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    The Old Oak
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    194 critiques spectateurs

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    Opera R
    Opera R

    13 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 octobre 2023
    Le film est bien mené et on ne s'ennuie pas : c'est déjà quelque chose. Mais cet hymne à l'accueil des migrants et à la solidarité universelle, fondé sur les bons sentiments humanistes du vieux réalisateur, sonne quand même assez faux et finit par tomber dans le conte de fées un peu nian-nian. Ces migrants sont tous gentils, ouverts, désireux de s'intégrer (il n'y a, curieusement, que des femmes, des enfants et des adolescents, peu d'hommes adultes), la religion semble n'occuper aucune place dans leur vie, ils n'ont aucune violence et ne sont animés que des meilleurs sentiments.... La fin, avec la bannière tissées par les Syriens actifs et généreux, m'a paru digne des mélodrames édifiants du XIXe siècle. Le seul intérêt du film, outre le jeu des deux acteurs principaux, m'a paru résider dans la peinture de la société anglaise en pleine déconfiture : misère de la population, décrépitude des institutions, déliquescence du tissu social. C'est un peu la France d'aujourd'hui, mais en pire.
    Hervé L
    Hervé L

    68 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 octobre 2023
    Un film bien pensant et très manichéen sur les gentils syriens surtout des femmes et des enfants (aucun jeune adulte et aucun délinquant) plus ou moins bien accueillis dans un village anglais en deconfiture avec un bon samaritain et beaucoup de vrais fachos qui vont jusqu'à saboter son initiative de resto du cœur
    Evelyne D.
    Evelyne D.

    3 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 novembre 2023
    Cet hymne à l'accueil des migrants et à la solidarité universelle, fondé sur les bons sentiments humanistes du vieux réalisateur, sonne quand même assez faux malgré les qualités des deux acteurs principaux et finit par tomber dans le conte de fées. Ces migrants sont tous gentils et désireux de s'intégrer, ils n'ont aucune violence et ne sont animés que des meilleurs sentiments et les anglais sont sensibles à la mort du père de la jeune syrienne.. La fin, avec la bannière tissées par les Syriens actifs et généreux, digne d'un mélo. Le grand intérêt du film, m'a paru résider dans la peinture de la société anglaise en pleine déconfiture.
    Frédéric T
    Frédéric T

    25 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 novembre 2023
    De l'intégration diificile de migrants syriens dans une ancienne cité minière du nord de l'Angleterre, ravagée par le chomage et la pauvreté. Le message humaniste est louable mais le scénario faiblard et sans surprises tourne en rond. La fin en patticulier est très "fleur bleue". Pas le meilleur Ken Loach, ni le plus percutant.
    Yves G.
    Yves G.

    1 408 abonnés 3 428 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 octobre 2023
    Dans une ancienne cité minière du nord-est de l’Angleterre frappée par la crise, deux misères se percutent : celle des habitants de longue date, paupérisés par le chômage, et celle des récents immigrés syriens chassés par la guerre. Le seul lieu de sociabilité du village est un pub décrépi, "The Old Oak". Son propriétaire taiseux, TJ Ballantyne (Dave Turner) se lie d’amitié avec Yara (Ebla Mari) une jeune Syrienne passionnée de photographie. Ensemble ils vont tenter de vaincre les préjugés qui séparent els deux communautés.

    Le dernier film de Ken Loach sera-t-il le dernier ? À quatre-vingt-sept ans, l’infatigable réalisateur britannique est de retour. Et il continue de creuser la même veine. Sa longévité, sa constance, l’imminence de son inéluctable disparition font penser à Woody Allen. Mais les ressemblances s’arrêtent là. Woody Allen est à droite, Ken Loach (très) à gauche. L’un saute d’un continent à l’autre pour truffer de bons mots les coucheries sans conséquences d’une classe d’hyper-privilégiés alors que l’autre, les pieds à jamais enfoncés dans l’humus pluvieux du nord de l’Angleterre, nous arrache des sanglots en glorifiant la résilience du lumpenprolétariat. Les scandales sexuels dans lesquels le premier s’est englué en a fait un paria, ostracisé par les studios hollywoodiens et les grands festivals alors que le second, bi-palmé (en 2006 pour "Le vent se lève" et en 2016 pour "Moi, Daniel Blake"), est devenu la coqueluche d’un public bien-pensant.

