AlloCiné
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Votre avis sur Blacklight ?
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Le Liam Neeson annuel est arrivé et ce nouvel opus est plutôt pas mal à suivre mais C'EST QUOI CETTE FIN ???? En deux minutes chrono, tout est réglé sans queue ni tête, circulez, y a plus rien à voir !!!???
Dommage, ça gâche tout !
Deux étoiles quand même pour le reste....
Dommage, ça gâche tout !
Deux étoiles quand même pour le reste....
La fin du film est ratée, mais pas le film —quand on aime Liam Neeson, on aime tout ce qu’il fait, mais est-ce la seule raison ? Le film est simple, c’est l’histoire d’un complot simple. Il distrait —ça se poursuit beaucoup, y compris en camion-poubelle. Sa psychologie est basique —Suis-je un gentil ? Mes obsessions m'aident-elles à vivre ? Faut-il obéir toujours aux ordres ? Le film satisfait une part de nous-mêmes qui veut être voyou pour lutter contre les voyous, qui veut anéantir le contrôle étatique dont on sent qu’on est l’objet, qui aime croire au complotisme (aimer y croire ne signifie pas qu’on y croit). Le redresseur de tort, le gentil méchant, c’est la marque de fabrique de l’auteur paraît-il (genre Liam Neeson justement, Gerard Butler, Ben Affleck). C’est toujours palpitant quand il hurle « ça s’arrête ici et maintenant » et qu’il met ça en œuvre dans la foulée. Comme dit le grand méchant loup du film « ça doit être agréable d'être aussi naïf ». Comme nous. Agréable et reposant. A.G.
Trés mauvais.
Rarement vu un film pareil.
Comment cet acteur à pu dériver dans sa carrière ???????
Tout est bateau, pire qu'un telefilm....
dommage
Rarement vu un film pareil.
Comment cet acteur à pu dériver dans sa carrière ???????
Tout est bateau, pire qu'un telefilm....
dommage
🎬 RENGER 📼
Travis Block est un agent spécialiste de l’exfiltration qui travaille pour le FBI et intervient en dernier recours quand toutes les autres options ont échoué. Après plusieurs années de bons et loyaux services, il s’apprête à raccrocher les gants lorsqu’il comprend qu’il est au cœur d’une machination et qu’il va devoir se battre contre sa hiérarchie.
La filmographie de Liam Neeson ne cesse de se ressembler année après année, à tel point que ce dernier en est devenu un "mème" à lui tout seul, si bien que cette nouvelle « Liam-Neesonnerie » ne s’avère être rien d’autre qu’une resucée de ce qu’il fait depuis bien trop longtemps maintenant (depuis plus d’une décennie).
A la réalisation, on retrouve Mark Williams, déjà responsable du pathétique The Good Criminal (2020), en pareille circonstance, il ne fallait s’attendre à rien d’autre qu’une énième purge en compagnie de papy Neeson. A bientôt 70ans, ce dernier commence réellement à devenir gênant, voir ridicule par moment. Les courses-poursuites sont à l’image du bonhomme, elles ne durent jamais bien longtemps, le type est à bout de souffle en un rien de temps et tout cela ne semble absolument pas le gêner. La mise en scène ne se donne aucun mal pour donner le change et nous montre un Liam Neeson vieillissant qui se bat comme s’il était sur le ring d’un EHPAD, les coups sont mous et sans la moindre assurance (y avait-il un coordinateur des cascades sur le tournage ?). A la rigueur, le film aurait sans doute été plus crédible s’ils avaient laissé sa doublure cascade faire tout le travail, plutôt que de nous imposer un Liam Neeson vieillissant et sans âme. Il en est aussi de même avec les courses-poursuites en voitures, toutes plus ridicules les unes que les autres, avec des artifices totalement flinguées (la Dodge Challenger SRT Hellcat qui fait des dérapages et fait crisser ses pneus au moindre coup de volant afin d’accentuer le peu d’action qui en émane). On s’amusera aussi de la poursuite entre la Dodge Challenger et un camion benne (déversant sur la chaussée des sacs poubelles pour recréer un semblant d’action), les rues sont désertes, il n’y a pas un seul passant et aucun véhicule à l’horizon et dans le plan suivant, la poursuite se termine à pied, dans des rues noires de monde… Aucun raccord entre les plans, visiblement ils n’en avaient strictement rien à foutre, on pourra aussi se questionner sur le choix d’avoir tourné à Canberra en Australie, censée faire croire qu’ils sont à Washington (! !!), alors que la non-ressemblance saute aux yeux).
