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Votre avis sur Madeleine Collins ?
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le film vaut surtout pour virginie efira, qui joue très bien son rôle - le scénario me parait moins plausible, une double vie, pendant si longtemps, comment est-ce possible - le dénouement est étrange, là encore peu plausible, se laisser prendre à son propre rôle ?
Avec ce scénario un peu bancal le film vaut surtout pour la performance de Virginie Efira, impeccable comme à son habitude. La comparaison à Hitchcock que j'ai pu voir dans plusieurs commentaires est vraiment infondée, ne comptez pas là-dessus car vous seriez déçu...
✅ MON AVIS SUR LE FILM "MADELEINE COLLINS" 🎬
"Madeleine Collins" brille particulièrement grâce à un casting de haute volée, mené par la talentueuse Virginie Efira. Réputée pour être l'une des meilleures actrices de sa génération, Efira livre ici une performance magistrale, incarnant Judith avec une justesse et une profondeur émotive impressionnantes. À ses côtés, Bruno Salomone et Quim Gutiérrez apportent une robustesse et une nuance qui renforcent la complexité narrative du film. Leur présence à l'écran est captivante, chaque interaction entre les personnages étant riche en sous-texte et en émotion. La chimie entre les acteurs est palpable, rendant les relations à l'écran à la fois crédibles et touchantes.
Sous la direction de Antoine Barraud, "Madeleine Collins" se distingue par sa réalisation simple mais efficace. Barraud a réussi à créer un excellent film dramatique qui explore avec acuité et subtilité la double vie menée par une femme. Sa mise en scène est maîtrisée, chaque plan est soigneusement composé pour renforcer l’atmosphère de tension et de suspense. Barraud sait comment maintenir l’intérêt du spectateur, utilisant des transitions fluides entre les différentes vies de Judith pour souligner la fragilité de son équilibre. C'est cette approche nuancée qui donne au film son impact émotionnel et sa résonance dramatique.
L’histoire de "Madeleine Collins" est à la fois fascinante et perturbante. Judith mène une double vie entre la Suisse et la France. D’un côté, elle est avec Abdel, avec qui elle élève une petite fille, et de l’autre, avec Melvil, avec qui elle a deux garçons plus âgés. Cette existence scindée en deux repose sur un équilibre fragile fait de mensonges, de secrets et d’allers-retours incessants. Progressivement, cet équilibre se fissure dangereusement, mettant en lumière les conséquences inévitables de ses choix. Prise au piège par ses propres actions, Judith opte pour une fuite en avant, une escalade vertigineuse vers l’inévitable.
Le film aborde de front un sujet tabou et délicat : la tromperie. "Madeleine Collins" ne se contente pas de montrer la duplicité de Judith mais explore les répercussions émotionnelles et psychologiques de ses actes. Le traitement de ce thème est profond et nuancé, évitant les clichés pour offrir une réflexion sincère sur la nature humaine et ses faiblesses. La tromperie, loin d'être glamorisée, est présentée comme une source de destruction personnelle et relationnelle, ce qui ajoute une couche de gravité et de réalisme au récit.
Les émotions sont au cœur de "Madeleine Collins". Le film navigue habilement entre la tromperie, l'amour, le mensonge, la tristesse et la joie. Chaque émotion est intensément ressentie, grâce à des performances d'acteurs puissantes et à une réalisation sensible. La complexité des sentiments éprouvés par Judith et les autres personnages est explorée en profondeur, offrant au spectateur une expérience émotionnelle riche et immersive. La dualité de la vie de Judith est poignante, mettant en évidence l’amour qu’elle ressent pour ses deux familles tout en soulignant la douleur et la culpabilité de sa situation.
