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    Halloween Kills
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    250 critiques spectateurs

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    Shawn777
    Shawn777

    584 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 octobre 2021
    Ce douzième épisode de la franchise "Halloween" et suite directe du reboot de 2018, une nouvelle fois réalisé par David Gordon Green et sorti tout récemment, est tout simplement mauvais ! Enfin, j'en suis même très surpris car après l'agréable surprise qu'était le reboot, je me désole de voir une suite aussi affligeante ! Je n'avais cependant pas une grande hype envers cette suite, n'étant pas un grand fan de la franchise (je suis plus de la team "Vendredi 13"), mais j'arrive tout de même à en être déçu, ils ont en effet réussi à complètement tuer la franchise (une nouvelle fois) et à complètement démystifier Michael Myers. La légende du slasher est en effet morte avec ce film et ce pour plusieurs raisons. Tout d'abord le scénario, qui alterne entre la suite directe donc (les évènements reprennent directement à la fin du premier, c'est-à-dire dans la maison de Laurie, en feu) et entre flashbacks complètement (mais alors vraiment) inutiles. Nous avons d'ailleurs deux sortes de flashbacks, ceux repris des précédents films, qui sont pour le coup très bons (mais qui sont un peu là pour le fan service), et les autres, tournés spécialement pour cette suite, avec une esthétique 70's. Alors si la longue introduction n'est pas trop mauvaise, elle ne sert absolument à rien pour la suite des évènements, enfin si, mis-à-part créer une backstory d'un personnage dont on se fout royalement et que l'on voit de toute manière dix minutes tout au plus. Comme Laurie Strode d'ailleurs, qui était vraiment très bien écrit dans le reboot et qui là, passe complètement au second plan ! Alors oui, elle est blessée, elle est à l'hôpital mais on parle quand même de la final girl la plus célèbre du slasher qui est ici réduite à quelques scènes de dialogues, tantôt risibles, tantôt bateau histoire de dire qu'elle fait toujours partie du tableau. C'est donc très décevant mais ils se sont également lâchés sur l'écriture de Myers. On cherche dans cette suite à psychanalyser le personnage, c'est de la psychologie de comptoirs en plus, mais surtout spoiler: il perd son masque à un moment donné et on arrive à partiellement voir son visage. Ce qui le démystifie complètement car il est bien rasé, bien coiffé, avec son début de calvitie, enfin c'est clairement mon plombier quoi
    ; la silhouette n'impressionne plus, elle en devient risible. Puis on a aussi le fait que spoiler: sa force presque surhumaine soit partiellement expliquée, ce qui fait tomber le film dans une sorte de fantastique à deux ronds qui ne colle plus du tout avec la saga
    . De plus, nous avons énormément de scènes risibles qui sont réellement parodiques qui font par ailleurs penser à "Jason X", l'épisode second degré de la saga "Vendredi 13", on a plus Uber-Michael sous les yeux que Michael Myers. Mais ce n'est pas fini ! Car ce qui m'a le plus fait marrer (ou attrister, ça dépend), c'est lorsque le film essaye d'être porteur d'un message à deux balles stipulant spoiler: que les vrais méchants de l'histoire, et bien, ce sont les habitants de Haddonfield et que Michael n'est finalement que le résultat de la violence de la société mais surtout une victime...
    Enfin je sais bien qu'au bout de douze films, la franchise peine à se renouveler mais de là à tomber dans ce genre d’écueil, c'est vraiment désolant et, encore une fois, ça démystifie énormément le personnage mais également la saga toute entière. Bon ,en dehors de ça, nous avons une B.O., bien que cosignée John Carpenter, qui est ratée et décevante et une mise en scène qui reste jolie par moments mais n'est pas marquante non plus. Cependant, je reconnais que le film possède quelques qualités, notamment les meurtres qui sont ici bien gores (si on oublie bien-sûr la mise en scène des corps par Michael qui ne l'a tout d'abord jamais fait et qui fait une nouvelle fois tomber le film dans l'auto-dérision). Enfin voilà, "Halloween Kills" est donc un vrai nanar comme on en voit rarement aujourd'hui, bien souvent risible malgré lui et puis surtout complètement à côté de la plaque !
    Simon1310
    Simon1310

