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    The Old Oak
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    Aston L
    Aston L

    32 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 octobre 2023
    Un immense Ken Loach!
    Un hymne à la solidarité et au vivre ensemble, un film bouleversant et plein d'espoir
    Thomas S
    Thomas S

    17 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 octobre 2023
    Du grand Ken Loach qui vient, tout en maitrise, nous délivrer un message plein d'humanisme et de bienveillance. Plus que jamais, nous en avons bien besoin !
    Fixx
    Fixx

    7 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 octobre 2023
    Une fois de plus, Ken Loach réussit une comédie sociale touchante là où les réalisateurs Français échouent systématiquement quand ils se lancent dans ce genre de films. Ici, et comme souvent avec Ken Loach, il est question d'humanité, de solidarité, d'entraide, entre des populations malmenées (les habitants d'une ancienne cité minière du nord-est de l'Angleterre d'un côté, des réfugiés Syriens de l'autre). Les films de Ken Loach sont utiles et nécessaires et ils mériteraient d'être vus par tous, et pas seulement par une poignée de fidèles du réalisateur. Celui-ci ne déroge pas à la règle. C'est une nouvelle réussite qui donne envie de dire "Merci monsieur Loach" !
    patrick s
    patrick s

    8 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2023
    Ils assurent les vieux. Après Bellocchio et son enlèvement, Schroeder et son Riccardo, voici Loach et son vieux chêne.

    Une fois de plus Loach nous livre un film sur les petites "gens" ceux qui sont malmenés par la vie.

    Le film oscille entre moments graves et sourires.

    Loach croit encore en l'homme et ça fait chaud au cœur.
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    339 abonnés 640 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juillet 2023
    Les films sont des trésors, ceux de Ken Loach ont cette qualité supplémentaire, c'est de vous rendre meilleur à la sortie de la séance.

    A 86 ans, le réalisateur britannique poursuit son récit des grandes mutations sociales de son temps subies par les plus faibles. Pour son ultime opus, il filme un village du nord de l’Angleterre secoué par l’arrivée de réfugiés syriens.

    Ce film, présenté en Compétition au Festival de Cannes 2023 et qui sort le 25 octobre 2023 nous raconte la rencontre improbable entre TJ Ballantyne, propriétaire du "Old Oak", un pub qui rassemble cette communauté ouvrière durement touchée par la fermeture de sa mine. L'arrivée de migrants syriens va lui faire rencontrer une jeune Syrienne, Yara, qui possède un appareil photo. Une amitié va naître entre eux...

    On peut reprocher au cinéma de Ken Loach de s'être adouci avec le temps mais il reste un sacré bon raconteur d'histoire et à la encore il nous cueille au fond de notre siège.

    A noter de superbes premiers rôlee (le patron de pub aurait pu prétendre à une palme) et une fin douce amère comme l'affectionne le réalisateur.

    Un trésor oui mais à partager.
    velocio
    velocio

    1 299 abonnés 3 132 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 octobre 2023
    Dans le nord-est de l’Angleterre, le comté de Durham dont la superficie est égale à la moitié d’un département français moyen, a compté jusqu’à 160 000 personnes travaillant dans le secteur des mines de charbon. Cette période est révolue, mais son souvenir pèse toujours sur les esprits, avec de nombreux habitants qui ont toujours en mémoire les grèves menées de mars 1984 à mars 1985 contre la politique de fermeture des mines de charbon menée par le gouvernement de Margaret Thatcher. C’est devant The Old Oak, le pub emblématique d’un village de la région, qu’on retrouve Tommy Joe Ballantyne, son propriétaire. Même si beaucoup de choses ont petit à petit changé dans le fonctionnement des pubs (il y a plusieurs dizaines d’années, de nombreux pubs refusaient de servir de la bière aux femmes !), même si les pubs urbains ne ressemblent pas aux pubs des villages anglais ou à ceux totalement isolés en pleine campagne, les pubs sont toujours des lieux de rencontres et de conversations : on y parle de football, de politique, de sa vie familiale, etc. C’est exactement ce qui se passe depuis des années, dans une ambiance conviviale, dans le pub de TJ Ballantyne. Jusqu’au jour où la guerre en Syrie va changer la donne. En effet, du fait de la désindustrialisation, le prix des logements est très bas dans la région, ce qui va avoir comme conséquence l’arrivée dans les villages de familles syriennes ayant fui la guerre. Une situation qui va couper en deux la population du village qui abrite The Old Oak. Il y a celles et ceux qui compatissent au sort de ces réfugiés et qui, ayant directement vécu cette difficile période des grèves de 1984 et 1985 ou la connaissant au travers des récits de leurs parents, se souviennent de l’importance de l’entraide et il y a celles et ceux qui, minés par le désespoir et convaincus qu’ils ont été abandonnés à leur triste sort par leur pays, ne voient aucune raison de venir en aide à une population exogène. De sympathique lieu de rencontre entre les habitants du village, The Old Oak va devenir lieu de conflit, d’autant plus lorsque TJ, qui s’est lié d’amitié avec Yara, une jeune syrienne passionnée de photographie, va transformer avec elle une partie de son pub en une « cantine » solidaire permettant de réunir autour d’une même table réfugiés syriens et habitants du village. TJ et Yara en sont persuadés : « quand on mange ensemble, on se sert les coudes » ! Critique complète sur https://www.critique-film.fr/critique-the-old-oak/
    norman06
    norman06

