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    Flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau
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    105 critiques spectateurs

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    231 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 octobre 2024
    Flow, le nouveau film d’animation de Gints Zilbalodis, promet d’être une des œuvres marquantes de cette fin d’année. Ce long-métrage sans dialogue nous plonge dans un monde post-déluge où quatre animaux, pourtant très différents, doivent unir leurs forces pour survivre. La beauté visuelle du film est indéniable, avec des paysages à couper le souffle qui captivent le spectateur. Cependant, la représentation de la fourrure des animaux, notamment dans les contrastes de lumière, peut parfois paraître maladroite, créant une rupture entre les personnages et leur environnement.

    L’un des aspects les plus remarquables de Flow est le choix du réalisateur de mettre en scène des animaux muets, restés fidèles à leur nature. L’absence de dialogue permet à Gints Zilbalodis d’exprimer les émotions et les tensions uniquement à travers les actions et interactions des protagonistes, conférant au film une intensité presque documentaire. Ce silence animal accentue le poids de leur survie, et souligne que leur collaboration est guidée par la nécessité, non par des sentiments d’amitié ou d’affection.

    Au cœur du récit, un chat solitaire lutte contre l’instinct de coopération, son évolution vers l’acceptation de l’entraide formant la trame narrative principale. Cette métaphore de l’adaptation et de l’interdépendance entre les êtres est traitée avec une sobriété captivante, évitant tout excès d’anthropomorphisme.

    L’inondation, loin d’être une simple allusion à l’Arche de Noé, exploite la puissance évocatrice de l’eau, symbole de danger et de renaissance, offrant au film une profondeur visuelle et émotionnelle qui résonne longtemps après la fin du visionnage.
    Naughty Doc
    Naughty Doc

    901 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2024
    Le plus beau film d'animation de l'année, proposant une spatialisation ultra immerssive de sa mise en scène, pour un récit universel sur la nécessité du collectif pour survivre.
    
    Le tout sans un seul recours au verbe, avec des animaux immédiatement caractérisés et une ambiance faisant largement penser à du Fumeto Ueda (Ico, The Last Guardian)
    
    Très bon !
    Winslowleaachy
    Winslowleaachy

    60 abonnés 81 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 novembre 2024
    C'est juste incroyable, foncez y!!!
    Un film touché par la grâce et qui est d'un niveau quasi transcendantal par instant.
    Un film qui au delà de la superbe présentation des animaux et de son monde fantastique en ruine, parle de choses très profondes à qui sait capter les messages...
    Pour les plus amateurs, vous retrouverez par moment le souffle que pouvait avoir Antartica, Jonathan Livingston ou Baraka.
    Yves G.
    Yves G.

    1 448 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 octobre 2024
    Un chat reprend conscience dans un monde post-apocalyptique dont toute vie humaine a disparu. Le niveau des eaux monte inexorablement. Pour se sauver de la noyade, il trouve refuge avec un capybara sur une felouque, portée par le vent. Trois autres compagnons de voyage l’y rejoignent bientôt : un lémurien, un labrador et un serpentaire.

    N’y voyez aucun biais de ma part : le meilleur film d’animation de l’année est peut-être…. letton ! C’est en tout cas ce qu’a jugé le jury du festival d’Annecy qui lui a décerné son prix 2024. Après avoir été sélectionné en festival dans le monde entier, à Cannes, à Shanghai, à Jérusalem et à Melbourne, il est sorti cet été en Lettonie avant sa diffusion deux mois plus tard en France, précédé d’un bouche-à-oreille louangeur.

    "Flow" est, comme les films précédents de Gints Zilbalodis, un film sans paroles qui séduira les grands comme les petits. Son histoire repose sur deux séries de questions : qu’est-il arrivé à la planète et quelle catastrophe risque d’y arriver encore ? comment ses minuscules héros pourront-ils y survivre ? La réponse est volontiers bon enfant ; elle n’en est pas simpliste pour autant.

    Mais surtout "Flow" est un enchantement pour l’oeil. Chaque étape du voyage de notre félin héros est l’occasion de découvrir un paysage encore plus intimidant que le précédent. L’arrière-plan de l’affiche en donne un avant-goût. Les vues aquatiques sont des éblouissements. Sans y rien connaître, je crois que ce sont les plus difficiles à rendre en animation. Le résultat est époustouflant.
    Mais les paysages terrestres ne le sont pas moins, qui empruntent à l’imaginaire, quelque part entre les à-pic du "Seigneur des anneaux" et les ruines vénitiennes du "Rivage des Syrtes". Je craignais que l’odyssée de notre héros ne l’amène dans les ruines d’un Paris ou d’un New York englouti sous les eaux. Mais "Flow" embrasse pour le plus grand plaisir des spectateurs, un parti plus imaginatif encore.
    Anne-Isa
    Anne-Isa

