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    Pas de vagues
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    saxoman
    saxoman

    16 abonnés 175 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 mars 2024
    Pourquoi ce film sonne aussi juste ? Parce que le réalisateur Teddy Lussi-Modeste a vécu une mésaventure similaire quand il était professeur de collège. Alors le film montre à la perfection combien les professeurs sont en permanence en équilibre sur une corde raide face à l'agressivité de certains élèves, le manque de solidarité de l'administration dont des directeurs ou principaux de collège qui ne veulent surtout pas de vagues car cela est mauvais pour leur carrière ! Quant au rectorat, il regarde ailleurs car le recteur non plus ne veut pas de vague. Donc tout y est, jusqu'à ce foutu logiciel de vie scolaire Pronote que le professeur traine comme un fil à la patte face à des parents d'élèves intrusifs. François Civil est formidable dans le rôle de Julien alors que je me demandais s'il arriverait à me faire oublier D'Artagnan. L'interprétation des jeunes ados est aussi épatante, notamment le rôle de la timide Leslie par qui tout le scandale arrive. Un film à voir absolument, ne serait-ce que pour comprendre la difficulté du métier d'enseigner dans la France d'aujourd'hui.
    islander29
    islander29

    876 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mars 2024
    Franchement un film qui fait froid dans le dos, j'espère que les spectateurs comprendront ce qu'est devenu l'enseignement, j'ai moi même été harcelé? MAIS la direction soutenait les élèves, vous imaginez l'impasse .....le film dresse un portrait plus qu'alarmant de l'enseignement en bassin parisien, un portrait apocalyptique...J'en ai encore des frissons en écrivant ce commentaire. Mais revenons au film, François Civil porte le film ^par sa sensibilité, les élèves vraisemblables, forcent toujours l'arrogance et la blague pour désarçonner le professeur, le dernier plan séquence du film en dit long....Car les élèves passent en force, imposent leur volonté , consciemment, ils se jouent de l'autorité....Bref il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark ( l'éducation nationale)...Finalement le film est une claque salutaire, pour changer les choses, quand on voit que même la police, le proviseur mets des bâtons dans les roues à ce jeune professeur....Quand un fiacre a besoin de chevaux pour avancer, on soigne ces chevaux...Il va falloir le comprendre tôt ou tard...Un film que je conseille évidemment...Vous allez prendre un coup de poing dans l'estomac??L'école a bien changé en quelques années
    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 878 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mars 2024
    Pour écrire Pas de vagues, Teddy Lussi-Modeste s'est inspiré de sa propre expérience d'enseignant, accompagné par Audrey Diwan qui lui a sans doute apporté le recul nécessaire pour que son vécu devienne une fiction réaliste. L'histoire, celle d'un problème de classe dans un collège "difficile", est vue presque uniquement à travers le prisme d'un professeur aux prises avec une accusation injuste devenue une spirale agressive et inextricable. Le sujet, dans l'air du temps, est plus qu'intéressant et même si la mise en scène manque d'éclat, loin de celle de La salle des profs, au sujet voisin, la violence des réactions et des échanges maintient une tension continuelle qui ne s'évacue pas avec la scène finale, saisissante. C'est l'occasion d'évoquer le sacerdoce du métier de professeur, encore plus éprouvant pour un idéaliste dont chaque maladresse est exploitée, ou encore la lâcheté d'une administration soumise à la pression d'un vivre ensemble de plus en plus semé d'embûches, entre enseignants, élèves et parents, d'autant plus si le contexte social s'avère explosif. Pas de vagues expose un cas d'école de manière directe, laissant flotter pas mal d’ambiguïtés sur les comportements de ses différents protagonistes. François Civil régénère son image de beau gosse avec ce rôle complexe et s'accorde bien avec une interprétation globalement satisfaisante qui fait en partie oublier le manque d'ambition de la réalisation.
    Kat's eyes
    Kat's eyes

