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Votre avis sur Bob Marley: One Love ?
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Un film interessant car intimiste… le problème s’est qu’on survole la vie de bob et au final on apprend pas grand chose pour finir par rester sur notre faim . La musique est là et heureusement , ce qui permet de tisser le lien scénaristique du film , les acteurs sont attachants et corrects mais trop de questions sans réponses finalement . On survole des parties qui nécessitent plus de travail . Le film passe vite et la musique fait du bien …. Et fait pleurer aussi .
Je suis allée voir ce film pour passer un bon moment et ce fut le cas. On peut reprocher beaucoup de choses, notamment la rencontre avec les Wailers, son enfance uniquement vu par le prisme de la métaphore etc. Mais le film nous entraîne dans l’intimité de ce chanteur, de sa vie, de sa passion. L’émotion est là et là est l’essentiel.
Kingsley Ben-Adur est phénoménal.
Ne connaissant pas la vie de Bob Marley, je ne peux pas relater de la justesse de ce qui est rapporté - pour une novice, quelle découverte !
La passion pour le mouvement rastafari, le don pour l'écriture, l'amour et la cohésion du groupe.
Lashanna Lynch brille également, cette femme peut TOUT jouer.
Un film dont le propos (l'amour entre les Hommes, le besoin d'unité entre eux), a énormément d'echo en 2024...
Ne connaissant pas la vie de Bob Marley, je ne peux pas relater de la justesse de ce qui est rapporté - pour une novice, quelle découverte !
La passion pour le mouvement rastafari, le don pour l'écriture, l'amour et la cohésion du groupe.
Lashanna Lynch brille également, cette femme peut TOUT jouer.
Un film dont le propos (l'amour entre les Hommes, le besoin d'unité entre eux), a énormément d'echo en 2024...
Une très bonne biographie de Bob Marley sensible et juste qui rends un bel hommage à cet homme bon et musicien génial dont le message de paix et de fraternité à été mondialement reconnu mais malheureusement trop disparu
Le film est certes un peu décousu et la fin un peu expédiée mais l’acteur excellent et l’ambiance d’époque bien reconstituée. On se laisse porter par le reggae, les concerts, l univers de ce chanteur trop tôt disparu. Émouvant et plutôt bien fait.A voir sur grand écran et son dolby.
BOB MARLEY: ONE LOVE (2024): Dans les années 70, la Jamaïque sera en proie à une guerre civile. La violence règnera, le peuple tremblera. Tel un Dieu, un homme se fera entendre, Bob Marley, pas vraiment connu, mais grâce à ses chansons aux messages de paix, grâce à son incroyable talent de chanteur compositeur il deviendra célèbre dans le monde entier. La vie d'un révolutionnaire pacifique armé d'une simple guitare face à la folie meurtrière d'une politique Jamaïcaine en roue libre. Dès les premiers instants quelques petits frissons se feront ressentir à l'écoute d'une douce voix mélodieuse féminine. Viendra alors quelques petits clins d'œil sur son enfance, la connaissance de ses racines, savoir qui il était. Ce musicien de reggae nous fera comprendre ses peurs, ses joies, ses craintes, avec toujours cette obsession de réunir le peuple par la musique et par la chanson. Le film nous emportera dans le reggae d'un Bob Marley combatif interprété par l'acteur Kingsley Ben-Adi, dont les attitudes et la gestuelle seront parfaitement calquée à celles du chanteur. Une réalisation qui poursuivra l'oeuvre de l'artiste, le liberté, la paix, la joie de vivre (Hun! Hum! Et le cône aussi (Pas bien…). Pour aimer ce biopic, parfois émouvant, il faudra aimer Bob Marley et surtout le reggae (j'ai été un grand Fan). Un bon moment de cinéma.
"One Love" est bien plus qu'un simple biopic sur la vie de Bob Marley. Ce film captivant va au-delà de la narration traditionnelle pour transmettre un message puissant de paix et de justice. En mettant en lumière les luttes sociales et politiques auxquelles Marley était confronté, le film nous rappelle l'importance de la résistance pacifique dans la poursuite de l'égalité et de la justice. Les performances authentiques et émouvantes du casting principal ajoutent à la profondeur émotionnelle de l'histoire, nous permettant de nous connecter non seulement avec la musique emblématique de Marley, mais aussi avec son héritage de lutte pour un monde meilleur. "One Love" est un hommage inspirant à l'impact durable d'un artiste légendaire et à la nécessité continue de poursuivre ses idéaux de paix et d'unité. Yeah Man!!!!
