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    Everything Everywhere All at Once
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    869 critiques spectateurs

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    Ufuk K
    Ufuk K

    516 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 septembre 2022
    "Everything Everywhere All at Once" beau succès commercial aux Etats-Unis, assez bien noté par la presse et les spectateurs est un film qui a finit par me lasser gravement .En effet en dépit d'un mélange des genres audacieux (la chronique sociale, science fiction et action), un casting costaud ( Michelle Yeoh ,Jamie Lee Curtis) des idées originales, j'ai fini par complétement décroché durant la seconde partie , l'histoire part dans tous les sens, trop longue (2h19) j'ai perdu complétement l'intérêt peu à peu pour ce film.
    October70
    October70

    13 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 août 2022
    Je n'ai pas accroché. Du tout. Et pourtant l'idée m'intéressait beaucoup.

    Au vu des critiques dithyrambiques que j'ai lu, j'ai l'impression que soit on adore, soit on déteste. Je fais malheureusement parti de la seconde tranche tellement "j'ai" trouvé cela brouillon voire bordélique. Dommage, j'aurais aimé aimer :)
    Jorik V
    Jorik V

    1 267 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 avril 2022
    Oui, c’est une histoire complètement dingue, originale et pour ainsi dire jamais vue qui nous est proposée ici. Encore oui, ce film souffle un grand vent de fraîcheur et de nouveauté dans le paysage cinématographique hollywoodien formaté, lassant et aseptisé (et c’est encore une production de A24, la boîte qui monte). Une nouvelle fois oui, cette œuvre est bourrée de qualités indéniables, tant sur le versant narratif que le versant visuel, avec quasiment une idée à chaque plan. Toujours oui, on a droit à une sacrée dose de séquences inimaginables, inattendues et complètement folles, pour certaines d’ailleurs amenées à devenir cultes. Et enfin oui, il est compréhensible que « Tout, partout, tout à la fois » soit générateur d’un gros buzz actuellement et qu’il soit mis aux nues avec un excellent bouche-à-oreille. C’est indéniable et mérité dans le fond, quoiqu’un peu excessif tout de même. Mais surtout oui, il est possible de ne pas l’apprécier... Pire même, de souhaiter que ce film, devenant de plus en plus un calvaire sensitif au fur et à mesure qu’il avance, vienne à vite se terminer.



    En effet, il est fort probable que ce long-métrage scinde son audimat en deux. Entre ceux qui vont adorer et le qualifier de chef-d’œuvre et ceux qui vont le détester, passer à côté ou tout simplement ne pas adhérer à cette proposition de cinéma pourtant stimulante et totalement inédite. Une proposition qui ne ressemble à rien, bien qu’elle se veuille ludique mais pas forcément fédératrice et faite pour tous non plus. D’ailleurs, beaucoup de ceux qui n’aimeraient pas risquent de ne même pas se déplacer rien qu’à la lecture du synopsis, ce qui peut expliquer aussi l’emballement général de spectateurs déjà acquis à ce type d’OVNI cinématographique. Avec « Tout, partout, tout à la fois » on est donc dans le domaine de l’inclassable, prenant pour socle le concept du multivers et donc des réalités alternatives. Et pourtant rien à voir avec le Marvel Cinematic Universe. Le film jongle entre comédie, science-fiction, films d’arts martiaux, drame familial et social dans un énorme (près de deux heures et trente minutes) pot-pourri difficilement digérable. En sortant de la projection on a presque mal à la tête avec cet incessant vacarme visuel et sonore. C’est assourdissant, fatigant et cela devient de plus en plus éreintant à la longue. Le film nous met KO et la dernière heure en devient même pénible si l’on n’est pas client.