De toute façon, rien ne va dans Blacklight (2022), ni son interprète principal qui semble ne toujours pas vouloir raccrocher les gants, ni le scénario qui sent la rance et avec lequel on n’y croit pas un seul instant (on veut nous faire croire que le FBI, l’agence la plus puissante au monde, se ferait dépasser par un vieillard gâteux bourrés de TOC ?). Même la mise scène ne parvient pas à sauver les meubles, le montage en fait des caisses et les scènes d’action sont soient lénifiantes soient complètement foiréǝs (mention spéciale à la scène d’ouverture et l’explosion en CGI low cost du camping-car). Il serait bien plus sage de laisser Neeson prendre sa retraite plutôt que de nous infliger ce genre de purge dénuée d’un quelconque intérêt.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
La filmographie de Liam Neeson ne cesse de se ressembler année après année, à tel point que ce dernier en est devenu un "mème" à lui tout seul, si bien que cette nouvelle « Liam-Neesonnerie » ne s’avère être rien d’autre qu’une resucée de ce qu’il fait depuis bien trop longtemps maintenant (depuis plus d’une décennie).
A la réalisation, on retrouve Mark Williams, déjà responsable du pathétique The Good Criminal (2020), en pareille circonstance, il ne fallait s’attendre à rien d’autre qu’une énième purge en compagnie de papy Neeson. A bientôt 70ans, ce dernier commence réellement à devenir gênant, voir ridicule par moment. Les courses-poursuites sont à l’image du bonhomme, elles ne durent jamais bien longtemps, le type est à bout de souffle en un rien de temps et tout cela ne semble absolument pas le gêner. La mise en scène ne se donne aucun mal pour donner le change et nous montre un Liam Neeson vieillissant qui se bat comme s’il était sur le ring d’un EHPAD, les coups sont mous et sans la moindre assurance (y avait-il un coordinateur des cascades sur le tournage ?). A la rigueur, le film aurait sans doute été plus crédible s’ils avaient laissé sa doublure cascade faire tout le travail, plutôt que de nous imposer un Liam Neeson vieillissant et sans âme. Il en est aussi de même avec les courses-poursuites en voitures, toutes plus ridicules les unes que les autres, avec des artifices totalement flinguées (la Dodge Challenger SRT Hellcat qui fait des dérapages et fait crisser ses pneus au moindre coup de volant afin d’accentuer le peu d’action qui en émane). On s’amusera aussi de la poursuite entre la Dodge Challenger et un camion benne (déversant sur la chaussée des sacs poubelles pour recréer un semblant d’action), les rues sont désertes, il n’y a pas un seul passant et aucun véhicule à l’horizon et dans le plan suivant, la poursuite se termine à pied, dans des rues noires de monde… Aucun raccord entre les plans, visiblement ils n’en avaient strictement rien à foutre, on pourra aussi se questionner sur le choix d’avoir tourné à Canberra en Australie, censée faire croire qu’ils sont à Washington (! !!), alors que la non-ressemblance saute aux yeux).
De toute façon, rien ne va dans Blacklight (2022), ni son interprète principal qui semble ne toujours pas vouloir raccrocher les gants, ni le scénario qui sent la rance et avec lequel on n’y croit pas un seul instant (on veut nous faire croire que le FBI, l’agence la plus puissante au monde, se ferait dépasser par un vieillard gâteux bourrés de TOC ?). Même la mise scène ne parvient pas à sauver les meubles, le montage en fait des caisses et les scènes d’action sont soient lénifiantes soient complètement foiréǝs (mention spéciale à la scène d’ouverture et l’explosion en CGI low cost du camping-car). Il serait bien plus sage de laisser Neeson prendre sa retraite plutôt que de nous infliger ce genre de purge dénuée d’un quelconque intérêt.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Liaam Neeson joue toujours le même type de personnage. Il incarne son rôle de justicier à l'infini façon taken... C'est lassant. C'est le film de trop. Liaam, tu dois te renouveler, tu vas finir comme Bruce Willis...
