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    Le Tableau volé
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    3,7
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    247 critiques spectateurs

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    NardoBordo
    NardoBordo

    12 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mai 2024
    Un bon scénario, de bons acteurs. Spoliation d'un tableau caché des années, révélation lors d'un viager. Deux milieux l'un ouvrier et simple, honnête, l'autre de requins avides d'argent. La mayonnaise prendra et révélera la sensibilité de chacun ou pas ! Les nombreux tours de passe-passe de cette histoire humaine fait du bien.
    Le barbouze
    Le barbouze

    2 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 mai 2024
    Moyen. À partir d’un beau sujet, on a droit à un film lent et décousu, sans émotion, plutôt gnangnan.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    169 abonnés 1 117 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 mai 2024
    Je ne suis pas vraiment fan du cinéma de Pascal Bonitzer mais son incursion dans le monde des commissaires-priseurs m’a plu. Parce que déjà c’est un univers peu visité dans le cinéma alors qu’il a tout ce qu’il faut pour être cinégénique. Ensuite le film se déroule à un rythme tranquille très agréable, on dirait un petit morceau de jazz qui nous donne envie de dodeliner. Enfin la distribution est parfaite avec une tendresse particulière pour deux seconds rôles celui de Louise Chevillotte enfermée dans une boucle de mythomanie éternelle et celui de Arcadi Radeff englué dans sa timidité maladive.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 319 abonnés 4 096 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2024
    Pascal Bonitzer signe une comédie sur le marché de l'art en relatant la vente d'un tableau volé par les nazis et disparu depuis soixante ans. Alex Lutz, Léa Drucker, Nora Hamzawi et Louise Chevillotte s'amusent à retranscrire des dialogues soigneusement ciselés. Toutefois, "Le Tableau volé" souffre de certaines digressions dans des intrigues secondaires qui ne contribuent que peu à l'avancement de l'histoire principale.
    MVMC
    MVMC

    1 abonné 16 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mai 2024
    Film oubliable, bien qu’il dépeigne plutôt correctement les personnages qui sillonnent le monde de l’art. Mais sinon, tout est caricatural, sommaire, classiste et bourré de placements produits dérangeant. Dommage.
    jackflash
    jackflash

    11 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mai 2024
    Des bains, des parfums, des montres et des bagnoles... rencontre improbable d'attributs de classe, qu'un tableau volé d'Egon Schiele tente de rapprocher. Paris, New-York, Mulhouse... À l'heure oû il y a autant d'ouvriers que de commissaires priseurs, les temps sont durs pour les transfuges de classe... Un film sympa de Pascal Bonitzer, bien joué par la bande des quatre, une étude de mœurs qui aurait ravi l'ami Bourdieu.
    Joce2012
    Joce2012

    198 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mai 2024
    Très bon film intéressant, scénario bien fait, très bonnes interprétations, un bon moment, à voir....
    Qlj78
    Qlj78

    16 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 mai 2024
    Mais quelle horreur, ce film ! Non seulement on s'ennuie tout du long à suivre spoiler: un commissaire-priseur sexiste qui ne cesse de rabaisser sa stagiaire comme si elle était une gamine, mais en plus la stagiaire elle-même est une mythomane ratée qui évite et dénigre sa propre famille pour arranger ses propres intérêts ! Je ne plaisante pas ! À un moment, elle va jusqu'à mentir et dire à un violeur qu'il est son père et le vrai père a dû faire un test ADN de 89 € !


    En plus de cela, le film est raciste contre les noirs avec spoiler: une cliente du début qui dit du mal de sa petite-fille juste car elle sort avec...
    C'est affreux de voir ça encore dans un film de 2024 !

    Le pire, c'est que le type qui retrouve le tableau qui a été volé décide de spoiler: garder sa même condition à la fin et continuer à bosser dans une usine toute pourrie de nuit. Déjà qu'il a des potes complètement fous et qui ne le respectent pas,
    c'est le pompon, là !