    345 abonnés 1 663 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2024
    Encore un sommet du cinéma de Ken Loach, qui n'en finit pas de nous surprendre, tout en restant fidèle à son univers. L'humour des années 90 s'est semble-t-il définitivement estompé au profit d'un caractère assumé de cinéma social à connotation mélodramatique, dans le meilleur sens du terme. L'humanisme de sa démarche, la limpidité de son scénario et la sobriété de la mise en scène font du film un modèle du genre.
    jean l.
    jean l.

    158 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 octobre 2023
    Ken Loach et Paul Laverty réussissent une fois de plus un chef d’œuvre d’ humour et d’humanité , indispensable dans les temps présents
    Ameline Grout
    Ameline Grout

    30 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 octobre 2023
    L'un de mes coups de cœur Cannois.
    Ce film est d'une émotion sans fin, il est pur et délicat. Les interprétations sont transcendantes et divines. Ce film m'a fait verser un nombre incalculable de larmes.
    Moca
    Moca

    7 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 octobre 2023
    Un film touchant, délicat, à voir sans hésitation.
    Ken Loach réalise encore une fois un long métrage très réussi.
    Jipéhel
    Jipéhel

    30 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 octobre 2023
    La force d’espérer.

    Voilà des années qu’on nous annonce « c’est le dernier Ken Loach ». Je ne sais pas si ces 113 minutes sont effectivement les dernières réalisées par le génial britannique – souvenez-vous, Moi Daniel Blake, Jimmy’s hall, La part des anges, Route Irish, Le Vent se lève, Break and roses… parmi tant d’autres chefs d’œuvre -, mais toujours est-il que ce jeune homme de 87 ans a encore de quoi enchanter son public. TJ Ballantyne est le propriétaire du "Old Oak", un pub situé dans une petite bourgade du nord de l’Angleterre. Il y sert quotidiennement les mêmes habitués désœuvrés pour qui l’endroit est devenu le dernier lieu où se retrouver. L’arrivée de réfugiés syriens va créer des tensions dans le village. TJ va cependant se lier d’amitié avec Yara, une jeune migrante passionnée par la photographie. Ensemble, ils vont tenter de redonner vie à la communauté locale en développant une cantine pour les plus démunis, quelles que soient leurs origines. Primé quatre fois à Cannes et trois fois aux César, l’immense cinéaste britannique revient donc avec son un regard d’une maturité inégalée sur le monde moderne et ses soucis. Sans doute le film le plus bouleversant et le plus juste de cette année 2023.
    Mon témoignage sera simple. Lorsque l’écran s’est éteint, j’avais le cœur gros et la larme à l’œil. Je me suis levé et j’ai regardé les membres du public. Tous avaient les yeux embués, terrassés par l’émotion provoquée par ce film admirable et mais aussi la joie d’avoir vu un aussi beau film, d’avoir partagé quelques instants – somme toute trop courts -, ce cri de colère et d’humanité. Oui, tous les personnages du film ont tout perdu, ou presque, et trouvent encore et toujours la force d’espérer. Bien que Loach met en scène ce que notre société compte de pire et de meilleur, il évite tout manichéisme, tout simplisme, ce qui nuirait totalement à son message. Après avoir pris à bras le corps les conditions de vie des ouvriers, l’avortement, l’addiction, le traitement des personnes en situation de handicap, la grande détresse sociale, il nous parle avec une rare sincérité à la fois de l’accueil réservé aux réfugiés en Angleterre, notamment dans les milieux ruraux et du sentiment d’abandon dont peuvent justement souffrir les habitants de ces milieux, en comparaison avec ceux des grandes villes. Ce faisant, le cinéaste prend garde à ce que chaque point de vue comporte une part de vérité. Un chant d’espérance orchestré magistralement par un des plus grands cinéastes de notre époque.
    Loach, le magicien, a aussi un pouvoir exceptionnel, celui de découvrir des acteurs et actrices formidables. Dave Turner n’avait tenu jusque là qu’un petit rôle dans Sorry, we missed you – le précédent Ken Loach – et son talent, sa présence, sa justesse éclatent au grand jour au côté d’une débutante, Ebla Mari, bouleversante. Ajoutons à ce haut d’affiche Claire Rodgerson et Trevor Fox. Mais tous les seconds rôles syriens comme anglais sont absolument parfaits. Ne ratez sous aucun prétexte ce film qui remet sans cesse les hommes debout. Et rassurez-vous, le « vieux chêne » est plus vert qu’on ne le dit puisque la rumeur annonce un nouveau film, Harvest, avec Caleb Landry Jones pour l’année à venir… A suivre !
    Matthieu B.
    Matthieu B.