Quelle déception ….
Aucune émotion, le doublage français est totalement décalé exagérément caricatural et vient parasiter l’appréciation générale de ce film pourtant très attendu.
Aucune émotion, le doublage français est totalement décalé exagérément caricatural et vient parasiter l’appréciation générale de ce film pourtant très attendu.
Yves G.
Icône de la musique reggae, apôtre du mouvement rasta, Bob Marley n’avait pas encore eu droit à son biopic. C’est chose faite sous la supervision sourcilleuse de sa veuve et de son fils qui ont veillé à ce que sa mémoire ne soit pas ternie. Le résultat est très lisse.
Le scénario d’un biopic doit arbitrer un choix délicat : raconter toute la vie de son héros, du berceau au tombeau, ou bien se focaliser sur un épisode particulièrement emblématique. On a l’impression que les nombreux scénaristes de Bob Marley ont longtemps hésité, se sont peut-être déchirés et n’ont finalement pas réussi à trancher.
Le début du film laisse penser qu’il se focalisera sur le fameux concert "Smile Jamaica" du 5 décembre 1976 organisé par Marley dans le but de réconcilier les factions ennemies qui déchiraient la Jamaïque de l’époque. Mais cet épisode ainsi que l’attentat deux jours plus tôt durant lequel Marley et son épouse échappent miraculeusement à la mort sont rapidement évacués pour raconter la suite de la vie du chanteur, son exil à Londres, la confection du mythique album "Exodus" en mars-avril 1977 (avec les tops "Jamming", "Three Little Birds" et "One Love") et la découverte du mélanome qui finalement l’emporta à trente-six ans en 1981.
L’histoire de sa vie est entrecoupée de flashbacks sur son enfance, marquée par la figure absente de son père, un blanc d’origine anglaise, et par ses débuts en musique avec son groupe, les Wailers.
"Bob Marley" est un produit stéréotypé et oubliable, du genre de ceux qu’on proposera pendant des années sur les vols transcontinentaux. On y entend canoniquement les principaux tubes de la star : "Get up, Stand up", "I Shot the Sheriff", "No Woman, no Cry", "Is this Love"…. On y apprend quelques notions de base sur le mouvement rastafari façon « Le Rasta pour les nuls ». On y montre certes les tensions qui régnaient dans l’entourage de la star où tant d’argent si vite gagné devait susciter bien des tentations. Mais on n’y dit rien d’offensant sur l’icône. Si on y évoque à mots feutrés ses infidélités nombreuses et même ses enfants illégitimes, c’est en veillant à ne pas humilier sa veuve, qui a participé à la production de cet hommage.
Le scénario d’un biopic doit arbitrer un choix délicat : raconter toute la vie de son héros, du berceau au tombeau, ou bien se focaliser sur un épisode particulièrement emblématique. On a l’impression que les nombreux scénaristes de Bob Marley ont longtemps hésité, se sont peut-être déchirés et n’ont finalement pas réussi à trancher.
Le début du film laisse penser qu’il se focalisera sur le fameux concert "Smile Jamaica" du 5 décembre 1976 organisé par Marley dans le but de réconcilier les factions ennemies qui déchiraient la Jamaïque de l’époque. Mais cet épisode ainsi que l’attentat deux jours plus tôt durant lequel Marley et son épouse échappent miraculeusement à la mort sont rapidement évacués pour raconter la suite de la vie du chanteur, son exil à Londres, la confection du mythique album "Exodus" en mars-avril 1977 (avec les tops "Jamming", "Three Little Birds" et "One Love") et la découverte du mélanome qui finalement l’emporta à trente-six ans en 1981.
L’histoire de sa vie est entrecoupée de flashbacks sur son enfance, marquée par la figure absente de son père, un blanc d’origine anglaise, et par ses débuts en musique avec son groupe, les Wailers.
