprennent rapidement qu'ils ont affaire à un fou dangereux, ce qui les effraie toujours autant. Le seul témoin de l'agression est la femme qui élève des serpents dans le désert, sinon tous les autres personnages pensent que c'est le chauffeur de la voiture qui est fou. Dans la version longue il y a cette très belle séquence où les enfants du car en panne, grimaçants derrière la vitre, semblent eux aussi se jouer du héros malmené. Lorsque c'est le camion qui vient finalement à leur rescousse, jouant pour un instant le rôle du héros positif, tout se renverse, et le chauffeur de la voiture sait à présent qu'il devra combattre tout seul contre son ennemi. Quand il verrouille sa ceinture de sécurité et qu'il s'adresse au chauffeur du camion en disant "Tu veux vraiment jouer ? Alors d'accord, maintenant on va jouer pour de bon..", le héros victime se transforme en un survivant du coûte que coûte, et la violence de l'autre à son égard décuple ses capacités.
La fin, très belle elle aussi, nous le montre seul sur la colline au coucher du soleil devant la carcasse du camion, encore en état de choc longtemps encore après que le duel se soit achevé. Pas d'autre bruit que le vent du désert qui vient tout balayer. Les enfants regrettent un peu l'absence de musique à ce moment-là, mais le film leur laisse un goût étrange, celui d'un film pas comme les autres.
À une heure où au cinéma tout se comprend dès la première minute, voire dès la bande annonce, Duel, qui est au départ un téléfilm, illustre parfaitement cette réflexion de son réalisateur lui-même, disant récemment lors d'une de ses interventions à U.C.L.A, l'école de cinéma de Los Angeles : "La meilleure façon de se rendre compte si l'histoire d'un film est claire, c'est de pouvoir l'imaginer sans les dialogues".
Je trouve le film toujours parfaitement maîtrisé, truffé d'idées inventives, surtout la scène du bar où tout devient suspicieux, la présence de l'ennemi étant omniprésente. Finalement c'est l'histoire d'un homme ordinaire, confronté au dépassement de lui-même pour sauver sa peau. Adapté au départ d'une nouvelle du grand Richard Matheson, Duel séduit toujours par son sujet, et me rend surtout très admiratif de par son économie de moyens. Très complexe à tourner (la multiplicité des angles de prises de vues et des raccords) l'oeuvre reste un grand classique, un must aux allures hitchcockiennes que tous les étudiants de cinéma du monde entier peuvent à loisirs disséquer pour en saisir le moindre rouage. La musique aux accents de Psychose renforce encore l'atmosphère tendue, et chaque élément s'imbrique parfaitement l’un dans l’autre.
Les enfants comprennent rapidement qu'ils ont affaire à un fou dangereux, ce qui les effraie toujours autant. Le seul témoin de l'agression est la femme qui élève des serpents dans le désert, sinon tous les autres personnages pensent que c'est le chauffeur de la voiture qui est fou. Dans la version longue il y a cette très belle séquence où les enfants du car en panne, grimaçants derrière la vitre, semblent eux aussi se jouer du héros malmené. Lorsque c'est le camion qui vient finalement à leur rescousse, jouant pour un instant le rôle du héros positif, tout se renverse, et le chauffeur de la voiture sait à présent qu'il devra combattre tout seul contre son ennemi. Quand il verrouille sa ceinture de sécurité et qu'il s'adresse au chauffeur du camion en disant "Tu veux vraiment jouer ? Alors d'accord, maintenant on va jouer pour de bon..", le héros victime se transforme en un survivant du coûte que coûte, et la violence de l'autre à son égard décuple ses capacités.
La fin, très belle elle aussi, nous le montre seul sur la colline au coucher du soleil devant la carcasse du camion, encore en état de choc longtemps encore après que le duel se soit achevé. Pas d'autre bruit que le vent du désert qui vient tout balayer. Les enfants regrettent un peu l'absence de musique à ce moment-là, mais le film leur laisse un goût étrange, celui d'un film pas comme les autres.
À une heure où au cinéma tout se comprend dès la première minute, voire dès la bande annonce, Duel, qui est au départ un téléfilm, illustre parfaitement cette réflexion de son réalisateur lui-même, disant récemment lors d'une de ses interventions à U.C.L.A, l'école de cinéma de Los Angeles : "La meilleure façon de se rendre compte si l'histoire d'un film est claire, c'est de pouvoir l'imaginer sans les dialogues".
Un excellent film passionnant et captivant du début à la fin malgré que celui ci peut paraître " routinier ".
Angoisse et stresse sont au rdv tout au long du film et l'acteur principal est vraiment crédible dans sont rôle .
Un film culte à voir où à revoir .
Angoisse et stresse sont au rdv tout au long du film et l'acteur principal est vraiment crédible dans sont rôle .
Un film culte à voir où à revoir .
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