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    Voyage au bout de l'enfer
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    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    7 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 novembre 2024
    Nous savons que la subtilité n'est pas le fort de Michael Cimino. Il excelle par contre dans la mise en scène de séquences collectives où de multiples personnages interagissent, que ce soit dans un bar, que ce soit lors d'un bal, que ce soit dans un décor de villes ou que ce soit dans un décor de montagne. La destinée de ce groupe d'une même communauté avant, pendant, et après leurs passages au Vietnam pour la célèbre guerre, est par certaines composantes passionnante. Malgré le collectif, c'est l'interaction gré à gré, deux par deux qui intéresse Michael Cimino, quelque soit le lien entre les personnages : ami, amie, copain, bourreau, copain d'infortune, hiérarchie. Peux importe, mais dans la dimension collective, c'est la destiné individuelle de chacun qui intéresse Michael Cimino.

    Le film commente et présente les effets de la guerre du Vietman sur cette communauté. Et à ce titre le film ne contient aucun héros. Comme souvent chez Michael Cimino, son personnage principal n'est pas particulièrement sympathique : Robert de Niro, dans un bon rôle, entre son amour plus ou moins caché de la femme de son ami, sa posture de tête brulée au Vietman qui a des effets collatéraux sur ses amis. Il y a aussi le personnage de Christopher Walken, une espèce de fantôme ; John Savage excelle dans un personnage à fleur de peau et aux multiples stigmates physiques et psychologiques. Et sans oublier Meryl Streep, George Dzundza ou John Cazale. La direction d'acteur est extrêmement efficace, sans être particulièrement subtile.

    Michael Cimino réussit de multiples moments de bravoure, où il met en scène des séquences d'anthologie, y compris la séquence finale où ils et elles se mettent à chanter. C'est un film impressionnant, au premier sens du terme, c'est-à-dire qu'il cause une vive impression, dont nous gardons des images, et provoque des réactions. Une œuvre d'art en quelque sorte.
    jldee
    jldee

    3 abonnés 124 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 juillet 2024
    Toujours aussi impressionnant, je revois ce film à travers les décennies et à chaque fois je suis impressionnée par sa force et sa maîtrise dans le jeu d'acteur de De Niro, Walken Cazale, Savage et Streep etc... Tout est au niveau Tous sint au Top. poignant et révélateur de l'état d'esprit d'un monde de l'époque. Cultissime!!!!
    Charlotte28
    Charlotte28

    128 abonnés 2 036 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 juillet 2024
    Certes, la présentation des Viêt-congs s'inscrit dans un manichéisme blâmable mais ne fait pas pour autant des Américains des héros ni de leur guerre un acte respectable (ainsi de cet ami insistant "on l'a gagnée n'est-ce pas" ou du rapport quotidien à la violence illustrée par l'omniprésence des armes); en outre le propos de ce drame ne s'inscrit pas dans une dimension politique étatique mais dans la description de relations humaines déchirées par la guerre et des incidences de la confrontation avec l'horreur sur des individualités distinctes. Or, sur ce point, la densité psychologique des personnages est fort bien dessinée, renforcée par des comédiens impeccables (touchante Meryl Streep, charismatique Christopher Walken, poignant John Cazale, impénétrable De Niro) ainsi que la jolie histoire d'amour contrariée entre Mike et Linda. Malgré la longueur de certaines séquences, leur justification emporte notre adhésion, d'autant que la réalisation se fait explicite, à l'instar de la sublime musique et de l'ambivalence polysémique du titre (deer/dear hunter) permettant de mettre en lumière un rapport viscéral à la nature somptueusement filmée. Un récit sur les conflits internes et la douleur de vivre.
    Léo Peteytas
    Léo Peteytas

    18 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 juillet 2024
    Dans une petite ville industrielle américaine comme il y en a tant, au sein d'une population ouvrière, un groupe d'amis soudé par un travail difficile et des trajectoires similaires. En son cœur, Michael, Nick, Steven, trois gars plein de vie, s'apprêtent à vivre l'enfer. La guerre du Vietnam. Remarquable d'efficacité, le film de Cimino se découpe en trois parties bien distinctes :

    1. Avant le Vietnam. Temps de l'insouciance, temps de la vie, ce premier chapitre qui pourrait sembler tirer en longueur est en fait un récit de paix. Chacun mène alors sa petite vie, envisage l'avenir et profite des joies du quotidien. Il s'agit sans aucun doute du moment le plus tranquille de tout le film. Pour cause : Pas de nuage à l'horizon, tout est lumineux, rien de terrible ne semble vraiment s'annoncer. S'il n'y avait pas ce soldat morose qui lui, sait ce qui attend Michael, Nick et Steven, en rappelant par sa seule présence que le bonheur éprouvé par cette bande de jeune est provisoire, on se prend de plaisir à suivre la tenue du mariage de Steven. Quel beau moment ! S'il pouvait durer toujours...