    146 abonnés 252 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2021
    Halloween Kills, est à Halloween ce que Aliens est au premier film, un film au rythme pas toujours maitrisé, avec des hauts et des bas, mais qui offre 1h45 de meurtres, tous aussi inventifs, les uns que les autres. On se retrouve directement sur la fin du premier pour poursuivre sur un enchainement de meurtres, ou Michael Myers arrive toujours à nous surprendre. Suspense et hémoglobine font bon ménage et on arrive à être surpris, là ou nous spectateurs blasé par ce genre de film, on a cru pouvoir anticiper les apparitions et attaques de Michaels Myers. Plus sec, Plus rapide, ses coups de couteau font mal, à ses victimes et cela se sent; personne n'est à l'abri, et là ou l'on pensait que les personnages étaient intouchables, là surprise est grande. Malheureusement quelque défauts viennent entacher ce film, à partir du moment ou l'on quitte Michael Myers, la tension accumulé retombe comme un soufflé et le film s’étire sur des scènes dont on aurait pu se passer, celle ci sont mal maitrisés et si elles cherchent à étoffés un peu plus les personnages, ces derniers n'en sortent pas grandi, le peu d’intérêt que l'on a pour eux, fait que cela ne nous touche pas. En définitive le film n'est pas mauvais, il offre ce que le spectateur est venu voir mais souffre d'un rythme en dent de scie qui fera alterner le bon et le moins bon, mais il ne faut pas bouder notre plaisir et aller voir ce film.
    Naughty Doc
    Naughty Doc

    911 abonnés 432 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 octobre 2021
    Une suite pas terrible du tout,expédiée à la va-vite avec un Michael Myers encore plus surhumain qu'à l'accoutumée (alors qu'avant son aura mystérieuse et fantomatique rendait le tout crédible), une Laurie Strode qui vocifère mais n'a rien à jouer (elle passe tout le film dans sa chambre d'hosto c'est abusé) et des persos secondaires (gros focus du film) tous plus attardés les uns que les autres.

    Il y a une volonté plutot bienvenue de montrer le trauma des habitants vis-à-vis de Myers, et de dépeindre un mouvement d'union proactif contre cette menace, mais le tout est fait de manière superficielle au possible


    Pire, la tension est réduite au strict minimum, et il faut attendre le climax pour revenir à quelque chose d'un poil plus tenu plutot que du meurtre gore et gonzo sans réel poids ni frisson.


    Bref.. un ptit loupé qui passe avec un combo pizza-bières néanmoins, et qui dispose heureusement d'une durée peu importante, et de meurtres violents et réguliers pour tenir éveillé.
    RedArrow
    RedArrow

    1 665 abonnés 1 529 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 octobre 2021
    Halloween 2018, quarantième anniversaire de la saga initiée par John Carpenter, Michael Myers réenvahissait les écrans de cinéma et la vie de sa proie fétiche, Laurie Strode, dans une suite rétroactive ne gardant que le film de 1978 comme base de sa mythologie. Le succès au box-office fût immense, preuve que l'aura du boogeyman mutique n'a eu de cesse de fasciner le public au fil des décennies, mais le film en lui-même n'était hélas pas à la hauteur de nos attentes.

