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Noëline 🎞️🤍
7 critiques
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1,0
Publiée le 15 octobre 2024
J'ai toujours entendu dire que ce film était un classique, j'ai même étudié le début en cours, mais je crois qu'il fait surtout parti de ces films qui ont mal vieilli. C'est un film rempli de stéréotypes à la fois féminin et masculin. Si la femme ne pèse pas 50 kg, elle est bonne pour finir vielle fille et si un homme n'est pas beau gosse et charismatique, il n'a aucune chance de séduire... On a là des visions beaucoup trop mauvaise en termes d'influence sociale, ce qui est plutôt dommage, car le casting est bon et certains aspects de l'histoire sont touchants.
Ce genre de comédie romantique à l’anglaise est une spécialité bien connue maintenant. Quand c’est raté, c’est insupportable. Mais quand c’est réussi, comme dans ce film-là, c’est exquis. On aime, on rit et on pleure de joie car la fin et toujours optimiste. Bref c’est à regarder sans retenue et en famille…
Le film "Le Journal de Bridget Jones" est un cas intéressant dans le panorama du cinéma romantique des années 2000. L'adaptation de Sharon Maguire du roman d'Helen Fielding réussit à la fois à captiver et à exaspérer, mélangeant habilement humour et mélodrame pour dessiner le portrait d'une femme à la recherche de l'amour et de l'auto-acceptation.
Au cœur du film se trouve Renée Zellweger, dont la performance en Bridget Jones est à la fois charmante et exaspérante. Zellweger, avec son accent britannique adopté et son habillement quelque peu démodé, incarne parfaitement une héroïne imparfaite mais profondément humaine. Son interprétation, oscillant entre la comédie et le pathos, rend le personnage de Bridget à la fois relatable et irritant.
Le scénario, co-écrit par Richard Curtis, Andrew Davies, et Fielding elle-même, tisse une histoire d'amour triangulaire impliquant Daniel Cleaver (Hugh Grant) et Mark Darcy (Colin Firth). Grant joue le rôle de l'antagoniste séduisant avec un charme désinvolte qui fait souvent oublier ses traits moins attrayants. Firth, de son côté, offre une interprétation stoïque de Darcy, équilibrant rigidité et vulnérabilité.
Visuellement, le film utilise Londres comme un personnage en soi, avec ses panoramas urbains qui servent de toile de fond à l'agitation émotionnelle de Bridget. La direction artistique et les costumes renforcent le côté à la fois terre-à-terre et fantaisiste de l'histoire.
La bande originale du film, comprenant le hit "It's Raining Men" par Geri Halliwell, capture l'essence joyeuse et parfois tumultueuse de la vie de Bridget. La musique, bien que parfois trop présente, est indéniablement un élément clé qui soutient le ton du film.
Cependant, "Le Journal de Bridget Jones" n'est pas sans défauts. Le rythme du film est inégal, alternant entre des moments de véritable hilarité et des passages qui traînent en longueur. De plus, bien que le film aborde des thèmes de l'amour-propre et de l'indépendance, il tombe parfois dans le piège de renforcer les stéréotypes sur les femmes célibataires.
En conclusion, "Le Journal de Bridget Jones" est un film qui, malgré ses imperfections, reste attachant et divertissant. Il offre une réflexion sur l'amour et l'acceptation de soi qui résonne avec beaucoup, même si parfois, il peine à maintenir un équilibre entre satire et sentimentalisme.
Regarder une comédie romantique, c'est un peu comme aller au fast food, c'est bon, c'est vite fait, c'est pas cher. J'entends par "pas cher" le fait que ce genre de film n'engage pas trop émotionnellement. On sort rarement "brassé" d'une séance devant ce type de film. Mais ce journal de Bridget Jones apporte un peu plus que ces concurrents. Tout d'abord, l'humour brittish ! Certaines situations m'ont arraché de vrais rires. Ce qui est rare dans ce type de production. Je citerai comme exemple la scène de la fête "prostituée et pasteur". En second lieu, l'actrice principale est beaucoup moins objectisé qu'à l'accoutumé dans ce type de production. J'ai même l'impression que le film se fait un malin plaisir à prendre le contre pied de ce qui est fait dans les autres productions. Pour étailler ce propos, je citerai le thème des culottes de Bridget Jones qui devient un ressort comique tout au long du film. Enfin, il me semble que le film vieillit bien. A mon sens, sa morale n'est pas désuète comme pourrait l'être beaucoup de production de cette époque.
Je dois dire que j'ai plus qu'aimer cette première partie de cette saga. Elle est riche en humour avec un triangle amoureux très atypiques. Avec deux beaux gosses aussi différents l'un de l'autre à part qui sont attirés par la même femme. Je m'en lasserai jamais de regarder cette saga surtout pendant des les fêtes de fin d'années. Je le recommande fortement pour les personnes qui aiment les comédies romantiques britanniques fait de fous rire à répétition.