"Bob Marley" est un produit stéréotypé et oubliable, du genre de ceux qu’on proposera pendant des années sur les vols transcontinentaux. On y entend canoniquement les principaux tubes de la star : "Get up, Stand up", "I Shot the Sheriff", "No Woman, no Cry", "Is this Love"…. On y apprend quelques notions de base sur le mouvement rastafari façon « Le Rasta pour les nuls ». On y montre certes les tensions qui régnaient dans l’entourage de la star où tant d’argent si vite gagné devait susciter bien des tentations. Mais on n’y dit rien d’offensant sur l’icône. Si on y évoque à mots feutrés ses infidélités nombreuses et même ses enfants illégitimes, c’est en veillant à ne pas humilier sa veuve, qui a participé à la production de cet hommage.
Ufuk K
"Bob Marley: One Love" chahuté par la critique est un biopic musical moyen dans l'ensemble. Le réalisateur Reinaldo Marcus Green présente aux spectateurs un film qui se penche sur l'icône du reggae Bob Marley , j'ai trouvé l'ensemble trop classique, très formaté, avec une direction des acteurs plutôt terne (les seconds rôles) il y avait bien mieux à faire pour évoquer le destin du roi du reggae décédé malheureusement à 36 ans reste la performance de Kingsley Ben-Adir qui porte à lui seul le film avec quelques morceaux entrainants qui relèvent un peu le niveau de ce long-métrage vite oublié à la sortie de la salle.
Faignant ! Pour ce premier film de 2024 qu’il m’ait été donné de voir au ciné, je reste légèrement déçu sachant que je n’en avais pas de grosses attentes pour autant. Je ne suis pas le plus grand connaisseur de la vie de Bob Marley et ce qu’il a apporté au monde à travers ses chansons. J’ai en revanche toujours apprécié sa musique et je suis conscient de l’importance de cet artiste complexe et inspirant.
Si le biopic commençait plutôt bien avec une immersion réussie dans la Jamaïque des années 70, je trouve qu’il nous perd rapidement ensuite. Il y a un certain ventre mou au milieu où je me suis senti moins investi, et j’ai eu du mal à saisir où l’intrigue veut nous amener. Le rythme est inégal. Le film cherche à évoquer trop de choses. Certains faits, qui semblaient importants à exploiter, sont assez expédiés (l’album « Exodus »…). J’ai donc eu du mal à rester accroché de bout en bout, malgré une durée raisonnable du métrage de 1h47. Ça peut paraître paradoxal puisque je pense que le film aurait gagné à être plus long, avec une proposition où il aurait pris son temps pour développer certains passages qui ont fait que Nesta Robert Marley est devenue une immense icône de la Jamaïque. Ça ne va pas assez loin sur le plan politique non plus. « One Love » aurait mérité plus de profondeur.
De plus, il y a aucune idée de mise en scène ou de plans de caméra intéressants. Et, à l’image des premières secondes du métrage avec des phrases en blanc sur noir qui défilent sur l’écran pour situer le contexte, le film semble véritablement paresseux. Je dirais que tout ce qui se passe dans le film a vraiment eu lieu, sachant que les fils et la veuve du plus célèbre des rastas sont carrément producteurs. Les séquences de chanson restent belles et m’ont fait rappeler que j’adore ne serait-ce que la voix de l’homme aux dreadlocks. Mais, là aussi, il y a question de facilité puisqu’on comprend directement que la voix originale de Marley est mise par-dessus les mouvements de bouche de Kingsley Ben-Adir (c’était par exemple bien Taron Egerton qui chantait pour Elton John dans « Rocketman »).
Bref, je pense que les sympathisants vont être difficilement comblés par le biopic. Même les autres spectateurs vont rester sur leur faim. Le film reste un moment pas désagréable, à voir de préférence en VO. J’ai appris des choses. Et on a une ambiance qui change, des interactions entre personnages qui fonctionnent, une habile utilisation d’images d’archive ou encore et surtout un acteur investi qui a su reprendre les traits de caractère et la gestuelle de Bob Marley avec justesse. Sympa mais pas mémorable et au potentiel gâché, dommage.
