Votre avis sur Un parfait inconnu ?
5,0
Publiée le 29 janvier 2025
Ce film est clairement l’un des meilleurs bio pic qui n’ait jamais été réalisé. La musique et les textes sont omniprésents. Les acteurs sont magnifiques. Voilà une véritable plongée dans la folk music des années 60 aux côtés de Joan Baez et Johnny Cash.
5,0
Publiée le 23 janvier 2025
J'ai vu le film de James Mangold (2h20) déjà 2 fois en salle en une semaine (avant-premières pro et publique). Je l'ai trouvé tout simplement formidable. Les raccourcis avec la réalité ne m'ont pas gêné (et il y en a pas mal). Tout est top : décors, acteurs-trices, musique, scénario. Waooohh ! J'en aurais bien pris 2 heures de plus sans problème ! Les fans vont forcément s'amuser à déceler les libertés prises avec les faits réels, mais qu'importe. C'est un biopic, pas un documentaire. Ce film devrait cartonner. Il est destiné au grand public mais il plaît déjà aux spécialistes malgré leurs nombreuses réserves. Pour ma part, j'aime Bob Dylan et je constate qu'il y a une envie très forte de revoir ces images en salles ! Je pense fortement y retourner une troisième fois !! Quelle idée judicieuse d'avoir choisi la nouvelle star des ados. A noter la grande prestation d'Edward Norton dans le rôle de Pete Seeger. On pouvait faire confiance à Mangold qui avait excellement dirigé Joaquin Phoenix dans Walk The Line. Dylan est un personnage complexe, tout comme ses textes mais la simplicité du scénario qui raconte son arrivée à New York en 1961 jusqu'au fameux concert de Newport en 1965 va plaire aux néophytes qui ne l'ont même jamais écouté ou calculé. C'est une réussite. Les chiffres sont énormes aux USA et en Angleterre. Je suis confiant pur la France. Franchement, les critiques négatives de la presse et du public seront en minorité ! Le bouche à oreille sera excellent et si jamais l'effet Chalamet fonctionne (attirer la génération Z), c'est le succès assuré. Ma nièce (17 ans) avait poussé un cri quand elle a entendu qui jouait le rôle principal alors qu'elle ne savait pas du tout qui est Bob Dylan !
5,0
Publiée le 30 janvier 2025
Le film traite de la période 1961-1966 qui voit les débuts de la carrière de Bob Dylan. Robert Zimmerman débarque de son Minnesota natal dans Big apple, sa guitare en bandoulière, sans le sous. Sa première action est de rendre visite à Woody Guthry, un chanteur folk contestataire, diminué, dans un hôpital au nord de la ville. Là, il rencontre par hasard Pete Seeger, lui aussi musicien folk. Les deux anciens invitent Bob à leur chanter une chanson. Pete comprend tout de suite qu’il a affaire à une génie. Il le prend sous sa coupe et lance sa carrière qui ira crescendo jusqu’à la gloire.
Le film est scénaristiquement bien conçu, bien documenté, très intéressant. Il nous montre les rencontres artistiques et/ou amoureuses de Dylan à ses débuts dans un New-York des années 60 dont l’ambiance bien restituée. Certes, Bob est un sale gosse, une tête à claques mais il travaille beaucoup ses textes et sa musique et produit des chansons magnifiques. Enfermé par ses protecteurs dans le microcosme folk et sa musique acoustique, il ronge son frein et décide d’évoluer vers le rock et la musique amplifiée au grand dam des puristes folk du festival de Newport où sa prestation rock électrique tourne au fiasco. Il veut avant tout être indépendant, il ne veut pas de barrières, il déteste être un star, il se donne les moyens de ses ambitions, assumant les tensions avec aussi un courage physique, lui, pourtant petit gabarit.
Le film fait la part belle, aux chansons, à la musique, aux prestations lors de enregistrements et à la scène. C’est un régal. Nous côtoyons bien évidemment Joan Baez, avec qui Bob a une relation volcanique, un choc des ego, Pete Seeger, pape bienveillant de la folk-music, Johnny Cash et Jesse Moffette, hilarants, bien d’autres encore.
