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Votre avis sur Happy Feet ?
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Fresque animalière d’une splendeur toujours inégalée, où chaque mouvement, chaque texture atteint une maîtrise technique ahurissante, frôlant le réel. Les comportements des bêtes y prennent une authenticité troublante.
La narration, pleine d’humour et, à l'habitude de Miller, légèrement audacieuse, s’achève sur des morales bienveillantes.
Sous ses airs légers et son rythme enlevé, le film révèle une intelligence subtile, offrant des lectures multiples et des reflets insoupçonnés.
La narration, pleine d’humour et, à l'habitude de Miller, légèrement audacieuse, s’achève sur des morales bienveillantes.
Sous ses airs légers et son rythme enlevé, le film révèle une intelligence subtile, offrant des lectures multiples et des reflets insoupçonnés.
Le principe en lui même est pas très recherché, le coter danse tout le temp est blasent. J’en garde pas un super souvenir
Bon film, un peu triste au début mais la tendance s’inverse très vite.
Cette comédie musicale d'animation signée George Miller, Happy Feet n'a pour moi aucun défaut. Car si certains trouvent le film trop enfantins, je dirais plutôt qu'il aborde des thématiques mâtures (discrimination enver la différence et écologie a travers la relation Homme/Animaux) de manière à ce qu'elles soient accessibles à tous.
Mais le papa de Mad Max fait une mise en scène dynamique qui tourbillonne autour de ces pingouins chanteurs et/ou danseurs. Une sublime photographie, des titres tous excellents et originaux, le personnage principal tout à fait attachant... Miller est décidément un des très grand réalisateurs qui me parle totalement. Alors même qu'il ne m'avait pas tant marqué lors de mon premier visionnage,j'ai l'impression de revoir un film qui a été fait pour moi. À conseiller absolument pour une soirée en famille !
Mais le papa de Mad Max fait une mise en scène dynamique qui tourbillonne autour de ces pingouins chanteurs et/ou danseurs. Une sublime photographie, des titres tous excellents et originaux, le personnage principal tout à fait attachant... Miller est décidément un des très grand réalisateurs qui me parle totalement. Alors même qu'il ne m'avait pas tant marqué lors de mon premier visionnage,j'ai l'impression de revoir un film qui a été fait pour moi. À conseiller absolument pour une soirée en famille !
bsalvert
un film bien construit, dynamique, sympathique, tout le monde y trouve son compte, petits et grands.
C'est rare de voir un film d'animation qui soit si original. Même si je suis resté extérieur au film, il y a de beaux moments et mes enfants ont adoré
En 2006, la perspective d'attendre un nouveau Miller avait de quoi réjouir les adorateurs du cinéaste surtout après avoir foutu, huit ans auparavant, un bâton de dynamite dans la gueule de Babe 2 et d'en avoir certainement fait pour l'occasion le film pour gosses le plus gonflé qui soit. Pourtant le visionnage de la bande annonce de "Happy Feet" a très largement refroidi les ardeurs de chacun avec sa bande de manchots en plein swing se dandinant sur la banquise de l'Antarctique. Le grand George ravivait-il sa flamme créatrice au son du classique Disney ? Souhait-il en découdre sur le terrain de Pixar alors en plein Âge d'or ? Officiellement non. Officieusement non plus d'ailleurs et après une première lecture, la démarche artistique va se révéler beaucoup excitante qu'une énième peluche pour têtes blondes.
