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    The Green Knight
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    110 critiques spectateurs

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    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 357 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 décembre 2021
    Mythe. Nom masculin.
    Sens premier. « Récit relatant des faits imaginaires mettant en scène des êtres représentant symboliquement des forces physiques, des généralités d'ordre philosophique, métaphysique ou social. »

    Par analogie.« Construction de l'esprit, fruit de l'imagination, n'ayant aucun lien avec la réalité, mais qui donne confiance et incite à l'action. »

    Familier. « Chose rare, ou si rarement rencontrée, qu'on pourrait supposer qu'elle n'existe pas. »

    Quelque soit la définition choisie, tout me renvoie à ce qu’est ce « The Green Knight. »
    Un mythe. Un vrai.
    …Et je crois que c’est au fond ce qui me plait le plus en lui.

    J’aime ce film parce qu’il a un récit à proposer ; parce qu’il a un imaginaire à offrir ; parce qu’il appelle à questionner le réel et les actes quand bien même s’agit-il là d’une pure œuvre de fiction s’ancrant dans un univers fantasmé.
    Et puis surtout, si j’aime tant ce « The Green Knight » c’est aussi parce qu’il est une chose rare : une œuvre de pur cinéma comme moi je les aime tant…
    …un cinéma qui entend parler et faire voyager par les sens.
    Parce qu’à bien tout prendre, ils sont effectivement bien peu ces cinéastes qui se risquent encore aujourd’hui sur le chemin du conte et de la fable, sur le terrain de la création, de l’imagination...
    ...Et surtout ils sont bien peu ceux qui osent encore y faire quelque-chose de peu conventionnel.

    Alors certes, une fois est-on arrivé au bout de ces 2h10 qu’on est en droit de trouver l’exercice classique dans son fond et basique dans son propos.
    Rien de neuf à bien tout prendre… (…quoi que, on va très vite en reparler.)
    Mais c’est justement la force du conte que de savoir s’ancrer dans une sorte de gestuelle connue de tous, et cela dans l’espoir justement de parvenir à s’inscrire dans une sorte de continuum intemporel qui traverse les siècles et semble dépasser son propre discours.
    Or il y a clairement de ça dans « The Green Knight ».
    On sent l’envie de renouer avec la grandeur d’un cinéma d’antan. Ce cinéma qui produit de l’image dans le but d’enrichir l’imaginaire de celui qui le voit.

    En cela « The Green Knight » s’ancre clairement dans la droite lignée d’un « Excalibur » de John Boorman.
    On sent même qu’il cherche à profiter des quarante ans écoulés depuis pour repousser encore plus loin les limites, notamment celles permises par le numérique.
    Et si le film n’excelle pas à ce sujet dans la technique, il a néanmoins de quoi pleinement satisfaire dans l’usage qui en est fait.
    Car contrairement aux grosses productions qui se plaisent à jouer de la débauche et de la démontre – au point de tout montrer sous toutes les coutures et faisant ainsi perdre au spectateur tout marge d’imagination – « The Green Knight » a cette intelligence de savoir maintenir ça et là brumes et contrejours, tout en ne se désolidarisant pas de nombreux décors et effets visuels bien physiques.
    A ce jeu d’équilibriste-là la réalisation de David Lowery ne sera pas sans rappeler celle du Guillermo Del Toro de « Pacific Rim », mais surtout celui du bien plus majestueux « Labyrinthe de Pan ».