    Bien sûr, les retrouvailles entre Jamie Lee Curtis et son prédateur préféré avaient su titiller notre fibre nostalgique. Le portait d'une Laurie Strode encore brisée quarante ans après sa si éprouvante nuit de babysitting, obsédée par l'idée d'une potentielle nouvelle confrontation avec Myers dans l'espoir d'éliminer une bonne fois pour toute le traumatisme ayant régi sa vie, avait su nous toucher, d'autant plus que l'ombre de la tragédie avait été jusqu'à déteindre et rendre difficile ses relations avec les descendantes Strode (fille et petite-fille interprétées par Judy Greer et Andi Matichak). L'évasion de Michael Myers allait amener les trois femmes à réévaluer la puissance de leurs liens dans l'épreuve, créant une union transgénérationelle capable de mettre de sacrés bâtons dans les roues du croquemitaine tout en pansant les plaies d'une famille entière. Le parti pris était bien pensé et était accompagné de sympathiques trouvailles (une scène d'ouverture glaçante à Smith's Grove, un carnage en plan-séquence ou encore un final façon revenge-movie) mais, malgré tout, le film de David Gordon Green donnait curieusement l'impression de passer à côté de son sujet, à la fois en traitant de façon expéditive la plupart de ses meilleurs atouts et en se dispersant autour d'éléments anecdotiques (une fournée de nouveaux personnages manquant d'envergure, la fausse bonne idée d'un doppleganger contemporain de Loomis, etc). "Halloween" 2018 se retrouvait alors gouverné par un rythme en dents-de-scie, essayant de se raccrocher mordicus au passé en dupliquant de façon éhontée des scènes cultes du film de 1978, avec souvent une inversion des rapports des forces des protagonistes d'origine, et en démultipliant la violence meurtrière de Michael Myers à Haddonfield sans parvenir à insuffler de la tension derrière chaque coup de lame distribué par le personnage.
    Le goût d'inachevé était tel qu'on en venait même à penser que, sur un dispositif similaire, "Halloween, 20 après" avait su bien mieux comprendre l'essence de la franchise pour en raviver la flamme en 1998.

    Toutefois, aujourd'hui, on est bien sûr prêt à laisser une chance à "Halloween Kills" de nous convaincre, par amour pour les virées sanguinaires du tueur au masque impassible mais aussi parce qu'il a été établi depuis que les plans de David Gordon Green ne se limitait non pas à un film mais à une trilogie.
    L'introduction de ce nouvel opus a d'ailleurs tendance à nous rassurer en effectuant un retour inattendu aux suites du film originel, laissé à l'état de friches par l'effet rétroactif du précédent, pour développer un personnage connexe dans le sombre passé d'Haddonfield. Il y a effectivement quelque chose d'intrigant à aller voir de quelle façon traumatisante Michael Myers a également marqué les habitants d'Haddonfield en dehors du clan Strode et c'est ce que "Halloween Kills" va s'évertuer à faire en ramenant plusieurs figures historiques de 1978 encore victimes du souvenir du tueur. L'intention est louable, surtout qu'elle va donner ici une ampleur politique inédite à la saga en faisant de la population d'Haddonfield le symbole d'une Amérique trumpiste qui laisse bien volontiers libre cours à l'extériorisation primaire de ses peurs quand une étincelle -enfin un énorme incendie ici en la personne de Myers- cherche à les attiser. En lançant tout Haddonfield aux trousses de Myers pour montrer la déviance d'un effet de masse guidé uniquement par la terreur, David Gordon Green tenait sans doute là un degré de lecture original à donner aux agissements de Myers dans le but de renvoyer ceux d'une ville -et, plus largement, d'un peuple- à ses propres responsabilités mais le traitement va avoir un mal fou à se montrer à la hauteur de ces ambitions.