    "The Old Oak" ne contient aucune surprise. C’est sa plus grande qualité et son plus grand défaut. Il réjouira tous ceux – et ils sont nombreux – qui aiment sincèrement le cinéma généreux de Ken Loach et de son scénariste attitré, Pau Laverty, qui, une fois encore, signe un scénario millimétré. Plaira-t-il pour autant aux grincheux qui, comme moi, ont le corps trop endurci pour fondre sur commande et qui surtout reprochent au vieux cinéaste de nous resservir toujours la même formule ?

    Le cinéma de Ken Loach a une immense qualité : il sonne juste. Même si parfois, les dialogues au pub, dans cet Anglais si déformé qu’on peine à le comprendre, sont parfois un peu trop calibrés, chaque personnage se voyant assigner la fonction d’incarner un point de vue – celui du raciste hostile à tout corps étranger, celui du Bon Samaritain prêt à accueillir toute la misère du monde, celui de l’arbitre qui cherche à concilier ces positions inconciliables – l’ensemble n’en dégage pas moins un parfum unique d’authenticité, porté par l’interprétation aux petits oignons des deux interprètes principaux : Dave Turner en bloc de tendresse humaine – qui rappelle Daniel Blake et toute une généalogie de héros loachiens courageux – et la jeune et fraîche Ebla Mari, entre lesquels Ken Loach nous épargne une idylle amoureuse qui aurait été particulièrement artificielle.

    "The Old Oak" pose une question d’une brûlante actualité, dans le nord Angleterre comme dans la France dite « périphérique » : les plus défavorisés, ceux que la vie, le chômage, l’alcool, la solitude ont brisés, au lieu de se révolter contre le système qui les oppriment, ne déversent-ils pas leur rancœur contre plus faibles qu’eux ? Le racisme n’est-il pas devenu l’opium du peuple ?
    La façon dont le débat est posé au début du film est aussi simple que pertinente : les « Anglais de souche », bas du front (national ?) et sérieusement alcoolisés, qui voient débarquer dans leur rue des réfugiés syriens demandent aux services sociaux : « Pourquoi eux et pas nous ? Pourquoi ces réfugiés syriens bénéficient-ils d’une aide financière et matérielle à laquelle nous, Anglais de souche victimes de la crise, n’avons pas droit ? »

    Jamais dans "The Old Oak", on n’évoque le Rassemblement national ou ses avatars britanniques, UKIP, le BNP, le BNF…. Mais jamais non plus une réponse convaincante n’est apportée à la question posée. Et c’est là que le bât blesse. Le questionnement politique ô combien pertinent soulevé par Loach se dissout dans une mélasse mielleuse. La gentillesse innée des protagonistes est la solution à tous les maux. Cette moralement naïvement rousseauiste est cinématographiquement très efficace ; car elle est l’occasion de scènes profondément touchantes qui attendriront même les plus grincheux comme moi. Pour autant, si on s’astreint à un minimum de distance critique, force est de trouver à ce film un goût de trop-peu, un manque d’exigence, une tendance critiquable à préférer nous faire pleurer que réfléchir.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    741 abonnés 1 478 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 octobre 2023
    Et si on se serrait les coudes entre galériens ?
    Voilà une punchline qui résume à peu près ce film, se déroulant dans un village anglais accablé par une crise liée à la fermeture des mines de charbon, et qui va du jour au lendemain devoir accueillir un bus de réfugiés syriens.
    Entre ceux qui refusent l'arrivée de cette population étrangère, et ceux qui vont leur venir en aide, la tension ne fait que débuter...
    Ce drame est pétri de bons sentiments et de bonnes intentions, mais souffre d'un manque de rythme, on tourne rapidement en rond dans ce vieux pub poussiéreux "The Old Oak".
    Néanmoins, le duo entre le patron du bar (Dave Turner) et la jeune syrienne (Ebla Mari) fonctionne plutôt bien et offre quelques moments de belle humanité.
    Pas mal dans l'ensemble, mais manquant légèrement d'accroche émotionnelle et de percussion.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    traversay1
    traversay1

    3 420 abonnés 4 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 octobre 2023
    Le vieux chêne, c'est lui, Ken Loach, 87 ans, solidement arrimé à un cinéma social qui ne désarme pas, au côté de son fidèle scénariste, Paul Laverty. The Old Oak, situé dans une bourgade sinistrée du nord de l'Angleterre, ajoute du malheur au malheur, avec l'arrivée de familles syriennes dans l'ancien village minier. Confrontation de deux populations au programme mais surtout solidarité devant la dureté des temps : le programme est annoncé, il comporte peu d"éléments de comédie, cette fois, et pour cause, mais un cœur gros comme ça et une bienveillance sans frontières que l'on estimera naïve, ou pas. Le cinéaste n'a pas perdu la main, même si elle se fait moins agile que naguère : les scènes collectives sont superbes et sentimentales et ses deux personnages principaux, un Britannique et une Syrienne, sont joliment dessinés. Les autres protagonistes sont moins bien définis, ou quelque peu caricaturaux ou trop peu développés. Ken Loach a fait des films plus prenants et moins simplistes mais il ressort de The Old Oak une espérance d'un monde moins stupide et plus tolérant. C'est de l'ordre de l'incantation plus que du réalisme de l'époque mais cela fait du bien et bien insensible sera celui qui traversera le film sans y laisser quelques larmes au passage. Avec l'illusion que ce n'était peut-être pas encore l'ultime requiem d'un réalisateur dont l'indignation et la générosité nous manqueront.
    Ufuk K
    Ufuk K

