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Petit lifting pour cette série de films d'horreur des 90's qu'étaient les Candyman. Ce n'est pas moins que Jordan Peele qui produit et scénarise cette nouvelle version et cela se ressent dans les propos et les thématiques du film.
On peut dire de cette nouvelle adaptation qu'elle est inutile et ratée. Elle échoue à créer le moindre frisson avec en cause une mise en scène maladroite et des ressorts horrifiques usés jusqu'à la moelle. Le film échoue aussi dans son discours social car trop caricatural.
Au final, on nous sert une oeuvre lisse où le seul ressenti sera l'ennui.
On peut dire de cette nouvelle adaptation qu'elle est inutile et ratée. Elle échoue à créer le moindre frisson avec en cause une mise en scène maladroite et des ressorts horrifiques usés jusqu'à la moelle. Le film échoue aussi dans son discours social car trop caricatural.
Au final, on nous sert une oeuvre lisse où le seul ressenti sera l'ennui.
Quel intérêt ? un ennuie est un faible mot . Les films de ce genre ne sont pas là pour qu on se pose des questions. Ici on prend le prétexte de l art pour en faire une thèse pour ne pas se prendre pour des imbéciles . Une réalisation nombriliste pour enrober le tout et vous avez un film peudo intello qui frise la débilité profonde .
N'ayant pas vu les précédents opus , je me garderais de comparer cet espèce de suite/reboot à ces derniers. Ça commence pas mal avec la mise en place de la légende de Candyman et du contexte social prétexte à une critique légitime, puis on assiste à la déchéance du personnage principal et à la résurgence du boogeyman en parallèle. Ces aspects sont intéressants , mais pour moi le film est pollué par ses messages politiques qui sont fourrés au chausse-pied sans aucune subtilité. En effet au bout de quelques dizaines de minutes et de plusieurs critiques à charge contre les blancs on comprend qu'on a affaire à quelque chose de raciste , tout simplement. Je n’imagine même pas le tollé si les rôles avaient été inversés... C'est dommage qu'on tombe dans la victimisation et dans les caricatures , car par exemple le phénomène de ghettoïsation est réel et sujet à débat ; mais ici le scénario est partisan et n'incite pas à la réflexion. Ajouté à cela une histoire assez foutraque , puisqu'on ne comprend pas trop les motivations de certains personnages ou la nature réelle de Candyman , ou encore quelques incohérences. Bref malgré quelques petites idées dignes d'intérêt ce film se perd vite dans son propos et pour moi ce genre d’œuvre toxique n'a pas sa place dans le monde du cinéma.
Comparativement à la version de Bernard rose, ce Candyman cuvée 2019 est… décevant. Il ne manquait pourtant pas énormément pour en faire un bon petit film de genre mais la narration est confuse, les protagonistes peu attachants, et ce n'est guères effrayant. La mise en bouche est correcte mais une fois arrivé au tiers du film ca devient un peu lassant. j'ai vu pire dans la catégorie horreur, mais j'ai aussi vu beaucoup beaucoup mieux .
Je n'ai pas vu les originaux mais ce film n'est pas une réussite. Le minimum en terme de slash, des personnages moyennement intéressants, un rythme assez lent et un soupçon de xénophobie en prime. Peu d'intérêt globalement.