    C’est dommage car le concept est indéniablement bon. Et admirer des actrices de cet âge comme Michelle Yeoh et Jamie Lee Curtis, mises en avant dans de tels rôles et s’amuser dans un film si fou, a quelque chose de jubilatoire. Mais il faut s’accrocher. Le concept du multivers est déjà quelque peu complexe mais ici les Daniel (du surnom de ce duo de réalisateurs s’étant fait connaître avec le tout aussi perché « Swiss Army Man ») ne tentent jamais de la vulgariser. Pire, ils complexifient leur intrigue d’une foultitude de détails et de développements plus ou moins ardus qu’on n’a même pas le temps d’assimiler tellement ils confondent rythme et précipitation. Le film part dans tous les sens mais laisse souvent le spectateur à quai dans ces délires. Pourtant, il y a des scènes géniales, pleine d’idées incroyables voire très osées (on n’en dira pas plus pour laisser la surprise). Mais on ne peut les apprécier à leur juste valeur tellement elles sont noyées dans un fatras et un bruit continuel et perpétuel. On pense par exemple aux séquences avec les pierres, très drôles, ou au premier affrontement plein d’inventivité entre l’itération maléfique de la gamine et des gens de la sécurité. Entre le jeu de rôle et le jeu vidéo, « Tout, partout, tout à la fois » ne lésine pas sur l’action à tel point que l’émotion, pourtant présente, est enterrée sous le poids de cet incessant brouhaha narratif et formel qui confine presque à de l’épilepsie sur grand écran. « Haute tension » passerait presque pour un film du neurasthénique à côté c’est dire! Frustrant de voir une œuvre si originale et maîtrisée dans son propos se révéler presque déplaisante et fatigante à force d’avancées nébuleuses et de ne jamais laisser souffler son spectateur. Pour public averti!



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    ElDjedj
    ElDjedj

    14 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 septembre 2022
    Pour décrire ce film en une phrase, je dirais un indigeste gloubi boulga de SF à la Buckaroo Banzaï, d'humour vulgaire et de King Fu à la Jacky Chan.
    Ne brille ni par ses messages ni par son jeu d'acteur ni par sa réalisation.
    Ai été tenté à plusieurs reprises de quitter la salle avant la fin mais ne suis resté que pour pouvoir rédiger légitimement cette critique.
    RedArrow
    RedArrow

    1 662 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mai 2022
    Là, c'est rare, mais les mots me manqueraient presque... J'en arrive même à me dire que je pourrais arrêter mon année cinéma là-dessus tant on est à un stade où beaucoup de choses ne peuvent paraître qu'insipides après un film pareil.
    Ayant adoré "Swiss Army Man" de ces mêmes Dan Kwan & Daniel Scheinert, c'était un long-métrage que j'attendais tout particulièrement, avec la peur évidemment que la hype suscitée autour de lui outre-Atlantique ne soit pas complètement à la hauteur de mes espérances... Eh bien, non seulement "Everything Everywhere All At Once" l'a été mais il en a atomisé le seuil pour aller au-delà dans des proportions que je n'aurais jamais pu soupçonner.

    Le plus grand tour de force du film est finalement de débuter par quelque chose d'extrêmement simple en apparence, l'état de surmenage de son héroïne dont le quotidien chaotique nous est décrit en quelques minutes, pour nous entraîner dans la plus folle des expériences de Multivers jamais décrite au cinéma (autant dire que le Docteur Strange est KO au premier round, sorti sur civière et enroulé dans sa cape). D'un point de vue visuel, j'ai l'impression d'avoir vu tout ce qu'un arc-en-ciel cinématographique est capable de produire de mieux, de plus inventif et de plus barré pour retranscrire cet enchevêtrement infini de mondes géniaux dans lequel Michelle Yeoh se retrouve propulsée en tant que superhéroïne malgré elle et dont le fonctionnement ne cesse de révéler toutes ses subtilités pour notre plus grand plaisir. Je meurs déjà d'envie de le revoir par la profusion de plans et de scènes dingues que ma mémoire prend un malin plaisir à raviver dans le désordre, les nombreux éclats de rire devant l'absurdité de moments amenés à devenir cultes à mes yeux (je ne me remettrai jamais de la "danse des doigts" ou de Raccaccounie) ou encore les superbes moments d'émotion que le film construit sur la durée et qu'il base sur le relationnel en perpétuelle évolution de ses excellents personnages amenés à se (re)découvrir réellement.
    "Everything Everywhere All At Once" part en effet peut-être d'un postulat simple autour du rôle de son incroyable actrice principale mais, grâce aux tunnels de regrets et d'erreurs passés (et de n'importe quoi hilarant aussi) représentés par le Multivers qui l'emporte, il exalte de ce personnage toute la complexité de ses sentiments et non-dits refoulés, issus de tant d'années de frustration, pour enfin peut-être lui ouvrir les yeux et la guérir au sein de la plus déjantée des odyssées intérieures/interdimensionnelles qu'il m'ait été donné de voir..