    497 abonnés 1 447 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 octobre 2023
    "The Old Oak" en compétition cette année au festival de Cannes est un drame social qui sonne juste. En effet même si j'ai connu mieux du réalisateur Ken Loach notamment "Moi, Daniel Blake" palme d'Or au festival de Cannes en 2016 et que l'histoire connait quelques faiblesses, le film n'en demeure pas moins touchant et résonne juste dans notre société actuelle, le réalisateur abordant d'une manière réaliste le thème de l'immigration, du nationalisme, du racisme, de la crise sociale au Royaume-Uni dans un plaidoyer pour l'entraide et la paix dans le monde.
    Loïck G.
    Loïck G.

    323 abonnés 1 656 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 octobre 2023
    C’est un bel exercice de style que réussit le scénariste attitré de Ken Loach , Paul Laverty en synthétisant au cœur d’un même récit l’histoire de réfugiés syriens dans un petit village minier anglais qui se meurt à petit feu. De la xénophobie à l’intégration bienveillante, le scénariste englobe de nombreux problèmes relatifs à la séparation, au racisme, à l’identité autour d’un pub que son propriétaire n’arrive pas à consolider. Les vieux habitués y tiennent fermement la rampe et le discours haineux envers les migrants. Le patron leur tient tête, fort d’une histoire personnelle qui peut le rapprocher des exilés qu’il accueille lui, avec bienveillance. Un vent de solidarité bouscule les plus réfractaires, réveille les consciences endormies . Ca peut paraître idyllique, convenu, … mais la caméra de Ken Loach saisit tous ces instants inespérés, ces retrouvailles pour dire que l’espoir n’est pas vain. Loach lui donne une raison d’être, un visage . Sobrement, instinctivement
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Steadyllic
    Steadyllic

    18 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 octobre 2023
    Après avoir été un peu déçu par quelques uns de mes réalisateurs fétiches (Dupontel et le duo Toledano-Nakache), j'appréhendais de revenir chez le bon Ken Loach dans son univers lesté de souffrances mais gonflé à bloc à la solidarité. Je n'ai pas été déçu du voyage: Une émotion intense, bourrue et juste, aux antipodes de la sensiblerie larmoyante. J'ai entendu un abruti à la sortie du cinéma se gausser qu'il n'avait été ému que par la mort du petit chien. Quel aveuglement! Quel égoïsme de nanti!
    Tout est juste dans ce film rugueux mais pudique qui ne s’englue jamais dans la guimauve. Il fait écho au déchirement d'une population ouvrière d’anciens mineurs laissés pour compte que Thatcher avait humilié et fait dégringoler dans un lumpen prolétariat où on ne mange plus à sa faim. L’arrivée d’autres déshérités venus de Syrie jette le trouble dans un village où un vieux pub décrépit est le seul lieu de convivialité. Il est tenu par TJ, magistralement interprété par Dave Turner, un ours bourru, abîmé par la vie, mais qui se découvre une bienveillance infinie devant la souffrance des exilés. Pour contrer le racisme qui ne manque pas de surgir chez ses clients habituels, il rouvre une arrière salle décrépite et fermée depuis longtemps. Elle porte encore les vestiges de la solidarité et de la fierté des mineurs. Contre vents et marées, au risque de perdre ses habitués, il y organise des repas gratuits ouverts à tous pour que les préjugés s’estompent.
    Le fil conducteur d’un scénario toujours dans la retenue est la tendresse paternelle qu’il éprouve pour la jeune Yara, une syrienne aux yeux si purs, une surdouée de la photo qui surprend tout le monde par son regard tendre sur une communauté qui rejette pourtant la sienne au début. Elle leur projette ses images dans une scène mémorable, avec un accompagnement de luth et sous les applaudissements. Dans un monde où les haines se déchainent quand des massacres répondent aux pogroms, cela fait un bien immense de la voir s’extasier dans une cathédrale sur la lumière magique et sur les chants d’une culture qui n’est pas la sienne.
    Ce qui est bouleversant dans cette chronique, c’est que les « méchants » racistes gardent toujours une part d’humanité. Rien n’est manichéen : On comprend leurs frustrations, on retrouve dans leurs accents rocailleux une souffrance brute et la peur d’un complet effondrement social. L’ami d’enfance qui a trahi TJ revient à plus d’humanité à la fin surprenante du film.
    Au risque de heurter les peine-à-jouir de la mixité sociale, j’ai jubilé pendant le générique de fin de voir un fanion issu de la tradition fière des mineurs arboré dans une parade ouvrière avec une petite phrase en arabe parce que les Syriens qui l’ont confectionné par reconnaissance voulaient ajouter leur modeste contribution à la lutte des opprimés. Décidément, ce vieux chêne a de profondes racines.
    jerome S.d.c.
    jerome S.d.c.