    33 abonnés 358 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2024
    François Civil est brillant dans ce nouveau registre. Il incarne son personnage avec sincérité et conviction et on ne peut que ressentir de l'empathie à son égard. Il ajoute avec ce rôle une nouvelle corde à son arc. Après L'école est à nous et Les têtes givrées, sans doute un peu rêveurs, et Un métier sérieux, un peu trop clinique, Pas de vague aborde le milieu scolaire sous l'angle psychologique. Le résultat est édifiant et pour tout dire assez impressionnant, tant tout l'écosystème paraît démissionnaire, face à ce jeune professeur idéaliste, injustement mis en cause. Si le personnage principal est touchant par la sincérité de sa motivation à être ce professeur qui changera la vie de ses élèves, il n'est pas sûr que son histoire assez tragique fasse naître de nouvelles vocations d'enseignant.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    780 abonnés 1 531 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mars 2024
    Malgré quelques défauts, ce film dramatique tiré de l'histoire réellement vécue par le réalisateur Teddy Lussi-Modeste m'a véritablement secoué et halluciné !
    Comment ce professeur investi, dévoué, créatif et tentant d'aider ses élèves en difficulté avec les meilleurs intentions du monde, peut-il se retrouver dans une telle situation dramatique en étant accusé de harcèlement ??
    Cette oeuvre égratigne une école semblant totalement perdue et dépassée face à la perte générale d'autorité et de repères de notre société, elle n'oublie pas de dénoncer au passage l'immobilisme choquant des différentes instances dirigeantes de notre institution éducative !
    Un film coup de poing sur les dérives autoritaires et procédurières de notre monde actuel, porté par un François Civil encore une fois excellent.
    Une claque qui pique les tripes et qui agace l'âme !
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Timoté L.
    Timoté L.

    56 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mars 2024
    François Civil est exceptionnel dans son rôle, il le joue à la perfection c'est impressionnant ! Le sujet du film est si actuel et véridique, il en fait aussi peur qu'en vrai, du grand cinéma 👏
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    69 abonnés 781 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2024
    "LES RISQUES DU METIER" 60 ans plus tard, en plus ethniques, plus rapides, merci les réseaux sociaux, voilà une histoire vraie qui prend aux tripes, et dépend une institution scolaire qui peut vite se trouver dépasser. Sans une force collective au sein d'une équipe unie et solide, l'idéaliste jeune professeur a perdu d'avance la partie.
    Francois Civil, qui joue le prof Julien, est sympa, beau gosse, et aussi maladroit, comme l'instit de LA CHASSE (Mads Mikkelsen chez Vinterberg).
    spoiler: Un cours instant, on se dit, encore un scénario avec deux hommes homos
    , en fait, cette réalité devient heureusement secondaire, et participe à la montée en puissance de l'embrouille.
    Un film qui prend aux tripes parce que, la violence et la mauvaise foi, sont latentes, arrêtés par les grilles du collège, mais pour combien de temps.
    Est-ce cela le progrès? La liberté d'expression?
    Le film de Lussi-Modeste est un tsunami, et ne se contente pas de gentilles vaguelettes.
    cinéma - mars 2024
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 516 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mars 2024
    Julien (François Civil) est un jeune et enthousiaste professeur de français. Dans le collège de banlieue où il est affecté, il essaie de transmettre sa passion à ses élèves, pas toujours faciles. Mais un beau jour, Leslie, une élève taiseuse, écrit une lettre à la CPE : elle reproche à son professeur de lui avoir fait des avances. Bientôt une plainte est déposée à la police. Très vite, Julien se retrouve seul face à ces accusations infondées : face au frère aîné de Leslie, un voyou psychopathe qui le menace de mort, face à la police qui refuse d’enregistrer sa propre plainte, face aux autres parents d’élèves parmi lesquels la suspicion monte, face à ses collègues qui, après lui avoir spontanément manifesté son soutien, remettent en cause ses méthodes pédagogiques transgressives, face à son directeur enfin qui rechigne à lui accorder la protection fonctionnelle qui lui permettrait de payer un avocat pour sa défense…

    La salle de classe est devenu le lieu où se cristallisent bon nombre de tensions qui traversent nos sociétés. Les questions de laïcité, de masculinité, d’autorité sont plus brûlantes qu’ailleurs dans ce lieu où est censée régner l’égalité républicaine et où chaque parent nourrit l’espoir légitime que son enfant trouvera l’éducation qui lui permettra de trouver sa place dans le monde.

    Le cinéma a toujours été un miroir tendu à notre société. Il le montre en multipliant ces jours-ci les films sur l’école : l’excellent film allemand "La Salle des profs", que je recommande chaudement, le hongrois "L’Affaire Abel Trem", sorti le même jour que "Pas de vagues", et que j’irai voir ce week-end, en attendant le belge "Un esprit libre" programmé le 17 avril.

    Pas de vagues est un film d’une brûlante actualité. Il résonne avec le mouvement #MeToo. Il en est d’ailleurs devenu, à son corps défendant, une cible : l’annonce de sa sortie a suscité ses critiques, le reproche étant fait à son scénario de minorer la voix de la jeune victime qui dépose plainte contre son professeur. Il résonne aussi avec l’inquiétude grandissante dans le corps enseignant d’être désormais la cible d’une violence aveugle : les assassinats de Samuel Paty en 2020 et de Dominique Bernard en 2023 l’ont dramatiquement montré. Pas plus tard que cette semaine, un fait divers fait la une de la presse et provoque même une sortie du Premier ministre au 20 heures mercredi dernier : le proviseur du lycée Maurice-Ravel à Paris, menacé de mort sur les réseaux sociaux pour avoir demandé à une élève de retirer son voile, qui avait déposé une plainte vite classée sans suite mais montée en épingle, a préféré démissionner de ses fonctions.