J’aile Liam Neeson et je pensais voir l’esprit de Taken dans ce film même si avec besson il ne faut s’attendre à rien …
Ici tout est cousu de fil blanc mais surtout liam a vécu et vieilli , les gens s’ennuient . Aucun personnage charismatique et une fin abrupte nullissime comme si soudain le producteur avait dit allez on ferme il n’y a p’si d’argent . A éviter d’urgence
Ici tout est cousu de fil blanc mais surtout liam a vécu et vieilli , les gens s’ennuient . Aucun personnage charismatique et une fin abrupte nullissime comme si soudain le producteur avait dit allez on ferme il n’y a p’si d’argent . A éviter d’urgence
C'est un navet. Rien ne va. Liam Neeson est vieux et fatigué. Les autres acteurs dignes d'une vulgaire serie B. Le scénario est médiocre, les rebondissements évidents. Franchement un des pires thrillers de Liam Neeson, ça ne mérite même pas d'être diffusé un soir sur TMC. Nul.
J'ai hésité à ne mettre que 2 étoiles. .. J'ai aimé le film jusqu' aux 3/4 de sa projection. La suite ( et fin ) est totalement ratée étant ramenée à de tels raccourcis qu'on a l'impression que la production manquait de pellicules pour étoffer.. . Dommage. L. N reste dans son rôle de gros bras vieillissant mais pour une fois cela cadre avec le rôle.
Mal reçu, le film propose un scénario et des personnages intéressants mais a du mal à garder l’attention, il propose une fougue de scènes d’action mais a du mal à se montrer palpitant, ne possède aucun passage morne et est à la fois mal rythmé, des caméras frénétiques à l’effet redondant, voir soporifique, le film est généreux… et manque pourtant d’oxygène.
Quelque chose ne va pas.
Pour commencer: le film vendu par la comm correspond au dernier acte: pour faire simple: bande annonce et synopsis sont un énorme spoil du film dans son intégralité, bien que de toutes manières, tout-y est prévisible et sans surprises.
Ça file tout droit, sans vraiment jamais embarquer le spectateur, comme regarder un spectacle convenu en étant en bonus mal placé.
Sans doutes que le film aurait été mieux reçu si Liam Neeson n’était pas à sa tête: Là, bien qu’il s’agisse pour la énième fois toujours de son personnage type, "Tra vis Block" (déjà rien que le nom du personnage annonce le goût) est au ralenti.
Oubliable.
Dommage.
Quelque chose ne va pas.
Pour commencer: le film vendu par la comm correspond au dernier acte: pour faire simple: bande annonce et synopsis sont un énorme spoil du film dans son intégralité, bien que de toutes manières, tout-y est prévisible et sans surprises.
Ça file tout droit, sans vraiment jamais embarquer le spectateur, comme regarder un spectacle convenu en étant en bonus mal placé.
Sans doutes que le film aurait été mieux reçu si Liam Neeson n’était pas à sa tête: Là, bien qu’il s’agisse pour la énième fois toujours de son personnage type, "Tra vis Block" (déjà rien que le nom du personnage annonce le goût) est au ralenti.
Oubliable.
Dommage.
darkvash
Cela fait quelques temps que Liam Neeson tourne en boucle dans ses rôles. Toujours vétéran de, spécialiste d'autre chose, il y a par contre toujours un problème. Tantôt alcoolique ou malade, perte familiale, bref pas folichon mais il reste l'homme de la situation.
Car, à 70 ans, il rigole pas le Liam.
Pas besoin de raconter le film ici, tout est pipé.
