Avis sur Bob Marley: One Love

Le plus gênant est que le film est bel et bien parasité par la présence de Rita Marley. En effet, si on peut rappeler que Rita est aussi connue pour avoir falsifier des documents pour s'octroyer tout l'héritage, le scénario démontre bien qu'elle a assurément mis tout son poids pour occulter plusieurs faits surtout quand le film ; ainsi rappelons que Bob Marley était en couple avec Cindy Breakspeare en 76 à sa mort avec qui il a eu un enfant et qui vivait avec tous ses proches et donc toujours avec Rita, cette dernière était également infidèle avec deux enfants sur cinq qui n'étaient pas de Bob, et tous ces paramètres sont clairement occultés dans le film alors que Rita est montrée comme omniprésente et indispensable en pointant du doigt les "fautes" de Bob tout en omettant les siennes. Ses plus grands tubes parsèment logiquement le récit pour notre plus grand plaisir. Malgré tout le film ne laisse aucun moment de concert vivre et prendre réellement de l'ampleur, les séquences sont courtes et coupées souvent trop tôt. Dommage...
Site : Selenie.fr

Malgré l’investissement de Kingsley BEN-ADIR, « Bob Marley : One Love” peine à convaincre. Le film se tire une balle dans le pied alors qu’il a toutes les cartes en main pour être un grand biopic. Absence d’enjeux, réalisation paresseuse et récit complètement survolé. Difficile de retenir quelque chose de ce film consacré à la légende du Reggae. Ce n’est ni émouvant ni incroyable. Jamais le film, qui tient parfois du téléfilm un peu plat, ne parvient à nous faire décoller comme un tube de Bob Marley.

Wow le film est vraiment une onde à la liberté à la justice au monde libre. La bande-son est incroyable et le casting vraiment le fort du film.

Après les récents biopics successifs des grandes star musicales du 20e siècle, j’ai envie de dire que cette adaptation est l’une des mieux traitées.

Le film sur Bob Marley est une exploration émouvante et profonde de la vie de l'icône du reggae, offrant un regard intime sur son héritage musical et son impact mondial. À travers une interprétation aussi réaliste que poignante, des séquences de concerts magistrales (on déplore parfois un manque de folie sur scène de l’interprète). Ce film met en lumière à la fois son génie musical et son engagement pour la Paix. Dommage que tout l’aspect de son combat contre la justice sociale ait toutefois été ignoré.

Les plans sont beaux, l’histoire ne s’éternise pas sur la vie de bob et se déroule en réalité sur très peu d’années ce qui m’a un petit peu dérangé au début mais cette oeuvre cherche surtout à essayer de transparaître le message de notre rasta favori. La musique est par ailleurs plutôt bien insérée et présente bien l’intimité que Bob avait avec le son.

Cette œuvre est poétique, politique mais semble réelle car tente de montrer Marley sous tous ses aspects, sans se limiter à la glorification. On découvre ses luttes, sa spiritualité, et sa philosophie, enrichissant notre compréhension de l'homme derrière la musique.

En définitive je ne peut que vous recommander de voir ce film, et de le voir en VO !!!
J’ai eu la mauvaise idée de le voir en VF et les transitions entre les dialogues en français et les chants en anglais sont loin d’être parfait à l’oreille.

"Bob Marley: One Love" est un film que j'ai bien apprécié. Le long-métrage retrace la vie de Bob Marley et j'ai trouvé très intéressant. L'histoire est captivante et le côté musical est plaisant. Les acteurs sont top, certains dialogues sont drôles à entendre et peut-être j'aurai préféré voir un peu plus sur son enfance.

