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    Mort sur le Nil
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    Alexis c.
    Alexis c.

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 février 2022
    un film avec peu d action, je n' aime pas trop ce film car à la base Hercule Poirot n est pas mon détective préféré.
    martial7178
    martial7178

    14 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2022
    Le célèbre détective privé belge Hercule Poirot (Kenneth Branagh) enquête sur le meurtre de la jeune et belle héritière Linnet Ridgeway (Gal Gadot), perpétré à bord d'un navire de croisière voguant sur le Nil. Cette dernière s'était éprise de Simon Doyle (Armie Hammer), le fiancé de sa meilleure amie, Jacqueline de Bellefort (Emma Mackey) et l'avait épousé dans la foulée. La suspecte la plus probable, Jacqueline, qui nourrissait une grande haine envers celle-ci, est pourtant une des seules personnes parmi les divers clients à avoir un alibi solide...

    Il s'agit d'une nouvelle adaptation cinématographique de la célèbre œuvre de la grande Agatha Christie, après celle de 1978, dans laquelle le célèbre détective était campé par Peter Ustinov.
    Après sa relecture du non moins célèbre "Crime de l'Orient-Express", Kenneth Branagh propose une nouvelle approche du grand détective belge, à la fois plus humain et plus solitaire. Il prend certes quelques libertés avec le personnage des romans, en lui inventant un passé que je ne crois pas avoir lu dans les livres de la Reine du crime (et pourtant j'en ai lu beaucoup), mais sa thèse reste plausible.
    Après un début assez long à se mettre en place, avec une première scène relatant la Guerre de 14-18, qui apporte des éléments qui auraient pu être traités par flash back tout au long du film et une scène de danse entre les deux futurs époux un peu longue, l'histoire se met en place et prend son envol avec le premier meurtre.
    La suite du film est plus conforme à l'atmosphère du livre, avec les séances d'interrogatoire, l'ambiance de suspicion et les rivalités qui s'affirment.
    Kenneth Branagh a pris le parti de présenter un Poirot sans cœur, assez froid et détaché alors que, selon moi, Poirot est un misanthrope, revenu de tout en ce qui concerne la nature humaine. Et puis, évidemment, depuis l'interprétation de David Suchet (qui ne joue pas Poirot, mais qui est Poirot), on ne peut s'empêcher de rapprocher les deux conceptions du personnage.
    Au final, c'est une bonne adaptation et, malgré les libertés prises par le réalisateur (Poirot une arme à la main, qui porte une moustache pour une raison jamais évoquée jusque là, qui a les larmes aux yeux et qui ne boit pas d'alcool), on prend plaisir à suivre cette enquête avec, en prime, les magnifiques paysages de l'Égypte pharaonique, et notamment le splendide temple d'Abou Simbel.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    227 abonnés 974 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 février 2022
    Hercule Poirot en Égypte. Cette nouvelle enquête l’emmène dans un décor idyllique : l’une des sept merveilles du monde. C’est sur un paquebot sur le Nil que le crime va se dérouler. Mais pour le spectateur, il aura fallu s’armer de patience, l’intrigue bien ficelée est très longue à se dérouler. On peut aussi regretter le manque de personnalité à ce Hercule Poirot bien fade, au milieu de personnages tous autant insipides…
    piwie
    piwie

    8 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 février 2022
    Film divertissant mais un peu trop haut en couleur. L'esthétique nous fait parfois penser à celle de Baz Lurhman mais malheureusement sans le soucis du détail de ce dernier.
    Le début du film est trop long et dénoué de l'intrigue simplement pour expliquer la moustache de Poirot ....
    Aucun des personnages du film n'est creusé ce qui les rend tous détestables (Poirot le premier d'ailleurs)
    Un peu dommage également que des passages du roman soit complètement abandonnés (L'intrigue de l'espion) et que les couples formés ne correspondent pas au roman.
    Juan Mathias
    Juan Mathias

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2022
    Excellent adaptation de cette saga. Quand on va voir Hercule Poirot on sait ce qu'on va voir, c'est lent certes, mais ce n'est pas un Marvel !
    French et Saunders sont genialissimes dans le rôle du couple lesbien! A voir absolument !
    Helene33
    Helene33

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2022
    Un bon film, mais sans surprise. Quelques longueurs et un petit manque de rythme. Un bon moment de cinéma sans plus.
    Marc T.
    Marc T.