    20 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 novembre 2023
    Certes cela reste du Ken Loach mais les ficelles semblent aussi usées qu'un récit somme toute trés banal. Le goût de la guimauve à l'eau de rose l'emporte....
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    99 abonnés 313 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 novembre 2023
    A vu "The old oak" le dernier film de Ken Loach qui a annoncé d'ailleurs que ce serai son dernier film. Quel dommage qu'un metteur en scène si unique, qui a toujours su traiter de sujets sociaux avec justesse, qui a su rendre cinématographique la vie des gens les plus démunis et sous pression, qui savait mettre l'éclairage le plus juste sur les injustices, qui savait doser son discours avec minutie et équilibre se fourvoie à ce point dans ce dernier projet. Dans "The old yak" rien ne va. Les beaufs sont racistes, les vieux sont cons, les jeunes des glandeurs, les femmes des pauvres filles... ça fait beaucoup pour le même village. Village qui reçoit des réfugiés syriens qui à peine sortis du bus sont pris sous la violence, les manifestations et les lazzi des affreux jojo british. Ca manque cruellement de nuance et de subtilité. Seul TJ Ballentyne, propriétaire du pub, est pourvu d'humanité, ce qui fait peu proportionnellement à la population masculine, alcoolisée à longueur de journée, de cette ancienne cité minière . TJ va essayer de rapprocher les deux camps qui se regardent en chien de faïence. Du côté syrien, Yara, jeune femme bilingue fait des photos de ces ours mal léchés à tout bout de champs. TJ et Yara vont additionner leurs espoirs et leurs énergies pour essayer de faire communiquer les forces opposées. Tout part d'un bon sentiment mais la naïveté du propos, l'enchainements d'actions utopiques, les facilités de scénario, les scènes improbables emportent tout sur leurs passages et réduisent ce film en une soupe bien insipide. Sans compter avec la scène finale qui s'éternise et qui n'a aucun sens. En une période qui demande urgemment de la nuance, ici tout est puéril et manque de maturité. Ce vieux chêne laisse médusé par ses carences scénaristiques et cinématographiques.
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    193 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 octobre 2023
    Le vieux Ken Loach n'est plus que la sinistre caricature de lui-même. Son dernier film est prévisible, pauvre esthétiquement et étriqué politiquement. Le cinéaste anglais nous ressert la même soupe épaisse, complaisante et misérabiliste à chaque fois. Il est complètement hors-sol. Il ne faut pas avoir peur de le dire. Sa vision unilatérale du monde, pleine de pathos et noyée dans un sentimentalisme lacrymal est dépassée et n'intéresse plus grand monde. Allez Ouste! À la retraite Ken Loach!
    Michelp
    Michelp

    5 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 novembre 2023
    Le gouvernement décide mais c'est au pub local que tout se joue. Bien évidemment tout le monde n'est pas favorable à l'arrivée de ces familles syriennes, mais l'abnégation du propriétaire et de la " médiatrice " de la communauté syrienne feront de ce "Old Oak " un lieu de rencontre et de partage.
    Film assez basique tant au niveau traitement du sujet que dans la manière d'impliquer le spectateur
    kyu f
    kyu f

    91 abonnés 443 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 octobre 2023
    un spot tv sur l'immigration de 2h. vide d'une réa intéressante, scénario remplie de longueurs et de personnages inintéressant, aborder une tonne de sujet mais aucun abouti, avec un fin excréments tire-larmes et prévisibles. "The Old Oak" n'est qu'un énième film plat qui n'a comme seul message "aimez vous les un les autres",message transmis dans d'autres films et en bien mieux
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