Timothée Chalamet (Bob) et Monica Barbaro chantent et jouent très bien, ils ne font aucunement honte à Bob et à Joan. Toute la distribution est épatante : Edward Norton en Pete Seeger, Boyd Holbrook en Johnny Cash et Elle Fanning en Sylvie Russo. Les seconds rôles, tout cet aréopage de producteurs, d’agents et autres requins, sont excellents.
Et puis le film nous fait respirer l’air enthousiasmant des années 60 quand tout paraissait possible, quand il y avait des hippies qui, entre deux montées de LSD, rêvaient d’amour et de paix universelle, quand Bob pouvait se déplacer sans casque à toute allure sur sa moto dans New-York et ailleurs.
Le film dure 2h 20. On ne voit pas le temps passer, on voudrait qu’il continue. Il est une réussite complète, il est formidable.
3,5
Publiée le 30 janvier 2025
Pour certains il s’agira d’un énième biopic classique, mais pour moi il s’agit d’une belle réussite dans le genre ! Que l’on connaisse ou non Bob Dylan, que l’on aime sa musique ou non, le film est tellement bien construit et bien rythmé que cela rend son parcours intéressant et captivant. Le casting offre de sublimes performances, Timothée Chalamet est d’ailleurs en bonne position pour choper une statuette. Et les séquences musicales sont assez galvanisantes car le travail sonore est vraiment dingue et la mise en scène est toujours très juste. Un très bon moment de cinéma d’après moi !
5,0
Publiée le 16 janvier 2025
Excellent biopic sur un chanteur légendaire interprèté par un acteur de rêve. Parfait pour les fans du folk et de la musique année 60.
5,0
Publiée le 30 janvier 2025
Très beau film qui montre l'engagement de Bob Dylan, les paroles de ses chansons sont d'une actualité criante .Très belles interprétations. Que du plaisir malgré l'impuissance dans laquelle ils se retrouve comme nous
4,0
Publiée le 30 janvier 2025
vu en avant-première au Rex en présence de l'équipe. Une immersion intéressante dans l'univers et les chansons de Bob Dylan. portée par des acteurs épatants qui chantent eux-mêmes. Un très beau moment musical !
4,0
Publiée le 3 février 2025
Un parfait inconnu ne s'adresse évidemment pas aux fans transis de Bob Dylan qui relèveront sans effort les raccourcis et les inexactitudes de ce qui n'est pas un véritable biopic, puisque ne s'intéressant qu'aux premières années d'artiste du futur Prix Nobel. C'est le portrait d'une époque, aussi, au sein du petit monde de la musique Folk, plutôt conservateur, avec un jeune rebelle, tellement doué et si difficile à cerner, entre révolte et ambition, notamment celle de ne pas réduire son inspiration à un seul registre. James Mangold n'est pas de la race des grands réalisateurs, on ne le découvre pas aujourd'hui, mais il a ici l'habileté de laisser la plus grande place aux concerts où Timothée Chalamet se révèle ébouriffant en interprète habité et rageur, interprétant lui-même les Blowin' in the Wind, Like a Rolling Stone ou surtout The Times they are A-Changing. Oui, les temps changent alors dans la musique américaine, grâce à lui, avec l'irruption de ce génie, trop facilement qualifié de Rimbaldien, et que le film rend guère sympathique, ce qu'il était certainement le cas, en particulier dans ses aventures sentimentales (Monica Barbaro est également magnifique en Joan Baez). Plus que sa personnalité, qui reste opaque et ce n'est pas un reproche, ce sont les regards des autres qui disent éloquemment la stupeur devant ce phénomène dont on dirait de nos jours qu'il a été disruptif. Le film, en tous cas, donne envie de (ré)écouter tous les albums de Robert Zimmerman, en s'attachant autant à ses paroles qu'à sa musique. Avant que Dylan n'aille frapper à la porte du paradis.
