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Arsenik67
21 abonnés
798 critiques
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2,0
Publiée le 7 janvier 2022
Alors oui y'a des "Kill" qui sont pas mal pour le spectacle. Mais sinon, quelle lourdeur, les victimes sont toutes plus stupides les unes que les autres. Tout est fait pour pouvoir amener la suite pour Halloween l'année prochaine et ramener plus de pognon.
Certes ce n'est pas le meilleur épisode de la franchise, mais il est dans la continuité de la "nouvelle histoire". Il est vrai que le côté increvable de Michael Myers est parfois très lourd. Le film est assez bien réalisé, il n'y a pas trop de temps morts , et les acteurs restent identiques à Halloween (2018). Le côté retour en 1978 est une excellente idée pour l'intro. La musique de Carpenter est sublime. Toutefois, espérons que "Halloween ends" sera bien le grand final, car il faut savoir s'arrêter....
Film épouvante/horreur ?? C'était un scary movie le machin, quelle honte de dépenser des millions de dollars pour une daube pareil, je ne sais même pas comment cela fait pour être accepter un tel film. Ennuyeux, dialogue grotesque, sur-jouer, autant se voir l'original qui est dix fois mieux réalisé alors qu'il n'y avait pas les mêmes moyens techniques... Je demande à ceux que les réalisateurs me remboursent ma place et me dédommage car c'était vraiment un supplice.
“Halloween Kills” est le douzième film de la franchise “Halloween” initiée par John Carpenter en 1978. Ce long métrage est une suite directe de l’opus sorti en 2018 qui marquait le retour de Jamie Lee Curtis dans son rôle mythique de Laurie Strode. Nous la retrouvons de nouveau à l’écran. Suite à l’incendie de son sous-sol, elle pense en avoir définitivement terminé avec Michael Myers. Mais le psychopathe masqué est increvable et son bain de sang rituel reprend. La famille Strode rejoint un groupe de survivants pour tenter de traquer le tueur d’Halloween encore une fois… Lorsqu’on sait qu’un treizième volet est encore prévu en 2022, on sature une bonne fois pour toutes. Si David Gordon Green souhaitait renouveler l’histoire en trois épisodes et en oubliant toutes les suites du film culte, il ne nous apporte plus rien d’intéressant. “Halloween Kills” est certes violent à souhait, mais tourne définitivement en rond. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Deuxième volet du triptyque de David Gordon Green sur un des Boogeyman les plus célèbres du cinéma. Après un premier essai très réussi et respectueux de l’original de Carpenter qui a lancé la mode du Slasher. Cette suite montre une volonté de raconter quelque chose en sous texte et de ne pas être qu’un alignement de meurtres sanglant. Ce qu’il fait également car le Bodycount est assez hallucinant même pour un film du genre. Mais si les meurtres sont nombreux ils manquent d’originalité et finalement l’amateur de barbaque et de cinéma à sensation pourra paradoxalement rester sur sa faim. Si Halloween Kills est intéressant c’est surtout dans sa description d’une société où le sang appelle la vengeance et le sang, sans pour autant arriver à éradiquer le mal qui reviendra sans cesse. C’est en effet un film assez dépressif mais qui dénature aussi un mécanisme de la peur avec cet aspect inéluctable des choses. Dommage aussi que le personnage de Laurie ne soit très effacé dans ce film (on est même dans la figuration). Bref dans l’ensemble de la saga cela reste dans le haut du panier mais c’est un peu décevant au vu de l’opus précédent.
Halloween Kills a une force de frappe moins percutante que le précédent opus. La faute à des ressorts horrifiques qui commencent à tourner en rond, et à la désagréable sensation qu'il s'agit d'un film de transition. Mais la violence visuelle de David Gordon Green vaut toujours le détour.
" Halloween Kills " suite direct du "premier opus" sortie en 2018 est moyen dans l'ensemble. En effet nous sommes loin du chef œuvre de John Carpenter sortie en 1978 ainsi que de sa "suite directe " de 2018 , la violence est omniprésente et gratuite , certaines séquences frôle le ridicule et fait rire plutôt que peur cependant la tension et l'angoisse est présente tout au long de l'histoire ainsi que la présence de Jamie Lee Curtis sont les principaux atouts de ce film.