    2. Pendant le Vietnam. Voyage en un enfer qui imprimera durablement sa marque sur les destins des protagonistes. Contrairement à Apocalypse Now, sorti également en 1979 - seulement quelques mois plus tard -, les combats ne forment qu'une part très réduite de ce moment - le "peu" qui est montré suffit néanmoins pour être saisi d'effroi, et démontre le caractère atroce de la guerre -, tout entier consacré aux sévices endurés par les soldats américains prisonniers des forces de l'APVN (Armée Populaire de l'Armée Vietnamienne) et, dans une moindre mesure, à l'état du Vietnam à la fin des années 60, au moment de l'offensive du Tết. Alors à la merci de la brutalité, du sadisme de leurs geôliers, Steven (Joué par Savage), Michael (De Niro), Nick (Walken) doivent trouver un moyen d'échapper à une mort inéluctable, au "jeu du pistolet", sorte de roulette russe infâme sur laquelle chacun parie sont argent sur la mort ou la vie de l'un ou l'autre des prisonniers, que l'on force sous la menace des armes, au moyen de coups si nécessaire, à participer. Au-delà de son caractère absolument insupportable, ce long moment de violence et de tension est une merveille de cinéma. Tous les acteurs y sont fabuleux. Cette absolue horreur achève de décomposer ce qu'il restait des trois amis, qui trouvent pourtant un moyen de s'en sortir grâce au sang-froid extraordinaire d'un Michael que la guerre a définitivement révélé comme une force à toute épreuves, autant que comme une sorte de grand frère pour Steven et Nick, s'efforçant à veiller sur eux. Mais à quel prix ? Chacun est traumatisé. Les parcours se séparent ici ; Nick est détruit psychologiquement et n'apparaîtra plus avant un temps, quant à Steven, on ne sait encore ce qu'il devient.

    3. Le temps du retour, contrarié par les ravages physiques et psychologiques de l' "expérience" traumatisante vécue par les amis. Chacun incarne ici la "situation type" d'un soldat du Vietnam. De retour chez lui, Michael, que toute joie, tout sourire semble avoir définitivement quitté, ne parvient pas à retrouver une place dans la vie civile. Un Michael est mort, le nouveau Michael est hanté par les démons du Vietnam. La Cavatina de Stanley Myers, peut-être l'un des plus beaux morceaux jamais écrits pour la guitare [?] - en tout cas, une partition absolument brillante -, permet d'appuyer ce qui se joue : Nous ne sommes plus dans le domaine du "démonstratif", mais du "non-dit". La Cavatina accompagne un Michael qui ne trouve pas le sommeil, un Michael qui pense sans cesse au Vietnam, un Michael plus seul que jamais car il ne parle pas ; comment le pourrait-il ! De façon subtile, De Niro montre ici qu'une personne qui a été en guerre n'en revient jamais ; de retour, elle conserve en elle ses traumatismes, et se trouve incapable de parler avec ses proches de son expérience. Comment comprendraient-ils ce qu'est l'enfer, eux qui vivent en paix, eux qui nagent dans le bonheur sans s'en rendre compte ? Ce bonheur, cette insouciance dont ont été extraits les trois amis, et qui semble maintenant bien loin, est pourtant là, sous les yeux d'un Michael incapable de le saisir. Après l'enfer, tout semble si différent ; le décalage, lui, est réel. La Cavatina semble tout emplir de son air mélancolique. A raison. L'après, c'est qu'il n'y a pas d'après. Chacun doit composer avec. Devenu infirme, Steven voit son entourage complètement chamboulé, et Nick... il n'en reviendra tout simplement pas. Dernière scène d'une violence extrême, évidemment insupportable et malheureuse, elle symbolise la ruine : Quand la vie est victorieuse il y a naissance. Mais quand, au contraire, elle n'est pas victorieuse, quand elle est écrasée, il y a mort. Aboutissement de la critique de la guerre formulée par le métrage, cette séquence n'est pas qu'un point d'orgue à une vie ; sa portée est universelle : D'une guerre, jamais il n'y a de gagnant. Seulement des victimes. Et de la souffrance.

