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    La Vérité
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    brianpatrick
    brianpatrick

    82 abonnés 1 600 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2024
    Comment un réalisateur japonais peut tourner film bobo parisien. Visiblement, il n'y a pas uniquement les parisiens qui tourne des films bobo parisiens. Le réalisateur a déniché des actrices et des acteurs prestigieux. C'est le fait d'avoir obtenu une palme d'or à Cannes. Un très bon acteur américain pour un second rôle. Un rôle d'éffacé. Après, la famille parisienne du 17ème, il faut la saisir et la comprendre, pour encore, la supporter.
    Mathilde de Beaune
    Mathilde de Beaune

    383 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 octobre 2024
    Où est passée la simplicité, la douceur de Kore-Eda ? Dans cet interminable vaudeville bourgeois, vous ne verrez que des stars se coller des bourre-pifs verbaux permanents, se balancer des s...loperies, et déverser leur fiel. Si le réalisateur sait souligner la cruauté et la lâcheté de nos contemporains, ils ne se laissent jamais aller à des dialogues simplistes et vachards. Dès lors, on ne sympathisera jamais avec les protagonistes, mal dessinés, caricaturaux. Le film dans le film est inséré au forceps. Et la musique sautillante et artificielle aggrave l'ensemble... gros gros loupé.
    Kincaid
    Kincaid

    2 abonnés 219 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 septembre 2024
    Un très beau film, surprenant, qui a su favoriser le naturel chez les acteurs, notamment entre les deux monuments, Catherine Deneuve et Juliette Binoche. Pour une fois Deneuve est confondante d’authenticité, dans cette mise en abime d’elle-même. Toutes ces délicates relations humaines, familiales, rendent l’histoire passionnante, malgré un scénario lent au début, mais qui force le trait sur la fin. J’ai bien aimé la bande musicale qui, toute en subtilités, semble bien exprimer le subliminal de grandes œuvres classiques. Ou c’est une impression…
    Chantal M
    Chantal M

    1 abonné 22 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2024
    Film d'introspection, original et subtil.
    Catherine Deneuve et Juliette Binoche forment un bon duo, mais quel ennui, quelle lenteur !
    Philippe C
    Philippe C

    96 abonnés 1 048 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 septembre 2024
    un film bavard et intello, je n'ai pas accroché du tout et j'ai même décroché avant la fin. Une telle brochette d'excellents acteurs et actrices, et un metteur en scène brillant, tout ce beau monde à contre-emploi pour un gâchis indigeste
    stans007
    stans007

    22 abonnés 1 305 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 septembre 2024
    Le bilan d’une vie égoïste consacrée au Cinéma qui a laissé une trace indélébile dans la structuration de la fille. Cette mère empêtrée dans son égo donne à Catherine Deneuve l’occasion d’une belle... composition (?) : « Y’a pas de mal à être fort ! » « Si toi tu ne le pardonnes pas, le public me le pardonne ! » Un film douloureux, ambigu, avec en prime d’intéressantes scènes de travail en studio.
    Alain D.
    Alain D.

    580 abonnés 3 273 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 septembre 2024
    Un film décevant, réalisé et écrit par De Hirokazu Kore-eda. Même si la mise en scène est parfaitement travaillée et les acteurs du film très bons, le scénario dramatique est triste, l'ambiance plombée par le rôle de Fabienne joué par une Catherine Deneuve qui n'y est pourtant pour rien. Ces règlements de comptes familiaux sont insupportables durant les trois-quarts de ce film en manque de rythme.
    Un film quasiment en huis-clos au goût doux-amer auquel on a du mal à s'impliquer.
    Benz Sylvie
    Benz Sylvie

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 septembre 2024
    Ennuyeux à pleurer je suis allée jusqu au bout en faisant bcp d efforts de plus je trouve que les acteurs sur jouent ,bref aucun intérêt !
    Agnes L.
    Agnes L.

