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Un visiteur
0,5
Publiée le 13 octobre 2021
Film très lent, fin prévisible et l'histoire n'est pas assez approfondie donc on a l'impression de ne pas avoir eu toutes les informations tout au long du film
Je crois que Candyman est le premier film à assumer le racisme anti-blanc, je n'ai pas le souvenir d'avoir vue dans l'histoire du cinéma d'horreur qui a été aussi loin dans le racisme sur toutes les ethnies. Mais comme il s'agit des blancs, tous va bien.
Tous les personnes blancs sont soit antipathiques, sans aucune psychologie, la moindre sympathie, on comprend trés vite que le réalisateur parachute systématiquement des personnages blancs comme chaire à canon. toutes les victimes de candyman sont blanches
Dans une scène j'ai cru que nous allions sortir de schéma raciste, 6 adolescentes dans les toilettes 1 noire, 1 asiatique et 4 blanches, ayant constaté que depuis le début du film il n'y a que des victimes blanches, je me suis dit que le réalisateur a voulu faire un clin d'oeil envers beaucoup de films d'horreur ou le personnage noir meurt toujours en premier, ce qui aurait été plutôt marrant et juste, mais non on sent réellement qu'il y a un objectif politique derrière et c'est flagrant lors de cette scène dans les toilettes Dans ce film LGBT compatible, le seule personnage blanc qui ne meurt pas est gay
Ce film est donc très influencé par ce que se passe au USA avec la woke culture et malheureusement arrive tranquillement en France avec entre autre ce type de film de propagande.
Et pour le reste ? je trouve le style du film interessant quelques idées avec les abeilles, l'image est glaçante, certaines parties du scénario aurait pu faire une bonne base, les scènes d'horreurs sont trop légère pour le genre et le fait de ne pas avoir fait un reboote mais une sorte de suite est plutôt bien vue. Mais tous ceci ne sauve pas le film d'un manque de rythme, d'acteurs qui sont mal filmés et un manque de force dramaturgie à cause d'une propagande très lourde
Oubliez ce candyman... l'histoire est ridicule... Il ne suffit pas de vouloir parler de racisme pour en faire un bon film ou aborder ce sujet avec intelligence... ce film rate sur ces deux plans... De plus je voulais revoir Tony Todd en candyman, alors certes on le voit, mais à peine 10 secondes... Frachement ce film est juste une belle bouse...
Ce remake de Candyman est en réalité plutôt une suite et une variation sur le thème de l'homme au crochet. Pour avoir aimé l'original j'ai trouvé cet opus franchement décevant, par manque d'intensité, du thème musical original et de toute ambiance gothique. Reste que ce film contient de jolis scénettes d'animations.
Intéressant vraiment ! Il faut reconnaître que l'histoire se démarque, cependant le cenario peu être deviner trop vite ce qui gâche l'effet de surprise. Dans le fond c'est un bon film sans plus.
Sans être aussi réussie que le film original de Bernard Rose qui devait beaucoup au scénario de Clive Barker, cette nouvelle version du mythe de candyman est plutôt convaincante s'il est possible de lui reprocher son caractère très politisée, elle n'en oublie pas, pour autant, d'être un film de genre assez efficace parsemé de quelques plans gores réussis. Faire de Candyman l'étendard des violences faites aux noirs est une idée peut-être un peu trop radicale qui a tendance, notamment dans la dernière partie du film, à tomber dans les clichés raciales, mais elle a le mérite de servir un propos encore trop peu abordé au cinéma. Si l'écriture du film manque de subtilité, sa mise en scènes, entre théâtre d'ombres et jeux de miroirs, est souvent inspiré. Candyman ne révolutionnera pas le cinema de genre mais demeure assez plaisant pour être regardé sans déplaisir.
N'ayant jamais vu de film sur cette légende urbaine, je me suis laissé tenter par ce "Candyman" produit par Jordan Peele qui est en train de devenir le boss du genre. Hormis quelques gros défauts comme vouloir à tout prix faire passer des messages qui sont au demeurant réels (par exemple la position des personnes de couleur qui pointent du doigt la politique de logement de la ville de Chicago) au détriment de l'intrigue, j'ai passé un bon moment. Le film décrit bien à travers les explications du personnage de Troy la légende et fait frissonner dans sa deuxième partie. Le discours est maladroit mais efficace pour adapter le mythe terrifiant même si les scènes d'horreur sont plus devinées que filmées.
Produit et co-écrit par Jordan Peele, cette nouvelle version de Candyman est plus une suite, trente ans après, qu’un remake au film de 1992 (qui lui-même a eu deux suites). Si l’horreur et les meurtres sanglants sont toujours là, peut-être moins effrayants, le film est aussi et surtout très social, entre dénonciation du racisme, violences policières et légendes urbaines. La mise en scène de Nia DaCosta est plutôt élégante, le scénario tient en haleine et installe une ambiance assez lourde, voir étouffante. De plus, le casting tient la route, je ne connaissais aucun des acteurs. Au final, un bon film d’horreur, et, une fois n’est pas coutume, qui a su ré-exploiter un vieux filon avec intelligence. Ça donne envie de revoir le long métrage d’origine et de voir ses suites. Une bonne surprise donc.
Rien de logique dans ce film, bien que je n'ai pas encore vu la version original je peux dire que l'histoire n'a pas de sens du début jusqu'à la fin.
Des effets spéciaux qui ne servent à rien, un récit complètement illogique et je suis quand même déçue car je m'attendais au moins à une histoire d'horreur qui me tient en suspens tout le long mais au final rien du tout. Dommage car je ne trouve rien a dire de positif sur ce film mis à part que ce sont des bons acteurs
Il y a un souci d’ordre émotionnel dans ce film : musique recherchée dès le départ ; utilisation de marionnettes et d’ombres chinoises pour remplacer les flashbacks ; le gore qui n’est pas évité mais qui est très fugace (et ce faisant, réussi). La réalisation est donc intéressante. Mais ce n’est pas un film d’horreur. Ça ressemble plus à un réquisitoire contre le racisme antinoir du passé. Car "une souffrance comme celle-là dure éternellement". Candyman est son incarnation. "Je suis les inscriptions dans les rues", dira-t-il… Ce racisme qui ne cessera jamais de hanter les vivants et survivants de Chicago. Mais le film n’aide pas à faire le rapport avec la légende, voulant qu'il faille dire cinq fois son nom devant un miroir. C'est comme deux histoires (le racisme du passé et la légende urbaine) qui ont du mal à coexister. C'est aussi un brûlot contre l'art contemporain, contre la gentrification, contre le boboïsme... ce qui fait trois histoires. Il aurait mieux valu rester sur cette légende et la puissance de l’envie de la tester devant un miroir (au risque d’y perdre la vie), révélant ainsi les motivations des gens. A.G
Le film aurait gagné à une ambiance plus poisseuse et l'ensemble manque parfois de subtilité. Cependant, la mise en scène soignée, le scénario réfléchi et intelligent, le propos engagé et les acteur.trices parfait.es convainquent.
C est lent, sensé être un film qui fait peur ... ah bon ? Jamais été aussi peu pris par un film du genre. C est du à quoi ? Scénario improbable, jeu d acteurs peu convaincants ? A part quelques scènes d actions, vraiment sans aucun intérêt. Je n ose comparer aux précédents opus celui la est mauvais un point c est tout