    Alors, que reste t-il ? Se réunir. Aller de l'avant, ou du moins, essayer. Après un voyage au bout de l'enfer, peut-être est-il possible d'envisager une timide reconstruction qui ne sera jamais, évidemment, que partielle. Personne ne ressort indemne de l'enfer, pas même les proches des revenants. Que raisonne la Cavatina, exprimant la misère des Êtres Humains ; s'élançant, aux cieux, tel un chant d'espoir. A la fin, c'est tout ce qu'il reste.
    noodles2
    noodles2

    94 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juillet 2024
    Que dire de plus qui n'a pas été dit de ce chef d'oeuvre que j'ai dû voir en 30ans à peu prés 30aine de fois.
    Que De Niro et Walken sont phénoménales dans leur sincérité, que jamais on a ressenti l'horreur de la guerre avec une telle véracité dans un film, que le film porte des valeurs d'humanisme et de fraternité importantes, que c'est le film qui a fait découvrir Meryl Streep,et qu'on tombe amoureux d'elle comme ses deux protagonistes masculins, que c'est le dernier film de John Cazale, que c'est ici que j'ai entendu pour la 1ere fois la chanson "Can't take my eyes of you" et qu'elle m'est restée dans la tête des années, que la séquence de mariage qui dure 45mn où il ne se passe rien donne envie d'être avec eux, que les paysages de l'Ohio (la forêt) sont sublimes , et enfin que Les séquences de la roulette Russe sont unique et terrifiantes. Je me souviens avoir tellement pleuré dans la scène finale.. d'une tristesse infinie..
    Cher d'oeuvre unique et absolu de l'histoire du cinéma
    fabrice d.
    fabrice d.

    26 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 avril 2024
    Voici un film qui frôle la note de 4.5 et c'est incroyable en soit. Ce film de Cimino est devenu culte ou presque au fil des années, mais dès sa sortie il reçoit 5 oscars et sa réussite était lancée. Ce film sur la guerre du Viet Nam est très psychologique, on suit une bande de copains sur plusieurs années et quelques uns partent à la guerre et n'en reviennent jamais indemne. Le titre français est d'ailleurs plus évocateur dans un sens que le titre original qui est donc vraiment plus original. C'est une bande potes qui chassent après avoir fait la fête le vendredi soir après une semaine dure dans les hauts fourneaux. Le véritable caractère des personnages va se révéler lors de la 2eme partie du film où il y a la fameuse scène de la roulette russe. Ici, on ne parle pas de grade, de régiments, on ne sait rien sur ce que De Niro, Walken et Savage devaient faire au Viet Nam, Cimino ne s'intéresse qu'à montrer la réalité de la guerre une fois prisonnier, il faut sauver sa peau et c'est tout. Ensuite, la 3eme partie du film est le retour incertain des trois amis, on découvre petit à petit ce qu'il s'est passé pour chacun des trois, encore une fois Cimino ne nous dit pas tout, à nous de boucher les trous, mais il est clair qu'ils s'en sortent mal. Notamment Walken qui reste la-bas, devenu fou ou presque et pour lequel De Niro tentera une dernière fois de le sauver pour respecter sa promesse.
    capirex
    capirex

    97 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 avril 2024
    Pour moi c'est là un Chef-d'Oeuvre de Michael Cimino où l'on suit ce groupe d'amis avant, pendant et après la guerre du Vietnam ! Plus qu'un "simple film" de guerre, c’est une réflexion sur les dégâts physiques et surtout moraux qu’elle engendre sur l’Homme !
    Theo
    Theo

    19 abonnés 900 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 avril 2024
    "Voyage au bout de l'enfer" est un monument cinématographique qui dépasse les frontières du genre de guerre pour s'élever au rang d'une œuvre transcendantale, explorant les abysses de l'âme humaine avec une acuité et une sensibilité qui défient toute comparaison. La réalisation de Michael Cimino est une symphonie visuelle et émotionnelle, où chaque plan, chaque scène, résonne avec une intensité rarement atteinte dans l'histoire du cinéma.

    La performance du casting est sans égale. Robert De Niro, dans le rôle de Michael, incarne avec une intensité brûlante le parcours d'un homme confronté à la barbarie, à la perte, et à la quête désespérée de rédemption. Christopher Walken, dans son premier rôle majeur, livre une performance époustouflante, qui lui vaudra un Oscar mérité. Meryl Streep, quant à elle, offre une prestation d'une délicatesse et d'une profondeur bouleversantes, confirmant le début d'une carrière exceptionnelle.

    Le scénario, d'une richesse narrative inouïe, nous emmène des fonderies de l'Amérique ouvrière aux jungles étouffantes du Vietnam, dans un voyage où l'horreur et la beauté se côtoient, où l'amitié et l'amour affrontent les plus sombres aspects de l'humanité. La séquence de la roulette russe, d'une tension insoutenable, n'est pas seulement un moment de cinéma inoubliable ; elle est une allégorie puissante du chaos, de la folie de la guerre, et de la fragilité de la vie humaine.

    La direction artistique et la photographie de Vilmos Zsigmond créent un tableau visuel d'une beauté à couper le souffle, où chaque image pourrait être une œuvre d'art en soi. La musique, notamment la Cavatine de Stanley Myers, enveloppe le film d'une mélodie poignante qui souligne la nostalgie et le drame des vies dépeintes.

