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    The Old Oak
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    194 critiques spectateurs

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    Golem passif
    Golem passif

    27 abonnés 196 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 novembre 2023
    Une pinte de moraline.

    Ma note ne correspond pas à une quelconque aversion ou opposition au message du film mais à un manque d'intérêt absolu.
    En soit je peux comprendre l'envie de regarder quelque chose de totalement positif et ouvertement naïf.
    Malheureusement, mis à part cet idéalisme, le film ne propose quasiment rien. La réalisation, la narration ou les acteurs ne s'envolent jamais et je passe 1h50 à me demander qu'est ce que fais dans cette salle.
    Cinememories
    Cinememories

    469 abonnés 1 460 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mai 2023
    La revanche des feuilles mortes

    "Le dernier film présenté en compétition sent le vieux bois, celui qui a longtemps séché sous un ciel couvert et en manque d’éclaircies. The Old Oak cherche à en apporter avec autant d’innocence que de bienveillance."

    "Le cinéaste établit un nouveau récit sur une revanche à prendre sur la vie, qui commence par une réconciliation avec soi-même. C’est toute la problématique de Tommy Joe Ballantyne (Dave Turner), ou simplement TJ, propriétaire du seul pub dans un patelin paumé du nord de l’Angleterre. On l’appelle The Old Oak et comme son nom l’indique, ce vieux chêne commence à moisir de l’intérieur comme de l’extérieur."

    "Loin s’en faut, The Old Oak n’est pas un feel-good movie, mais comme toujours Ken Loach s’engage en faveur des laissés-pour-compte qui, dans leur solidarité, peuvent se hisser vers le haut. Et quand bien même il ne serait pas possible de créer le lieu de vie idéal avec le pub The Old Oak, il est toujours possible de se réunir et de se réconcilier dans la rue, là où nous sommes censés croiser nos regards et manifester notre unité."

    Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
    brunocinoche
    brunocinoche

    83 abonnés 1 095 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 octobre 2023
    Pour son nouveau film, le cinéaste octogénaire ne baisse pas els bras et continue à s'intéresser aux exclus de la société. Comme souvent chez lui, ces exclus sont d'anciens mineurs au chômage victime du thatchérisme. Dans "The old oak", en plus de leur propres galères, ils voient arriver des migrants syriens d'un mauvais oeil pour beaucoup. Ken Loach, politique donc comme toujours, choisit ici plus la carte de l'émotion et de l'humanisme. Cela peut paraitre manichéen mais la force et la justesse du scénario ne peuvent nous laisser indifférents et beaucoup d'émotions se dégagent à la fin du film. Beau film sur la solidarité et sur l'amitié, le film bénéficie aussi d'un casting remarquable à tous les niveaux. De ce fait, Ken Loach se contente d'une mise en scène classique, faisant à juste tire, confiance à ses auteurs et à son scénario. Merveilleux conteur, on a connu le cinéaste anglais plus incisif mais son dernier film n 'est que la suite logique de toute son offre. Ici, l'émotion l'emporte sur la colère, mais les 2 cohabitent formidablement.
    Paul B
    Paul B

    42 abonnés 961 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 novembre 2023
    Disons que Ken Loach nous avait habitué à mieux.

    Ici le passionnant et engagé laisse place à un empilement de clichés sans grande saveur.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    48 abonnés 1 139 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 novembre 2023
    Superbe film, riche en thèmes dont le principal est celui de la pauvreté au Royaume-Uni, notamment dans le nord-est, au bord de la mer, près de Durham, région qui a souffert de la politique (libéralisation de l’économie, réduction de la dépense publique, privatisations, affaiblissement des syndicats, etc.) de la Première Ministre (1979-1990) Margaret Thatcher (1925-2013), responsable de la fermeture de nombreuses industries, ici les mines de charbon, malgré la longue grève des mineurs de mars 1984 à mars 1985. spoiler: Des maisons sont achetées en ligne pour 8 000 £ par des investisseurs chypriotes, dévalorisant les maisons voisines et créant du ressentiment chez leurs propriétaires
    . La misère engendre la bêtise et le racisme (« il est plus facile de s’en prendre à plus faible que soi ») mais aussi, la solidarité (« A manger ensemble, on se serre les coudes »). Ken Loach est constamment sur le fil du rasoir et construit un film sans misérabilisme, ni manichéisme, grâce au scénario (du fidèle Paul LAVERTY dont c’est la 15e collaboration) qui expose les faits (donnant la parole aux Anglais, accueillants ou racistes, et aux réfugiés syriens) et à une mise en scène remarquable, permettant d’obtenir l’excellence des acteurs, au jeu quasi documentaire. Dave TURNER qui joue Tommy Joe Ballantyne, le patron du pub « The old oak » (« le vieux chêne ») est tout en nuances, tiraillé entre son passé ( spoiler: où il a privilégié son pub au détriment de sa femme et de son fils
    ) et essayant de rendre le présent meilleur (en créant une cantine solidaire). C’est aussi un film féministe car ce sont les femmes, de toute nationalité, qui agissent, et de façon positive. Ici, les racistes sont des hommes et l’actualité (Ukraine, Proche Orient) montrent que la violence est le fait des hommes.
    Fiers R.
    Fiers R.