    Ce sera sans doute là ma claque de 2022. Je ne vois honnêtement pas ce qui pourra battre ça. C'est unique, fou, brillant... À voir absolument.
    Acidus
    Acidus

    716 abonnés 3 707 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 juillet 2022
    Là où un Marvel use du concept d'un multivers à travers une série de films formatées, sans âme ni saveurs, "Everything Everywhere All at Once" ose la différence. Et ça fait un bien fou !


    En plus d'être original, ce long métrage joue sur de nombreux tableaux et peut se faire à la fois drôle, poétique, tendre, survitaminé, décalé avec toujours cette intelligence dans l'écriture et dans la mise en scène. En le visionnant, j'ai pensé au "Millennium Actress" de Satoshi Kon ou au "Mr. Nobody" Jaco Van Dormael dont, je trouve, il partage un esprit commun.


    Un sans faute pour ma part. Les deux Daniel ont su m'embarquer dès les premières secondes pour un extraordinaire voyage qui a pris malheureusement fin avec le générique. Chapeau !
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 177 abonnés 7 496 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 septembre 2022
    Evelyn Wang est à bout, elle ne comprend plus sa famille, est dépassée par son travail et croule sous les impôts. Jusqu’au jour où elle découvre le multivers et ses mondes parallèles (avec toutes les vies qu’elle aurait pu mener).

    Après l’histoire du cadavre pétomane dans Swiss Army Man (2016), les deux Daniels se retrouvent pour la seconde fois derrière la caméra avec cette comédie science-fictionnelle, mêlant humour & action où il est question de multivers sur fond de fossé générationnel.

    Découpé en 3 chapitres ("Everything", "Everywhere" & "All At Once"), le film est clairement à ne pas mettre en toutes les mains tant ce dernier s’avère à la fois épuisant, WTF & foutrement bordélique. Depuis que le film est sorti en salles aux States il y a 5 mois, il y a eu une telle hype autour de lui que cela en devenait suspicieux, trop de hype et trop d’attente suscité par un film, c’est bien souvent la douche froide à l’arrivée (le dernier en date c’était pour Prisoners of the Ghostland - 2021). Sans réelle surprise, après avoir survécu (ou supporté) les 140 minutes que compte le film, je me demande encore ce qui a bien pu causer un tel engouement envers les spectateurs…

    Daniel Scheinert & Daniel Kwan nous entraîne dans un délire foutraque à vous retourner le cerveau, tout va trop vite, on a à peine le temps de digérer une scène, que l’on est déjà dans la suivante ou celle d’après. Les références sont nombreuses mais s’en retrouvent noyées dans ce high-concept qui devient rapidement trop bourratif. Les réalisateurs en font des caisses et rares sont les fois où l’on y adhère, résultat, je suis resté hermétique à leur humour où pêle-mêle on y retrouve des trophées plug anaux, les nunchakus godemichés, des lesbiennes affublées de doigts-saucisses (vous l’avez, vous aussi la référence phallique ? Que c’est drôle :ironie:), Ratontouille (la version raton-laveur de Ratatouille), un bagel cosmique ou encore des pierres dotées d'une conscience...

    Tout ça en devient rapidement épuisant et c’est bien regrettable face à une Jamie Lee Curtis aussi délirante. A aucun moment je n’aurai réussi à rentrer dans le film, à m’attacher aux personnages et à adhérer au type d’humour, visiblement je n’étais pas la cible ou alors je suis trop vieux pour ces conneries… et surtout trop réfractaire au multivers.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    M_wombat
    M_wombat

    19 abonnés 105 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 septembre 2022
    Idée de scénario amusante avec un humour un peu loufoque mais très/trop américain. Film très bavard la "sinisation" de l anglais est fatiguante. C'est long beaucoup trop long la dernière demi heure est sans intérêt.
    Laurent B.
    Laurent B.

    7 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 septembre 2022
    Film très décevant, brouillon et bavard à souhait. attention, à déconseiller fortement aux épileptiques !
    Gautier G
    Gautier G

    12 abonnés 147 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 août 2022
    Ce film m'a paru beaucoup plus long que 2h. L'histoire est difficile à suivre et part dans tous les sens sans pour autant être prenant ou intéressant. Nous avons regardé jusqu'à la fin dans l'espoir que le film se termine sur quelque chose de compréhensible mais nous n'avons pas compris. Beaucoup de mal à comprendre l'engouement pour ce film. Je pense que le sujet principal le multiverse est intéressant mais tout était trop chaotique à mon gout.
    Hélène D.
    Hélène D.