    "Voyage au bout de l'enfer" est bien plus qu'un film sur la guerre ; c'est une méditation sur l'âme humaine, un cri déchirant pour la paix et l'humanité dans un monde souvent dépourvu des deux. C'est une œuvre qui nous confronte à nos propres abîmes, qui nous fait pleurer, réfléchir, et finalement, nous émeut profondément. C'est une célébration du cinéma en tant qu'art capable de toucher l'universel à travers le particulier, de transcender la spécificité de son sujet pour parler à chacun d'entre nous, quelque part profondément enfoui, là où se trouvent nos peurs les plus intimes et nos espoirs les plus fous.
    Michael78420
    Michael78420

    46 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mars 2024
    Quel étrange montage ! 1h05 profondément ennuyeuse au cœur de l'Amérique qui ne fait pas envie et sans transition nous voilà plongés en pleine guerre du Viêtnam. Les images de cette guerre sont horribles. On y voit toute l'horreur que subissent les soldats emprisonnés, notamment devoir se prêter à la roulette russe... sous la menace des Viet-Congs armés (cette scène fait d'ailleurs polémique). Le retour au pays est tout aussi brutal. Les relations entre Michael (Robert de Niro), Linda (Meryl Strip) et Nick (Christopher Walken), sont loin d'être claires, ce qui crée une ambiance malaisante amplifiée par les séances de roulette russe. Sur le plan technique le son est d'une qualité déplorable, rendant certains passages quasi inaudibles. Et pendant trois heures, c'est difficile à supporter. Seule réjouissance Robert de Niro ressemble étrangement à Guillaume Canet, ou plutôt l'inverse. Un voyage dont on peut se passer.
    evariste75
    evariste75

    161 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 février 2024
    J'ai revu ce film pour la énième fois... je ne me souvenais pas que c'était aussi ennuyeux !

    Première partie beaucoup trop longue et sans intérêt, mariage, beuveries, chasse au daim... and so what ?

    J'avais pourtant le souvenir d'un film pas trop mal, j'avais assez aimé à sa sortie...

    Ayant vu Apocalypse now, Full Metal Jacket, Platoon, je trouve que ce film ne tient pas la comparaison, malgré un Robert de Niro et un Christopher Walken très bons...
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 février 2024
    Je fais partie de cette génération qui, enfant, n’avait pas la guerre d’Irak, d’Afghanistan ou d’Ukraine, le soir, au journal télévisé, mais la guerre du Vietnam. « Voyage au bout de l’enfer » est une œuvre majeure sur cette guerre, à l'instar d' « Apocalypse Now » de Coppola. Elle dépeint avec lyrisme et acuité l'immigration et la classe ouvrière, avant de se plonger dans l'enfer vietnamien, sublimé par la métaphore de la guerre au chevreuil avec des acteurs captivants tels que Christopher Walken et Robert De Niro. Michael Cimino s'y révèle comme un conteur complet, fusionnant lyrisme et réalisme dans un chef-d'œuvre opératique, qui explore brillamment la vie, la mort, la mythologie, oscillant entre réalisme et légende. Il capture le malaise d'une génération, autant dans ses moments de calme que de conflit. Le film, d'une beauté saisissante, enseigne une leçon implacable sur l'horreur de la guerre et l'importance de la surmonter. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
    Spero
    Spero

    10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 janvier 2024
    Sans doute le plus beau film sur l'amitié, De Niro majestueux. La rude mais chaleureuse Pennsylvanie laisse place à l'humide et angoissant Viêt Nam. Un voyage remplit d'humanité et de dignité.

    Mon film préféré ; et ça c'est tout!
    Le seul dont l'avis importe
    Le seul dont l'avis importe

    27 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 janvier 2024
    Ce film était à l'époque sûrement quelque chose de fou. Mais aujourd'hui c'est long et chiant. Une vraie purge pour moi. (malgré le jeu d'acteur excellent de la part de son magnifique casting et les effets visuels du films spectaculaires pour l'époque)
    Jean Baptiste
    Jean Baptiste

    1 abonné 133 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 décembre 2023
    Mon film préféré sur la Guerre du Vietnam.
    Aucune transition, où nous plonge directement dans la guerre durant le film. L'acting est superbe.
    Récompensé par 5 Oscars en 1979, dont Meilleur Film.
    critiqueélitiste
    critiqueélitiste

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2023
    Totalement sous-côté, malheureusement Apocalypse Now est une référence en terme de films sur la guerre du Vietnam, hors, Voyage au bout de l'enfer est tellement plus impactant du point de vue de l'amitié entre De Niro et Christopher Walken. Bluffant, émouvant, on n'en ressort pas indemne.
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