    D’ailleurs, cet art de l’estompe et de la texture, Lowery sait aussi le transposer dans sa narration.
    Tout n’est pas su et tout n’est pas dit.
    Le récit avance sans savoir où mais tout en sentant qu’il va bien quelque-part…
    …Une sensation qu’avait déjà su générer en moi le précédent film de l’auteur : « A Ghost Story. »

    Alors certes, on pourra malgré tout reprocher à Lowery de ne pas avoir su toucher une certaine forme d’absolu dans sa démarche.
    Il arrive en effet parfois qu’il mette un peu trop de lyrisme dans sa forme tout comme il lui arrivera à un moment de délivrer un peu trop d’éléments de décryptage sur sa démarche au point que ça en évente en partie son charme mystique...

    spoiler: Par exemple l’explication cryptique donnée par Alicia Vikander avant de laisser aller Gauvain rejoindre le chevalier vert se révèle assez au fond assez limpide. Le vert dont elle parle y est trop assimilable à la nature quand le rouge peut être plus spontanément associé au désir de toute puissance de l’Humain. Dès lors la quête de Gauvain / Dev Patel devient-elle trop limpide au point d’apparaitre comme presque simpliste : à rechercher la gloire et la renommée, à se laisser tourner la tête par le désir d’immortalité symbolisés à la fois par le portrait et le ceinturon de tissu, à prendre l’aide apportée sans reconnaissance et à ne la donner qu’en la monnayant contre une réciprocité, l’humain s’engage sur un chemin d’une vie damnée qui, non seulement l’éloignera de ce qui était susceptible de lui apporter un vrai plaisir et une vraie félicité, tout en n’empêchant pas de se retrouver confronté face à ce qu’il cherchait pourtant à éviter : la mortalité, le destin ordinaire et l’oubli. Sitôt le code est-il donné – trop tôt qui plus est – que la magie a moins opéré sur moi, comme lors d’un tour de magie trop vite compris.


    Néanmoins ces quelques reproches que je fais relèvent clairement du chipotage, tant j’apprécie en contrepartie de constater à quel point la démarche qui anime ce ***The Green Knight*** se révèle au final totalement cohérente et pertinente.
    C’est juste que je ne peux m’empêcher de sentir une certaine frustration à voir une œuvre aussi audacieuse être capable de s’approcher si près d’une certaine perfection de forme et de fond sans parvenir pour autant à l’atteindre pleinement…
    …Et c’est un brin rageant.

    Malgré tout – et à bien tout considérer – cela ne retire finalement pas grand-chose au grand bien que je pense de ce « The Green Knight »…
    Car ce film est l’expression d’un cinéma trop rare, trop généreux et trop sublimé pour que je ne puisse pas m’y retrouver ; pour que je puisse pas m’enthousiasmer…
    …Pour que je ne puisse pas y voir là un mythe somptueux dans sa plus pure expression.

    D’ailleurs, comme tout bon mythe, « The Green Knight » est clairement le genre de film que je me reverrai certainement dans un an, dans dix ans voire même dans vingt, sans que j’ai le sentiment qu’il n’ait perdu quoi que ce soit de sa dimension intemporelle.
    Peut-être même qu’à l’avenir on saura le découvrir comme on découvre encore aujourd’hui un « Excalibur » ou un « Labyrinthe de Pan », c’est-à-dire comme une œuvre magique parce que singulière : touchante parce que maitrisée : marquante parce qu’osée.

    …En tout cas voilà bien là le genre de rareté dont je ne me lasserai pas.
    Merci donc à David Lowery pour avoir su rajouter un peu de mythe à notre triste cinéma.
    selenie
    selenie

    6 355 abonnés 6 210 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 décembre 2021
    L'intention de David Lowery est à l'évidence de coller au plus près au texte originel, mais pourtant il change la fin ce qui en retire toute l'ironie et l'humour, choisissant un drame plus classique et finalement moins surprenant. En effet, la fin originel se termine sur un ton moqueur et presque potache alors que le réalisateur-scénariste modifie cette fin pour une morale plus frontale sur une certaine idée de la chevalerie. L' esthétisme est soigné et est un merveilleux est un écrin bien luxueux pour une histoire qui a tendance à ennuyer. En effet, les épreuves que doit affronter Gauvain manquent d'intensité et de danger, on pourrait même sire assez inoffensives mais le pire se sont les incohérences ou les actions dont on ne comprend pas les tenants et aboutissants ; par exemple on se demande qui est vraiment le Renard ?! Pourquoi le couple royal est malade et de quoi ?! Les géants ont-ils une signification ?! La mère de Gauvain est-elle vraiment la soeur de Arthur ?! Pourquoi l'amoureuse de Gauvain est la même femme que la femme du seigneur chasseur ?!... Finalement il faut attendre la toute fin pour comprendre et se dire "ok tout ça pour ça". Dommage, car David Lowery avait un matériau de base qui méritait lieux (peut-être aurait-il fallu assumer la "vraie" fin). Un film où le fond patauge un peu mais qui surnage grâce à la forme, c'est déjà ça.
    Site : Selenie
    benitoberlon
    benitoberlon

