Avis : Blacklight - Page 3

Sacré Liam Neeson, dans un rôle "habituel" maintenant, toujours aussi dynamique, intelligent, justicier !!! En effet, l'analogie avec Clint Eastwood est notable.... Ils sont presque sur le départ, mais sont remis en selle - tellement leurs performances sont appréciées et incontournables - dans les films.... je veux dire. Ce dernier "épisode" je serais censé dire, tire son scénario, d'un proche également directeur du FBI, quelque peu véreux.....De bonnes cascades et des pièges ingénieux, heureusement... mais ce scénario n'est pas trop crédible, et n'offre pratiquement rien de novateur.... Dommage ! Finalement c'est plutôt frustré que l'on ressort de ce visionnage.... !!**

"Blacklight" est un nouveau thriller mettant en vedette Liam Neeson. Il est vrai que ce genre de projet commence un peu à devenir très redondant. L'acteur a vieilli depuis son interprétation dans "Taken", il est donc assez compliqué de se dire qu'il peut être aussi performant qu'à l'époque. Pourtant, là où beaucoup de films de ce genre s'avèrent vraiment peu intéressants et classiques, celui-ci a un petit quelque chose en plus. Rien de bien extraordinaire, mais il est quand même un peu au-dessous des productions habituelles du genre. Et là où il va réussir à se démarquer, cela va être au niveau de son histoire. Globalement, j'ai beaucoup apprécié les thématiques et ce qu'essaye d'aborder le film. Tout au long de l'œuvre, nous allons être témoin d'une confrontation d'idées, déjà vues certes, mais toujours intéressante à mettre en scène. Le principe va être de confronter la moralité à la sécurité. Tout cela est retranscrit via le personnage de Travis, un employé du FBI qui est tiraillé entre ces deux choix. Il peut soit décider de choisir la sécurité s'assurant de protéger sa famille qu'il a délaissé pendant de nombreuses années au profit de son métier, soit de se battre pour ces convictions et ce qu'il trouve juste. Le sujet est bien exploré, le personnage de Travis étant vraiment intéressant. Rares sont les personnages interprétés par Liam Neeson dans ce genre de production à être autant attachant. Son rapport avec sa petite fille, notamment, apporte vraiment une humanité extrêmement importante pour ce type de personnages. L'histoire va donc beaucoup nous questionner, comme notre héros, sur ses différentes thématiques et en passant également un message sur des complots sociétaux des États-Unis. Le film se veut plus profond qu'il n'y paraît et n'est pas sans rappeler certains gros scandales de ce pays. Cependant, l'action n'est forcément pas à oublier, bien que celle-ci soit en demi-teinte. Les scènes de courses-poursuites sont très impressionnantes, mais il est clair que les scènes de combat le sont bien moins, l'âge de l'acteur se ressentant de plus en plus. J'ai donc trouvé cela intéressant d'en tenir compte en les limitant et en se concentrant sur l'histoire. Le long-métrage ne révolutionne donc rien, mais il essaye de se vouloir un poil plus prenant que certains de ces homologues, un parti-pris bien venue. Pour conclure, du déjà vu, mais sans que cela ne soit gênant.

Faire un film d'action c'est bien mais savoir développer une histoire c'est mieux. NUL !!!!!!!!!! Sincèrement je ne comprend pas comment on peut pondre une **** pareille

Film très lent, l'acteur est très mal exploité...
Je ne m'attendais pas à cela, j'ai failli m'endormir...

Immonde !
Ce film n'a AUCUN point positif !!
Un scénario incompréhensible , des acteurs qui sont là pour le chèque , un Liam Neeson vieillissant , AUCUN plan intéressant , aucune émotion .
Bref , le néant !

Alors que dire, le scénario est connus par pas mal d'autres films, mais sans autant d'incohérence.

Sans parler du jeux d'acteur, acteur fatiguée sans doute, sin on les scènes d'action pas très crédibles

Nul aucun intérêt c'est lent c'est du vu et revu mais en version nul et le type avec ses toc ridicules, c'est vraiment dommage pour Liam Neeson qui est un acteur crédible dans ses rôles mais là ça sent le film pour le salaire.