    C’est cet étouffant engrenage que raconte non sans efficacité "Pas de vagues". Des faits anodins sont grossis pour transformer un jeune professeur plein de zèle en suspect sinon en coupable. Chaque tentative qu’il entreprend pour s’innocenter l’enfonce un peu plus. Les appuis sur lesquels il espérait pouvoir compter lui font défaut l’un après l’autre.

    On ne saurait reprocher au film un quelconque manichéisme. Julien, interprété avec la fougue toute mousquetairienne qu’on lui connaît et le charme de Julien Civil, a eu le tort de vouloir travailler « hors du cadre ». La jeune Leslie quant à elle n’est pas une mythomane. Même si elle s’est trompée sur l’attitude de son professeur, sa parole doit être entendue.

    Plutôt que son manichéisme, c’est par sa prévisibilité que "Pas de vagues" pèche. Ce film se réduit à un seul argument : un enseignant, lâché par sa hiérarchie, se bat sans succès contre l’accusation infondée d’une de ses élèves. Dès le pitch, dès la bande-annonce, tout est écrit. Et tout se déroulera sans surprise jusqu’à un dénouement frustrant qui nous laissera sur notre faim/fin. La Salle des profs précité était autrement plus riche grâce à toutes les bifurcations inattendues qu’il savait ménager.
    tisma
    tisma

    298 abonnés 2 016 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mars 2024
    Un film intéressant car très vrai et très concret, on suit le personnage bien incarné par François Civil dans une histoire tendue qui va nous dépasser. Les relations entre chaque personnage sont bien écrites et les détails sont importants, tout est bien pensé et tout permet de s'associer facilement au personnage et de se faire emporter comme lui par la vague.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    187 abonnés 2 274 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 mars 2024
    Il est très rare que j’écrive une critique aussi vite après avoir vu un film mais si je peux aider, modestement par cet écrit, à ce que le film soit davantage vu, autant apporter ma pierre à l’édifice. Au contraire de « Une Vie », la bande-annonce n’en dévoile pas trop sur ce thriller, car cela en est un, quitte à faire passer le film pour ce qu’il n’est pas. Car, au contraire de « Un métier sérieux », la vision des professeurs est, ici, tout sauf manichéenne : tous les collègues du jeune prof de français reflètent bien l’étendue de la palette de la population française avec ses travers et ses idées préconçues. Comme « La salle des profs » (Das Lehrerzimmer) sorti en France au début du même mois, « Pas de vagues » dépeint bien le milieu scolaire et la solitude du professeur face aux difficultés et ce à tous les niveaux, des collègues à l’administration, en passant par la hiérarchie et, bien sûr, les moments en classe, seul face aux élèves. Ce film, très rythmé et au scénario remarquablement bien construit, devrait servir de matériau aux professeurs, justement, pour faire grandir les élèves, « leurs grands frères » et leurs parents. François Civil, comme d’habitude, est parfait dans le rôle et tient le film sur ses frêles épaules.
    Wienna
    Wienna

    92 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mars 2024
    Un drame efficacement éprouvant, porté par la pression d’une lutte infernale pour obtenir la vérité et où François Civil est autant mis à l’épreuve que son personnage, et où l’acteur s’en sort glorieusement bien. Un bémol reste à noter cependant, sur la fin qui demeure floue et peu conclusive
    velocio
    velocio

    1 321 abonnés 3 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 mars 2024
    L'expression "Pas de vagues", on l'entend au bout de 30 minutes dans le film : il se passe des "choses" dans le collège Paul Eluard, dans la banlieue parisienne, et il n'est pas question pour le principal que cela s'ébruite. C'est quoi, ces "choses" ? Tout simplement, Julien, un jeune professeur qui est accusé de harcèlement par une élève et que le frère de la dite élève menace de mort tout en venant régulièrement les attendre, sa sœur et Julien, à la sortie du collège. C'est dans sa propre histoire d'ancien prof que Teddy Lussi-Modeste est allé chercher la matière de son 3ème long métrage en tant que réalisateur. Son film va chercher à nous montrer l'évolution de la perception de l'affaire chez les différents protagonistes : le prof lui-même, un prof inexpérimenté, sans doute un peu naïf, mais totalement innocent de ce dont on l'accuse, sa hiérarchie, les collègues, le compagnon de Julien, les amis de Julien, les élèves, les parents d'élèves. On doit reconnaître que si la première moitié du film, celle qui présente l'affaire, est parfaitement maîtrisée, il n'en est pas tout à fait de même pour la 2ème moitié qui "gère" les nombreuses évolutions évoquées plus haut et qui a un peu trop souvent tendance à s'éparpiller et à trop insister sur l'homosexualité de Julien. Il n'en reste pas moins que le film est globalement intéressant dans le contexte actuel du système scolaire et que François Civil est absolument remarquable dans le rôle de Julien. On ajoutera la découverte, pour moi, de Agnès Hurstel dans le rôle de Laura et la confirmation des qualités de Mallory Wanecque ("Les pires", "Comme un prince").
    Cinévore24
    Cinévore24