Suite directe au précédent opus, une troisième incursion personnelle dans la saga "Halloween" après l'opus fondateur et culte de John Carpenter et le premier opus de David Gordon Green. Un film d'horreur plutôt agréable à suivre mais sans surprises ni inventivité, pas vraiment effrayant et plombé par une allégorie politique sur l'auto-défense, la vengeance assez ambigüe. Une mise en scène brouillonne, un scénario confus, des effets gores un peu outranciers. Malgré un casting de poids, un ensemble que je ne garderai pas en mémoire au contraire de son prédécesseur qui était selon moi, nettement moins policé et stérile. Une petite déception.
Une nouvelle suite, toujours plus sombre et violente, qui donne cette fois un peu plus d'importance aux petits personnages passés jusque là inaperçus, pour un côté un peu plus humain, comme s'il fallait expliquer l'âme du tueur à travers ses crimes. Même sans réelles surprises au final, il réussit à capter le spectateur jusqu'au bout ! J'ai bien aimé !
Un gros raté. Malgré une bonne bande son et une charismatique Lee Curtis le film ne décolle jamais. Le scénario est sans intérêt, les personnages disent bonjour. Ensuite le film est juste une accumulation de meurtres sans grands intérêts... Il n'y a rien à retenir.
Si la suite/reboot de l'opus précédent était sympa, cette suite n'est qu'une extension et n'est pas pas grand chose, à part quelques morts assez gore et la bonne idée de la paranoia des habitants. Vivement le dernier opus qu'on en finisse
Fan de la saga, et surtout de l'original de Carpenter, j'avais adoré la nouvelle version de 2018, et j'étais impatient de découvrir la suite au vu de la bande annonce. Quelle déception. Pire, le film est carrément mauvais ! Les images sont léchées mais le montage est incompréhensible. Si il y a des idées ambitieuses comme les (faux) flashbacks, le générique old school, l'enchaînement direct avec les faits de 2018 ou la foule en colère, il y a une profusion de personnages et de sous intrigues inutiles qui font perdre toute tension et provoque l'ennui. La scène avec les pompiers aurait pu être dantesque, elle est foirée. D'ailleurs les morts deviennent profondément malsaines car elles s'enchaînent automatiquement, avec complaisance. Michael Myers est un Terminator et que dire de Laurie Strode qui fait de la figuration en attendant le final ? Non, non, non cet épisode est inutile et plante la hype créée sur le précédent.
On prend les mêmes et on recommence à un degré d'irrealisme défiant toute concurrence. On aime bien la violence quand elle est constructive et amenée, pas quand elle est dénuée de sens. L'histoire est ratée mais essaie de combler ses lacunes par des tonnes de sang... c'est effrayant de voir quelque chose d'aussi faible.
Bon épisode. Michael Myers est sous adrénaline et tue tout sur son passage. J'ai apprécié le parti prit, l'hystérie de la ville face à cette vague de meurtres. Certes certains comportement ne sont pas intelligent mais beaucoup s'expliquent justement par la peur et l'hystérie collective (les yeux du spectateur en général a du recul et réfléchit sur ce qui vient de se passer, mais dans la réalité, avec ces paramètres, on fait souvent ce qu'il ne faut pas faire). On ne voit pas beaucoup Laurie Strode, n'a même aucune scène avec Myers et c'est plutôt une bonne idée et même logique. Dans cette suite de 78, elle n'est pas sa soeur, mais une de ces victimes qui a survécu et qui a été traumatisé à vie. C'est plutôt bien expliqué mais c'est clairement ELLE SEULE qui s'est faite cette idée qu'il revenait pour elle. C'était plutôt clair dès l'opus de 2018 mais c'est un peu plus appuyé ici. spoiler: Maintenant, qui est Michael Myers, qu'est ce qu'il est, un surhomme, un corps habité...
Quelle direction ils prendront pour ENDS est un mystère, ils peuvent aussi rester flou, ce qui faisait le charme du côté fantomatique du croquemitaine, mais avec tout ce qu'il a encaissé, il y a de quoi se poser des questions.