    59 abonnés 971 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 septembre 2021
    Visuellement très beau et très réussi, mais ça s'arrête là pour moi. Très lent, complexe et parfois incompréhensible, ce film saura trouver son public, à voir s'ils sont nombreux!
    Vador Mir
    Vador Mir

    263 abonnés 798 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 août 2021
    Bien qu'original, c'est l'ennui total. Dommage gros potentiel, bon casting, décor relativement corrects. Manque de rythme et d'action. La bande annonce était clairement mensongère.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    325 abonnés 3 003 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 septembre 2021
    Outre son intrigue complexe et sa langue riche, le roman du XIVème siècle renferme de nombreux symboles et thèmes qui s'enracinent dans les cultures et folklores celtique et germanique. Cette adaptation, plutôt fidèle mais très abstraite notamment par sa réalisation et ses effets de styles, ne parvient pas à donner une lecture claire et accessible. De plus, le climat soporifique alourdit son sujet. En revanche, les comédiens sont bien dans leur personnage.
    Acidus
    Acidus

    736 abonnés 3 722 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    "The Green Knight" est assurément un film qui sort du lot. Le cinéaste David Lowery puise dans la légende arthurienne et plus précisément dans le roman versifié "Sire Gauvain et le Chevalier vert" pour nous pondre un conte initiatique et fantastique à l'ambiance onirique.


    "The Green Knight" est aussi étrange que son univers et je ne doute pas que nombreux sont ceux qui ni adhéreront pas ; une adhésion d'autant plus compliquée que le rythme y est lent.
    Et pourtant, à mon sens, tout fonctionne parfaitement dans ce long métrage. Il suffit de se laisser porter par la magie de cette aventure et son ambiance hypnotisante, essayer d'en comprendre les ficelles, se faire sa ou ses propres interprétations. Il m'est arrivé de me perdre moi-même, de rester dans la brume, de ne pas percer certaines symboliques,... Pas grave. C'est ce qui fait la richesse du film. Le genre qu'il faut voir plusieurs fois pour en découvrir les subtilités.


    Le fonds est bien là mais la forme ? Ici aussi, c'est presque un sans faute avec une photographie magnifique, de somptueux paysages,... Ma seule réserve viendrait de quelques scènes nocturnes souvent trop sombres. Pas de quoi fouetter un renard. Et la B.O. est juste superbe.


    Un quasi sans-faute pour ce film de chevalerie complètement atypique.
    Senrot
    Senrot

    9 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 janvier 2022
    ça m'a paru très pompeux. Sans doutes des tas de métaphores et messages cachés qui me sont complètement passé au dessus.
    ça ne raconte pas grand chose. De beaux moments de contemplations et d'ambiance malgré tout.
    Spider cineman
    Spider cineman

    160 abonnés 2 065 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 août 2021
    Une légende arthurienne portée à l écran ? On suit le chevalier Gauvin suite à un défi d un chevalier vert ... il peregrinne dans ses contrées relativement désertes ... en fin de compte en dehors du décorum bien traité on finit par s ennuyer ferme ... on le suit, mais c est bien long et les quelques dialogues ne remplissent pas d un intérêt remarquable le suivi de cette quête ou de l intrigue... bof !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 août 2021
    Peu de choses à dire à part que ce film est un chef d’oeuvre; maîtrisé d’un bout à l’autre. Aller voir ce film en salles c’est soutenir un genre de cinéma qui est en perdition et menace notre culture contemporaine.
    Roub E.
    Roub E.