    90 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 novembre 2023
    Rares sont les cinéastes à pouvoir se targuer d’une filmographie à la fois aussi longue dans le temps et homogène sur le fond comme sur la forme. Le cinéaste britannique Ken Loach, chantre et porte-parole des classes sociales les plus pauvres, des démunis et des luttes contre les inégalités sociales fait partie de cette catégorie. En plus d’un demi-siècle de carrière derrière la caméra, le metteur en scène n’a pas changé d’un iota sa feuille de route artistique: une réalisation au plus proche du réel, avec souvent des acteurs non professionnels, et toujours des thèmes éminemment sociaux et/ou historiques quasiment toujours en rapport avec son pays natal. Il n’y a qu’à voir ses deux Palmes d’or (et oui il fait partie du club très fermé des doubles récipiendaires de la récompense suprême de Cannes pour s’en convaincre) : d’un côté le film d’époque « Le Vent se lève » sur le combat des irlandais contre l’invasion anglaise et de l’autre le magnifique « Moi, Daniel Blake » sur un homme qui se bat financièrement pour tenir sa famille à flots. Le prolifique réalisateur nous offre ici avec « The Old Oak » un opus certes mineur et empli des défauts les plus récurrents de son auteur sans pour autant être dénué de charme, de coffre et d’émotions.

    Ici, il est question d’immigration avec des réfugiés politiques syriens qui débarquent dans un petit village sinistré économiquement du fin fond de l’Angleterre avec les scissions entre les habitants que cela implique, entre réfractaires plus ou moins marqués et habitants plus accueillants comme T.J. le patron du pub qui donne son nom au film. Avec Loach aux commandes d’un tel sujet, il est clair qu’il ne fallait pas s’attendre à un traitement toujours juste et objectif mais plutôt partisan. Et on ne lui en voudra pas, c’est son cheval de bataille tout comme des convictions profondément ancrées en lui. Cette vision empathique, humaniste et pleine d’altruisme des plus malheureux est en effet indissociable de l’indéboulonnable réalisateur. Alors forcément la peinture de ces immigrés pourrait tout aussi bien être réaliste dans le meilleur des cas qu’idéaliste si on lui oppose certaines actualités récentes. De la même manière, il a tendance à enjoliver un peu trop la vie en communauté ou, à l’inverse, à noircir le racisme primaire de ses congénères (quoique...). C’est donc par le biais d’un filtre quelque peu manichéen qu’on suit « The Old Oak », mais c’est aussi une vision pacifiste qui fait du bien malgré le déferlement de pathos final un peu trop poussif.

    Cependant, on ne peut nier que Loach est toujours un aussi bon raconteur d’histoires et un excellent directeur de comédiens, notamment ceux amateurs ou non professionnels. Tout transpire le vrai dans ses dialogues, dans les gestes et les situations qu’il met en scène. Et le personnage principal joué par Dave Turner est passionnant. D’ailleurs, le comble dans « The Old Oak » c’est que l’on s’intéresse finalement davantage à celui-ci qu’au propos général du long-métrage. Son portrait d’homme brisé et généreux est impeccablement brossé et on s’attache beaucoup à lui et à son passé. Rien que la scène où il perd son chien nous brise le cœur. On entre donc dans ce film comme on entre dans des chaussons, on sait ce qu’on va voir et la manière dont tout sera dépeint. Il y a bien sûr les scories habituelles de son auteur, cette fois un peu trop marquées, mais aussi tout ce qui fait qu’on l’aime : un cinéma nécessaire, fort et qui défend ceux que l’on n’entend jamais.

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    Pascal F.
    Pascal F.