La première scène se déroule sous nos yeux impuissants et le constat arrive très vite, ça va être nul.
La gars arrive à passer sans se faire voir, discuter avec sa cible, slalomer entre les caravanes tel l'homme invisible, faire tout péter dans une explosion dignes de la PS2, et repartir la fleur au fusil avec la cible.
Puis vint les dialogues interminables où on t'explique le scénario, le background des personnages puis la course poursuite en voiture. Digne des plus grandes poursuites de Steeve McQueen, entre un camion poubelle et une Dodge, Dodge qui fait de la peine. Oui, car il est évident qu'a 30 km/h, les pneus ne font pas de la fumée et couinent comme cela, c'est inutile.
Puis on continue à se faire chier dans un déluge de dialogues, une bagarre surcotée car à 70 ans on se bat avec un déambulateur et non comme à 20 ans, et redialogues et scène d'action molle du genou de fin.
Au delà du non effort sur la réalisation, ce qui choque le plus c'est un scénario paresseux, invraisemblable et des dialogues qui font peine.
On ne croit pas une seule seconde que le directeur du FBI se fasse avoir comme ça, se retrouve sans protection efficace face à pépé.
Donc, Liam Neeson continue sa descente vers le DTV, va bientôt rejoindre Bruce Willis et Nicolas Cage et pourquoi pas, à eux 3, nous faire une masterclass de nanar qui traversera les âges et se bonifiera tel un bon vin...
Car, à 70 ans, il rigole pas le Liam.
Pas besoin de raconter le film ici, tout est pipé.
La première scène se déroule sous nos yeux impuissants et le constat arrive très vite, ça va être nul.
La gars arrive à passer sans se faire voir, discuter avec sa cible, slalomer entre les caravanes tel l'homme invisible, faire tout péter dans une explosion dignes de la PS2, et repartir la fleur au fusil avec la cible.
Puis vint les dialogues interminables où on t'explique le scénario, le background des personnages puis la course poursuite en voiture. Digne des plus grandes poursuites de Steeve McQueen, entre un camion poubelle et une Dodge, Dodge qui fait de la peine. Oui, car il est évident qu'a 30 km/h, les pneus ne font pas de la fumée et couinent comme cela, c'est inutile.
Puis on continue à se faire chier dans un déluge de dialogues, une bagarre surcotée car à 70 ans on se bat avec un déambulateur et non comme à 20 ans, et redialogues et scène d'action molle du genou de fin.
Au delà du non effort sur la réalisation, ce qui choque le plus c'est un scénario paresseux, invraisemblable et des dialogues qui font peine.
On ne croit pas une seule seconde que le directeur du FBI se fasse avoir comme ça, se retrouve sans protection efficace face à pépé.
Donc, Liam Neeson continue sa descente vers le DTV, va bientôt rejoindre Bruce Willis et Nicolas Cage et pourquoi pas, à eux 3, nous faire une masterclass de nanar qui traversera les âges et se bonifiera tel un bon vin...
Liam Neeson incarne ici un agent opérant en secret pour le FBI.
Totalement paranoïaque à cause de son métier, il va se retrouver mêlé à un complot meurtrier visant des civils.
Affublé d'un scénario sans grande originalité et un rien poussif, ce thriller plaira tout de même aux grands fans de l'acteur, dont je fais partie.
A presque 70 balais, papy Neeson rempli sans éclat le cahier des charges de cette production policière plutôt efficace, même si elle ne restera pas dans les mémoires très longtemps.
Voilà le film pop-corn typique qui réussi à nous tenir en haleine sur 108 minutes : ce n'est déjà pas si mal !
Acceptable, mais sans génie.
Site CINEMADOURG.free.fr
Totalement paranoïaque à cause de son métier, il va se retrouver mêlé à un complot meurtrier visant des civils.
Affublé d'un scénario sans grande originalité et un rien poussif, ce thriller plaira tout de même aux grands fans de l'acteur, dont je fais partie.
A presque 70 balais, papy Neeson rempli sans éclat le cahier des charges de cette production policière plutôt efficace, même si elle ne restera pas dans les mémoires très longtemps.