    D'abord, disséminée dans un film intermédiaire entre deux autres, la présence de cette thématique donne le sentiment de n'être finalement qu'un bouche-trou avant que le clan Strode ne reprenne les choses en mains dans l'ultime opus, les trois générations de femmes sont ici reléguées au second plan, simples instruments appelés de temps à autre au service du discours, en attendant que la dernière partie leur offre un rôle évidemment un peu plus conséquent, histoire de relancer la machine et de rappeler qui sont les héroïnes et premières victimes de cette histoire. Ensuite, l'écriture autour de la montée en puissance populaire est tout simplement mauvaise : le retour de personnages du passé sonne trop souvent faux dans l'évocation grossière de leur douleur commune (pas aidé par une interprétation moyenne) ou dans la fatalité du sort de certains (celui de l'infirmière assistante de Loomis, à nouveau présente ici, était bien plus fort dans "H20" par exemple), les mouvements de foule de plus en plus irrationnels tombent dans l'exagération la plus facile et, enfin, le manque de conviction de l'ensemble ne fait que rappeler les errements d'un "Halloween" 2018 par son incapacité à tirer le meilleur d'éléments pourtant a priori pertinents.
    Laissé la plupart du temps les mains libres par l'agitation vaine de la populace, l'ami Michael Myers vaque à ses occupations de carnage, visant sans mal le record de son body-count personnel en un film, mais, encore une fois, le massacre tombe dans une sorte de routine où la diversité et le nombre de mises à morts ne viennent jamais gommer leur cruel manque d'impact à l'écran, bien loin de l'intensité de la seule présence du personnage dans le film de Carpenter ou de sa sauvagerie bestiale au sein des relectures de Rob Zombie.

    Doté d'un rythme bien plus soutenu que son prédécesseur et d'une bande-son encore une fois savamment orchestrée par John Carpenter, "Halloween Kills" réussit tout de même l'exploit de se laisser visionner sans trop d'ennui, l'efficacité de quelques séquences est même indéniable, mais son statut d'interlude cherchant à se fixer artificiellement sur un nouvel angle pour temporiser ne trompe jamais, à l'image de son final loupé dans les grandes lignes et qui cristallise à peu près tous les défauts du long-métrage aussi bien par sa portée symbolique que par la teneur de son cliffhanger. En espérant que "Halloween ends" terminera cette trilogie de manière plus consistante, ce qui sera probablement la dernière confrontation entre Laurie Strode et Michael Myers mérite un feu d'artifice bien plus conséquent que ces deux premiers films.
    Arnaud Bragard
    Arnaud Bragard

    28 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 octobre 2021
    quelques scènes de tentions superbes mais complètement gâchés par du n'importe quoi... la fin est too much et incroyablement bête.
    DamienReloaded
    DamienReloaded

    28 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 octobre 2022
    Vingt minutes prometteuses, un générique des grandes heures et puis...le bordel !
    D'une part les protagonistes. Entre la nostalgie qui pousse à faire revenir des personnages passés, et l'envie de donner au spectateur ce qu'il veut (3x plus de victimes), le film enchaîne comme jamais les victimes. Le hic, c'est que ceux-ci n'apportent rien à l'histoire, ils sont là pour accumuler le bilan comptable de Myers, nous n'avons guère le temps de nous attacher à eux, et factuellement...on s'en fout. Les situations virent au n'importe quoi également, cet opus donne dans l'action (Myers sort des flammes et...), dans la comédie (le couple gay), mais rarement dans l'horreur. Les frissons sont absents et on ressent peu de tension à l'arrivé de Myers, qui ressemble plus à terminator qu'à un boogeyman digne de ce nom ici. En outre, malgré ces accumulations, le peine dans son rythme et de larges longueurs entrecoupent le long-métrage. On voit quand même que les scénaristes peinent à trouver une histoire au halloween de 2018. Bref, un opus qui se sauve du désastre par sa générosité et son fan-service dans l'ensemble mais dont les défauts sont hélas trop manifestes.
    Stitchou Sebou
    Stitchou Sebou

    3 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 octobre 2021
    Et ben moi j'ai vraiment adoré cette halloween la où l'on ne s'ennuie pas et il sert vraiment de mise en boucle pour le grand finale donc moi je dis un grand bravo au réalisateur. Quand a Jamie Lee Curtis dommage pour sont rôle car il est vraiment minime mais bravo a l'importance de la fille et de la petite fille de Jamie Lee Curtis 😍😍😍
    Axel Riordan
    Axel Riordan