    3 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2024
    Festival du film fantastique de Strasbourg.
    Je vois l affiche, j'aime l animation, j'aime les chats, je me dis "let's go".
    La salle était pleine. Je m'attendais à voir beaucoup plus d enfants. Il y avait surtout des artistes, des tatoués, des gens au look pas commun.
    Le film est muet, basé que sur des sons de la nature et des animaux.
    On suit les pérégrinations de Flow, un chat noir adorable qui va connaître le pire. On ne le quitte, on se met à sa hauteur. On vit tout à son échelle.
    Ce film est extraordinaire, un petit bijou. J'ai ressenti beaucoup d'émotions, du suspens, des rires, de la peur. J'étais dedans tout le long, captivée par un périple hors de la civilisation.
    Le film va parler de difficulté, de survie, des différences et des moments d'entraide dans la galère qui soudent.
    Les couleurs, le style et le scénario vous emportent. Bienvenu dans un voyage doux, poétique et attachant.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    61 abonnés 766 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 novembre 2024
    La nouveauté dans l'animation nous vient d'ailleurs cette fois-ci de Lettonie.
    Pas une parole, on pourrait se croire dans un vieux film muet, hors c'est le contraire avec une caméra qui bouge, comme dans les tournages de fiction les plus récents, qui zoome, qui survole, qui enveloppe les protagonistes!
    Le thème de la solidarité pour s'en sortir dans l'adversité n'a rien de nouveau, mais les animaux ne sont pas manichéens, on reconnaitrait même chez eux certains des défauts des humains!
    Les dessins de paysages, les scènes aquatiques sont visuellement réussis et d'une complexité qui encourage à l'envol et au rêve.
    Une belle bande son, et le tour est joué pour les enfants et ceux qui les accompagnent: on a peur pour Flow malgré tout, on attend la fin heureuse, qui ne sera pas si niaise et convenue.
    Voilà un cocktail de poésie, de nature, d'aventures sans héros ni méchants chasseurs! Longue vie à ce nouveau venu dans l'animation.
    cinéma - novembre 2024
    Cédric P
    Cédric P

    4 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2024
    C'est compliqué de devoir développer quand la seule expression qui vous vient à l'esprit est "Waou, c'est beau!"
    On est emporté, attendris par l'odyssée de ce chat et ses compagnons de voyage, émerveillés par l'animation, les couleurs sont splendides… On ne sait pas où on est, ni où on va, et on en ressort le cœur léger et le sourire aux lèvres.
    Un vrai chef d'œuvre, qui ravira tous les publics.
    Arthur Guezou
    Arthur Guezou

    158 abonnés 1 498 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 novembre 2024
    “Flow, le chat qui n'avait plus peur de l'eau”, quand les indépendants devancent les grands

    Après des bruits de couloirs et de bons échos, ce film sort enfin en salle après un passage remarqué à Annecy et à Cannes. “Flow, le chat qui n'avait plus peur de l'eau” est un bon film qui s'adresse à tous.

    Avec un budget qui est le sien, il ne faut pas s'attendre à une qualité optimale ; cependant, le film est tout de même impressionnant dans sa mise en animation face à un scénario intemporel et intelligent.

    Et justement ! Concernant cette réalisation, le film est très beau et est composé de très belles couleurs qui proposent une photographie plus ou moins marquante avec un style d'animation qui s'assimile (toute proportion gardée) avec la série “Undone”. Par ailleurs, l'animation n'est pas sans défaut ; effectivement, certes l'ensemble est relativement beau mais dans les détails, les textures restent inexactes et montrent des failles. Fort heureusement, rien d'alarmant. Le film, ne contenant pas de dialogues, propose une musique qui rythme l'ensemble du film magnifique et pertinent à chaque apparition.

    En clair, “Flow” est une ôde à l'importance des bruitages, à la puissance de la musique ainsi qu'à l'image soignée.

    L'histoire présente quelque chose d'intéressant socialement parlant. Très succinctement, l'intrigue montre la survie de plusieurs animaux qui finissent par se rejoindre et s'entraider mutuellement. Même s'il s'agit d'un film sans dialogue ; les protagonistes ont une véritable évolution avec un léger développement rempli d'humanité. L'intrigue reste très (voire trop) démagogique au vu de ses sujets traités ; en l'occurrence, le film traité trop explicitement du vivre-ensemble et la tolérance.

    Ce récit est à porté de tous et à le mérite d'être clair malgré une approche un peu trop candide.