Il y a moins de six degrés de séparation entre la scène d'ouverture du successfull "Roi Lion" des studios Disney et le premier volet de "Happy Feet" appliquant méticuleusement la formule Miller. En son temps, le film de Rob Minkoff aura fait sourire nombre de critiques de gauche avec sa monarchie placée tout en haut de la chaîne alimentaire et ses antilopes sacrifiées pour justifier les lois de la nature. Le petit peuple offert aux têtes couronnées, il fallait le faire. On pense ce que l'on veut du "Roi Lion" et de son idéologie dite nauséabonde mais son discours lors du préambule place ses protagonistes en haut d'une falaise devant un parterre d'animaux prosternés. La force d'un point de vue culotté de la part des auteurs passé sous les radars de spectateurs littéralement hypnotisés par le show. Du rêve en barre pour les familles lors d'un efficace processus d'identification qui assisteront à la naissance de "L'Enfant Roi" sous une fracassante musique oscarisée. Disney est habile dans sa transposition du spectacle mainstream. Et "Le Roi Lion" place de manière stratosphérique la notion de famille puisqu'il est grandement question de ne pas sortir du territoire et de ne pas s'éloigner des siens sous peine d'en découvrir les aspects les plus sombres. Une manière d'appuyer encore un peu plus son discours de droite que certains qualifieront de franchement réac. C'est pourtant sur ces bases que le classique Disney a connu le triomphe et ce sont sur des bases en apparence identiques que "Happy feet" va défaire le mythe Disney en offrant une alternative à toutes ces convictions.
Et c'est sur cette rampe de lancement que le mimétisme Disneyen se termine au profit d'une métaphore animalière qui va catapulter l'oeuvre bien au delà de sa fonction de désacralisation. Si en arrière plan, il est bien mentionné le problème de l'éco-système, il y est également question du besoin de s'ouvrir à autrui. Une nouvelle porte s'ouvre sur l'avenir de Mumble et de ses congénères.
Il y a moins de six degrés de séparation entre la scène d'ouverture du successfull "Roi Lion" des studios Disney et le premier volet de "Happy Feet" appliquant méticuleusement la formule Miller. En son temps, le film de Rob Minkoff aura fait sourire nombre de critiques de gauche avec sa monarchie placée tout en haut de la chaîne alimentaire et ses antilopes sacrifiées pour justifier les lois de la nature. Le petit peuple offert aux têtes couronnées, il fallait le faire. On pense ce que l'on veut du "Roi Lion" et de son idéologie dite nauséabonde mais son discours lors du préambule place ses protagonistes en haut d'une falaise devant un parterre d'animaux prosternés. La force d'un point de vue culotté de la part des auteurs passé sous les radars de spectateurs littéralement hypnotisés par le show. Du rêve en barre pour les familles lors d'un efficace processus d'identification qui assisteront à la naissance de "L'Enfant Roi" sous une fracassante musique oscarisée. Disney est habile dans sa transposition du spectacle mainstream. Et "Le Roi Lion" place de manière stratosphérique la notion de famille puisqu'il est grandement question de ne pas sortir du territoire et de ne pas s'éloigner des siens sous peine d'en découvrir les aspects les plus sombres. Une manière d'appuyer encore un peu plus son discours de droite que certains qualifieront de franchement réac. C'est pourtant sur ces bases que le classique Disney a connu le triomphe et ce sont sur des bases en apparence identiques que "Happy feet" va défaire le mythe Disney en offrant une alternative à toutes ces convictions.
Et c'est sur cette rampe de lancement que le mimétisme Disneyen se termine au profit d'une métaphore animalière qui va catapulter l'oeuvre bien au delà de sa fonction de désacralisation. Si en arrière plan, il est bien mentionné le problème de l'éco-système, il y est également question du besoin de s'ouvrir à autrui. Une nouvelle porte s'ouvre sur l'avenir de Mumble et de ses congénères.
Parfois déconcertant notamment sous sa forme musicale, parfois captivant et émotionnellement parlant dans le message qu'il délivre.
Happy Feet est un film d’animation musical, ce n’est pas mon genre préféré de base, donc le paris était plutôt compliqué, mais au final c’est assez digeste et le rendu est plutôt bon. Ce n’est pas un film que j’irais revoir de moi-même, mais ça n’a pas été un mauvais moment non plus.
je me suis bien marré avec ces manchons et ces paguins.
En plus ils dénoncent les effets dévastateurs de l'écologie sur les animaux qui vivent en Antarctique et de la fonte des glaces.
Au final, ça parle aussi de leur protections de cette race ou ces races de Manchons.
Une films d'animation pour apprendre l'écologie aux enfants et aux adulte et prendre conscience que l'Antarctique est important pour ces animaux là et si nous voulons pas qu'ils disparaissent et en même temps la fonte des glaciers qui augmente en cm la hauteur des océans.