    24 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 octobre 2023
    Comme à l’habitude. Monsieur Ken Loach, en partant de villes et leurs habitants ayant subi un traumatisme social se battent pour survivre. Il le fait avec ce recul, cette distance respectueuse des situations décrites. Il ne cherche pas à embellir les personnes, les personnages imaginés qui ne sont ni blanc ni noir, ils sont tout simplement humains, avec leurs forces et leurs faiblesses.
    Pour le film « The old Oak », nous sommes encore dans une ville sinistrée, l’évènement nouveau est de décrire l’arrivée de réfugiés syriens accueillis par un fils de mineur qui tient un pub. Nous suivons la population locale, certains se battent pour bien recevoir ces nouveaux arrivants et d’autres se méfient et les rejettent. En parallèle nous découvrons ces expatriés, plus précisément une jeune femme passionnée de photos, seule à bien connaître la langue anglaise, qui fera le lien avec les anglais principalement par le propriétaire du pub. Grâce aux différents évènements et rebondissements, nous vivrons des temps d’espoir d’une rencontre possible ou pas…
    Dave Turner et Ebla Mari réussissent, par leurs jeux d’acteurs sobres à apporter toute l’humanité que nous offre le réalisateur.
    Je ne peux que vous inviter à découvrir ce film qui pourrait vous faire penser qu’une fois de plus les misères humaines sociale ou liées à des conflits ne sont pas belles à voir. Le magicien Loach arrive à décrire cette misère tout en nous laissant un espace pour croire en l’avenir. Bravo.
    Patricia D.
    Patricia D.

    68 abonnés 181 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 octobre 2023
    The old oak (Le vieux chêne) est un beau Ken Loach.
    Dans le nord-est de l'Angleterre, décor de la grande grève des mineurs en 1984-1985, la population est sinistrée, délaissée par les gouvernements successifs. Seul subsiste un pub (The old oak) pour que les habitants puissent se réunir. C'est précisément dans cette région que sont orienté·es des réfugié·es syrien·nes qui ne seront pas accueilli·es chaleureusement. Entre ces deux camps apparemment inconciliables, une solide amitié va faire bouger les lignes, entre TJ, le propriétaire du pub, et Yara, jeune réfugiée qui a appris à parler anglais auprès d'infirmières bénévoles dans un camp.
    Le film bénéficie du long travail préliminaire effectué par Ken Loach et son fidèle scénariste Paul Laverty. L'histoire est réaliste, le sujet traité avec empathie et générosité. Les moments collectifs sont particulièrement forts et émouvants, là où la solidarité peut créer l'espoir d'une vie meilleure.
    Pierre Phdb
    Pierre Phdb

    13 abonnés 213 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 novembre 2023
    Deux sujets.

    Pas le meilleur des Ken Loach. Deux sujets la paupérisation et la désertification dans les anciennes villes minières et l'arrivée de réfugiés syriens. Chacun des deux était un sujet en soit. Alors vouloir traiter les deux en même temps en un même lieu une erreur selon moi car aucun des sujets n'est traité a fond. Ce qui est dommage. A l'arrivée un film un peu (trop) manichéen.

    Pas le meilleur des Ken Loach, mais qu'en on aime on y va quand même et c'est bien ainsi.
    Francis Garret
    Francis Garret

    10 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 octobre 2023
    The Old Oak est la dernière livraison du maître du réalisme socialiste européen. Orphelin des luttes ouvrières qu'il évoque dans le film, Ken Loach déplace son objectif vers les nouveaux damnés de la terre, les réfugiés de guerre du Proche-Orient, et propose comme toujours des personnages forts, fouillés, attachants, en jouant sur l'universalité des opinions et des sentiments, dans un monde désormais complètement mondialisé où les solidarités se reconstruisent dans les décombres de l'ancien monde. Ken Loach y joue sur des émotions toujours justes, évitant à chaque tournant de l'histoire de sombrer dans le manichéisme qui est toujours le danger du genre, en réussissant le tour de force de nous amener jusqu'à un happy end parfaitement tragique qui rassemble tout ce monde pour lui laisser une lueur d'espoir.
    Evelyne75
    Evelyne75

    15 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 novembre 2023
    Larmoyant, pathos à n'en plus finir. Un film pour les grandes âmes sans politiciens, mais avec des gentils et des méchants. Un film pour la télé, pour des braves gens
    PLR
    PLR