    Avec plus de clarté, “Flow” est une petite curiosité à découvrir car elle peut aisément rivaliser avec des films ambitieux de part sa mise en animation et son intrigue pertinentes.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    525 abonnés 948 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 octobre 2024
    Il arrive sur ses petites pattes sans faire de bruit. À notre insu, l'air de rien mais fermement décidé. Cette engeance sait bien qu'elle peut infliger un sévère préjudice à sa victime puisqu'elle est armée jusqu'aux dents. Mais aujourd'hui, ce perfide animal à l'orgueil sans limites pousse l'ambition un cran plus loin. Il a bien révisé son Edward Bernay le scélérat, le voilà qui s'immisce sans honte parmi les plus grands manipulateurs de notre temps à égalité avec Machiavel, ma grand-mère et certain(e)s de vos ex. Son terrain de jeu ? Nos vénérées salles de cinéma, havre de culture, de partage et de plaisirs. L'arme employée ? le cinéma d'animation. La technique ? La bonne vieille feinte d'un récit poétique sur l'union en temps de crise. On a rien vu venir...Les comptes-rendus sur son passage sont formels : l'attaque est triomphale. Des images terribles.

    N'écoutant que mon courage, ma bonne foi et mon mépris pour ce monstre qu'on nomme chat, je remontai la piste du fâcheux derrière Flow, même s'il a sûrement employé ce titre pour nous prévenir (Flow = déborder = noyade CQFD). Je reste cependant sceptique, car il y a manifestement la volonté chez Gints Zilbalodis de faire de l'art. De beaux arts. Tout le périple de son regrettable héros (le chat, qui d'autre ?) bâtit une passerelle entre le récit biblique (l'Arche de Noé) et la mise en scène axée sur l'immersion et le naturalisme comme on retrouve chez Alfonso Cuarón (modèle revendiqué par Zilbalodis). Plans-séquences majestueux, panoramas amples et percées oniriques. Voilà pour les références et il se pourrait même que le long-métrage soit à la hauteur d'une telle promesse. Allez, on passe !

    ...Quoique, quand je repense à la traversée de cette vieille cité engloutie, à cette fuite face au déluge, à ce moment en l'air...Magni...Non, reprends-toi !

    Admettons, la partie visuelle est un bon point. Une imagerie 3D parfaitement travaillée et un univers en cohérence totale avec le propos. Et cette bande-son signée Rihards Zalupe...du miel dans les oreilles. Venons-en aux personnages, ces braves animaux. Enfin, sauf ce satané minou. Qui passe d'ailleurs l'essentiel du métrage à glander, chasser et se mettre en danger tandis que les autres se décarcassent pour subsister. Bref, un chat quoi ! Ah non, j'oubliais ! Il aime pas trop les nouvelles rencontres, il adore miauler pour aucune raison et balancer d'un coup de patte de précieuses choses, genre une pièce, une souris d'ordinateur ou votre shot de vodka (le saligaud). Ah ça, il est clair que Flow est parfaitement fidèle à la réalité pour ce qui est du comportement de cette race d'enquiquineurs imbus d'eux-mêmes.

    Rien que les postures, changement de pupilles ou mouvements d'oreilles prennent le cœur...la tête, pardon ! On enchaîne, on enchaîne.

    Les vénérables acolytes du félin que sont le chien aimant, le héron noble, le lémurien collectionneur et le brave capybara plein de courage sont tout aussi beaux et bien représentés. Et le plus dingue, c'est qu'on suit leur odyssée d'1h25 en occultant totalement le fait qu'il n'y a pas la moindre parole. À l'exception des sons émis par cette belle bande de survivants - dont les miaulements incessants de cet insupportable matou qui veut accaparer l'attention - la narration ne s'embarrasse d'aucune voix-off ou intertitres, ce qui rend le récit encore plus efficace. L'homme n'a pas besoin d'être présent pour qu'on ressente son spectre tout au long de Flow. Les ruines de la civilisation et la montée des eaux sont les deux vestiges attestant sa présence. Inutile d'en rajouter. Joyeux bilan !

    L'humanité, vous la trouverez chez les premiers menacés. Ces charmantes bestioles dont nous serons les heureux convives. Oui.

    ...Hop Hop Hop, retour en arrière. Je veux dire le héron, le toutou, le lémurien et le caby, l'okapi...oh et puis zut le rongeur qui est super cool. Eux, ils sont bien. L'autre là, c'est limite.

    Donc voilà, dans la salle c'était la joie, l'émerveillement et l'admiration devant le geste somme toute assez dingue de Gints Zilbalodis, humble réalisateur sous la coupe du plus redoutable prédateur sur Terre. Flow a l'évidence d'un poème sans âge, qui se passe de mots pour mieux distiller sa magie. Il envoûte, il amuse, il laisse sans voix.