Kingsley Ben-Adir est flamboyant dans le rôle du jeune lion Bob Marley, âme vivante (et tournoyante) de ce biopic à l'inverse ultra-sage, policé, et qui ne parle pas beaucoup de la vie du Monsieur sous les dreadlocks et le pétard, au profit d'un court laps de temps (son album Exodus). On sera donc incollable sur sa période londonienne, et sur la création de son album numéro 1, mais pour connaître sa vie, on peut retourner ouvrir son bouquin (ou son docu Arte). Son enfance compliquée, ses débuts avec les Wailers (comment les a-t-il rencontré ? Le succès de leur premier album ?), son combat politique expédié, sa maladie (cinq minutes), ses rapports complexes avec ses enfants (il en a reconnu 12, pour une trentaine estimée), son concert mythique de 1978 qu'on attend fébrilement... et qui n'est pas montré à la fin. *Soupir*, on va tirer un bon coup sur notre pétard... Alors oui, on a beau être (très) fan de sa musique, des messages de paix et de la philosophie épicurienne qu'il véhicule, on pense que ce One Love reste uniquement une petite porte d'entrée commerciale (toute la famille Marley est à la production... Ah, c'est pour ça, le côté "sage") pour les néophytes, et un cirage de pompes pas très fin pour les fans (on mange environ 3 ou 4 fois chaque chanson, c'est l'overdose). Pour le combat politique, on égratigne la surface, et l'image-clé pacifiste du concert de 1978 est reléguée en image d'archive dans le générique de fin. "Mais, mais, mais..." Ces trente secondes de pure paix entre deux chefs politiques violents sont une claque, un symbole tellement puissant qu'on en oublie instantanément les deux heures de film qui ont précédé, et on se demande pourquoi One Love n'en a pas justement fait son apothéose finale (un gâchis). Heureusement que Kingsley Ben-Adir (celui qui est capable de passer de la figure solennelle de Malcolm X à un Ken décérébré, et d'être excellent dans les deux rôles) est là, avec sa bonhommie nonchalante qui va très bien au personnage, heureusement que les deux premières fois de chaque chanson sont agréables (avant la saturation), heureusement que ce One Love rappelle très simplement à son public d'être un peu plus "cool, rasta" avec son prochain, un message dont on a plus que besoin. Quel dommage que ce biopic se révèle être un pétard...mouillé.

woah j'ai adoré voir le biopic sur Bob Marley sur une partie de sa vie réécouter ses tubes quel plaisir et l'acteur qui joue Bob marley quel prestation il produisait les même mimiques que Bob Marley à la perfection et cerise sur le gâteau à la fin on voit le vrai chanteur je vous conseille fortement ce film.

Un film intéressant et bien joué mais la première moitié est un peu brouillonne ... après ça prend corps mais un peu tard à mon goût.

Je suis déçu de ce film je pensais en sortir inspiré, au final je ressors presque vide. La vie de Bob Marley est survolée, on ne rentre pas dans les détails. A travers le film on a l’impression que Bob fuit son pays, le lâche pour se consacrer à son album, à Londres. On ne voit même pas le concert tant convoité en Afrique. On ne laisse paraître les difficultés qu’il a eu pour s’imposer dans la musique avec son style décalé. On ne parle pas de son style musical on ne l’explique pas. Enfin au niveau de l’image, le film n’est pas très réaliste. Je suis très déçu, au vu du potentiel du film, Bob Marley aurait mérité quelque chose de plus authentique, plus profond.

Hyper déçu ! Film plat et pas à la hauteur du mythe qu'était Bob Marley et les Wailers .trop de raccourcis , quasi rien sur son enfance . Bref déception

Allez le voir en VO car le doublage français est catastrophique. Biopic assez moyen, heureusement qu'il y a la musique.
On nous montre un Bob Marley mignon et bien sage. Le film se termine un peu brutalement, on aurait aimé un petit morceau de concert du vrai Bob. On nous montre tout à la fin des images de B. Marley, et là on voit qu'il y a vraiment une grosse erreur de casting, l'acteur ne lui ressemble pas du tout

Pas vraiment fan de raggae, j'étais tout de même curieuse de connaître davantage cette icône culte qu'est Bob Marley. Le film nous permet d'en savoir un peu plus sur une période de sa vie et de ses combats pour la paix et l'unité. L'acteur Kingsley Ben-Adir est convaincant mais le biopic reste tout de même assez lisse et classique sans rentrer dans les détails : verdict, pas mal.

http://cinephile-critique.over-blog.com

Ce «Bob Marley : One Love», dédié à la figure la plus célèbre du mouvement Reggae, rejoint la longue liste des biopics musicaux conventionnels, à l'image des récents «Bohemian Rhapsody» et «Get On Up».