Ah! Liam, Liam ! Quand tu dois te retourner et voir TAKEN , tu dois dois te dire "Pt'1 ! C'est dur de vieillir, mec !!"
Comme je te comprends, ancien sportif de haut niveau moi même , je vois le poids des ans sur mes articulations !! Mais, bon , si tu veux pas finir comme Steven Seagall , Nicolas Cage ou Bruce Willis à cachtoner dans des films de 13 éme zone , il va falloir raccrocher !!!
ICE ROAD était déjà celui de trop , alors là, c'est sur que tu dois voir la *lumière noire* ("Blacklight)" au bout de ton tunnel ...
Un film poussif , une action poussive (camion poubelle , pffff Liam, enfin??) un scénario trop faible et des combats au ralenti pour une fin bâclée , dégueulasse ... Y avait plus un sou pour finir ou quoi??
STP , Laisse nous sur un bon souvenir du vengeur de TAKEN , glacé et impitoyable (dont on rêvait tous secrètement de ressembler au moins pour un jour) et raccroche les gants , ça vaudrait mieux pour ta légende ...

que dire d ce nouveaux Liam Neeson . après le désastreux ice road Liam reviens dans no cinéma pour nous offrire "black light" bien loin du synopsis de base ,blackimight est très bien écrit ,le film arrive à s'éloigner des films type Taken et a créer sa propre histoire , la rea nous vien du même réalisateur de "thé good criminal" et elle est excellente bien plus développée ,bien plus inspirée et bien plus agréable . mais le film a beaucoup de problème , la photographie est dégueulasse. c'est grisâtres a fond et c'est moche ya rien , c'est montée avec le q et sa cut tout le temp c'est infernale on arrive pas à profiter des plan séquence et le montage de Liam qui essaie de se reconnecter à la réalité est tout le temp le même . la fin est vraiment toute pourrie ,l'impression d'être couper en pleine action pour une fin toute clichée. au final blacklight est loin d'être un mauvais film mais avec des point positifs cacher derrière tout ses problèmes

A force de jouer les mêmes rôles, Liam Neeson prends le risque de faire toujours moins bien que les précédents, l’âge n'aidant pas , il devient de moins en moins crédible
La curiosité, et une semaine un peu calme me pousse quand même à aller voir ce film. Le scénario sans être original, et divertissant, enfin au début, car va devient grotesque, Brook , 70 ans, un peu bedonnant, arrive a mettre la raclé à de jeune sur entraîné. Sans parler de la fin, qui est complètement nul, voir incohérente vu la mentalité des personnages, limite honteux
Bien sans plus, le film est sans originalité, mais divertissant, surtout si on mets le cerveau en pause Faut passer à autre chose, Taken c’est fini !!!

Liam Neeson reprend du service dans "Blacklight" (2022). Atteint cette fois de troubles obsessionnels compulsifs, Papy Neeson incarne ici un agent sous couverture qui bosse pour le F.B.I! Toute ressemblance entre ce thriller d'action sans surprise et les prècèdents films de Neeson ne saurait qu'être fortuite! Rien de neuf à l'horizon avec du chantage politique et des agents corrompus! La mise en scène manque clairement d'originalitè et Liam traine la patte en jouant toujours la même chose! De plus, le scènario s'appuie sur un concentrè de clichès au dènouement expèditif! Bref, tout est poussif, tirè par les cheveux et cousu de fil blanc, mais au moins on sait qui appeler si les choses veulent être bien faites! Dommage pour Liam qu'on attend de revoir dans un rôle à sa mesure ("Schindler's List")...

Après « The Good Criminal » et « Le Vétéran », Mark Williams rempile aux côtés de Liam Neeson dans un nouveau rôle sous-mesure et sans contestation. Le résultat est alors triste à observer, de la part d’un comédien qui franchit un cap supplémentaire dans le désintéressement de ses projets d’action, de complots et de kidnappings, qui n’ont rien à défendre, hormis le maigre contexte, censé lancer la machine à série B. Que l’on aime ou non cette proposition de style, celle qui va chercher des sbires à dérouiller, jusqu’à un climax qui se résout en un coup sur la détente ou une pression sur un interrupteur, le personnage de Neeson a souvent captivé par sa présence et sa maturité. Hélas, il faudra rétropédaler assez longtemps ou bien patienter jusqu’à la prochaine intervention musclée pour s’armer d’espoir et ne pas en prendre pour une bonne heure et demie d’ennui ferme.

