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Théo Pouillet
6 abonnés
184 critiques
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3,0
Publiée le 24 janvier 2020
Un peut l'impression de tourner rapidement en rond, autour de cette relation familiale atypique, comme si finalement il n'y avait pas grand-chose à dire... Par contre, le film qui est tourné dans l'histoire m’intéresse bien plus.
Ennuyeux. Je n'ai pas accroché aux personnages ni a l'histoire. Catherine Deneuve joue sa propre froideur et Juliette Binoche n'est guère convaincante en fille incomprise. Mais peut être faut-il y voir les conséquences d'une mise en scène brouillonne et lourde.
Toujours le sujet de la famille j'adore! Ça commence par la fin de l'automne et le début de l'hiver est actrice qui est en fin de carrière qui te ment ce cinéma on pourrait croire que Catherine Deneuve je vous en rôle et c'est llà Que Binoche rentre dans le film avec Ethan Wake Quel trio franco américain Le jeu de mère fille entre Catherine Deneuve Juliette Binoche est extraordinaire (petits mensonges aux vilaines vérités)....,
C'est l'histoire du film réalisé et écrit par kore - Ida
Quel est le dernier film formidable de ce réalisateur à voir absolument
Quel mauvais film! sans aucune contenance, aucune émotion. Acteurs mal dirigés. Une Deneuve inexpressive comme à son habitude, au débit de parole plus que monocorde... Juliette Binoche que j'admire, semble ici très mal dirigée, son jeu calqué sur celui de Deneuve, aussi inexpressif. Aucun rythme, aucun dynamisme, d'une platitude totale. Le sujet principal du film, le livre écrit par la mère est vite relégué au second plan par le tournage tout aussi ennuyeux... sans parler des dialogues stériles: tu repars? non, je vais faire pipi (ou aux toilettes) - un truc du genre. Comment peut-on faire des films aussi médiocres alors qu'il y a des talents artistiques qui se perdent...
Un grand réalisateur japonais, 3 grands acteurs. Waouh ! On salive déjà. Pourtant, très vite, cette fille qui en en veut à sa mère actrice de beaucoup de choses puis finalement pas tant que cela tourne très vite à vide. L'ennui gagne et on arrive au générique de fin avec bonheur. Tout ça pour ça. Désolant !
parfait... genre et rythme "littéraire", décalé, cynique, mise en abîme, ... centré sur l'égocentrisme-le professionnalisme-le perfectionnisme ou l'orgueil, des stars charismatiques... qu'il faut dépasser... cinéma français (ou pas !) classique, académique, propre, dentelé... cette impression d'être avec des bons amis si différents de moi... si vous avez aimé Alice et le maire (Lucchini) vous aimerez (adorerez) La vérité... et inversement
Hirokazu Kore-Eda, le réalisateur japonais que l'on avait quitté avec le formidable "Une affaire de famille", signe ici un film sur le cinéma français avec comme tête d'affiche Catherine Deneuve. Cette dernière campe une star de cinéma (ça ne s'invente pas) qui va sortir un bouquin sur sa vie, omettant d'y mentionner de nombreuses personnes et des choses pas très reluisantes. Le film navigue entre plusieurs styles : la comédie avec la mauvaise foi et le côte narcissique de Deneuve, mais également avec de l'émotion quand sa fille (Juliette Binoche) livre sa vérité. J'ai bien aimé ce portrait acide du monde du cinéma avec les coulisses animées des tournages. C'est loin d'être le meilleur film du japonais , mais il réussit à transposer son cinéma dans notre pays, et le casting y est pour beaucoup.
Penser un film sur l'égo des stars et la vie de famille était une idée excellente. Dommage pour LA VÉRITÉ car le scénario est plutôt moyen et assez décevant, malgré la belle qualité de jeu de l'ensemble des acteurs. Bon point à ce propos, Juliette Binoche et Catherine Deneuve jouent comme toujours avec brio. La jeune Clémentine Grenier, toute en justesse, apporte de la fraîcheur à ce film
Les grands réalisateurs étrangers, lorsqu'ils tournent un film en France, semblent perdre une bonne partie de leur génie. Je ne connais pas d'exception à cette règle, qui a touché Kiyoshi Kurosawa, Asghar Farhadi, Abbas Kiarostami et bien d'autres.
Le mal touche maintenant un de mes chouchou, le japonais Kore-Eda.
