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Dead-for-Someone
45 abonnés
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2,0
Publiée le 10 septembre 2016
Petite comédie romantique bluette tout droit venue de nos voisins outre-Manche qui pouvait s'annoncer sympathique; mais là où d'autres films britanniques du même genre font mouche, celui-ci fait flop... Le film peut se résumer avec ça : Bridget Jones, célibataire endurcie, veut se trouver un homme idéal. Je sais, c'est maigre mais c'est tout... La réalisation est simple, bien cadrée mais justement trop simple, on aurait aimé un peu plus de fantaisie. Le scénario tient la route, mais n'est guère intéressant et tourne assez vite en rond et ce n'est pas vraiment drôle. Les acteurs sont assez bons mais leur prestation ne restera pas gravée dans les mémoires. Les dialogues ne sont pas formidables mais restent acceptables. Par contre, la voix off est particulièrement agaçante. La photographie est terne tout comme les couleurs; c'est froid et sans vie. Par contre, la lumière est bien travaillée dans les scènes de nuit. Le montage est sans grand intérêt, trop prévisible. Il y a beaucoup de décors, certains sont très bien travaillés et d'autres non. Les costumes ne sont terribles et la bande son idem. Le Journal de Bridget Jones est une comédie qui suit un chemin trop facile et n'apporte rien de nouveau. Un journal qui aurait pu rester fermé.
C'est un peu le genre de film que l'on regarde avec une pointe de honte , certes un peu cucul mais pour autant ça fait du bien au moral . Notre héroine Bridget est attachante, on peut facilement se reconnaître en elle.« Pourquoi les personnes en couple demandent toujours aux célibataires comment vont les amours, est-ce que nous on leur saute dessus pour savoir s’ils baisent encore... » Bridget a une tendance à la maladresse et une faculté à toujours s'aventurer dans les ennuis, dans un triangle amoureux malgré elle. Triangle qui ne manque pas de charme d'ailleurs et qui est porté par de très bons acteurs à l'écran entre Hugh Grant le patron séducteur, coureur de jupons et Colin Firth l'avocat sans reproches (ou presque ! ) Sans oublier Renée Zellweger notre pétillante Bridget Jones .Autant dire que cette palette d'acteurs donne lieu à des situations cocasses tel que la scène spoiler: de la culotte géante à mourir de rire ! En conclusion, "Le journal de Bridget Jones" est une comédie romantique qui vaut le détour et mérite son titre de film ''culte '' .
La grande époque de la comédie romantique anglaise un peu vacharde avec les incontournables Hugh Grant et Colin Firth avec un gros plus en la personne de Renée Zellweger pour bousculer les acteurs de sa majesté. Toujours sympathique mais le film a peu être perdu un peu en efficacité avec le temps.
J'ai pris beaucoup de plaisir à voir et revoir ce film : en effet, j'ai poussé le vice jusqu'à le voir deux fois, en v.o. puis en v.f., en l'espace de 10 jours ! Il faut dire que le film comme son héroïne ne se prennent pas au sérieux. On sait par avance que l'on ne va voir ni un film d'auteur (quoi que, au départ, le film est tiré d'un livre ... livre que je n'ai pas lu, donc je ne ferai aucune comparaison avec celui-ci et d'après ce que j'ai pu comprendre des autres critiques du site, ce n'est pas plus mal !), ni un drame historique; on n'est donc pas trompé sur la "marchandise" et on ne boude pas son plaisir à savourer cette histoire simple mais avec de nombreuses situations très très drôles. En plus, l'ensemble des acteurs est remarquable. La bande originale du film est parfaitement adaptée au film : on se régale à l'écouter tellement elle colle aux images. Et pour finir (ça tombe bien !), le générique de fin est lui aussi une pure merveille avec une succession de petites séquences très drôles.
Un film distrayant mais qui ne vole pas très haut. La personnage principale est d'un stéréotype parfois irritant. Pas mal de cliché donc mais j'ai beaucoup apprécié le rôle de Colin Firth, qui semble parfaitement taillé pour lui.
Une romcom hilarante qui n'a pas vieilli d'un pouce. Les aventures rocambolesques et imbibées de cette trentenaire sont jubilatoires. Une critique plus détaillée et d'autres sur
Le film, bien qu'il soit le premier d'une série, n'apporte pas de réelle nouveauté dans la jungle des personnages féminins, fait pour un public féminin. Par contre, il faut retenir l'excellente prestation de Renée Zellweger qui joue à fond un personnage marrant, tendre, efficace mais plein de doute, tout à fait imaginaire mais tellement proche de la vraie vie. Bravo à elle !
Sympathique petite comédie sur une trentenaire paumée. Évidemment, basée sur un livre à succès dont l'adaptation devenait inévitable. Le film est très dans l'air du temps, avec dialogues décomplexés, personnages secondaires décalés, bande-son remplie de tubes. Les acteurs livrent une performance assez classique dans le genre et si les situations sont plutôt ordinaires dans l'ensemble, il y a suffisamment de rythme et d'entrain pour ne pas ennuyer le spectateur.