La crise sanitaire semble avoir considérablement limité certaines approches, limitant l’intrigue à des conflits internes dans une agence gouvernementale, évidemment peu fiable. Travis Block est pourtant toujours en service, prêt à répondre aux besoins d’agents infiltrés compromis, mais c’est également une figure paternelle, absente et maladroite. Pas de quoi désorienté le dernier spectateur venu. Le héros ordinaire en deuil reste crédible, du moins sur le papier, mais la promesse sera de courte durée. Alors que l’on ouvre sur ce sentiment d’une diversion nécessaire pour que la mission soit accomplie, on découvre que la pauvreté du geste est bien plus profonde que l’animosité de suprémacistes blancs, qui brandissent fusils et mitraillettes comme des fourches mal aiguisées. Le montage des courses-poursuites ou des combats rapprochés témoigne d’une mécanique qui ne prend pas la peine de masquer son manque de rigueur.

L’âge du bonhomme pourrait trouver un développement plus conséquent dans un format qui ne semble plus adapté à la condition physique du comédien irlandais. Tout comme lui, le récit ne cesse de s’essouffler, jusqu’à émettre de la buer sur la narration déjà bancale du scandale visé. Cette non-volonté d’incarner le héros va de pair avec le journalisme naïf que l’on croise et qui devrait tenir les clés d’une bombe à retardement. Ici, nous n’aurons que le minuteur dans le visuel, sans l’impact derrière, sans la vivacité que nous sommes en droit de revendiquer. Au lieu de cale, tout n’est que paresse et bourdonnement. Le climax s’achève dans une pataugeoire, ridiculisé à souhait par une chorégraphie incompréhensible, où les balles rebondissent partout dans le mobilier, à qui on en veut énormément il faut croire.

Ce n’est pas l’histoire d’une famille à reconstituer, qui viendra étoffer une partition hésitante ou l’éveil d’une conscience qui apportera réponses et satisfactions au pays des pugilats mécaniques. Nous faisons face à un « Blacklight » dévitalisé, au même titre que le comédien vedette, qui ne souhaite plus rien porter dans une carrière aussi trouble et sans issue. S’il fallait trouver un baroud d’honneur pour l’aider à surmonter davantage les déboires personnels de Neeson, ce film semblerait tout indiqué pour achever cette mauvaise mine, qu’il traîne depuis trop longtemps.

On a cette fâcheuse impression que depuis presque 15ans et la sortie de Taken, que liam Neeson a, à peu près, travaillé pour tout les organismes de police et d'agences secrètes des états-unis. Le problème de ce Blacklight est qu'il est tellement balisé qu'il est en insipide, le scénario n'es qu'une succession de scènes déjà vues, pour de plus aboutir à un final absurde tant il est expédié. Liam Neeson mérite tout de même mieux que cette éternelle recommencement de film lambda aussitôt vue, aussitôt oublié.

Une nouvelle série B d'action pour l’inoxydable ou presque Liam Neeson qui traîne encore et toujours plus la patte. Ce qui est logique vu son âge. Le pauvre : il a du mal à courir et pour ce qui est de distribuer des pains, ça devient poussif aussi...Englobons ces molles scènes d'action par une histoire familiale vue et revue (un père absent, obsédé par son boulot, qui ne s'entend pas avec sa fille) et un responsable du FBI corrompu et je me dis qu'ils n'ont pas dû aller chercher bien loin pour tourner ce film. J’appellerai limite ça de la fainéantise vu le niveau. Ils savent que Liam a ses fans depuis Taken, qu'ils aiment le voir dans ce rôle de justicier solitaire donc autant leur donner ce qu'ils veulent sans se fouler.

film sans intérêt passée une scène d'ouverture simple mais efficace, rien n'est prenant, rien de palpitant, on s'ennuie, le film "fonce" à 2 à l'heure, passez votre chemin.