"Madeleine Collins" est un film dramatique français qui séduira sans aucun doute les fans du genre. Grâce à une réalisation sobre mais efficace de Antoine Barraud, un casting exceptionnel mené par Virginie Efira, et une histoire captivante et émotionnellement riche, le film réussit à offrir une réflexion profonde sur la double vie et ses conséquences. Avec une note de 7,5/10, "Madeleine Collins" est une œuvre qui mérite d’être vue pour son exploration sincère des thèmes de la tromperie et des relations humaines, en faisant un excellent ajout au panorama cinématographique français contemporain.
NOTE : 7,5/10
Et toi, tu en penses quoi de ce film ? 😉
#fansdecinemaetseries
#mescritiquescine
"Madeleine Collins" brille particulièrement grâce à un casting de haute volée, mené par la talentueuse Virginie Efira. Réputée pour être l'une des meilleures actrices de sa génération, Efira livre ici une performance magistrale, incarnant Judith avec une justesse et une profondeur émotive impressionnantes. À ses côtés, Bruno Salomone et Quim Gutiérrez apportent une robustesse et une nuance qui renforcent la complexité narrative du film. Leur présence à l'écran est captivante, chaque interaction entre les personnages étant riche en sous-texte et en émotion. La chimie entre les acteurs est palpable, rendant les relations à l'écran à la fois crédibles et touchantes.
Sous la direction de Antoine Barraud, "Madeleine Collins" se distingue par sa réalisation simple mais efficace. Barraud a réussi à créer un excellent film dramatique qui explore avec acuité et subtilité la double vie menée par une femme. Sa mise en scène est maîtrisée, chaque plan est soigneusement composé pour renforcer l’atmosphère de tension et de suspense. Barraud sait comment maintenir l’intérêt du spectateur, utilisant des transitions fluides entre les différentes vies de Judith pour souligner la fragilité de son équilibre. C'est cette approche nuancée qui donne au film son impact émotionnel et sa résonance dramatique.
L’histoire de "Madeleine Collins" est à la fois fascinante et perturbante. Judith mène une double vie entre la Suisse et la France. D’un côté, elle est avec Abdel, avec qui elle élève une petite fille, et de l’autre, avec Melvil, avec qui elle a deux garçons plus âgés. Cette existence scindée en deux repose sur un équilibre fragile fait de mensonges, de secrets et d’allers-retours incessants. Progressivement, cet équilibre se fissure dangereusement, mettant en lumière les conséquences inévitables de ses choix. Prise au piège par ses propres actions, Judith opte pour une fuite en avant, une escalade vertigineuse vers l’inévitable.
Le film aborde de front un sujet tabou et délicat : la tromperie. "Madeleine Collins" ne se contente pas de montrer la duplicité de Judith mais explore les répercussions émotionnelles et psychologiques de ses actes. Le traitement de ce thème est profond et nuancé, évitant les clichés pour offrir une réflexion sincère sur la nature humaine et ses faiblesses. La tromperie, loin d'être glamorisée, est présentée comme une source de destruction personnelle et relationnelle, ce qui ajoute une couche de gravité et de réalisme au récit.
Les émotions sont au cœur de "Madeleine Collins". Le film navigue habilement entre la tromperie, l'amour, le mensonge, la tristesse et la joie. Chaque émotion est intensément ressentie, grâce à des performances d'acteurs puissantes et à une réalisation sensible. La complexité des sentiments éprouvés par Judith et les autres personnages est explorée en profondeur, offrant au spectateur une expérience émotionnelle riche et immersive. La dualité de la vie de Judith est poignante, mettant en évidence l’amour qu’elle ressent pour ses deux familles tout en soulignant la douleur et la culpabilité de sa situation.
"Madeleine Collins" est un film dramatique français qui séduira sans aucun doute les fans du genre. Grâce à une réalisation sobre mais efficace de Antoine Barraud, un casting exceptionnel mené par Virginie Efira, et une histoire captivante et émotionnellement riche, le film réussit à offrir une réflexion profonde sur la double vie et ses conséquences. Avec une note de 7,5/10, "Madeleine Collins" est une œuvre qui mérite d’être vue pour son exploration sincère des thèmes de la tromperie et des relations humaines, en faisant un excellent ajout au panorama cinématographique français contemporain.