Co-produit par la famille du défunt chanteur (ceci explique peut-être cela), un nouveau film restant gentiment dans les plots du genre auquel il appartient. Le film a l'air de continuellement survoler ses thématiques (le portrait d'une Jamaïque déchirée par les guerres de pouvoir notamment) et ne vient que trop rarement creuser la complexité de l'homme derrière l'artiste. Et quand des confrontations viennent à émerger ici et là, elles semblent y avoir été rajoutées de manière trop artificielle pour réellement convaincre.

Accompagné d'une réalisation manquant de personnalité et déroulant son récit sans grandes surprises, un Bob Marley à la sauce Hollywood, d'où l'émotion n'émane que rarement.
Reste le casting, convaincant, et en tête duquel Kingsley Ben-Adir (One Night in Miami, Secret Invasion) incarne, avec talent et dévouement, le roi du Reggae.
Sans oublier le plus important : la musique. Car c'est clairement dans ses quelques séquences musicales (studios, concerts,...) que le film prend un peu de hauteur et vient titiller la fibre émotionnelle. Une musique dont le message, éminemment sincère et porteur d'espoir, est toujours aussi parlant aujourd'hui, plus de 40 ans après sa mort.

Un biopic musical bien interprété, mais à la forme et au récit trop convenus.
Bref, pas un mauvais moment en soit, mais un film qui ne m'a jamais vraiment transporté et dont je ne retiendrai pas grand-chose en fin de compte.

Me replonger dans la discographie intemporelle de Bob Marley et des Wailers, je le ferai sans l'ombre d'un doute. Revoir ce film trop propret une seconde fois, il y a moins de chance.

À la place, je vous recommande plutôt le documentaire «Marley» de Kevin Macdonald (2012), plus travaillé, et prenant le temps de nous partager un vrai portrait de Bob Marley, de son histoire, de sa carrière et de l'homme qu'il était. 5,5/10.

Encore un biopic ! Celui-ci nous propose une immersion dans ce parcours peu connu, du moins pour moi. Aucune fioriture, la mise en scène est assez brute, simpliste. On découvre un homme avide de paix, un peu illuminé peut être - ce que j'ai perçu avec le côté spirituel exacerbé - tellement humble et pas attiré par la l'argent et la gloire. Il aura réussi en 1978 dans un concert pour la paix dans son pays, à réunir sur scène et se faire se serrer la main aux deux ennemis politiques en son temps.... A 18 ans il rejoint le fameux groupe "The Wailers" et trois ans plus tard naîtra le mouvement "Rastafari". Ce mouvement mi-religieux mi-culturel ressort bien dans ce film où j'aurais aimé plus de chansons. On n'en a pas assez à mon goût, on se régale vers la fin avec des moreaux cultes tels "Exodus". On note les influences Stevie Wonder....Dans un rythme un peu lent, mais qui convient bien à ce grand chanteur, c'est avec émotion que certains accords et notes de musique résonnent encore à cette heure. Ajoutons la performance d'acteur de Kingsley Ben-Adir, impeccable. Dommage ne pas en avoir entendu plus.... !!**

Très bon !!!

Pour la première fois sur grand écran, nous avons eu le privilège de plonger dans la vie d'une véritable légende de la musique reggae, une figure emblématique dont les messages de paix et d'unité ont profondément marqué toute une génération. Ce biopic nous entraîne dans l'univers envoûtant de Bob Marley, porté par une performance éblouissante de Kingsley Ben-Adir dans le rôle-titre.

Ce film biographique est une véritable réussite, nous imprégnant dès les premières images de l'esprit rastafari qui caractérise si bien Marley. Le scénario et la mise en scène capturent parfaitement cette identité, nous transportant rapidement dans l'art envoûtant du reggae.

Les amateurs de la musique de Bob Marley ne seront pas déçus, car les chansons accompagnent magnifiquement chaque moment du récit, renforçant ainsi notre immersion dans l'histoire.

Je peux quand même reprocher au film de ne pas explorer plus en profondeur l'impact politique et sociétal de cet artiste, ainsi que son message. Cependant, le choix de se concentrer principalement sur l'homme derrière l'artiste est bien mis en scène. Bien que le genre biographique nécessite souvent de lissage, le film parvient néanmoins à aborder certains aspects plus sombres et les luttes internes de l'artiste.

Ce film reste très bon dans ce qu’il raconte et une fois le film terminé on ne peut s'empêcher de replonger dans la musique de Marley. Merveilleux, transcendant.