Beau jeu d'acteurs, sujets intéressants, on suit les protagonistes dans leurs péripéties respectives. Mention spéciale à spoiler: l'histoire privée d'Aurore qui n'est en rien superflu dans le fil cinématographique sur lequel nous entraîne le réalisateur.
Un film passionnant par son intrigue dans le monde de l’art servis par d’excellents comédiens et des dialogues très justes, on s’y croirait. Un tableau ayant appartenu à un ancien collabo de manière illégitime qui refait surface et pour lequel il va falloir trouver une issue, pour ses légitimes propriétaires, pour actuel détenteur, pour la société qui veut le vendre Si on creuse, on se rend compte de quelques incohérences dans la construction du film mais on reste sur une histoire palpitante. À voir
Le film se perd dans des intrigues secondaires, confuses en particulier celle axée sur la stagiaire au comportement abscons. Il dépeint sans doute assez bien le monde de l’art et des maisons de vente aux enchères mais peine à nous intéresser à ces personnages qui manquent de profondeur. Alex Lutz est remarquable les autres un peu moins. Bref, un film honorable mais vite oublié.
Un bon moment passé pour ce film bien ficelé, porté par l'excellent Alex Lutz tout à fait dans le rôle du commissaire priseur, et Léa Drucker son ex épouse collègue et Nora Hamzawi.... Histoire très vraisemblable qui montre les coulisses des milieux des marchands d'art ! Bien vu :)
Excellent film Très bien écrit et realisé Ce milieu de requins de la finance est effrayant et on s'y sent mal à l'aise, en opposition au milieu ouvrier, où je ne le sens pas mieux.... L'intrigue est très intéressante, les acteurs sont bien dans leur rôle. Le tableau est magnifique J'adore Léa Drucker et Alex de Luz à contre emploi . On ne s'ennuie pas une minute, de surprise en surprise. Très distrayant
Dans ce film, ce qui m'a le plus plu, ce sont les caractères des personnages qui varie beaucoup.
L'histoire, quant à elle, a sa part d'originalité mais ne va pas plus loin que ça. Il aurait été plus intéressant de créer plus de tensions et de conflit sur l'histoire du tableau pour faire un super film.
Le rythme est un lent et certains personnages ne servent à rien à part créer un monde autour de l'histoire plus grand.
Comme d'habitude ou presque, Pascal Bonitzer nous offre une bon téléfilm. Un casting bien fait, une intrigue rassurante et deux trois poncifs de nature à conforter le téléspectateur dans ses a priori. Si vous avez un abonnement et que vous passez devant le cinéma, pourquoi pas ? Sinon attendez qu'il passe à la télé, vous ne verrez pas la différence avec les téléfilms de France 3.
Très intéressant film de Pascal Bonitzer dont le canevas de cette rocambolesque histoire vrai s'étant déroulée à Mulhouse lui a servi pour réaliser sa fiction dans laquelle , une fois de plus , Alex Lutz fait étalage de tout son talent ! Le reste du casting étant à l'unisson !
Même imaginaire, on se laisse prendre par cette histoire avec des personnages au caractère bien trempé et un jeune homme d'une grande honnêteté qui contraste avec les sombres dessous du monde de l'art.
Suis allé voir ce film sans a priori (n'avais rien lu à son propos). Bonne pioche ! l'histoire m'a porté jusqu'à la fin. J'imagine que, partant d'un fait divers réel, P. Bonitzer a quelque peu donné libre cours à son imagination pour ancrer sa narration sur le microcosme du monde de l'art. Il a ainsi donné de belles partitions à ses acteurs, qui les ont saisies, Alex Lutz et Léa Drucker en tête. J'ai quand même une réserve à propos du personnage d'Aurore (l'assistante d'André Masson / Alex Lutz) dont le comportement est fantasque et les réactions peu cohérentes (faute peut-être au scénario qui ne nous permet pas de bien cerner la psychologie du personnage). Prestation intéressante et sensible du jeune Arcadi (le jeune prolo "découvreur" du tableau d'Egon Schiele, qui fait le choix de ne pas changer de vie, assumant sa condition sociale).Très bon moment de cinéma.
Il y a quelque chose de bancal dans le scénario qui laisse un goût d’inachevé. Le monde de l’art est bien décrit et cette histoire de tableau volé qui ressurgit 50 ans après est assez bien exploitée malgré des invraisemblances. La juxtaposition de deux milieux opposés, le monde très riche des grandes maisons de vente aux enchères, et le prolétariat alsacien, n’apporte pas finalement une vraie substance scénaristique. Mais le le film conserve un bon rythme et on reste suspendu. Axel Lutz fait un commissaire priseur potable, Léa Drucker assure sans plus. Louise Chevillotte a de l’avenir dans les rôles de garce.