"Le journal de Bridget Jones" est une comédie britannique où l'héroïne célibataire peine à trouver l'homme idéal. Le casting est principalement composé de Renée Zellweger, Colin Firth et Hugh Grant, qui forment un trio sympathique. Pour le reste, rien d'original. Pourtant pas si vieux, puisqu'il a à peine plus de vingt ans, ce film tombe dans tous les clichés possibles en dépeignant les femmes et leur rapport avec les hommes d'une manière très caricaturale. "Le journal de Bridget Jones" c'est sympathique, mais plus du tout d'actualité.
Je n'avais pas vu ce film, dont j'ai souvent entendu parler. J'ai tenu 12 minutes. Comme comédie romantique j'ai vu bien plus amusant (exemple quand Harry rencontré Sally). Je trouve le personnage de Bridget Jones trop hystérique. C'est mal joué à mon avis. On a effectivement,comme cela à déjà été dit, l'impression d'avoir affaire à un mauvais sitcom américain sans les applaudissements enregistrés. Je ne comprend pas l'engouement qu'à suscité ce film à l'époque.
Culte ! J'adore ce film. Je le regarde depuis plus de 20 ans plusieurs fois par année et je ris toujours autant. L'humour anglais dans toute sa splendeur avec un super casting.
j'adore ce film,une comédie anglaise tranquille et vraiment drôle. le genre de film qu'on aime voir et revoir. Le personnage de Bridget et si drôle et banal, il est facile de s'identifier a elle: une femme normale et pas filiforme. en conclusion je recommande vivement
Comédie anglaise romantique qui ne fait point rêver. Comment Bridget Jones (Renée Zellweger) peut elle s'enticher d'un personnage coincé comme celui de Colin Firth ou de celui de Hugh Grant goujat pas possible.
Il n'y a rien de romanesque. Et devoir attendre la dernière scène plus que prévisible spoiler: Renée Zellweger finissant avec Colin Firth avec leur premier baiser (et leur premier tutoiement) , c'est long.
De la guimauve pas vraiment appétissante. Et du ridicule de voir les 3 amis de Bridget Jones la soutenir dans sa recherche du prince charmant alors qu'eux même sont des célibataires.
Encore célibataire à 32 ans, Bridget Jones est comme nous au début de chaque année : pleine de bonnes résolutions. Malheureusement elle n'a pas plus de volonté que nous et surtout c'est une véritable Lagaffe en jupon. Mais elle est tellement craquante qu'on ne peut que l'aimer telle qu'elle est. C'est pourquoi elle finira par échapper à son cauchemar de finir vieille fille seule, dévorée par des chiens !
Bridget a la trentaine, elle est célibataire, elle fume, elle boit, elle est maladroite, franche, elle parle avant de réfléchir et elle s’assume entièrement. Je suis une Bridget Jones et je ne suis pas la seule. Ce qu’elle vit par rapport au jugement de sa situation, je le vis constamment. Ce film me fait déculpabiliser d’avoir la trentaine et d’être toujours célibataire, de ne pas avoir d’enfants, pas de CDI non plus.. Il en faudrait plus des héroïnes comme elle. Puis nous avons Mark Darcy et Daniel Cleaver. Le premier n’est pas très expressif et le second est très charmeur. Entre les deux, son cœur balance mais il y en a un qui l’aime comme elle est et ça ça n’a pas de prix, peu importe que ce soit le total opposé de Bridget. J’ai mis du temps avant de voir la ressemblance avec l’histoire mythique d‘Orgueil & Préjugés. Bridget est Elizabeth Bennet, Mark est William Darcy et Daniel est George Wickham. Même certains dialogues se ressemblent. Et comme j’adore ces deux univers, je trouve l’idée vraiment géniale. Cet Orgueil & Préjugés des temps modernes est une réelle réussite. Quant au casting, il est tout simplement parfait. Renée Zellweger, Hugh Grant et Colin Firth.. Je n’aurai pas pu rêver mieux.
« Le journal de Bridget Jones » est le premier long-métrage de Sharon Maguire tiré du roman éponyme de Helen Fielding. Sorti en 2001, ce fut un très grand succès commercial car il était plaisant et délassant. L’intrigue est connue de tous, Bridget (Renée Zellweger) est une trentenaire célibataire un peu enrobée, gaffeuse, qui fume comme un pompier, boit comme un trou et passe chaque année le nouvel an avec ses parents et une dinde au curry chez des amis côtoyant ainsi régulièrement un ami de sa prime enfance, Marc (Colin Firth), devenu avocat. Bridget travaille à Londres dans une maison d'édition dirigée par Daniel Cleaver (Hugh Grant), dont elle pense être amoureuse … mais le trio de tergiverser ! Vingt ans après, le film reste plaisant à regarder même si certaines scènes sont « téléphonées » ou outrées … Bref ce n’est pas du grand cinéma mais un très bon téléfilm !