    986 abonnés 5 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 janvier 2022
    Après The Ghost Story David Lowery confirme avec The Green Knight qu’il sait se servir d’une caméra et composer un plan. Au niveau strictement visuel c’est le plus beau film que j’ai vu depuis bien longtemps (et pour le coup je regrette de ne pas l’avoir vu en salle dans des conditions optimums), la photo est à tomber, rien n’est laissé au hasard et à l’image de ce qu’il avait fait dans a Ghost Story on a l’impression de regarder une succession de tableaux ou de photos qui pris indépendamment se suffiraient à eux même. Mais contrairement au précédent film évoqué The Green Knight a plus de matière. Si le thème de la mort, de la déchéance physique d’un corps et d’un esprit qui se poussièrent au fur et à mesure du temps qui passe semblent être importants pour Lowery s’ajoute à cela dans Green Knight des questionnements sur la quête de sens, l’héroïsme, le rapport de l’homme à la nature, la construction d’une légende et tout simplement d’un individu qui se construit à travers ses expériences et j’en passe je suis sûrement passé à côté de pas mal de choses. Car c’est un film qui construit, qui interroge avec une succession de scènes très symboliques mais qui du coup prend le risque de ne pas être toujours compris et de laisser le spectateur perplexe (et ce fut par moment mon cas). Et puis il y a cette manière de déconstruire (un peu) le héros chevaleresque tel qu’on l’imagine et de ce point de vue sans spoiler le final m’a déçu même si j’entend la morale et l’explication qu’il met en place. C’est donc un film exigeant, même envers lui même (on peut d’ailleurs reprocher à Lowery de se regarder filmer par moment) un film que j’aimerai revoir à l’avenir et qui me laissera probablement une impression différente, je ne crierai pas au chef d’œuvre pour la fin comme je le disais, pour quelques longueurs et pour des passages ou je suis passé à côté, mais voilà quelqu’un qui essaie de créer du cinéma et puis qu’est ce que c’est beau !
    2985
    2985

    260 abonnés 1 054 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 août 2021
    D'un point vue visuel et technique le film de David Lowery assure. Beaucoup de plans sont très réussies, la photographie, la lumière, les décors, les effets visuels en général , mais personnellement je trouve qu'il manque de rythme surtout passé la première heure, la lenteur en soit n'est pas spécialement gênante mais le scénario peine à avancer et a réellement proposé un enjeux. La quête quasi métaphysique du héros et les plans contemplatifs freinent cruellement l'histoire. C'est dommage bien interprété, niveau purement filmique c'est très bon , mais ce patinage scénaristique a tendance à faire décrocher le spectateur.
    Michael R
    Michael R

    107 abonnés 1 272 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 janvier 2022
    Une épopée onirique, philosophique, exigeante (beaucoup diront "chiante"), qui rappelle l'œuvre de Chrétien de Troyes et revisite les légendes médiévales et arthuriennes. Visuellement incroyable, le dernier Lowery impressionne par sa beauté, emprunte des chemins tortueux et livre son message à la toute fin. Je suis partagé mais sait que j'ai vu un film magnifique et habité.
    Marc L.
    Marc L.