    35 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 octobre 2021
    Fan de Myers donc peu objectif mais ce qui est certains c'est qu'à un moment faut remettre la saga dans son contexte.. tout les films sont soient mous soit mauvais à en dormir.. même le 1 a mal vieilli.. le 2 de Rob zombie est affreux.. bref, dans tout ça, le H20, le 2018 et celui ci s'en sorte haut la main... certe j'ai regretté les clins d'œil à la Wok culture (couple mixte, gay, féminisme à outrance) mais ce cahier des charges hollywoodien n'enlève pas la qualité graphique grâce à une sublime photo, et le mythe Myers qui est totalement respecté à l'image dans ces deux dernier films... et bien évidement ils n'ont pas leur place en bas de la sage face à des bouzasses comme Halloween 2, 4, 5, 6, Résurrection et Rob Zombie 2...
    Ricco92
    Ricco92

    224 abonnés 2 149 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2021
    Il n’y a pas à dire : Michael Myers est increvable ! Douzième film de la franchise, Halloween kills est la suite du Halloween de 2018 qui lui-même succédait à La Nuit des masques (Halloween) de John Carpenter en oubliant tous les autres films qui avaient été tournés entre temps. Si le long-métrage précédent avait été une bonne surprise (même si on pouvait lui préférer la relecture de Rob Zombie de 2007), celui-ci rencontre des critiques assez dures. Pourtant, ce second volet réalisé par David Gordon Green possède des aspects assez intéressants. En effet, si le côté horrifique reste très classique et frise parfois le ridicule par l’aspect indestructible de son personnage de croquemitaine (mais ça faisait longtemps que l’on savait cela) notamment sur la fin qui sert surtout à annoncer le prochain Halloween ends, le cinéaste cherche à apporter une nouvelle thématique spoiler: : celle de la chasse aux sorcières ! Il dénonce ainsi l’effet de meute aveugle qui peut être créé par la peur chez les populations. On est d’ailleurs surpris que constater que le film était censé sortir en octobre 2020 (suite à l’épidémie de Covid-19, il se verra décalé d’un an) soit trois mois avant l’invasion du Capitole par les supporters de Donald Trump au moment de la certification par le Parlement américain de la victoire de Joe Biden au poste suprême : cet événement donne au film un aspect assez prophétique. En effet, alors que l’on aurait pu penser au début que le long-métrage justifiait les comportements des émeutiers voulant en terminer avec cette horreur, le récit se met à souligner les débordements de ces derniers évitant ainsi au film de justifier la vengeance expéditive
    . Grâce à cela, David Gordon Green réussit à faire un peu oublier les points faibles de son histoire (Myers toujours plus indestructible, la profusion un peu excessive de personnages spoiler: , la faible présence de Laurie Strode et son absence de confrontation avec Michael Myers
    …). On peut également signaler la réussite technique du maquillage sur Tom Jones, Jr. pour faire revivre Donald Pleasance (ce n'est pas de la recréation numérique, contrairement à ce que l'on pourrait penser dans un premier temps) même si cela peut poser des questions éthiques. Finalement, même s’il est inférieur au film de 2018, Halloween kills reste un épisode de la saga assez plaisant qui se distingue par son introduction de certaines questions morales.
    lmc-3
    lmc-3