    Puis spoiler: l'ex-femme du commissaire priseur se tape la notaire du type qui a retrouvé le tableau, sans le moindre développement, on te le sort juste comme ça.


    Si ça c'est une histoire vraie, alors le monde est hélas devenu bien triste et n'importe quoi, je suis désolé. Tout est devenu tricherie, mensonges, façade dans le domaine de l'art au détriment des personnes qui s'en passionnent comme moi. Film à fuir par tous moyens !
    Pierre Phdb
    Pierre Phdb

    13 abonnés 213 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 mai 2024
    Spoliation...?

    La spoliation par les nazis des biens détenus par des personnes de confession juive durant la dernière guerre mondiale. Le synopsis du film semble évoquer que cela pourrait être un des éléments du film. La spoliation elle même est évoquée et traitée en cinq minutes pas le thème. La confrontation des héritiers avec la réapparition d'un bien disparu, la résurgence avec le passé les séquelles familiaux, pourquoi pas des conflits entre les héritiers... Encore cinq minutes pas le thème non plus. La problématique du possesseur de l'œuvre qui la détient en toute bonne foi et doit la rendre sans compensation..? Dix minutes pas vraiment traité non plus.

    Alors le sujet... Le monde des commissaires priseurs au travers une jeune stagiaire et un commissaire sénior. Là doit être le sujet principal mais c'est si mal traité et mal joué peu d'intérêt.

    Spoliation assurée pour le spectateur d'un bon film.
    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    50 abonnés 530 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 mai 2024
    Un fait divers intéressant massacré par un scénario faiblard et touffu.
    Le réalisateur disperse notre intérêt sur une kyrielle de faits secondaires, et hésite entre la description ultra caricaturale du milieu des maisons de ventes aux enchéres, et son sujet supposé principal.
    Jeu constipé du casting, qui regrette de n'avoir pas lu le scénario avant de signer.
    Brigitte Laurent
    Brigitte Laurent

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 mai 2024
    Un film trop caricatural, plat, des acteurs mal à l’aise dans leur rôle respectif .Dommage car l’histoire est belle pour le jeune mulhousien qui détenait le tableau.
    John Doe
    John Doe

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 mai 2024
    Bon jeu d’acteur d’Alex Lutz et Lea Drucker. Je m’attendais à un film dont l’intrigue reposerait sur “Le Tableau Volé”, c’est en réalité une caricature sociale dans laquelle est opposé vulgairement prolétariat et élite culturelle.
    Martin, est si vertueux qu’il en devient niais, Aurore est sans intérêt voire irritante
    Il y a trop d’intrigues inintéressantes et trop peu de focus sur LE TABLEAU et sa vente qui mériteraient bien plus de développements. Les coulisses du marché de l’art ne sont qu’abordées en surface. Trop tôt dans le film, le doute est levé sur l’authenticité du tableau et ce qu’il en adviendra.
    Paul B
    Paul B

    42 abonnés 961 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mai 2024
    Les acteurs sont tous excellents, en même temps c'est ce à quoi Léa Drucker et Alex Lutz nous avaient habitué.
    L'humour léger permet de rendre plus regardable ce sujet très grave et le tout s'avère finalement assez moral.

    En un mot le film est réussi.
    cortomanu
    cortomanu

    72 abonnés 414 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2024
    L'intrigue principale sur le milieu des ventes aux enchères et les intrigues secondaires autour des histoires de chaque protagonistes s'assemblent et fonctionnent bien. Ce qui rend le film très plaisant à découvrir, avec son lot de surprises qui se dévoilent petit à petit. Le casting en finesse fait le reste et permet de passer un bon moment devant ce tableau volé.
    Chris58640
    Chris58640

