Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Le cinéma de David Lowery bascule de l'élégie du temps qui passe à une tristesse plus effrayante, plus tranchée mais pas moins nourrissante et terrassante.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
20 Minutes
par Caroline Vié
« The Green Knight » aborde la légende arthurienne de façon originale. Ce conte philosophique est un enchantement pour qui se laisse emporter dans son monde magique.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Lowery s'empare avec une habilité sidérante des codes du mythe arthurien pour en dégager une très belle méditation sur la mort, sauvée du nihilisme par un dernier acte déchirant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Libération
par Marius Chapuis
La grande beauté du film est de livrer sa vraie nature au compte-gouttes, d’incruster son propos dans l’image et le sous-texte. [...] Derrière ses grands airs de chanson de geste, The Green Knight compose une vanité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par François Cau
[Le] témoignage puissant que si toutes les histoires ont déjà été racontées, il se trouvera toujours des artistes de talent pour les transfigurer, renverser leurs perspectives pour susciter des émotions inédites.
Positif
par Nicolas Geneix
Spectacle sensoriel et profond, puissamment pensé pour le grand écran, le film marie une fantasy automnale et crépusculaire au goût pour les variantes narratives qu’offre la littérature médiévale.
Première
par François Léger
David Lowery signe une relecture visuellement sublime de la légende arthurienne. Pas fait pour tout le monde, mais une vraie expérience sensorielle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Claire Picard
Portée par Dev Patel, cette relecture de la légende arthurienne s'avère exigeante, mais visuellement sublime et très onirique.
Télérama
par Frédéric Strauss
Avec The Green Knight, David Lowery n’a pas hésité à livrer un film assez insituable, au croisement de toutes sortes de genres, l’heroic fantasy, la fable littéraire et philosophique, le tableau d’époque en costumes, le paranormal et l’horreur… Ce sont toutes ces envies de cinéma réunies qui emportent l’adhésion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
The Green Knight a pour principale ambition d’imposer une fantasy qui ne doive rien aux codes hollywoodiens ni à ceux de la série télévisée contemporaine. Aucune bataille, aucun dragon ; pas de méditation sur le bien et le mal, ni sur le pouvoir et la démesure. David Lowery impose un récit initiatique étrange, au rythme perpétuellement arrêté, moins constitué d’étapes que de rencontres avortées, en dépit de nombreuses péripéties. (...) C’est ainsi que Lowery essaie, comme il peut, de faire vivre une indépendance esthétique : en cherchant à ouvrir des mondes parallèles à la Resnais, mélancoliques et méditatifs, à l’intérieur des conventions d’un récit de chevalier.
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Sans doute ce Green Knight aurait-il séduit plus largement s’il s’était départi d’un certain hermétisme, ses qualités picturales confinant parfois au maniérisme, en interdisant la compréhension immédiate, notamment une conclusion en suspens qui laisse quelque peu frustré.
Le Figaro
par Constance Jamet
Visuellement, sa plongée dans le Moyen Âge est somptueuse. D’un point de vue narratif, c’est plus inégal, avec des vignettes symboliques parfois inutiles et une fin abrupte. Les lecteurs de Chrétien de Troyes ne seront pas désarçonnés. Les autres oui.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Adrien Gombeaud
David Lowery tisse sa mise en scène à la manière d'une enluminure, imprime à l'écran l'éclat d'un parchemin et ouvre l’année par un électrochoc esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Une épopée fantastico-médiévale subjuguante, mais dont l’étrangeté déconcertera peut-être certains.
Critikat.com
par Valentin Denis
Il y a quelque chose d’ironique à voir le cinéaste se poser en moraliste enjoignant son personnage à abandonner son désir de grandeur, quand lui-même recourt à des effets lourdement démonstratifs pour forcer l’admiration.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
CinemaTeaser
Le cinéma de David Lowery bascule de l'élégie du temps qui passe à une tristesse plus effrayante, plus tranchée mais pas moins nourrissante et terrassante.
20 Minutes
« The Green Knight » aborde la légende arthurienne de façon originale. Ce conte philosophique est un enchantement pour qui se laisse emporter dans son monde magique.
Ecran Large
Lowery s'empare avec une habilité sidérante des codes du mythe arthurien pour en dégager une très belle méditation sur la mort, sauvée du nihilisme par un dernier acte déchirant.
Libération
La grande beauté du film est de livrer sa vraie nature au compte-gouttes, d’incruster son propos dans l’image et le sous-texte. [...] Derrière ses grands airs de chanson de geste, The Green Knight compose une vanité.
Mad Movies
[Le] témoignage puissant que si toutes les histoires ont déjà été racontées, il se trouvera toujours des artistes de talent pour les transfigurer, renverser leurs perspectives pour susciter des émotions inédites.
Positif
Spectacle sensoriel et profond, puissamment pensé pour le grand écran, le film marie une fantasy automnale et crépusculaire au goût pour les variantes narratives qu’offre la littérature médiévale.
Première
David Lowery signe une relecture visuellement sublime de la légende arthurienne. Pas fait pour tout le monde, mais une vraie expérience sensorielle.
Télé Loisirs
Portée par Dev Patel, cette relecture de la légende arthurienne s'avère exigeante, mais visuellement sublime et très onirique.
Télérama
Avec The Green Knight, David Lowery n’a pas hésité à livrer un film assez insituable, au croisement de toutes sortes de genres, l’heroic fantasy, la fable littéraire et philosophique, le tableau d’époque en costumes, le paranormal et l’horreur… Ce sont toutes ces envies de cinéma réunies qui emportent l’adhésion.
Cahiers du Cinéma
The Green Knight a pour principale ambition d’imposer une fantasy qui ne doive rien aux codes hollywoodiens ni à ceux de la série télévisée contemporaine. Aucune bataille, aucun dragon ; pas de méditation sur le bien et le mal, ni sur le pouvoir et la démesure. David Lowery impose un récit initiatique étrange, au rythme perpétuellement arrêté, moins constitué d’étapes que de rencontres avortées, en dépit de nombreuses péripéties. (...) C’est ainsi que Lowery essaie, comme il peut, de faire vivre une indépendance esthétique : en cherchant à ouvrir des mondes parallèles à la Resnais, mélancoliques et méditatifs, à l’intérieur des conventions d’un récit de chevalier.
L'Ecran Fantastique
Sans doute ce Green Knight aurait-il séduit plus largement s’il s’était départi d’un certain hermétisme, ses qualités picturales confinant parfois au maniérisme, en interdisant la compréhension immédiate, notamment une conclusion en suspens qui laisse quelque peu frustré.
Le Figaro
Visuellement, sa plongée dans le Moyen Âge est somptueuse. D’un point de vue narratif, c’est plus inégal, avec des vignettes symboliques parfois inutiles et une fin abrupte. Les lecteurs de Chrétien de Troyes ne seront pas désarçonnés. Les autres oui.
Les Echos
David Lowery tisse sa mise en scène à la manière d'une enluminure, imprime à l'écran l'éclat d'un parchemin et ouvre l’année par un électrochoc esthétique.
Télé 7 Jours
Une épopée fantastico-médiévale subjuguante, mais dont l’étrangeté déconcertera peut-être certains.
Critikat.com
Il y a quelque chose d’ironique à voir le cinéaste se poser en moraliste enjoignant son personnage à abandonner son désir de grandeur, quand lui-même recourt à des effets lourdement démonstratifs pour forcer l’admiration.