Artriste
Remake du film homonyme paru en 1992, Candyman, version 2021, coécrit et réalisé par Nia DaCosta, est un long-métrage de bonne qualité, voir carrément supérieur à son modèle. L'histoire nous fait suivre Anthony McCoy, un artiste peintre vivant à Chicago avec sa femme Brianna, directrice d'une galerie d'art. En panne d'inspiration, l'homme découvre la légende de Candyman et commence à s'en inspirer pour ses peintures. Mais cela va faire ressurgir en lui un passé trouble et sanglant. Ce scénario s'avère prenant à visionner tout du long de sa durée d'environ une heure et demie. Le ton est donné dès les premières minutes et se poursuit au fil du temps. L'intrigue a le mérite de faire le lien avec le film originel, de respecter ce matériau de base, tout en le modernisant. Le résultat est réussi, le récit étant bien équilibré entre aspect social et côté horrifique, en plus d'apporter une touche de culture avec la peinture. L'ambiance parvient également partiellement, par moments, à véhiculer de la tension lors des scènes ou apparaît l'homme au crochet. L'ensemble est bien porté par le couple joué par Yahya Abdul-Mateen II et Teyonah Parris qui interprètent des personnages appréciables et suffisamment développés pour qu'on s'intéresse à eux. Ils sont entourés par une distribution comportant également entre autre Nathan Stewart-Jarrett, Colman Domingo, Vanessa A. Williams ou encore Rebecca Spence. L'antagoniste est lui aussi bien incarné mais il est préférable de taire son nom pour ne rien dévoiler. Tous ces individus entretiennent des relations procurant tout de même peu d'émotions malgré de bons rôles et des dialogues de bonne facture. Sur la forme, la réalisation de la cinéaste américaine se veut qualitative. Sa mise en scène tente des choses et bénéficie d'une photographie soignée. De plus, elle évolue dans un environnement urbain aux décors variés et aux immeubles renversants. Cette esthétique donne lieu à quelques plans marquants et parvient à bien iconiser le tueur dont il ne faut pas prononcer le nom cinq fois devant un miroir. Ce beau visuel est accompagné par une b.o. parfaitement en accord avec le propos signée Robert A. A. Lowe. Ses compositions, couplées à une ambiance sonore pesante et inquiétante, remplissent leur rôle à merveille. De plus, c'est avec un immense plaisir nostalgique qu'on entend raisonner le thème mythique de Philip Glass remixé pour l'occasion. Cette légende urbaine bien réelle s'achève sur une fin satisfaisante, venant mettre un terme à Candyman, qui, en conclusion, est un film tout à fait honorable méritant sa place dans la franchise.
Lent, mou, vide, sans saveur, une insulte au film original. C'est pompeux, pompant, ça ce veux "intellectuel", c'est juste ennuyeux à mourir du début à la fin.
Je suis toujours content de découvrir un nouveau film, et celui-ci en fait partie, mais je pense que je ne mettrai pas longtemps avant de totalement l'oublier.
L'histoire d'un mec qu'on invoque en prononçant cinq fois son nom dans le miroir me rappelle des histoires sur le Diable que l'on se racontait entre nous lorsque j'étais enfant.
Malheureusement, le film s'embourbe dans une critique sur le traitement des afro-américains, la ghettoïsation et la gentrification. Des sujets très compliqués, certes, mais que je ne souhaitais pas retrouver dans un simple film d'horreur.
Et puis pour de l'horreur, sérieusement, il y avait vraiment des passages horrifiques ?
Bref, je passe à autre chose.
L'histoire d'un mec qu'on invoque en prononçant cinq fois son nom dans le miroir me rappelle des histoires sur le Diable que l'on se racontait entre nous lorsque j'étais enfant.
Malheureusement, le film s'embourbe dans une critique sur le traitement des afro-américains, la ghettoïsation et la gentrification. Des sujets très compliqués, certes, mais que je ne souhaitais pas retrouver dans un simple film d'horreur.
Et puis pour de l'horreur, sérieusement, il y avait vraiment des passages horrifiques ?
Bref, je passe à autre chose.
Jordan Peele à la production, déjà, je suis mitigé sur ces films, mais là, c'est une arnaque.
On vient voir un petit film d'horreur, on ne s'attend pas à un chef d'œuvre, mais on se dit, qu'avec le temps, ce Candyman, va nous en mettre plein la vue.
Et au lieu de cela, on nous fait un film politique, critique de la société, dont les policiers blancs sont la cible, entre autres, persécutant encore leurs prochains, toujours ciblés.