    203 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mai 2024
    Le film de Pascal Bonitzer ne respire pas la modernité dans la forme, c’est sur. Il suffit de voir la bande annonce, l’affiche ou même le titre, tout est simple, académique, presque un peu daté. S’il a la bonne idée d’être court (1h30) et plutôt sans temps morts, on est quand même devant un film sans aucune aspérité. Pas de bande originale notable, pas de montage audacieux, d’effets de caméra originaux. Pascal Bonitzer efface totalement son travail derrière son sujet, et après tout pourquoi pas. Il y a parfois des réalisateurs qui « se regardent filmer », alors pourquoi pas un peu de simplicité et de modestie. C’est un peu pareil pour le casting, emmené par un Axel Lutz assez convainquant. De prime abord détestable, imbu de sa personne et cassant, spoiler: il finit par s’adoucir au fil des scènes
    . Et je trouve qu’il est finalement assez crédible dans ce rôle de commissaire priseur. A ses côtés, on trouve Léa Drucker, qui me parait un tout petit peu sous-employée, et Nora Hamzaoui. Cette dernière, qui fait le trait d’union entre deux mondes, est assez fantasque pour susciter la sympathie tout en restant crédible. Et puis il y a Arcadi Radeff, dans le rôle du jeune Martin, écrasé et terrifié par ce tableau accroché aux murs dont il a hérité et qui découvre, effrayé, ses origines, et aussi le pouvoir destructeurs de l’argent colossal qu’il représente. Il aurait peut-être pu être écrit un peu autrement ce rôle. Non pas que son honnêteté paraissent peu crédible, pas du tout. Mais on regrette un peu qu’e le personnage le plus honnête du lot ne soit pas assez mis en valeur, tout bonnement. Le personnage le plus étrange reste la stagiaire Aurore, incarnée par Louise Chevillote. spoiler: Menteuse pathologique, cette jeune femme semble prendre une place démesurée dans le film. On comprend mal, même une fois le film terminé, pourquoi le scénario a pris autant de temps sur elle, ses états d’âmes, ses problèmes familiaux. C’est comme une histoire dans l’histoire qui prendrait un peu trop de place.
    Le scénario est basé que le choc de deux mondes qui n’ont d’habitude aucune raison de se côtoyer. D’un côté, le monde les marchants d’arts, des ventes aux enchères, des millions, des rémunérations au pourcentage et des droits de succession. De l’autre côté, le monde ouvrier, des gens qui sont amis, jouent aux cartes, jouent aux jeux de la Française des Jeux, et grattent du Francis Cabrel sur leur guitare. La rencontre entre ces deux mondes, dont l’un est présenté comme le négatif de l’autre, est un choc pour le pauvre Martin. Lui est honnête, aime sa mère et ses amis, aime sa vie et son travail et il se retrouve propriétaire d’un tableau volé par les nazis, spoiler: qui vaut 10 à 12 millions d’euros
    et qui vient faire entrer dans sa vie l’argent, mais aussi la convoitise, le double jeu, la trahison et les magouilles. Ce désarroi qui est le sien, et qui parfaitement compréhensible ,il est assez bien rendu je trouve, par exemple spoiler: dans le fait qu’il laisse croire à ses amis qu’il est estimé à 12 000 € et non à 12 millions, pour espérer mieux gérer la situation.
    De l’autre côté, le monde des marchants d’arts est montré sans aucune complaisance. C’est objectivement un monde que 99% d’entre-nous ne connaissent pas, et qui une fois le film terminé, n’a pas été présenté sous un jour très favorable. Entre les deux, il y a le personnage de Maitre Egerman, commissaire priseur mais dans la région de Mulhouse, elle a la fraicheur de la province, sa spontanéité, et en même temps c’est elle qui fait ce qu’il faut pour que Martin ne soit pas oublié au passage. Vrai trait d’union entre les deux mondes, trait d’union indispensable pour les deux partis, je me demande si son rôle n’est pas au final plus important que celui de Léa Drucker. « Le Tableau Volé », film sans prétention mais soigné et instructif, vaut essentiellement pour le coup de projecteur sur un monde presque inconnu, mais aussi pour la mise en avant de l’honnêteté. Par le personnage de Martin, c’est toute l’honnêteté des gens simples qui est mise à l’honneur. D’aucun pourrait trouver cela naïf, moi je trouve cela assez rafraichissant.
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