    9 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2022
    J'étais allé voir cette nouvelle version de "Mort sur le Nil" sans attente particulière et par curiosité, ayant été déçu par la manière dont "Le Crime de L'Orient-Express" a été adaptée par Kenneth Bragnah et Michael Green.
    Autant dire que je n'ai pas été déçu, bien au contraire ! Je ne le considérerais pas meilleur que la version de John Guillermin avec Peter Ustinov (que j'apprécie beaucoup), mais plutôt une version à part entière qui fonctionne bien.
    Si j'ai pu noté des défauts tout au long du film (la première scène du film introduisant le récit principal me paraissant un peu longue, les plans sous le Nil étant trop artificielles, une présence plus discrète/invisible du personnage de Jacqueline de Bellefort (même si ce n'est que mon ressenti pour celui-là)...), j'ai trouvé que Kenneth Bragnah s'est mieux débrouillé sur cette second adaptation d'un roman d'Agatha Christie que sur "Le Crime de l'Orient-Express" et ce pour deux raisons : la richesse des interactions des personnages et le cadre. "Le Crime de l'Orient-Express" avait le gros désavantage (en plus d'une adaptation de 1974 bien appréciée du grand public à juste titre) d'être un huis clos dans lequel quasiment tout le monde est coupable, ce qui a entravé (selon moi) la capacité de Kenneth Bragnah à mettre en scène l'histoire et ses personnages. A l'inverse, "Mort sur le Nil" présente le cadre égyptien, permettant davantage d'ampleur à la mise en scène, et ne présente qu'un nombre limité de coupables, ce qui permet de mieux travailler les interactions humaines entre les personnages et de les étoffer. Si de nombreux plans ont été fait en images de synthèse, je les trouve réussis et bien travaillés en terme d'imagerie et de photographie. Je salue tout particulièrement le fait d'avoir représenté le temple d'Abou Simbel tel qu'il était dans les années 1930, bien avant que la construction du barrage d'Assouan n'obligent à son démontage et à son déplacement dans un lieu plus sûr. De manière symbolique, la moustache de Poirot illustre à mon sens l'amélioration du travail d'adaptation de Kenneth Bragnah et de Michael Green : monstrueuse et artificielle dans "Le Crime de l'Orient-Express", elle apparaît plus naturelle dans ce film, même si elle demeure tout aussi exubérante.
    Si la trame du film ressemble à celle de par l'adaptation de 1978 (ce qui n'est guère surprenant, vu qu'ils adaptent un roman au départ), il s'en démarque par la manière dont il développe ses personnages et leurs relations tout en se démarquant de la trame du roman d'origine pour certains détails (notamment la présence de monsieur Bouc à la place de Tim Allerton pour ceux qui connaissent le roman). La manière dont il traite l'histoire de "Mort sur le Nil" est ce qui le démarque le plus de la version de 1978 (et celle télévisée de 2004 avec David Suchet) : là où son prédécesseur présente une enquête policière (ce qui se retranscrivait dans une mise en scène assez académique), la version de Kenneth Bragnah raconte l'enquête policière comme un récit avec des parcours de personnages et une approche shakespearienne très claire. C'est d'autant plus clair qu'il développe une thématique qui n'était que sous-jacente au récit d'origine : l'amour et sa dimension complexe. "Mort sur le Nil" version 2022 dépeint en effet l'amour sous différents angles :
    _ l'amour passionnel pouvant aboutir à la tragédie (le plus évident, étant déjà au cœur du roman d'origine)
    _ l'amour à sens unique (présent pour plusieurs personnages dans cette version)
    _ l'amour refoulé (mentionné pour un seul personnage, même si je ne suis pas certain qu'il apporte grand-chose pour ce dernier)
    _ l'amour caché (pour deux personnages dont les interactions existaient déjà dans l’œuvre d'origine, même si elles étaient de nature hiérarchique et non sentimentale)
    _ l'amour perdu (pour celui-là, pas vraiment de spoiler, étant donné qu'il était déjà mentionné dans "Le Crime de l'Orient-Express", à savoir : Hercule Poirot/Katherine)
    _ l'amour brisé (dans le sens qu'il ne pourra se réaliser et concerne deux personnages précis)
    En plus de cette thématique, Kenneth Bragnah raconte par sa mise en scène de nombreux messages sous-jacents de diverses natures. Par exemple, la première apparition de Jacqueline de Bellefort est dans une robe rouge, symbole à la fois de la passion, du sang et de la femme fatale, annonçant ainsi clairement la nature du personnage (cela peut paraît peu subtil, mais reste efficace). Un autre exemple qui peut paraître anecdotique, concerne un plan qui suit le départ du Karnak : on y voit le bateau partir sur le Nil au second-plan, tandis qu'au premier plan, on voit un crocodile attraper un ibis. La scène d'apparence anecdotique, suggère de manière implicite et symbolique que le danger et la mort seront au rendez-vous de cette croisière. Il y a d'autres exemples qui me viennent en esprit, mais qui transformerait cette critique en essai d'analyse cinématographique.
    A ces différences de traitement s'ajoutent évidemment des différences liées aux parti-pris dans l'adaptation du roman. Les personnages sont plus étoffés et complexes (à mon sens) et se distinguent de leur équivalents de la version de 1978 (à la fois du fait du traitement thématique du récit, mais aussi pour pouvoir différencier cette version de son prédécesseur). Ainsi, Linette Ridgeway/Doyle est plus sympathique que son homologue romanesque et filmique de 1978 et présentent cependant des fragilités et ses défauts demeurent (bien que traités autrement). Mais le personnage qui connaît un traitement bien à part comparé à ses prédécesseurs (sauf une exception précise) est Hercule Poirot. Tout le film présente un parcours de personnage qui amène au questionnement de ce dernier sur ce qu'il est tout en mettant en évidence ses plus mauvais côtés (tout particulièrement vers la fin avec ses interactions avec monsieur Bouc). D'une certaine manière, Kenneth Bragnah a insufflé dans cette version du personnage un mélange de ce qu'il a fait avec ses adaptations de Shakespeare et Wallander. Deuxième mention pour la moustache à cet égard : ce film permet de donner un nouveau symbolisme à la moustache de Poirot. Là où dans le roman d'origine, elle illustrait le caractère vaniteux et pompeux du personnage, dans ce film, elle symbolise aussi (de manière littérale) le fait que Poirot cache ses blessures secrètes et est associée à son amour perdu (ceux qui auront vu le film comprendront de quoi je parle avec la toute première et toute dernière scène du film). Et pour la jouer osé, je considère que "Mort sur le Nil" est à Kenneth Bragnah ce que "Le Crime de l'Orient-Express" est à David Suchet : une adaptation respectant la trame du récit d'origine, mais bouleversant l'esprit pour pouvoir montrer Hercule Poirot complètement ébranlé par les événements dans ses certitudes et qui connaît à la fin de ces récits une forme d'illumination amère/douloureuse en sa conscience.
    D'autres différences interviennent, notamment dans l'identité de certains personnages (l'ajout de monsieur Bouc par exemple) et dans certains détails du récit, mais elles ne sont à mon sens des détails sur lesquels je ne ferai que chipoter.