NOTE : 7,5/10
Et toi, tu en penses quoi de ce film ? 😉
#fansdecinemaetseries
#mescritiquescine
Fêtons le cinéma
Madeleine Collins est une réponse au Vertigo d’Alfred Hitchcock, en ce qu’il prend soin de redistribuer le point de vue de l’homme comme épicentre à la femme, qui encadre le long métrage par la présence de deux personnages dont le lien de parenté demeurera caché jusqu’à la clausule. Le réalisateur, Antoine Barraud, refuse de cataloguer son héroïne comme une hystérique et laisse les considérations cliniques aux personnages masculins en rendant possible la double identité ; c’est alors l’avalanche de circonstances extérieures à Judith qui feront d’elle une bipolaire coincée entre deux histoires, entre deux pays et entre plusieurs langues qu’elle comprenait jusqu’alors, en témoigne son métier de traductrice diplomatique.
Une très belle séquence la place à l’opéra en position de spectatrice d’un « Ave Maria » qui produit en elle une émotion telle qu’elle doit impérativement quitter la représentation ; ce lieu, et cette rencontre avec la sensibilité la plus authentique et nue, la raccorde à la distance géographique et physique qui sépare son foyer d’origine, mais fantomatique, de son foyer d’adoption, rendu concret par la simplicité de l’appartement et les projets en commun que l’on y conçoit. Il n’est pas anodin que l’époux chef-d’orchestre, interprété par Bruno Salomone, souhaite déménager, trouvant dans le mouvement une fuite hors de la réalité. La mise en scène, d’abord très posée, épouse les dérèglements intérieurs de sa protagoniste pour revendiquer une esthétique caméra à l’épaule, donnant lieu à un plan de toute beauté et significatif de deux mains tenues en direction du domicile paternel.
Malgré un manque d’émotions et une linéarité scénaristique somme toute prévisible, Madeleine Collins brosse avec justesse le portrait d’une femme soucieuse de mener de front sa vie professionnelle et ses vies personnelles, quitte à se dédoubler pour y parvenir. Une métaphore pertinente.
Une très belle séquence la place à l’opéra en position de spectatrice d’un « Ave Maria » qui produit en elle une émotion telle qu’elle doit impérativement quitter la représentation ; ce lieu, et cette rencontre avec la sensibilité la plus authentique et nue, la raccorde à la distance géographique et physique qui sépare son foyer d’origine, mais fantomatique, de son foyer d’adoption, rendu concret par la simplicité de l’appartement et les projets en commun que l’on y conçoit. Il n’est pas anodin que l’époux chef-d’orchestre, interprété par Bruno Salomone, souhaite déménager, trouvant dans le mouvement une fuite hors de la réalité. La mise en scène, d’abord très posée, épouse les dérèglements intérieurs de sa protagoniste pour revendiquer une esthétique caméra à l’épaule, donnant lieu à un plan de toute beauté et significatif de deux mains tenues en direction du domicile paternel.
Malgré un manque d’émotions et une linéarité scénaristique somme toute prévisible, Madeleine Collins brosse avec justesse le portrait d’une femme soucieuse de mener de front sa vie professionnelle et ses vies personnelles, quitte à se dédoubler pour y parvenir. Une métaphore pertinente.
Un film assez intriguant qui se dévoile petit à petit. Virgine Effira livre une très grande prestation. Elle incarne parfaitement cette femme qui mène une double vie et dont la vie se craquelle peu à peu. On découvre peu à peu les raisons qui l'ont amené à vivre cette double existence. Il y a suspense bien entretenu.
Nul ! Incompréhensible et inaudible ! À éviter absolument si vous ne voulez pas perdre votre temps...
C'est un bon film français avec une V. Efira afficace dans son rôle.