    163 abonnés 1 615 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 septembre 2024
    Avec difficulté, j'ai été au bout de ce film, mais quel ennui ! Difficile de savoir quel est son intrigue et où le réalisateur veut en venir. Une mère actrice, centrée sur son métier, revoit sa fille et elles vont échanger sur le passé, sur leur relation. Seulement c'est bien creux et le fait d'avoir deux grandes actrices ne suffit pas à donner du corps à un film sans colonne vertébrale.
    Fabien Sorrant
    Fabien Sorrant

    40 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 juin 2024
    Un très bon film dramatique avec Juliette Binoche , Catherine Deneuve et Ethan Hawke réalisé par le japonais Hirokazu Kora-Eda.
    Delphine Wilhelem
    Delphine Wilhelem

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 juin 2024
    Excellent film avec des actrices incroyables.
    Les références aux films tournés par Deneuve…
    J'ai adoré. spoiler:
    Paulin Brun
    Paulin Brun

    26 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 avril 2024
    Je n’ai su qu’à la découverte du générique de fin que le réalisateur japonais Kore-Eda signe la réalisation de ce film. Ça explique beaucoup de choses en réalité. Pourquoi, à la vision, j’ai détesté le film, et pourtant, en y repensant, j’ai du mal à le descendre complètement.

    Ce qui m’a beaucoup déplu pendant la séance, je l’avoue, c’est le contexte « grande famille du cinéma français ». J’ai toujours un peu de mal avec les scénarios sur la psychologie des grands, riches et puissants de ce monde, surtout quand c’est le monde du cinéma (Ma femme est une actrice : 😱), parce que je trouve que ces films un peu consanguins produisent des résultats souvent stériles. En l’occurrence, en découvrant que c’était Kore-Eda qui proposait ce récit, j’ai réalisé que j’avais tort de penser cela, puisqu’il est par définition étranger à ce milieu-là.


    Belle, cruelle, la sorcière du Bois de Vincennes
    Cela étant, le film m’a irritée de la première à la dernière image. J’ai trouvé peu de finesse dans le scénario. L’utilisation du concept de vérité est assez binaire. Le « film dans le film » est complètement raté. Comme si le scénariste était trop paresseux pour imaginer un scénario en abyme qui tienne la route, ou… très sardonique envers le cinéma français. L’histoire est franchement ridicule: une femme part dans l’espace pour échapper à une maladie qui doit l’emporter dans les deux ans. Elle reste jeune, et vient rendre visite à sa fille Amy tous les sept ans pour son anniversaire. Amy jouée successivement par une petite fille, une jeune fille, puis Ludivine Sagnier, puis Catherine Deneuve. J’ai vraiment eu du mal à garder mon sérieux devant les scènes de « science fiction », qui m’ont furieusement rappelées la pièce de Joey dans Friends où il repart sur une station spatiale et donne rendez-vous à la fille de la fille de la fille de sa copine dans 100 ans. Bref.

    On comprend bien sûr que ce scénario n’est qu’un prétexte pour introduire le double de « Sarah ». Sarah, la sœur, actrice, décédée, de Fabienne. Qui ne cesse de la hanter, et qui revient sous les traits de Manon Lenoir, une jeune actrice montante. Catherine Deneuve la rejette, la méprise, mais c’est un vrai objet de fascination. Elle fait remonter à la surface beaucoup d’émotions enfouies/refoulées, et réactive son amour du jeu, et son orgueil de comédienne. Comme c’est Catherine Deneuve qui joue, et que c’est son histoire (bien sûr, Françoise Dorléac, sa sœur presque jumelle, née sous le signe des gémeaux), c’est forcément touchant. D’ailleurs, l’actrice a beaucoup de courage (ou de cran) de donner à voir un visage aussi mauvais et aussi proche d’elle biographiquement… de jouer son propre rôle. Le jeu avec la vérité se situe d’ailleurs surtout à ce niveau là. Mais même cela, c’est touchant, mais un peu… grossier ? Manon Lenoir, pendant tout le tournage, porte une jupe plissée blanche, un énorme chignon sixties. Elle sort du tournage d’un film de Jacques Demy. Le seul moment où elle sort du costume, Catherine Deneuve lui offre la robe préférée de sa sœur, et la remet donc immédiatement dans un costume identique.

    La suite sur https://legoutducine.home.blog/2020/01/01/la-verite/
    Marcelo_Di_Palermo
    Marcelo_Di_Palermo

    8 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2024
    Un scénario subtil sur les notions de vérité, de mémoire sélective, de petits arrangements avec la réalité, vu par un japonais ayant pris le risque de tourner en France avec des acteurs français. J'ai beaucoup aimé
    Fiers R.
    Fiers R.