    Dernière différence de taille avec le film de 1978 : le film de John Guillermin se suffit à lui-même, présentant une enquête parmi d'autres d'Hercule Poirot (ce que les adaptations de "Evil under the Sun" (1982) et de "Rendez-vous avec la mort" (1988) confortent dans une certaine mesure), alors que "Mort sur le Nil" de Kenneth Bragnah forme dans une certaine mesure un diptyque avec "Le Crime de l'Orient-Express" (ne serait-ce par la dernière scène du "Crime de l'Orient-Express" maladroite et un peu incohérente désormais avec la sortie de "Mort sur le Nil", qui annonçait une enquête en Égypte). Les deux films peuvent en effet être considérés comme un grand arc narratif sur le questionnement d'Hercule Poirot sur les certitudes qu'il s'était bâti dans sa vie : "Le Crime de l'Orient-Express" questionnait sa vision "binaire" du monde (bien et mal), "Mort sur le Nil" questionne le choix de vie qu'il a eu (je n'en révèle pas trop, hormis le fait que la mention de cette Katherine, déjà évoquée dans "Le Crime de l'Orient-Express", est plus explorée dans ce film). Cela est conforté par la présence de monsieur Bouc dans les deux films.

    Je pourrais continuer davantage sur mon ressenti du film et sur ce que j'en ai perçu, mais ce serait de nouveau transformer cette critique en essai d'analyse cinématographique. J'espère qu'elle sera satisfaisante pour ceux qui la liront, que vous ayez aimé le film ou non, que vous l'ayez vu ou pas.
    tisma
    tisma

    291 abonnés 1 968 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2022
    Une poignée d'acteurs qui portent le film et de somptueux décors permettent au film d'être divertissant. L'histoire originelle d'Agatha Christie est bien mise en scène par Kenneth Branagh.
    Ricco92
    Ricco92