Voilà le film pop-corn typique qui réussi à nous tenir en haleine sur 108 minutes : ce n'est déjà pas si mal !
Acceptable, mais sans génie.
Site CINEMADOURG.free.fr
Ce n'est pas le meilleur film de Liam Neeson et préféré ICE road sortie l'an passé mais ils très bon a 70 ans toujours en forme les amateurs du genre ne seront pas déçu.
C’est une réalisation de Mark Williams (II), l’un des créateurs de la série Ozark. Son dernier film The Good criminal avait déjà Liam Neeson à l’affiche. Le scénario de Blacklight a été écrit avec Nick May, un ancien avocat du ministère américain de la Justice ayant œuvré sous l'administration Obama. Pour le faire, les deux hommes se sont inspiré des activités du COINTELPRO (Programme de Contre-espionnage dans les années 60 et 70), une série d’opérations secrètes et illégales orchestrées par le FBI et destinées à surveiller, infiltrer, discréditer et perturber les organisations politiques américaines.
La présence de Liam Nelson suffit souvent à caractériser un film. Depuis quelques années, l’acteur ne prend aucun risque et nous répète toujours le même schéma. Ce sera sans surprise encore une fois le cas dans Blacklight. Il n’y a donc rien de nouveau à l'horizon. Une chose à préciser tout de même, et non des moindres, on sent que l’Américain est en train de baisser en régime. Malheureusement, les années passent et cela se ressent. On le sent moins dynamique. Alors qu’avant, c’était quand même un peu agréable à regarder, maintenant ça devient ennuyant.
Surtout qu’en parallèle, le scénario n'est vraiment pas terrible. Cette histoire avec le FBI est basée sur des faits donc on ne peut qu'y croire. Par contre la manière dont se construit Blacklight est un peu plus douteuse. L’interaction avec le monde extérieur est peu crédible. La volonté de vouloir construire quelque chose d’un peu plus complexe échoue. Cela rajoute juste de la lourdeur. En plus de la réalisation qui n’est pas très bonne, les effets spéciaux ne sont clairement pas au niveau. L’utilisation des projecteurs LED Light Wall et au moteur de jeu vidéo Unreal Engine n’est clairement pas concluante. Il y a de quoi s’en faire.
Il serait de mauvaise foi de dire que ce n’est pas un minimum divertissant. Qui ne prend pas un plaisir malsain à voir des courses-poursuites où un camion explose tout ce qui bouge ? Par contre, il faut que ça reste constant ce qui n’est pas le cas ici. Au début, c’est fun car c’est raisonnable. Après ça devient tellement exagéré qu'au bout d’un moment, c’est fatigant. La scène de la maison, on est le symbole. Trop, c’est trop.
Tout cela est aussi sûrement dû à la construction même du personnage joué par Liam Neeson. On ne va pas se mentir, l’acteur n’est plus trop convaincant dans ce type de rôle. Travis devra être le sauveur de tout celui en empêchant le FBI de sévir. À part bouger dans tous les sens celui-ci est un peu vide. Il y aura bien cette histoire de TOC pour tenter de lui mettre du piment. Malheureusement, cet axe est quand même assez mal exploité. Ce ne sont pas les quelques pauvres effets insérés ici et là qu’ils arriveront à lui donner du caractère.
La présence de Liam Nelson suffit souvent à caractériser un film. Depuis quelques années, l’acteur ne prend aucun risque et nous répète toujours le même schéma. Ce sera sans surprise encore une fois le cas dans Blacklight. Il n’y a donc rien de nouveau à l'horizon. Une chose à préciser tout de même, et non des moindres, on sent que l’Américain est en train de baisser en régime. Malheureusement, les années passent et cela se ressent. On le sent moins dynamique. Alors qu’avant, c’était quand même un peu agréable à regarder, maintenant ça devient ennuyant.