    271 abonnés 462 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2021
    Critique presse Halloween (2018): 3,1, crique presse du douzième à l'instant où j'écris ces lignes: 2,2.
    Bonne conclusion, ou en l’occurrence, bonne introduction.
    N’ayant vu que le premier et le onzième avant lui (dont-il est la suite directe et dont-il faut avoir ses deux prédécesseurs BIEN en mémoire avant visionnage), le onzième remontant à il y a trois ans, je me souviens de lui qu’il m’avait bien plus, d’où l’engouement pour aller voir ce.. cette chose.
    Horriblement mou, sentiment de longueur extrême malgré un format de une heure quarante-cinq, si les personnages du film sont aux alarmes et extrêmement tendus, cette tension n’est pas partagée avec le spectateur bien tranquille en sécurité devant le film, tant la composition respire l’absence totale d’âme et ne créait aucune émotion sinon le rire de gêne (voir de vrais fous rires) par si par là.
    Une mort générale dans la salle parfois étouffée par des toussotements, bavardages, ‘chuts’ ou rires, face à un film au rythme complètement foiré, tant l’inconstance et les longueurs sont de mise. Reprenant l’action directement là où elle s’était arrêtée chez son aîné, tout le feu provoqué par les péripéties à outrance du film ressuscitant la saga en 2018 se retrouve soudainement étouffé par l’absence d’oxygène. Convenu, quitch, sans surprises, n’ayant même pas le mérite de provoquer le moindre frisson, juste des images qui défilent à l’écran, de longs speechs, et le temps accordé pour bien montrer au spectateur que le respect des quotas est exécuté.
    D’autant plus qu’on sait déjà avant même d’avoir vu ce film qu’un quatrième est prévu pour 2022 et qu’il n’est donc pas la conclusion de cet univers parallèle aux autres suites du tout premier…
    Film de trop, ils auraient pu directement passer à Halloween Ends.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    767 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Laissé pour mort dans un incendie ("Halloween" sorti en 2018), Michael Myers court toujours et tue encore.
    Que cela soit avec un couteau, un bout de verre, un marteau, ou tout autre objet contondant, le terrifiant tueur d'Halloween fait gicler le sang à tout-va.
    Mais une révolte s'organise dans la ville suite à ces massacres, bientôt la population va se réunir et tenter de traquer ce déséquilibré.
    Ce second volet d'une trilogie en cours sur le boucher d'Halloween (réalisée par David Gordon Green) n'apporte pas plus d'intérêt et de renouveau que le film de 2018, il y a toujours les mêmes défauts (le méchant ne meurt jamais malgré 5 balles dans le corps et un lynchage collectif !) et ce sont indéfiniment les mêmes mécanismes sanglants pompés du premier opus de 1978 de John Carpenter.
    Jamie Lee Curtis est toujours là, mais dans un rôle presque plus distant : dommage.
    Le dernier épisode s'appellera "Halloween Ends" (prévu en 2022) et ne fait pas spécialement saliver si le niveau ne s'élève pas un peu !
    Poussif et répétitif.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    kingbee49
    kingbee49

    38 abonnés 606 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 avril 2022
    Formellement inspiré mais pour un concept qui tourne à vide puisque le mec est increvable.... Sinon, la tentative de créer un arc narratif à partir de soit disant personnages du premier opus de Carpenter ne sert pas à grand chose sinon à meubler et Jamie Lee Curtis fait bien pitié, la pauvre... Et puis cette hystérie collective pour en finir avec Michael Myers, c'est un peu facile, ça sert juste à rajouter des cadavres gratuits. Reste les scènes de meurtres, plus ou moins inventives mais très franchement, depuis 40 ans, le disque, pardon, le couteau est usé. Faut savoir s'arrêter.
    Gruez A
    Gruez A

    14 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 octobre 2021
    Comme ils y a 40ans maison plus hôpital...🎃🗡️ Mais Michael n'est pas dupe et ce doute bien du piège que ont lui prépare. En temps que grand fan de la saga et adoré. Malagré les critiques presse. spoiler:
    la grande question est ce que le croc mitend s'arrêtera t'il un jour ? spoiler:
    René Philibert
    René Philibert

    19 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    L'épisode de trop. Regarder ce film relève du calvaire. Le réalisateur massacre la franchise. Michael Myers poursuit son périple sanglant en éliminant méthodiquement les habitants d'Haddonfield. Le panel de ses victimes est concocté à la sauce woke et inclusive. Michael Myers s'est adapté à l'idéologie progressiste. Bref un film très mauvais.
    Napoléon
    Napoléon

    142 abonnés 1 564 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 octobre 2021
    Une mise en scène plate doublée d'un scénario à la fois douteux et absent avec des acteurs peu motivés. Les incohérences sont nombreuses. Au final le film donne l'impression de ne servir à rien. Vivement que la saga se finisse.
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