Bridget Jones a beaucoup d’objectifs ; que ce soit arrêter de fumer, perdre du poids, ou encore trouver l’amour, le vrai (à commencer par arrêter de chercher l’homme qui lui convient le moins). Si elle ne parvient à réaliser tout cela, ce n’est pas uniquement par manque de volonté, mais surtout à cause d’une maladresse de haut niveau. Sans oublier cette propension maladive à se ridiculiser ouvertement en publique par le biais d’une incorrigible diarrhée verbale. Un personnage très romanesque et haut en couleur dont beaucoup de femmes trentenaires ont dues se sentir concernées. Une ode aux éternelles célibataires qui ne peuvent s’empêcher de faire fuir le moindre prétendant. Pourtant, aussi inespéré que cela puisse paraitre, Bridget Jones se retrouve tenaillée dans un tumultueux triangle amoureux. Gard aux combats de coqs ! Lequel entre Colin Firth et Hugh Grant sera le plus digne de gagner le cœur de la blonde aux rondeurs aguichantes ? Pas facile à dire pour une fois. Les trois sont si différents qu’un simple rapprochement parait tout bonnement impossible. Entre un éditeur zélé, coureur de jupon et un avocat pète-sec et snobinard, le cœur balance. Renée Zellweger incarne à merveille cette représentation de la fille ni trop ordinaire, ni trop canon pour en faire un personnage tout à fait attachant par ses discours et ses intentions. Celle qui rêve de ressembler aux filles des magasines mais qui est bien trop gauche pour être prise au sérieux. Il en ressort une comédie, certes potache, mais fort bien réalisée au vu du sujet énoncé. On ne peu que rire face au comique de situation et par la conviction d’une écriture dynamique. Un scénario avant tout destiné à un publique féminin, mais distillant un tel charme qu’il serait dommage de s’en priver. Une belle romance impertinente et spontanée. 3,5/5
Quelques passages drôles mais dans l'ensemble, décevant. On nage dans les pensées de Bridget en souhaitant couler, mais on touche le fond trop vite. Le film était sympa au début des années 2000. Renée Zellweger nous inflige le supplice de la voir en petite tenue lorsqu'elle n'est pas au mieux de sa forme. On s'en passe aisément !
Un film qui me fait penser à cette coutume stupide appelé enterrement de vie de garçon (ou de jeune fille), On rigole on s'amuse, on est un peu borderline, mais à la fin on rentre dans le rang. On est donc en plein dans la philosophie des faux semblants. Sinon Renée est très bien. Le réalisateur a voulu rendre Hugo antipathique et Colin sympathique, mais il s'est pris les pieds dans les pinceaux et c'est le contraire que l'on ressent.
Incontestablement drôle, Le Journal de Bridget Jones est une parodie de la vie quotidienne et des inquiétudes des jeunes trentenaires célibataires, non sans moquerie, caricature et spoiler: joyeux happy end, évidemment, on parle quand même de comédie romantique hein mais tellement franc dans sa manière de dépeindre les jeunes femmes dont Renée Zellweger incarne ici la plus pathétique des paumées à laquelle on ne peut qu'accorder toute notre sympathie. Bref, une comédie marrante sans vulgarité crasse et toute en dérision comme je les aime.
Pendant une heure on croit qu'on va voir un film original et au final on a un film qui finit dans la pire des guimauves (on la sentait venir mais on se disait, ce n'est pas possible ils ne vont pas oser nous imposer ça, ben si, ils l'ont fait). C'est dommage, il y avait quelques bonnes idées surtout dans la première partie. Renée Zellweger est excellente, Hugh Grant est bien, en revanche Colin Firth est une vraie tête à claques. C'est ni bon ni mauvais, c'est… bof !
Une comédie romantique fraîche et sympa. Le personnage de Bridget Jones est très attachant, par son humour, sa maladresse et son côté décalé. C'est agréable à regarder, surtout entre filles.
Une référence incontournable en matière de comédies romantiques, l'une des plus réussies d'après moi : récit pétillant et enlevé à l'humour British, héroïne attachante à laquelle on s'identifie aisément. Quelle femme ne s'est pas reconnue en Bridget la gaffeuse, la spontanée, la rebelle, l'esseulée ou l'amoureuse au cœur tendre ? Qui n'a pas souri en suivant ses dilemmes sentimentaux (tiraillée entre un patron-sexy-mégalo-pervers et un ami d'enfance, franchement hautain) ou en prenant connaissance de ses bonnes résolutions (faire un régime, arrêter de fumer) ? Ayant visionné ce film 567 fois, (comme ça, à la louche), je m'étonne toujours de la qualité d'écriture des comédies romantiques anglaises ; de leur capacité à nous présenter une galerie de personnages, dès les premières secondes et en seulement quelques mots ou images, puis à nous les rendre instantanément sympathiques (ce qui est également le cas de "Love Actually" que j'ai trouvé, cependant, un peu dense). Le Journal de Bridget Jones me semble plus épuré et efficace ; peut-être un brin trop court mais ce sera là ma seule critique négative. Nul besoin de compliquer l'intrigue, de multiplier les personnages autour de l’héroïne. La petite bande suffit. Les parents de Bridget (dont la relation s'est effilochée), ses amis hauts en couleur et, enfin, ses deux prétendants rivaux. D'un côté, Daniel Clever, aussi crédible que caricatural et de l'autre, Mark Darcy, le gendre idéal à l'air supérieur. (On note au passage que Colin Firth a déjà incarné le rôle de Darcy dans "Orgueil et Préjugés", une adaptation du classique de Jane Austen dont Helen Fielding s'est inspirée.) En résumé, une comédie romantique à voir ab-so-lu-ment (si vous ne l'avez pas déjà fait... environ 567 fois).