    12 abonnés 151 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 octobre 2023
    Film visionné au cinéma.

    Nous sommes plongés dans un trou perdu du Royaume-Uni, peuplé en grande majorité par d'anciens miniers. L'idée est de représenter cette population, fracturée et déclassée par rapport à ses ancêtres pourtant déjà largement malmenés par Thatcher à l'époque. Ce déclin en 30 ans a plongé cette population dans l'amertume (et l'alcool), la colère (dirigé en partie sous forme de racisme) ou l'abandon. Et l'arrivée de migrants s'annonce donc virevoltante.

    Cette idée est géniale. Sur le plan politique (montée des extrêmes), sur le plan sociologique (déclassement de la population), sur le plan humaniste (migration des populations) nous avons les bases pour construire une merveille.

    Malheureusement, The Old Oak (Le vieux chêne) ne sera pas ce genre de film. Enchaînant les raccourcis, on se retrouve vite avec un sujet traité de manière caricatural jusqu'à la fin, où la naïveté reprend le dessus. Dommage, l'idée et les acteurs étaient excellents.
    Bernard D.
    Bernard D.

    111 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 octobre 2023
    « The old oak » (2023) est paraît-il le dernier film que tournera Ken Loach, maintenant âgé de 87 ans !
    Nous sommes en 2016 dans un bourg du nord-est de l’Angleterre près de Durham, tombé dans la misère sociale après la fermeture de la mine de charbon et où arrivent quelques familles de réfugiés syriens. Dans son pub – The old oak – décrépi et au bord de la faillite, Tommy Joe Ballantyne (Dave Turner) – ancien arbitre de football - entend les récriminations racistes. Mais Yara (Ebla Mari), une jeune syrienne qui a appris l’anglais auprès des infirmières des camps de réfugiés et qui est photographe comme l’oncle de TJ Ballantyne qui en son temps avait photographié la dureté de la vie des mineurs et de leurs luttes en 84-85, et Tania (Debbie Honeywood), bénévole auprès des réfugiés, vont progressivement inverser le courant.
    Un film typiquement Loachien dans son constat mais qui apporte ici une solution concrète pratique pour pallier un peu à la misère de tous laissés pour compte, syriens et anglais.
    Ces efforts seront remerciés par la devise d’une bannière tissée par les migrants pour la fête paroissiale du bourg : « Force, Solidarité et Résistance » !
    Un film très limpide et très sobre dans sa réalisation, d’une grande valeur humaine.
    Pascal
    Pascal

    159 abonnés 1 641 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2023
    Présenté en compétition officielle à Cannes 2023, ce dernier opus de K.Loach est reparti la corbeille vide.

    Sans doute, ce n'est pas une des meilleures réussites du cinéaste Britannique vétéran d'un palmarès qui en fait un des plus titrés du septième art.

    Loach reprend ici le thème traité ces derniers temps par d'autres cinéastes tels les frères Dardenne (Tori et Lokita) ou par Cris Mungiu (RMN), celui de l'arrivée des migrants sur le sol européen.

    Ici, il s'agit de Syriens qui se retrouvent placés dans un bourg d'une ancienne ville minière, aujourd'hui déshéritée de l'Angleterre.

    " Thé old Oak" ( le titre correspond au nom du pub tenu par le personnage principal) offre de nombreuses scènes qui tiennent la route au milieu d'autres qui fonctionnent beaucoup moins bien.

    Loach met en avant et défend à juste titre les sentiments positifs ( entraide, compréhension, ouverture d'esprit intraculturelle...), mais son traitement et c'est la limite du film, à parfois du mal à saisir toute la complexité du sujet.

    Les aficionados de l'oeuvre de Loach ne le manqueront pas, tandis que le spectateur d'occasion verra avec un meilleur bénéfice d'autres titres du metteur en scène ou son talent se manifeste beaucoup plus nettement ("family life" notamment).
    Opera R
    Opera R

    14 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 octobre 2023
    Le film est bien mené et on ne s'ennuie pas : c'est déjà quelque chose. Mais cet hymne à l'accueil des migrants et à la solidarité universelle, fondé sur les bons sentiments humanistes du vieux réalisateur, sonne quand même assez faux et finit par tomber dans le conte de fées un peu nian-nian. Ces migrants sont tous gentils, ouverts, désireux de s'intégrer (il n'y a, curieusement, que des femmes, des enfants et des adolescents, peu d'hommes adultes), la religion semble n'occuper aucune place dans leur vie, ils n'ont aucune violence et ne sont animés que des meilleurs sentiments.... La fin, avec la bannière tissées par les Syriens actifs et généreux, m'a paru digne des mélodrames édifiants du XIXe siècle. Le seul intérêt du film, outre le jeu des deux acteurs principaux, m'a paru résider dans la peinture de la société anglaise en pleine déconfiture : misère de la population, décrépitude des institutions, déliquescence du tissu social. C'est un peu la France d'aujourd'hui, mais en pire.
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