Si le biopic commençait plutôt bien avec une immersion réussie dans la Jamaïque des années 70, je trouve qu’il nous perd rapidement ensuite. Il y a un certain ventre mou au milieu où je me suis senti moins investi, et j’ai eu du mal à saisir où l’intrigue veut nous amener. Le rythme est inégal. Le film cherche à évoquer trop de choses. Certains faits, qui semblaient importants à exploiter, sont assez expédiés (l’album « Exodus »…). J’ai donc eu du mal à rester accroché de bout en bout, malgré une durée raisonnable du métrage de 1h47. Ça peut paraître paradoxal puisque je pense que le film aurait gagné à être plus long, avec une proposition où il aurait pris son temps pour développer certains passages qui ont fait que Nesta Robert Marley est devenue une immense icône de la Jamaïque. Ça ne va pas assez loin sur le plan politique non plus. « One Love » aurait mérité plus de profondeur.
De plus, il y a aucune idée de mise en scène ou de plans de caméra intéressants. Et, à l’image des premières secondes du métrage avec des phrases en blanc sur noir qui défilent sur l’écran pour situer le contexte, le film semble véritablement paresseux. Je dirais que tout ce qui se passe dans le film a vraiment eu lieu, sachant que les fils et la veuve du plus célèbre des rastas sont carrément producteurs. Les séquences de chanson restent belles et m’ont fait rappeler que j’adore ne serait-ce que la voix de l’homme aux dreadlocks. Mais, là aussi, il y a question de facilité puisqu’on comprend directement que la voix originale de Marley est mise par-dessus les mouvements de bouche de Kingsley Ben-Adir (c’était par exemple bien Taron Egerton qui chantait pour Elton John dans « Rocketman »).
Bref, je pense que les sympathisants vont être difficilement comblés par le biopic. Même les autres spectateurs vont rester sur leur faim. Le film reste un moment pas désagréable, à voir de préférence en VO. J’ai appris des choses. Et on a une ambiance qui change, des interactions entre personnages qui fonctionnent, une habile utilisation d’images d’archive ou encore et surtout un acteur investi qui a su reprendre les traits de caractère et la gestuelle de Bob Marley avec justesse. Sympa mais pas mémorable et au potentiel gâché, dommage.
Malgré la belle interprétation de Kingsley Ben-Adir, cette biographie "officielle", vision du clan Marley peine à convaincre par son côté survolé. Trop superficiel et c'est bien dommage.
Un biopic raté. La vie de l'artiste est survolée, les enjeux du film ne sont jamais identifiés. On ne comprends pas qu'elles sont ses valeurs, ses interrogations et ses décisions. On ne comprends pas vraiment son rapport avec le contexte politique. La famille étant producteur à dû parasiter les décisions et empêcher toute liberté (et vérité ?)
Kingsley Ben-Adir est plutôt une erreur de casting, meme s'il fait ce qu'il peut. La démarche et l'attitude ne correspondent pas. Le film reste agréable, ne serait-ce que pour réécouter certaines musiques, mais le légendaire Bob Marley méritait bien mieux.
Kingsley Ben-Adir est plutôt une erreur de casting, meme s'il fait ce qu'il peut. La démarche et l'attitude ne correspondent pas. Le film reste agréable, ne serait-ce que pour réécouter certaines musiques, mais le légendaire Bob Marley méritait bien mieux.
Hey Man 💚💛❤️ ! Le message est passé...
Positive Vibration...
Un magnifique message de paix ☮️
Positive Vibration...
Un magnifique message de paix ☮️
Dans une époque où les biopics sont une mode pour les studios de cinéma, Bob Marley vient s’ajouter à une liste de films ayant pour but de faire seulement du marketing. Ce film en est un parfait exemple. Pourtant, le long-métrage avait les armes pour réussir : les musiques, le très bon casting ou encore des paysages pouvant marquer le coup...Mais non.
Un film, réalisé par Reinaldo Marcus Green, connu pour la série Top Boy ou encore la Méthode Williams, relate les moments marquants du chanteur Bob Marley. spoiler: On commence le visionnage avec un Bob Marley déjà connu, vu comme une superstar.
Première preuve de toutes les inquiétudes des spectateurs pour le biopic : le rush. spoiler: On ne connaît donc pas son enfance en Jamaïque, dans un pays en difficulté social et gouvernementale. Une chose pouvant expliquer pourquoi Bob Marley était aussi impliqué dans sa cause pour la Jamaïque.