Donc on passe à côté du film d'horreur, il n'y a rien, dès qu'un meurtre est commis, un jeu de caméra est là pour nous cacher l'essentiel, alors certes, il y a quelques plans, quelques scènes stylisées, mais, il y a vraiment tromperie sur la marchandise, et tout cela tourne rapidement en rond, c'est long et assez ennuyeux. Et les comédiens, désolé, mais ne rattrape rien, là aussi on est sur des clichés, il n'y a qu'à voir le frère de l'héroïne jouer un homosexuel, une prestation qui se rapproche de la cage aux folles des années 70, je croyais que l'on en était plus là.
Je vais vite me procurer le tout premier de 1992 et je suis certain, que ce sera bien meilleur que celui ci.
On vient voir un petit film d'horreur, on ne s'attend pas à un chef d'œuvre, mais on se dit, qu'avec le temps, ce Candyman, va nous en mettre plein la vue.
Et au lieu de cela, on nous fait un film politique, critique de la société, dont les policiers blancs sont la cible, entre autres, persécutant encore leurs prochains, toujours ciblés.
Donc on passe à côté du film d'horreur, il n'y a rien, dès qu'un meurtre est commis, un jeu de caméra est là pour nous cacher l'essentiel, alors certes, il y a quelques plans, quelques scènes stylisées, mais, il y a vraiment tromperie sur la marchandise, et tout cela tourne rapidement en rond, c'est long et assez ennuyeux. Et les comédiens, désolé, mais ne rattrape rien, là aussi on est sur des clichés, il n'y a qu'à voir le frère de l'héroïne jouer un homosexuel, une prestation qui se rapproche de la cage aux folles des années 70, je croyais que l'on en était plus là.
Je vais vite me procurer le tout premier de 1992 et je suis certain, que ce sera bien meilleur que celui ci.
AlexLaloix
Cette nouvelle adaptation de "Candyman" par Nia DaCosta est une terrible déception. Souffrant d'un rythme lent, d'une réalisation visuelle peu convaincante et d'un développement de personnages insatisfaisant, le long-métrage d’horreur n’a rien de passionnant. Les scènes d'horreur manquent malheureusement de tension et la mise en scène reste trop classique. De plus, les personnages n’ont rien d’attachants et manquent cruellement de profondeur. Le traitement maladroit des sujets abordés dans le film ne parvient pas à livrer les frissons et l'impact émotionnel attendus. En somme, "Candyman" est un film raté, son exécution peu innovante et son scénario inconsistant peine vraiment à convaincre.
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8/20
Critique sur Candyman (film)
Vu le 27.07.2023 sur Prime Video
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8/20
Critique sur Candyman (film)
Vu le 27.07.2023 sur Prime Video
déception . pas grand chose a retenir de ce film . j'ai connu de meilleur candyman que celui ci . je me suis vite fatigué en regardant ce film
Je n'ais pas aimé. Clichés à volonté. Film raciste. Dommage les acteurs jouaient super bien. De temps en temps une belle lumière.
Tout n'est pas à jeter, la première moitié du film est plutôt réussie, mais il fait vraiment pale figure comparé au premier opus de la saga, qui avait une ambiance indescriptible (la superbe BO de Philip Glass y jouait beaucoup).
Nicothrash
Tony Todd peut dormir sur ses deux oreilles, cette suite, 30 ans plus tard, ne fera d'ombre à personne. C'est plutôt insipide et ennuyeux et on n'est loin de retrouver l'ambiance crasseuse de l'original. Visuellement c'est tout de même plutôt réussi mais il ne marquera jamais les esprits comme le premier, il est d'ailleurs bien difficile de s'intéresser aux personnages ou à l'histoire ici, on traverse le métrage sans même y faire attention, attendant impatiemment la fin pour l'oublier très rapidement.
C'est long, c'est lent , c'est alambiqué bref , à regarder uniquement si vous avez 1h30 a perdre....
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