Surtout qu’en parallèle, le scénario n'est vraiment pas terrible. Cette histoire avec le FBI est basée sur des faits donc on ne peut qu'y croire. Par contre la manière dont se construit Blacklight est un peu plus douteuse. L’interaction avec le monde extérieur est peu crédible. La volonté de vouloir construire quelque chose d’un peu plus complexe échoue. Cela rajoute juste de la lourdeur. En plus de la réalisation qui n’est pas très bonne, les effets spéciaux ne sont clairement pas au niveau. L’utilisation des projecteurs LED Light Wall et au moteur de jeu vidéo Unreal Engine n’est clairement pas concluante. Il y a de quoi s’en faire.
Il serait de mauvaise foi de dire que ce n’est pas un minimum divertissant. Qui ne prend pas un plaisir malsain à voir des courses-poursuites où un camion explose tout ce qui bouge ? Par contre, il faut que ça reste constant ce qui n’est pas le cas ici. Au début, c’est fun car c’est raisonnable. Après ça devient tellement exagéré qu'au bout d’un moment, c’est fatigant. La scène de la maison, on est le symbole. Trop, c’est trop.
Tout cela est aussi sûrement dû à la construction même du personnage joué par Liam Neeson. On ne va pas se mentir, l’acteur n’est plus trop convaincant dans ce type de rôle. Travis devra être le sauveur de tout celui en empêchant le FBI de sévir. À part bouger dans tous les sens celui-ci est un peu vide. Il y aura bien cette histoire de TOC pour tenter de lui mettre du piment. Malheureusement, cet axe est quand même assez mal exploité. Ce ne sont pas les quelques pauvres effets insérés ici et là qu’ils arriveront à lui donner du caractère.
Fêtons le cinéma
L’intérêt que présente Blacklight consiste à repousser jusqu’à son dernier tiers la vengeance personnelle, si fréquente dans la filmographie de Liam Neeson, pour se concentrer sur la figure vieillissante d’un agent du FBI confronté à ses échecs : échecs professionnels d’une part, puisque ses courses-poursuites se soldent par un essoufflement, une évasion, une disparition subie ; échecs familiaux d’autre part, Travis Block se définissant lui-même comme un mauvais époux et un mauvais père. Sa petite-fille permet à ces deux fils narratifs de converger lors d’un dernier acte déjà-vu et cliché : elle offre à Travis l’occasion de renaître en grand-père, « le meilleur grand-père possible » selon ses dires, et ainsi de mettre fin à ces « pensées qui tournent dans la tête » et le hantent au quotidien.
Le long métrage, qui a la bêtise d’esthétiser à tout-va, ose néanmoins faire de Liam Neeson, habitué au cinéma d’action bourrin depuis quelques années maintenant, une ombre à lui-même et aux autres, en témoigne le souci que se font ses proches et ses collègues, l’inquiétude, l’incompréhension. Là réside l’intérêt de cette production sérielle : raccorder un agent sur le déclin au caractère imprévisible d’une existence qui tend de plus en plus à devenir routinière, prévisible en somme, une vie qui s’assombrit et le prend au piège.
Le long métrage, qui a la bêtise d’esthétiser à tout-va, ose néanmoins faire de Liam Neeson, habitué au cinéma d’action bourrin depuis quelques années maintenant, une ombre à lui-même et aux autres, en témoigne le souci que se font ses proches et ses collègues, l’inquiétude, l’incompréhension. Là réside l’intérêt de cette production sérielle : raccorder un agent sur le déclin au caractère imprévisible d’une existence qui tend de plus en plus à devenir routinière, prévisible en somme, une vie qui s’assombrit et le prend au piège.
Les séances de poursuite de voitures/camion et les scènes de mitraillage-à-qui-mieux ( visiblement il y a peu de scènes de rechargement des fusils d'assaut - mais bref) alternent à qui mieux mieux. Mais bon, Liam Neeson est exactement comme Clint Eastwood : il y a un âge où tourner des scènes de bagarre - intenses - peut se révéler au dessus de ses forces, et cela se voit ! Enfin quand à la morale de l'histoire un "repenti" du FBI qui réussit à faire "tomber" son ancien patron, on a le droit d'y croire...mais c'est franchement peu crédible !
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