Et il est là, le gros problème du film.
spoiler: Le film traite plusieurs angles : la cause pour son pays, sa relation avec les femmes, l’importance de la musique dans sa vie, sa foi pour la religion... Et j’en passe.
Or, un bon biopic se limite dans l’exploitation de certains angles, 1 seule voir 2 font l’affaire. spoiler: Par exemple, Bob Marley se rend compte de l’arnaque financière dont il est victime par son manager. Il va le frapper et puis.... Plus rien. Il faut une suite, une conséquence à cet acte, et cela s’exécute pendant tout le film.
Le réalisateur cueille un angle, le traite, puis le lâche dans la nature après 10 minutes. Au final, on suit chronologiquement Bob Marley durant une période importante de sa vie, comme un documentaire. À l’instar d’un film bon biopic où le réalisateur se focalise sur une période marquante de l’artiste, et raconte quelque chose autour de cela. Toutefois, le réalisateur n’est pas à blâmer puisque la durée du film est de 1 h 47. Très compliquée de raconter une histoire avec peu de temps, un temps sûrement fixée par le studio.
Hormis ces défauts scénaristiques, des points positifs sont observables. Les musiques sont très bien utilisées notamment lors des changements de lieu. On nous donne envie d’écouter la discographie de Bob Marley, une envie même trop présente faisant passer d’un biopic à un simple film commercial. Le casting est excellent, rien à dire à cela, malgré le manque de scènes marquantes ne prêtant pas d’aide à leur talent. spoiler: Puis la scène qui fait référence au début de l’album « Exodus » est intéressante.
En bref, c’est un film trop court, ayant pour seul but de vendre. Il avait pourtant le potentiel d’être un excellent biopic, mais le business du cinéma a eu le dernier mot. Une énorme déception. 3/5
Un film, réalisé par Reinaldo Marcus Green, connu pour la série Top Boy ou encore la Méthode Williams, relate les moments marquants du chanteur Bob Marley. spoiler: On commence le visionnage avec un Bob Marley déjà connu, vu comme une superstar.
Première preuve de toutes les inquiétudes des spectateurs pour le biopic : le rush. spoiler: On ne connaît donc pas son enfance en Jamaïque, dans un pays en difficulté social et gouvernementale. Une chose pouvant expliquer pourquoi Bob Marley était aussi impliqué dans sa cause pour la Jamaïque.
Et il est là, le gros problème du film.
spoiler: Le film traite plusieurs angles : la cause pour son pays, sa relation avec les femmes, l’importance de la musique dans sa vie, sa foi pour la religion... Et j’en passe.
Or, un bon biopic se limite dans l’exploitation de certains angles, 1 seule voir 2 font l’affaire. spoiler: Par exemple, Bob Marley se rend compte de l’arnaque financière dont il est victime par son manager. Il va le frapper et puis.... Plus rien. Il faut une suite, une conséquence à cet acte, et cela s’exécute pendant tout le film.
Le réalisateur cueille un angle, le traite, puis le lâche dans la nature après 10 minutes. Au final, on suit chronologiquement Bob Marley durant une période importante de sa vie, comme un documentaire. À l’instar d’un film bon biopic où le réalisateur se focalise sur une période marquante de l’artiste, et raconte quelque chose autour de cela. Toutefois, le réalisateur n’est pas à blâmer puisque la durée du film est de 1 h 47. Très compliquée de raconter une histoire avec peu de temps, un temps sûrement fixée par le studio.
Hormis ces défauts scénaristiques, des points positifs sont observables. Les musiques sont très bien utilisées notamment lors des changements de lieu. On nous donne envie d’écouter la discographie de Bob Marley, une envie même trop présente faisant passer d’un biopic à un simple film commercial. Le casting est excellent, rien à dire à cela, malgré le manque de scènes marquantes ne prêtant pas d’aide à leur talent. spoiler: Puis la scène qui fait référence au début de l’album « Exodus » est intéressante.
En bref, c’est un film trop court, ayant pour seul but de vendre. Il avait pourtant le potentiel d’être un excellent biopic, mais le business du cinéma a eu le dernier mot. Une énorme déception. 3/5
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