4,0
Publiée le 30 janvier 2025
Il faudra adorer les chansons de Bob Dylan pour apprécier ce film et l'acteur qui l'interprète à la perfection car du début jusqu'à la fin c'est presque un concert de cet auteur-compositeur- musicien et interprète si singulier auquel on assiste. Les fans pourront se rejouir de l'entendre plusieurs fois chanter en duo avec Joan Baez, l'union de leurs voix particulières nous transcende et l'on ressort de là rajeunis de quelques années en moins.
5,0
Publiée le 30 janvier 2025
Le film est indéniablement très bon biopic sur la personnalité complexe et juste d'un grand artiste en perpétuelle 'mutation' jamais avec comme toile de fond une belle histoire d'amitié et des sentiments que l'artiste n'arrivait pas à exprimer comportement alement parlant. La musique et les écrits sont présents partoutTimothée Chalamet est bluffant, Il est BD. Les comédiens sont tous excellents. C'est une véritable immersion dans la musique folk des années 60 avec Johnny Cash et une Joan Baez toujours à la voix sublime, que l'on découvre sous un angle nouveau .
4,0
Publiée le 1 février 2025
2h30 à faire chauffer les cordes de la gratte : ça fait un bien fou aux oreilles. Une tignasse hirsute, un harmonica, des textes contestataires et une voix nasillarde, oui, on pourrait réduire Bob Dylan à ces quelques traits, mais comme avec la figure de Johnny Cash dans (l'excellentissime) Walk the Line, James Mangold préfère dépoussiérer avec passion et énergie son modèle, le rendant accessible au fan autant qu'au néophyte. On s'embarque dans un biopic qui enchaîne pas moins de 2h30 de bonnes musiques (pas forcément celles de Dylan, on nous fait écouter aussi toutes ses inspirations : vas-y, James, tourne le volume à fond), qui laisse Timothée Chalamet être le parfait Bob Dylan : non seulement il lui ressemble, mais le travail sur les chansons qu'il interprète lui-même est colossal (on n'était pas grand fan des originales, mais ces ré-arrangements-là, on s'est déjà promis de les prendre en vinyle). Aussi, si vous n'y connaissez rien, le film s'offre à vous sans a priori, en vous faisant goûter aux contextes qui ont construit l'artiste (les "baskets" - ces endroits où les poètes et chanteurs sans le sou passaient à la fin de la soirée avec le "panier" pour récolter trois pécules du public - où il a fait ses armes, ses premières face B de grands artistes qui ont commencé à le faire connaître, les festivals folks, sa relation avec Joan Baez et d'autres compagnes, la peur du nucléaire, son amitié avec Johnny Cash, son passage "cataclysmique" à la guitare électrique... Tout, ou presque, y est). Si vous êtes plus fin connaisseur, peut-être apprécierez-vous tous les clins-d'œil (non surlignés) que Mangold vous glisse : vous avez remarqué le sticker "This Machine Kills Fascists" dans la scène de la chanson à l'asile ? C'est celui qui a popularisé Woody Guthrie (le modèle de Bob Dylan, dont il volait les vinyles à la médiathèque), donc sa guitare personnelle (la marque de confiance la plus haute entre joueurs de folk), soit le premier témoignage qu'on assiste à la naissance d'un héritier de Guthrie, qui créera plus tard son style avec les sessions aux "baskets" calamiteuses (ce qui n'est pas montré dans le film, qui se concentre plutôt sur son ascension, mais sachez seulement que si le fiasco "guitare électrique" à Newport en 1965 qui conclue le film n'effraie nullement Bob, c'est qu'il a passé ses premières années à se faire huer et insulter sur scène), idem, une seule petite phrase innocente résume le bide monumental du premier album solo de Dylan (vendu à 1000 exemplaires sur 2500 boutiques, ça ne fait même pas un par boutique), et le film évite soigneusement toute réplique qui pourrait relier la chanson "Hard Rain" au contexte nucléaire qu'il montre en parallèle (car Dylan n'a