    30 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 septembre 2022
    Ce film est un navet. Pas drôle, vulgaire, des acteurs sans charisme. Je ne comprend pas l’engouement pour ce film. L’idée de multivers est bonne mais très mal exploitée. Ça part dans tous les sens. Trop d’images . Ce film est pénible à regarder. Les idées de doigts saucisse , de plug anal, de donut géant …. Du grand n’importe quoi! Ne vous faites pas avoir par cette arnaque.
    Laurent Grim
    Laurent Grim

    3 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 septembre 2022
    J'aurais dû lire les critiques négatives, mais je me suis laissé berner. Pourtant je m'étais promis de ne plus aller voir un film bien noté par les pros, 9 fois sur 10, ce sont des navets. Ce film est dingue et je n'ai strictement rien compris. C'est une comédie, mais je n'ai pas ri une seconde. Le jeu d'acteurs est pas mal, mais le scénario a été pondu pas des gens totalement tordus. Plusieurs personnes sont sorties avant la fin et nous avons tenu en espérant une fin intéressante, mais même pas. Vraiment je ne comprends cette note globale.
    LALALALALERE
    LALALALALERE

    17 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 mars 2023
    Bon, Michelle Yeoh découvre qu'elle est plein de personnes. Elle fait des cris de hyène quand elle va à un rendez-vous avec Jamie Lee Curtis déguisée en boudin. So what ? Le film s'étire et on perd tout intérêt à suivre cette histoire. Un navet comme on va en faire.
    henri M.
    henri M.

    9 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 septembre 2022
    j'ai rarement vu une escroquerie pareille film incompréhensible les 2h15 m'ont semblée littéralement interminable, l'histoire le scenario sont inexistants, à fuir !!
    Yves G.
    Yves G.

    1 455 abonnés 3 482 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 septembre 2022
    Evelyn Wang (Michelle Yeoh) est épuisée. Epuisée par la laverie automatique qu’elle doit gérer et par le contrôle fiscal qu’elle subit. Epuisée par sa famille : son père grabataire, sa fille unique, Joy, qui vient de faire son coming out, et son mari Waymond qui est sur le point de la quitter.
    Mais la vie de Evelyn bascule brutalement lorsque, dans l’immeuble des impôts où elle subit un interrogatoire humiliant avec une inspectrice revêche (Jamie Lee Curtis), elle se retrouve plongée dans le multiverse. Dans ces univers parallèles, hantés par une puissance démoniaque qui a pris possession du corps de sa fille, Evelyn découvre la multiplicité de destins qu’elle aurait pu avoir si elle avait fait des choix de vie différents : championne de kung-fu, star de cinéma, cheffe dans un restaurant gastronomique ou encore lesbienne avec des hot dogs à la place des doigts (sic)

    "Everything Everywhere All at Once" nous vient des Etats-Unis où il a fait un tabac au box-office précédé d’une réputation flatteuse et méritée. Car EEAOT – comme l’appelent déjà les fans de ce film qui, à n’en pas douter, deviendra culte – a une sacrée ambition. Comme "Eternal Sunshine of the Spotless Mind", comme "Matrix", comme désormais la plupart des grands blockbusters américains (la franchise "X-Men", "Superman", etc.), EEAOT joue à saute-moutons d’un univers à un autre, au risque parfois d’y paumer le spectateur. Les jeunes adorent ce zapping épileptique et les plus âgés trouvent leur compte à cette histoire touchante.

    Le problème, le gros problème de EEAOT est que cette débauche d’effets spéciaux, cette imagination débordante, sont mises au service d’une thèse affligeante : le sempiternel bonheur familial qui passe, pour Evelyn, comme de bien entendu, et sans rien spoiler à un scénario cousu de fil blanc, par sa triple réconciliation avec son père, son mari et sa fille. Certes, me direz-vous "Eternal Sunshine of the Spotless Mind" était, tout bien considéré une comédie romantique un peu niaise ; et "Matrix" la parabole philosophique boursouflée de la Caverne de Platon. EEAOT est donc de la même farine.

    C’est ici, une fois cette prémisse posée et EEAOT, ESSM et "Matrix" mis dans le même sac, que dans notre petit multiverse cinématographique s’ouvre à nous, amis cinéphiles, deux options logiques : soit hisser ces trois films là dans notre panthéon cinématographique, malgré leur morale un peu niaise ; soit au contraire, au risque d’un sévère déclassement des deux premiers, les reléguer du piédestal où tous les palmarès les ont déjà hissés.
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