    349 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 avril 2024
    3e long-métrage du réalisateur Teddy Lussi-Modeste (Jimmy Rivière, Le Prix du succès), s'inspirant ici d'un propre épisode de son parcours d'enseignant, ce nouveau film sur les dysfonctionnements du système scolaire fait écho au très récent (et très réussi) film allemand «La Salle des Profs».

    Répétant le schéma du jeune professeur de collège voulant bien faire et se retrouvant, suite à un quiproquo (ici une remarque maladroite faite à l'une de ses élèves), peu à peu abandonné par sa hiérarchie et ses propres collègues, ce «Pas de Vagues» est une illustration plutôt réussie d'une institution qui s'est fragilisée, en particulier ces dernières années.

    Représentative d'une époque où il faut marcher sur des œufs et faire attention à certains sujets qu'on aborde dans sa salle de classe pour ne pas heurter tel ou tel élève et ne pas créer de remous au sein de l'établissement, cette œuvre met notamment en images le poids des mots et des on-dit, où tout semble sujet à (sur-)interprétation (répété, déformé et amplifié), et aux conséquences disproportionnées que ceux-ci peuvent entraîner, pour le prof comme pour certain.e.s de ses élèves.
    Et surtout dresse le constat d'une rupture entre le corps professoral et le rectorat, qui est aujourd'hui bien plus frileux à l'idée de soutenir un enseignant, et préfère laisser couler (parce qu'il a peur des potentielles retombées au sein de son établissement, ou parce qu'il s'en lave les mains tout simplement).

    Un sujet plus qu'intéressant et actuel, mais dont l'exécution à l'intérieur de ce film me paraît un peu fragile.

    Accompagné d'une réalisation très classique, le scénario, co-écrit avec Audrey Diwan (Bac Nord, L’Événement, L'Amour et les Forêts) et se focalisant sur le point de vue du professeur de lettres accusé à tort et qui ne va pas se laisser faire (incarné avec conviction par le talentueux François Civil), alterne scènes de classe et scènes extérieures (couple, quotidien).
    Si ces dernières restent assez plan-plan et n'apportent pas grand-chose à l'histoire, les séquences se situant à l'intérieur du cadre scolaire interrogent le problème d'une communication instable, entre profs et élèves, mais également entre profs eux-mêmes, chacun campant sur ses propres positions (tant qu'il estime que cela va dans le bon sens, pour lui ou pour le groupe) et disant sa "vérité" sans forcément écouter l'autre.

    Récit d'un engrenage dû à cette rupture de communication, le film soulève des questions pertinentes, démontrant que l'on préfère aujourd'hui favoriser le silence à l'échange (empêchant de mettre des mots sur ce qui ne va pas, pour essayer d'éclaircir le problème et tenter d'y remédier), alors que nous nous trouvons dans le temple de la transmission.
    Dommage que la narration soit un peu artificielle et convenue par moments, avec des phrases qui sonnent parfois faux et certains personnages secondaires trop uniformes (comme le grand frère de l'élève "harcelée").

    Un sujet important pour un film pas entièrement abouti.

    Révélateur d'un problème sociétal qui semble a priori sans issue, à l'image de cette conclusion (?) abrupte et presque onirique, le film reste évidemment à découvrir, rien que pour pouvoir se faire son propre avis et échanger dessus justement. 6,5/10.
    Barroul
    Barroul

    11 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2024
    Vu en avant première à Bordeaux ce soir en présence du réalisateur et de François Civil merci à eux pour leur empathie j’ai passé un moment incroyable
    Caro Cinéma
    Caro Cinéma

    37 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mars 2024
    Un drame juste, stressant où la tension et le malaise s'installent peu à peu... François Civil avec son jeu tout en retenue met en valeur l'atmosphère oppressante. Le scénario est inspiré par la propre expérience du réalisateur.
    Les meilleurs films de tous les temps
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