jamais voulu associer les deux, et n'en a jamais démordu, alors Mangold a du respect : pas question de lui faire dire n'importe quoi sous le prétexte de la fiction). Ce genre de détails fourmillent et se destinent surtout aux "grands zicos", permettant de nourrir le biopic généreusement (on voit quasiment tout, le film est très copieux et concis) entre deux chansons formidables. Évidemment, quand on voit arriver Johnny Cash, on a les paroles qui nous démangent (et le court passage où il chante est du miel pour les oreilles), mais il est surtout ici pour donner un éclairage sur Dylan, aussi leurs scènes en commun font chaud au cœur, et même si l'on sait que cela ne s'est pas vraiment passé comme cela lors du concert "fiasco" (Johnny Cash n'était pas là), on s'en fiche, on aime rêver avec le film. Pour ne pas faire plus long qu'un solo live de Dylan, on dira simplement qu'Un parfait inconnu est le petit frère de (l'excellentissime, on l'a déjà dit ?) Walk the Line, d'un James Mangold toujours aussi amoureux de la musique (et de son spectateur, quel qu'il soit), et d'un Timothée Chalamet transcendé au possible. Et si vous vous demandez encore si vous devez y aller : la réponse, mon ami(e), est soufflée dans le vent (c'est oui).
4,5
Publiée le 26 janvier 2025
1961, Bob Dylan arrive en ville (New-York) avec pour seuls bagages, sa guitare, son talent et son admiration pour Woody Guthrie (leur première rencontre donne une sacrée bonne scène). Le jeune homme va avec l’aide de Pete Seeger (Edward Norton, paternaliste) mettre un pied dans les clubs de Greenwich Village et va rapidement devenir une icône de la scène folk et un chantre de la contest song grâce à sa facilité d’écriture. Il va y rencontrer Joan Baez (Monica Barbaro), Albert Grosmann son futur manager. Taciturne et mystérieux, épris de liberté, il n’accepte pas la célébrité et ses inconvénients. Ouvert à d’autres styles musicaux, il va électrifier sa musique en 1965, au désespoir de la communauté folk qui vivra ça comme une trahison. « Un parfait inconnu » couvre donc ses 5 années et montre bien l’itinéraire musical de Bob Dylan, son refus d’être cloisonné dans un style et il nous fait comprendre l’influence qu’ont pu avoir blues, country music, rock n’ roll sur cet homme. Le film est d’une grande fluidité, et les 2h20 passent plutôt vite grâce à beaucoup de moments musicaux. Un des meilleurs étant certainement sa rencontre imprévue sur un plateau télé avec un bluesman de fiction, amateur de whisky, interprété par le fils de Muddy Waters (Big Bill Morganfield) et leur improvisation. Timothée Chalamet est assez ahurissant dans sa prestation. Si sa façon de parler, de chanter, de se mouvoir, sa nonchalance sont sûrement proche de Dylan, on n’assiste pas le moins du monde à une imitation. On oublie l’acteur, et on voit quelqu’un qui pourrait être Dylan. Et comme il assure au chant, à l’harmonica et à la guitare, tout est réuni pour qu’il aille récupérer l’Oscar du meilleur acteur le mois prochain. Vous l’aurez compris, « Un parfait inconnu », est tout sauf raté !
3,0
Publiée le 5 janvier 2025
Vu à Montréal.

Flashback! Il y a tout juste vingt ans maintenant, James Mangold réalisait un biopic sur Johnny Cash incarné par Joaquin Phoenix, « Walk the line ». Un film remarquable qui a contribué à lancer la mode des biopics musicaux et qui s’est vu attribué plusieurs récompenses dont un Oscar pour Reese Witherspoon (qui jouait June Carter) et plusieurs Golden Globes. Dans ce long-métrage, un autre chanteur, qui s’avérait être Bob Dylan, était souvent évoqué puisqu’il a côtoyé à maintes reprises l’artiste. Il est donc amusant de voir qu’aujourd’hui ce soit James Mangold qui réalise ce nouveau biopic deux décennies plus tard sur une époque similaire et où l’on croise... Johnny Cash. La boucle est bouclée comme on dit!