Continuer comme ça, on aura détruit notre propre planète. En quelques siècle .
En plus ils dénoncent les effets dévastateurs de l'écologie sur les animaux qui vivent en Antarctique et de la fonte des glaces.
Au final, ça parle aussi de leur protections de cette race ou ces races de Manchons.
Une films d'animation pour apprendre l'écologie aux enfants et aux adulte et prendre conscience que l'Antarctique est important pour ces animaux là et si nous voulons pas qu'ils disparaissent et en même temps la fonte des glaciers qui augmente en cm la hauteur des océans.
Continuer comme ça, on aura détruit notre propre planète. En quelques siècle .
Enfin la qualité de l’animation est juste époustouflante et laisse loin derrière « L’âge de glace » quant à la représentation de la banquise bien plus aboutie dans ce long-métrage. Un film pour toute la famille qui ne sacrifie pas au divertissement toute volonté de réflexion et qui en fait donc une distraction de grande qualité. À voir sans hésitation en famille et même pourquoi pas entre adultes seulement.
Un très bon film d'animation . Une très comédie musicale. Les manchots de la banquise sont doublés par les voix originales de Robin Williams, Hugh Jackman, Nicole Kidman.
Happy Feet est un film d'animation essentiellement fait pour les enfants assez jeune. Ce film nous montre des pingouins en Antarctique. Leur caractéristique est le chant... sauf pour un pingouin qui ne sait chanter mais qui saura danser comme personne. De fait, ce pingouin sera rejeté par une partie des siens et parcourra le continent en défiant de multiples dangers.
En fait, ici, on a un film d'animation avec des chants recomposés comme Moulin Rouge et c'est sa principale force : la musique, omniprésente et toujours monté avec justesse.
Bref : un film rempli de musiques et de poésie qui pourra vous rendre plus joyeux ;)
En fait, ici, on a un film d'animation avec des chants recomposés comme Moulin Rouge et c'est sa principale force : la musique, omniprésente et toujours monté avec justesse.
Bref : un film rempli de musiques et de poésie qui pourra vous rendre plus joyeux ;)
ce film met en scène des manchot empereur qu'ils ont tous la particularité de pouvoir chanter pour séduire et même pour s'amuser sauf un petit manchot du nom de mumble qui est le seul capable à pouvoir faire des claquettes avec ses pieds. et pour cela il sera exclu et mis à l'écart du groupe ne sera pas accepté pour sa différence mais il va leur montrer avec l'aide de certains de ses amis qui rencontre au bout du chemin qu'il est capable de retrouver qui leur vols leur poisson et nourriture . un film qui parle de différence d'acceptation de l'autre et des différences des autres malgré ce bon scénario et des graphisme magnifique et somptueux le film tourne vite en rond il comporte beaucoup beaucoup trop de Scènes de chansons et de chant ce qui en devient lassant et pénible à force un point que on a plus envie de regarder et cela bien avant la fin du film ça tape son système certaine voix française je crois pas la hauteur des voix américaine comme celle de Robin Williams ce qui n'est pas du tout le cas et leur imitation médiocre où leur accent à la limite du racisme juste inadmissible !
Passé le "Wow c'est le réalisateur de Mad Max qui se lance dans le film d'animation familial et musical, kamoulox !", Happy Feet se révèle être bien au-dela d'un quelconque film d'animation à base de danses et de chants tout à fait lisse. Miller passe des déserts post-apocalyptiques de Mad Max à ceux glacés de l'Antarctique, menacés par un autre genre de catastrophe humaine bien réelle, la surexploitation des océans par la surpêche. Des thématiques abordées avec justesse et intelligence, des personnages bien écrits et bien caractérisés (surtout avec une grande partie de manchots) et la patte George Miller qui se ressent dans les scènes d'action parfois tendues, les plans et la mise en scène ainsi que certains personnages (Lovelace le gourou en particulier). Et bien sûr les chansons et scènes de danse sont très réussies, bien présentes sans noyer le récit mais au contraire en allant parfaitement de pair. Une très bonne surprise dans le cinéma d'animation en somme !
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