Le début de La vérité est en tout point catastrophique : jeu approximatif des acteurs, dialogues artificiels, intrigue inconsistante, erreur de casting, péripéties ridicules, montage à la va-vite, scénario flottant. On a mal pour le réalisateur des formidables Notre petite soeur et Une affaire de famille.
Petit à petit cependant, le film se redresse quelque peu, grâce à une performance encore exceptionnelle de Catherine Deneuve, dont les prestations forcent de plus en plus le respect : au fur et à mesure que son corps s'use, ses sens semblent s'aiguiser.
La subtilité habituelle de Kore-Eda, faite d'une dureté impitoyable mêlée à la tendresse du regard, s'installe en fin de film et on retrouve dans les trente dernières minutes la patte du japonais (par exemple quand le personnage de Juliette Binoche écrit les répliques que prononcent la petite fille). La rivalité féroce des actrices se mêle alors à la douceur acidulée et dépourvue d'ambigüité du personnage de Manon : c'est le Kore-Eda qu'on aime, salé et sucré à la fois.
Malheureusement l'amélioration est trop tardive pour corriger la mauvaise impression du début.
Après nous avoir privé du générique de base, le film " la vérité" s'articule autour des retrouvailles mère- fille avec la complicité d'une adorable petite fille mais très vite les rancoeurs réapparaissent. C'est sur un plan professionnel que les deux femmes vont se retrouver et effacer le passé. Tout ça c'est très bien , mais ça reste trop anecdotique pour être passionnant. Par contre l les joutes verbales féminines entre Catherine Deneuve et Juliette Binoche sont un vrai régal!
Kore-Eda n'est pas le premier à engager cette ré-flexion toujours " hélicoïdale" autour des acteurs, leurs masques, leurs référents révélés et/ou occultés, leurs constants passages de part et d'autre des miroirs. Pensons au "Persona" de Bergmanqui, dès 1966, explorait les traumas soignée/soignante de deux consciences féminines brutalisées par les marches de l'histoire, des idées et des corps. Bergman excellait à le faire au sein de l'archipel scandinave doté de sa luminosité exceptionnellement rendue par la noir et blanc d'alors... Ce qui est particulier et fonde la texture propre de l'ouvrage de Kore-Eda, en dehors de l'application du thème à la relation mère/fille, c'est ici le talent déployé par le cinéaste nippon pour recréer toute la nébuleuse orientale dans la perception des décors naturel : Paris, le jardin déclinant ses teintes les plus rares à travers l'estompe progressive de sa végétation sevrée de chlorophylle comme métonymie de l'actrice principale poussée au bout de ses retranchements, de ses économies, de ses refoulements, de ses doutes par les générations qui la suivent et au plus juste des tous "ses" rôles dans l'acquiescement final de cette "défaite" qui n'est autre que le triomphe de la vie. Ainsi faut-il entendre Vérité, celle de l'inexorable victoire du vivant qui enlace tout "Sujet" dans les remous salvateurs des mondes.
Je ne comprends pas le nombre d'étoiles de part la presse et les spectateurs. J'ai passé la séance à me dire que ça allait démarrer. Film sans aucun intérêt
Le nouveau film d’Hirozaku Kore-eda est avant tout irrésistiblement drôle et délicieusement bien écrit. Plaisir immense de retrouver son cinéma, seulement un peu plus d’un an après sa palme d’or pour « Une affaire de famille » au festival de Cannes 2018. Premier film en langue française en espérant que cela donne des idées à certains. Dans « La vérité » on retrouve tous les thèmes de prédilection déjà traités dans c’est précédent film. Et pourtant cela n’empêche en rien étonnamment de film en film, de voir une certaine évolution dans son cinéma. Chacun de ses films a pour thèmes, l’un des socles les plus importants du cinéma de Kore-eda, la famille. Devant la vérité, on pense bien sûr au cinéma de Claude Chabrol. La magie du cinéma est bien là, que le travail d’Eric Gautier à la photographie renvoi comme un effet de lumière à « Belle de jour » de Luis Buñuel, découvert en 1967 avec la même Deneuve. Le temps passe sauf la beauté d’une star de cinéma. Alors, oui la prestation de Catherine Deneuve est tout simplement irrésistible assurément l’un des plus beaux rôles de sa sublime filmographie, tout comme Juliette Binoche irrésistible. Voilà une vérité pleine de magie au charme incomparable. Boulevardducinema.com
Un film reposant sur l'histoire d'une actrice en fin de carrière. (Spolier) Qui ne veut pas vraiment lâcher prise. Ce n'est pas un grand film de Catherine Deneuve mais ça se laisse regarder. 2/5