    95 abonnés 394 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 décembre 2023
    Depuis son premier prix à Cannes en 2004 pour le très beau « Nobody knows » (prix d’interprétation masculine et record du plus jeune acteur à recevoir ce prix à ce jour, à quatorze ans), le japonais Hirokazu Kore-Eda est certainement le cinéaste nippon le plus connu et célébré dans nos contrées et les festivals du monde entier. Auteur très prolifique depuis une trentaine d’années, la plupart de ses films sont sortis chez nous et tournent autour du thème de la famille. Et ce fut encore le cas pour sa première Palme d’or pour le tout aussi beau « Une affaire de famille » ainsi que pour le récent « Les bonnes étoiles ». La famille sous toutes ses formes est donc son thème de prédilection et les quelques écarts à ce thème fétiche sont de loin ses moins bons films.

    En effet, du raté thriller judiciaire « The third murder » à son incursion très cliché dans le cinéma français d’auteur avec « La Vérité », où il faisait tourner Deneuve, Binoche et Ethan Hawke dans la langue de Molière de manière moyennement convaincante, il avait déçu. Et pourtant, même si son nouveau film se rapproche un peu d’un sujet familial, il parle avant tout de l’enfance et de ses secrets avec, en filigrane, le système scolaire et le harcèlement. Eh bien contre toute attente, en s’éloignant un peu de son pré carré thématique, Kore-Eda signe une nouvelle très belle œuvre, à la fois douce, attachante, pertinente et plein d’acuité. Mais aussi, et c’est plus surprenant, dans sa structure à la « Rashomon » qui permet certaines surprises. En effet, dans « L’Innocence », chaque partie contredit la précédente selon le point de vue adopté, ce qui permet de tout remettre en question deux fois et de bousculer agréablement nos certitudes tout autant que d’accoucher d’un film magnifique sur les mystères de l’enfance.

    Le scénario, toujours écrit avec une grande précision et une belle profondeur, nous immisce dans le quotidien d’une famille monoparentale classique. On y voit une mère élevant seule son jeune garçon d’une douzaine d’années qui semble avoir un comportement étrange depuis quelque temps et subir de mauvais traitements à l’école. Elle va donc s’y rendre pour savoir ce qu’il en est. À partir de là, « L’Innocence » va adopter son point de vue et se développer en trois parties distinctes, révélant les évènements différemment tout en en montrant de nouveaux. La première est donc celle de la mère, la seconde celle du professeur que l’on soupçonne de mauvais traitements et la troisième celle du point de vue de l’enfant.
    Si on est donc davantage dans une chronique de l’enfance et de ses jardins secrets voire un drame, on est tout de même happé par ce qui se déroule. Il y a une sorte de mystère persistant qui est entretenu par les révélations dus aux changements de points de vue. On traite donc ici de pas mal de sujets ayant trait à cet âge significatif du passage de l’enfance à l’adolescence avec beaucoup de tact et de pudeur que ce soit du harcèlement scolaire, de la difficulté d’enseigner, de l’ère des enfants rois mais aussi de la difficulté d’élever un enfant toute seule. « L’Innocence » comporte donc plusieurs couches, toutes intéressantes voire passionnantes.

    Mais, au final, c’est un œuvre qui peut se voir comme l’une des plus belles tentatives de croquer l’enfance en plan large et ses mystères. La dernière partie, entre contemplatif et naturalisme, est sublime. Le final est magnifique et les deux jeunes acteurs qui jouent les enfants/adolescents sont au-delà de toute critique rappelant que le cinéaste est un excellent directeur d’acteurs. Ils brillent autant que ce joli film plein de charme. On nous présente aussi un amour qui dépasse les frontières du genre, celui d’un adolescent qui aime peu importe le sexe de l’autre d’un amour inconditionnel. À un âge où on confond encore l’amour et l’amitié. Ainsi que l’amour d’une mère pour son fils, tout aussi justement retranscrit. Bref, « L’Innocence » est encore une fois pour Kore-Eda un film réussi et plein de véracité doublé d’une tendresse incroyable. Il est décidément très doué pour parler des relations humaines avec une simplicité confondante. Peut-être pas son plus beau film ni son plus mémorable mais toujours un film qui fait du bien et touche en plein cœur.

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    fabrice d.
    fabrice d.

    26 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 novembre 2023
    Ce duo Deneuve Binoche ne m'a pas convaincu à 100%.
    C'est une relation mère-fille qui nous est narrée.
    On est dans une ambiance acteur/cinéma car la mère est une actrice et la fille une scénariste.
    La mère est autoritaire, soit-disant mauvaise mère, et la fille serait plus parfaite.
    Il y a des vérités cachées et c'est l'enjeu du film, nous les révéler petit à petit.
    Mais pour moi, cette histoire ne m'a pas trop touché.
    De plus, le film dans le film, ne m'a pas touché non plus.
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