    Ouhla, je crois que ça commence à faire effet sur moi. Je rentre chez moi prendre mon traitement. Et vite, pas que j'oublie l'horaire du repas où mon petit Félix va encore pisser sur mon oreiller.
    Lilizz
    Lilizz

    2 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 août 2024
    Esthétique réussie pour la nature. J'ai, en revanche, trouvé les animaux peu réussis et, surtout le scénario n'a pas beaucoup d'intérêt. Plutôt public enfant. La lecture est 1er degré ou 1er degré....
    Bruno 31100
    Bruno 31100

    8 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 août 2024
    Vu en AP Toulouse. A voir absolument. Sensibilisation sur la fonte des neiges, la montée des eaux. Mais aussi sur la solidarité, l’acceptation de l’autre.
    takeshi29
    takeshi29

    7 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2024
    Que ça fait du bien une odyssée animale où la part d'anthropomorphisme est réduite à la portion congrue, où un chat miaule et un chien aboie, où le thème de l'écologie est bien présent mais pas martelé, où l'animation mélange le moderne et le quasi archaïque, où la partition musicale n'est pas sans rappeler un certain Vangelis. Gints Zilbalodis, après son déjà assez impressionnant "Ailleurs", s'impose donc comme un acteur majeur du film d'animation qui ravira les grands et questionnera les (pas trop) petits.

    Vu en avant-première
    La fille sans nom
    La fille sans nom

    2 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2024
    Cela faisait très longtemps que je n'avais pas eu une telle claque au cinéma. Je vais avoir beaucoup de mal à trouver les mots justes pour parler de ce chef-d'œuvre, mais je vais essayer.
    Flow est un film d'animation qui aborde des questions au centre des (nombreuses) préoccupations mondiales actuelles : le changement climatique, la solidarité ou au contraire l'individualisme, la migration, l'extinction des espèces animales/ végétales... J'ai été bouleversée par tout dans ce film sublime, les images bien sûr, les sons des animaux quand ils sont traversés par différentes émotions (je n'ai pas pu m'empêcher de penser à ma chatte), spoiler: la symbolique derrière la mort de l'oiseau puis celle de la baleine...

    Ce film sans hommes, sans paroles, mais avec cependant des vestiges de traces humaines, n'en est que plus puissant. Avec une poésie et une forme de tendresse exceptionnelles, Flow nous rappelle que les conséquences de nos actes ne vont pas seulement détruire l'humanité mais toutes les formes de vies existantes. Seule l'entraide pourra nous sauver, comme elle a sauvé les animaux du film. Nous devons mettre de côté nos différences, nos préjugés, nos craintes et avancer ensemble pour notre avenir commun.
    Plus que jamais, on comprend que l'union fait la force et que tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.
    Maintenant je vais attendre patiemment la sortie du film en DVD pour pleurer à nouveau !
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    763 abonnés 1 507 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2024
    Avec ce long-métrage animé, le spectateur "plonge" sur une Terre déshumanisée, ravagée par une montée des eaux soudaine.
    Flow, un petit chat attachant, doit affronter cette catastrophe qui dépasse l'entendement, avec pour seul but sa survie !
    Dans cette course contre la nature, il va croiser des alliés improbables : un lémurien vif et cleptomane, un rongeur massif et paresseux, un labrador joueur (et ses amis toutous) et un rapace blessé.
    Ensemble, ces animaux forment une communauté dans laquelle chacun va apporter sa force et son instinct pour faire face à l'inconnu.
    Sans dialogues, ce film réussit tout de même à ensorceler grâce à sa bande-son envoûtante et à son animation frôlant la magie !
    Flow, tantôt vulnérable, tantôt vindicatif, émeut profondément, donnant une âme à cette aventure terrible et fascinante à la fois.
    Attention : ce n'est pas un simple dessin-animé pour le très jeune public (déconseillé aux moins de 8 ans), c'est une odyssée visuelle animalière dans laquelle l'espoir et l'entraide règnent malgré l'adversité.
    Captivant et féérique : une très belle surprise !
    Site CINEMADOURG.free.fr
    cinono1
    cinono1

    297 abonnés 2 052 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2024
    Wahou ! quelle aventure ! plongé complètement dans un monde aux 1001 et dangers, inconfortable. Un monde où l'eau envahit tout, deracinant les arbres, recouvrant les installations, difficile pour nos amis à quatre pattes de survivre mais si chacun peut apporter son savoir.... En plus d'une imagerie à couper le souffle, d'un soin apporté à chaque brindille d'herbe, à chaque nuance du ciel, une magnifique leçon de tolérance, de paix, de solidarité pour une histoire dépourvu de la moindre parole. Peut-être le film ne sait pas vraiment comment finir son histoire, mais quel émerveillement cela fut
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