Si « Walk the line » était plutôt un bon souvenir dans le genre - peut-être aussi parce qu’on en était à l’avènement de ces biographies de musiciens ou chanteurs sur grand écran - « Un parfait inconnu » déçoit quelque peu. C’est certes le second essai sur Bob Dylan après le « I’m not here » de Todd Haynes sorti il y a une bonne quinzaine d’années quant à lui. On y voyait le chanteur de folk et de rock, connu pour être très polyvalent (il écrit, sculpte, ...), incarné par différents acteurs et actrices au sein d’une mosaïque certes originale et inattendue mais parfois un peu incongrue. On ne demandait pas tant de surprises ni un résultat si imprévisible à ce nouveau portrait mais quelque chose de tout de même moins classique, lisse et consensuel, voire presque anecdotique.

Pourtant, James Mangold est réputé pour être l’un des artisans les plus versatiles, talentueux et appliqués d’Hollywood. Sans un être un véritable auteur avec une voie tracée dans le cinéma, c’est un honnête faiseur qui se loupe rarement mais qui s’essaie surtout à tous les genres, de l’excellent « Logan » (le meilleur film avec Wolverine) aux drames oscarisés « Une vie volée » (et « Walk the line » donc) en passant par le thriller retors (« Identity ») ou le western comme « 3h10 to Yuma ». Bref, il sait tout faire et souvent le fait très bien à défaut de tutoyer les sommets mais, ici, « Un parfait inconnu » manque de saveur, de passion et d’émotion. S’il choisit de s’intéresser uniquement à quelques années charnières dans la vingtaine de l’artiste, on ne saura en revanche jamais rien de sa jeunesse et de ses inspirations, tout comme les trois quarts de sa carrière plus adulte sont également occultés. Au final, on se concentre sur un triangle amoureux classique et ses dilemmes musicaux lors de concerts et festivals. Trop peu fouillé, le long-métrage survole la vie de l’homme comme celle de l’artiste.

La musique est omniprésente ici et il faut vraiment aimer Bob Dylan car on l’entend à toutes les sauces. On ne pourra reprocher au biopic d’un musicien le trop-plein de musique certes, mais il faut avouer qu’ici elle est peut-être un peu trop envahissante. En revanche, on louera sans conteste la belle reconstitution du New York et la côte Est des années 60 avec de beaux décors et costumes ainsi que le contexte historique de l’époque bien intégré dans le script. De la même manière, le casting est impeccable. Les seconds rôles, d’Edward Norton à Elle Fanning en passant par la nouvelle venue Monica Barbaro sont irréprochables tandis que Chalamet ne déçoit pas en se glissant dans la peau d’un Bob Dylan plus vrai que nature et enfourchant un mimétisme presque naturel exemplaire. Alors, c’est juste dommage qu’il manque ce petit quelque chose pour faire de « Un parfait inconnu » un biopic mémorable et qui sorte du lot.

Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Mona56

3 critiques

Suivre son activité

5,0
Publiée le 20 janvier 2025
Un parfait inconnu ... Vu en "avant-première" au Cinéville de Lorient
Absolument magnifique, Timothée Chalamet est bluffant ! Un grand acteur ! Et chanteur, des duos Bob Dylan & Joan Baez trop touchants ! Un grand film pour ce début d'année !
3,0
Publiée le 1 février 2025
Prestation convaincante de Timothy Chalamey pour incarner un BD énigmatique et austère. Si la bande son est évidemment de qualité, la réalisation maîtrisée et la mise en scène très bonnes, le film manque singulièrement de rythme. La relation avec Joan Bez se résume à une partie de jambe en l’air alors que c’était bien autre chose. La composition et l’inspiration des chansons ne sont pas du tout expliquées. Le film est aussi trop long pour ce qu’il présente. Une petite déception me concernant …
Les meilleurs films de tous les temps