    452 abonnés 1 540 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2023
    Dès les premières images et scènes, je me suis dit : voilà une ambiance et un univers à la Ken Loach. Oups, c’est un film de Ken Loach ! Je n’avais pas regardé avant. A partir de là, tout est déjà dit. Misère, désespérance sociale, souvenirs et nostalgie d’une période ouvrière et revendicative glorieuse mais définitivement passée. Tous les puits de mines ont fermé. Le désœuvrement est partout. Les appartements se vident, n’ont plus aucune valeur (sauf pour les spéculateurs qui vont les racheter à vil prix pour les louer à des populations déplacées n’ayant aucun autre endroit où aller), condamnant les derniers occupants propriétaires ruinés à rester-là et s’accommoder des nouveaux arrivants. Des familles syriennes en déshérence, amenées là par bus entier par les services sociaux. Sauf rares exceptions, les premiers contacts sont froids et même hostiles. La peur et la défiance de l’autre. Mais, à partir d’un goût (et talent) commun pour la photo, une jeune réfugiée va sympathiser avec le patron du pub. Et les valeurs de solidarité et d’entraide vont émerger. Le genre de scénario dont on sort avec l’envie d’être meilleur. Les visages des spectateurs sont graves. Leurs yeux sont parfois rougis. Un film émouvant, poignant.
    Fenêtre sur salle
    Fenêtre sur salle

    46 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 novembre 2023
    Je lis beaucoup, sur les différents comptes insta ciné que je suis, que The Old Oak est du pur Ken Loach et j'avoue n'être que partiellement d'accord.

    Très touché par ses deux précédents films (Moi, Daniel Blake et Sorry we missed you), j'ai trouvé celui-là nettement moins réussi et bien moins subtil dans l'émotion qu'il cherche à provoquer.

    Si l'on retrouve effectivement l'ancrage social au sein des classes populaires britanniques que le réalisateur sait si bien dépeindre, s'il parvient une nouvelle fois à s'emparer d'une thématique sociétale très actuelle pour dénoncer, après les ravages du capitalisme et de l'uberisation de la société, le racisme et les difficultés du vivre ensemble, l'approche est en revanche beaucoup plus naïve et moins fièvreuse que ce à quoi il nous avait habitué par le passé. En résultent des personnages trop stéréotypés et un scénario très prévisible qui conduit à une conclusion bien trop peu réaliste pour réellement émouvoir.

    L'ensemble reste très didactique et le film enchaîne les scènes qui peinent à convaincre (les discussions et la profusion de sourires lors des repas partagés entre locaux et réfugiés, les commentaires et questions peu subtils des enfants, la découverte émerveillée de l'église par la jeune Syrienne...).

    Ne perdons toutefois pas de vue que le film s'inscrit dans un contexte post Brexit, la campagne en faveur duquel ayant essentiellement tourné autour des questions d'immigration et de maîtrise de celle-ci, mais vis-à-vis duquel de plus en plus de Britanniques expriment aujourd'hui des regrets. The Old Oak sonne presque alors comme l'illustration de cette volonté de rédemption de toute une partie du peuple britannique.

    Enfin, parce que ce film sort pile dans un contexte géopolitique où justement le vivre ensemble a rarement semblé aussi difficile, le film nous offre l'occasion d'une trève qui est la bienvenue et laisse penser que cela est encore possible alors ne boudons pas notre plaisir et continuons d'y croire encore, nous aussi.

    Ma page ciné instagram : fenetre_sur_salle
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    223 abonnés 940 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 novembre 2023
    TJ est le propriétaire du pub « The Old Oak » dans une ancienne cité minière marquée par la pauvreté. Son engagement en faveur de réfugiés syrien va être mal perçu le forçant à multiplier les efforts pour créer du lien social. Un film magnifique sur la solidarité. Ken Loach maîtrise à la perfection la tendresse de son histoire.
    amafu
    amafu

    6 abonnés 142 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 novembre 2023
    L'arrivée de réfugiés syriens dans un village du nord de l'Angleterre, déjà fort défavorisé et dont certains habitants ont plus que du mal à joindre les deux bouts.... Et dès le début du film on est dans la caricature, d'un côté les habitants du village, les piliers de bistrot derrière leurs bière qui tiennent des propos racistes et de l'autre le tenancier du bistrot et les autres qui aident les réfugiés (et parmi eux, Yara, une jeune photographe de talent, qui fait la liaison entre ces familles et les habitants). Les salauds sont vraiment salauds, et les gentils sont vraiment gentils, solidarité, repas pris en commun, etc. aucune nuance dans ce tableau, jusqu'à la fin qui semble tournée chez les Bisounours spoiler: (Le village presque entier qui défile chez la mère de Yara qui a appris la mort de son père en Syrie. en déposant fleurs et peluches, c'est vraiment trop.
    Bon j'ai aimé l'acteur qui joue le rôle de TJ. Mais vraiment le film ne vaut pas plus de deux étoiles.
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