    46 abonnés 1 607 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 août 2023
    On n’adapte pas un poème arthurien du 14ème siècle comme n’importe quel bouquin de Barjavel ou de Marion Zimmer Bradley ! Si Arthur tenait du lad cockney chez Guy Ritchie, celui de David Lowery évoque davantage une image pieuse et souffrante. D’ailleurs, ce n’est pas même pas lui qui importe dans le récit mais son neveu Gauvain qui accepte le défi incongru de ce Chevalier vert surnaturel qui s’est invité à la cour d’Arthur : lui porter un coup en duel et accepter un an plus tard de recevoir un coup de même puissance. Evidemment, Gauvain, un peu honteux de n’avoir jamais accompli aucun exploit, tranche la tête de son adversaire et se retrouve bien embêté…mais pas tant que ça car dans la conception médiévale, l’honneur est ce qui doit guider le chevalier dans sa quête, bien plus que l'instinct de préservation. On pense parfois à ce qu’allait offrir Robert Eggers un peu plus tard avec son ‘Northman’, une parfaite illustration de la perception moyenâgeuse du récit héroïque, avec sa saga qui se déroule visiblement dans une région assez circonscrite mais où l’imagination et la foi du héros dans un monde intangible et surnaturel fait apparaître monstres et merveilles à la moindre épreuve. Ici aussi, si les paysages et les décors sont magnifique : ils infirment définitivement l’idée selon laquelle il faut du budget pour créer une atmosphère Fantasy qui vaille : non, il faut juste des compétences et du goût. Il est difficile d’affirmer avec certitude que les géants, les spectres aux paroles sibyllines et les animaux parlants existent ailleurs que dans l’imagination de Gauvain, seul, égaré, épuisé et marchant au-devant d’une mort certaine. D’ailleurs, ‘The green knight’ déploie tout un sous-texte symbolique assez fascinant, au point qu’il devient parfois compliqué de différencier la vision induite par le bagage religieux et culturel de l’acte prosaïque, le rêve lucide de l’allégorie. La volonté du scénario, à l’instar du texte d’origine, est de dépeindre l’affrontement des deux mondes, celui de l’ordre établi et de la volonté de perfection visée par le christianisme contre celui du désordre, des passions et de la faiblesse humaine qu’incarne la Nature. Lent, syncopé, onirique, utilisant une langue très livresque, ‘The green knight’ ne s’adresse pas à tous les publics, dès lors qu’il ne s’agit pas simplement de la mise en image d’un texte ancien mais d’une approche et d’une interprétation visuelle contemporaine d’un schéma de pensée et de réflexion tout droit venu du Moyen-âge, et dès lors parfaitement étranger à tout ce que nous croyons savoir du monde et de la raison. Pour ma part, ‘The green knight’ est l’une des oeuvres les plus audacieuses et stimulantes que j’ai eu la chance de regarder récemment, tant elle me rappelle, dans le tourbillon de symboles religieux et païens et de métaphores troubles qu’elle génère dans son sillage, les chefs d’oeuvre les plus abscons de Jodorowsky.
    Lyah
    Lyah

    386 abonnés 1 067 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 octobre 2022
    Grosse déception. La bande-annonce et le synopsis promettaient du lourd, or il n'en est rien. Un film qui tente de surfer sur la vague de la fantasy médiévale, mais sans succès. En effet, les personnages sont fades et le scénario accumule les longueurs, ce qui rend le film interminable. Par contre, je mets 2 étoiles car la photographie est superbe.
    TUTUR29
    TUTUR29

    35 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 janvier 2022
    David Lowery est un réalisateur que je connais très peu, n’ayant vu que son remake de Eliott le dragon (et ne l’ayant pas apprécié!). Mais The Green Knight a pas mal fait parler de lui car Lowery reste un réalisateur qui a pas mal de fans, et sa non-distribution au cinéma a offusqué beaucoup de monde au vu du potentiel du film. Ça a été suffisant pour attirer mon attention et que je souhaite me lancer dans The Green Knight. Malheureusement, j’ai vraiment détesté. C’est simple : je ne trouve aucune qualité à ce film. Les personnages sont creux et plats, tout comme les dialogues. Il n’y a quasiment pas d’action donc ce n’est pas ça qui rattrape le film. Et si je m’attendais à voir un film au moins beau et poétique visuellement, je n’ai même pas trouvé ça beau : c’est très grisâtre et seuls quelques plans ont su attirer mon attention. Bref, rien ne m’a accroché, je trouve que c’est un film vide de toute émotion et devant lequel je me suis ennuyé tout du long. Ce n’est vraiment pas ma tasse de thé.
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