    223 abonnés 2 148 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2022
    Après Le Crime de l’Orient-Express, Kenneth Branagh continue à adapter les enquêtes d’Hercule Poirot avec Mort sur le Nil. Contrairement à sa précédente adaptation de romans d’Agatha Christie, le réalisateur évite de trop sortir de l’esprit de l’écrivaine (pas de séquences d’arts martiaux) même si on peut être surpris de débuter le film avec une mini-origin story (qui nous permet de découvrir la raison de la célèbre moustache du détective belge). Branagh offre une mise en scène élégante avec de très beaux plans (malgré l’aspect numérique trop visible de certains décors) permettant d’offrir un côté plus cinématographique à ce qui reste un whodunit classique et bénéficie de bons comédiens (d’où émerge en particulier Gal Gadot). Les amateurs d’enquêtes policières devraient donc apprécier cette nouvelle adaptation du roman d’Agatha Christie (après celle de John Guillermin de 1978 et les adaptations télévisuelles) sans pour autant réellement marquer le genre.
    David O.
    David O.

    4 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2022
    Les décors sont magnifiques, très bonne distribution mais j'ai trouvé qu'il y avait un problème de rythme. C'est globalement lent et inutilement long comme si on avait cherché à étirer le film...
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    181 abonnés 2 267 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 février 2022
    « Mort sur le Nil » est dans la lignée du précédent film de Kenneth Branagh mettant en vedette le détective d’Agatha Christie, Hercule Poirot, « Le Crime de l’Orient-Express » sorti 4 ans auparavant : une mise en scène léchée, des décors et costumes fabuleux, un énorme casting pour une histoire assez simple d’enquête policière dans un lieu fermé. Mais, par rapport au précédent film, celui-ci est un peu meilleur. Le problème, c’est que c’est toujours aussi lent et que l’on reste spectateur de l’action : c’est-à-dire qu’on n’est pas emporté dans des fausses pistes mais qu’on suit patiemment la démonstration d’Hercule Poirot où tout s’enchaîne sans vraie surprise. En plus, j’ai vu le film en version originale anglaise et c’est assez troublant d’entendre de longs passages en français mais surtout des acteurs anglais prendre un accent français pour leurs tirades en anglais et prononcer certains mots de français avec un accent anglais. On y perd son latin ! Et puis, on ne peut que faire la comparaison avec « A Couteaux Tirés » sorti en 2019, au moment du tournage de ce film, et tellement au-dessus dans le genre.
    Le 7ème Juge
    Le 7ème Juge

    3 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 février 2022
    Fort de son atterrant Crime de l’Orient-Express, Kenneth Branagh affirme son statut de meurtrier - en série - des romans d’Agatha Christie. Il récidive en effet avec l’adaptation de Mort sur le Nil dans une Égypte aux airs de jeu vidéo criard (ainsi ce très vilain crocodile de synthèse mangeur d’ibis). On y retrouve un Hercule Poirot que le bateau rend moins téméraire mais plus sentimental voire concupiscent (le mal de fleuve?): une réécriture à contre-courant et assassine du personnage autolâtre. Son interprète ne sait du reste toujours pas parler français, comme le prouve d’emblée son gênant monologue dans les tranchées, l’un des ajouts superfétatoires des scénaristes afin d’expliquer l’origine de sa moustache (!). D’ailleurs, les consternantes contradictions entre les accents des acteurs et leur passé fictif - déjà en soi douteux à divers égards - noient ce navrant ensemble. De toute façon, la profondeur de la grande majorité des personnages tient plus du ruisseau que du Nil. Aussi, coulée par un flot d’anachronismes et d’incohérences presque criminel, la mise en scène est couramment grotesque: on mange seuls au milieu du hall de l’hôtel, on s’entasse sur un Riva pour rejoindre le bateau, on simule l’amour doggystyle dans un bar dansant ou à Abu Simbel et on momifie les cadavres que l’on fait ensuite porter par des occidentales en tenue coloniale : trop affligeant, même pour divertir. Le tout se revendique spectaculaire, mais, bêtement théâtral, s’écoule loin de la finesse du livre original.
    Marie-Laure B
    Marie-Laure B

    3 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 février 2022
    A bord du bateau on s'ennuie. La séquence de la rencontre entre les protagonistes, au cabaret, est selon moi la plus réussie.
    Candide
    Candide

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2022
    J'ai adoré cette version d'une histoire si bien connue
    Casting jeu des acteurs decors costumes et réalisation
    A voir sans hésiter
    Chris M.
    Chris M.

    3 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2022
    On est obligé d'admettre que c'est un bon film car il coche presque toutes les cases: acteurs, photo, intrigue, decors, ... mais ça s'arrête là .
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