Le scénario original est simple, mais la mise en scène est un peu alambiqué.
Mais c'est ce qui fait le charme du film.
Il faut du temps au spectateur pour comprendre qui est qui.
Cela fonctionne donc assez bien.
Le scénario original est simple, mais la mise en scène est un peu alambiqué.
Mais c'est ce qui fait le charme du film.
Il faut du temps au spectateur pour comprendre qui est qui.
Cela fonctionne donc assez bien.
J'ai beau chercher, rien à signaler...Pas de faille ni dans le scénario, ni dans le jeu des acteurs...Virginie Efira est.. est...épatante? c'est fade...Sublime? Hum...Il n'y a pas de mots; elle nous scotche au fauteuil, à l'écran, la bouche bée...Elle est capable de toutes les émotions, comme un sportif de haut niveau elle donne tout, elle ne se regarde pas jouer, elle n'est forcément que le personnage, jetant s'il le faut sa beauté, sa grâce aux orties...
Oulalah, comment dire ?
Un film avec peu de qualités et d'énormes défauts.
1) Un son inaudible, on n'entend pas de façon intelligible la moitié des dialogues, donc déjà ça part mal car là on est quand même sur le B.A.BA d'un film.
2) Une intrigue mal ficelée : on ne comprend pas vraiment les enjeux du film, ni les quiproquos liés aux 2 identités du personnage principal
3) On s'ennuie ferme pour tout dire, tellement c'est plat, sans relief, sans âme.
Un projet intéressant mais qui tombe à l'eau et qui coule même tout au fond tel le Titanic
Un film avec peu de qualités et d'énormes défauts.
1) Un son inaudible, on n'entend pas de façon intelligible la moitié des dialogues, donc déjà ça part mal car là on est quand même sur le B.A.BA d'un film.
2) Une intrigue mal ficelée : on ne comprend pas vraiment les enjeux du film, ni les quiproquos liés aux 2 identités du personnage principal
3) On s'ennuie ferme pour tout dire, tellement c'est plat, sans relief, sans âme.
Un projet intéressant mais qui tombe à l'eau et qui coule même tout au fond tel le Titanic
C'est un film où Virginie Efira joue de manière convaincante, mais il semble être une reprise d'idées déjà explorées, sans apporter d'éléments significatifs en termes d'originalité.
j'ai beaucoup aimé ce film, j'ai trouvé le scénario très original et Virginie Efira extraordinaire comme d'habitude. J'ajoute qu'il y a un certain Pascal dans les critiques (qui a mis deux étoiles ça c'est son droit ) qui dévoile absolument tout du film ce qui m'a bien énervée!!!!!!!!! à bon entendeur...
Ti Nou
À trop vouloir jouer la carte du mystère, laissant le spectateur dans le flou jusqu’au climax final, c’est plutôt celle de la confusion qui l’emporte. Ce qui rend "Madeleine Collins" plus agaçant qu’intrigant. D’autant plus que les dialogues sont souvent inaudibles.
Un espèce de polar affectif auquel j'aurais aimé comprendre plus de choses. Cela part très bien avec ce plan séquence dans le magasin et puis le film se met à suivre cette femme qui va et vient entre ses deux familles. Le fait est que je n'ai jamais réussi à entré vraiment dans le film même si je reconnais une certaine habilité à mener une intrigue modelée sur Hitchcock .. En même temps, c'est marrant, j'ai pensé que ça pouvait être la version dramatique d'un film de Lautner, une excellente comédie intitulé" "Une femme peut en cacher une autre", qui proposait déjà le même canevas. Bon, ça, c'est pour l'anecdote. En fait, "Madeleine Collns", c'est le portrait d'une femme piégée et qui tombe mais qui se relève un peu. Et Virginie Efira, je l'admet, est excellente et porte le film. Une curiosité.
Excellent film que celui d'Antoine Barraud avec Virginie Efira : Madeleine Collins.
L'histoire d'une femme qui mène une double-vie, entre deux frontières (franco-suisse), entre deux langues (elle est interprète), entre deux conjoints et même entre deux familles car il y a des enfants de chaque côté.
Le synopsis pourrait laisser croire à une troublante histoire d'adultère mais rapidement le film ne laisse aucun doute qui lorgne plutôt du côté de Hitchcock.
D'ailleurs, pourquoi la dame a-t-elle deux identités ? Margot d'un côté, Judith de l'autre.
Elle ne s'appelle pas Madeleine Collins d'ailleurs. C'est quoi ce titre ? Et c'est quoi cette scène d'ouverture à laquelle on en comprend rien ?
Au début du film tout va bien et Margot/Judith passe d'une vie à l'autre avec une facilité déconcertante, comme on change de bus ou de métro.
Son joli minois plein et lumineux inspire la transparence et la confiance et elle mène tout son petit monde (et le spectateur) par le bout du nez.
Mais bien vite la pression monte et les mensonges s'accumulent.
Le stress gagne tout le monde, le personnage, ses proches et même le spectateur que le réalisateur prend bien soin de laisser en équilibre sur le fil sans repères pour s'y retrouver.
Et quand ça craque de toutes parts, Margot/Judith fuit toute cette pression et passe de l'autre côté du miroir.
C'est très bien mené.
On ne peut vous en dire plus mais voilà un film de fiction, qui n'est pas basé sur une histoire vraie (!), qui ne rappelle pas un moment historique, qui ne défend pas une thèse pacifico-écolo, qui ne ...
Dans l'une des scènes, l'un des enfants crie : "Arrête, tout ça c'est du cinéma !"
Oui, de l'excellent cinéma, en effet.
Et un très beau rôle pour Virginie Efira.
L'histoire d'une femme qui mène une double-vie, entre deux frontières (franco-suisse), entre deux langues (elle est interprète), entre deux conjoints et même entre deux familles car il y a des enfants de chaque côté.
Le synopsis pourrait laisser croire à une troublante histoire d'adultère mais rapidement le film ne laisse aucun doute qui lorgne plutôt du côté de Hitchcock.
D'ailleurs, pourquoi la dame a-t-elle deux identités ? Margot d'un côté, Judith de l'autre.
Elle ne s'appelle pas Madeleine Collins d'ailleurs. C'est quoi ce titre ? Et c'est quoi cette scène d'ouverture à laquelle on en comprend rien ?
Au début du film tout va bien et Margot/Judith passe d'une vie à l'autre avec une facilité déconcertante, comme on change de bus ou de métro.
Son joli minois plein et lumineux inspire la transparence et la confiance et elle mène tout son petit monde (et le spectateur) par le bout du nez.
Mais bien vite la pression monte et les mensonges s'accumulent.
Le stress gagne tout le monde, le personnage, ses proches et même le spectateur que le réalisateur prend bien soin de laisser en équilibre sur le fil sans repères pour s'y retrouver.
Et quand ça craque de toutes parts, Margot/Judith fuit toute cette pression et passe de l'autre côté du miroir.
C'est très bien mené.
On ne peut vous en dire plus mais voilà un film de fiction, qui n'est pas basé sur une histoire vraie (!), qui ne rappelle pas un moment historique, qui ne défend pas une thèse pacifico-écolo, qui ne ...
Dans l'une des scènes, l'un des enfants crie : "Arrête, tout ça c'est du cinéma !"
Oui, de l'excellent cinéma, en effet.
Et un très beau rôle pour Virginie Efira.
Je l'ai vu il y a quelques jours sur canal +, car étant fan de Virginie Efira je ne peux que apprécier le film et pourtant. Elle mène une double vie, elle est tourmenté et ne sait pas ce qu'elle veut au final, pas d'actions, pas de réel emprise sur l'histoire. Son jeu est presque fade... on s'ennuie. Je ne recommande pas.
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