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    On l’appelle Jeeg Robot
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    133 critiques spectateurs

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    benoitG80
    benoitG80

    3 428 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2017
    "On l'appelle Jeeg Robot", peut-être, mais surtout comment appeler, ou classer ce film italien si incroyable dans son imagination, son originalité et son audace ?
    On ne s'attend absolument pas à une telle débauche d'idées qui mélangent les genres et les influences comme jamais !
    C'est comme si le réalisateur avait voulu tout inclure dans sa recette : de l'humour, de la cruauté et du réalisme à l'état pur (ici on ne fait pas semblant !), de la tendresse et de l'amour, et même une petite dose de philosophie !
    On pourrait être perplexe de ces ingrédients pour élaborer une histoire de super-héros, bien particulière il est vrai, mais ça marche !
    Gabriele Mainetti plante déjà le décor dans une Rome inquiétante, où des terribles gangs mafieux n'y vont pas de main morte, où la violence n'est pas dissimulée d'autant plus que celui qu'on surnomme Le Gitan est une espèce d'individu qu'on préfèrerait ne pas croiser au coin de la rue...
    Et pourtant, au milieu de tout cela, notre super-héros plutôt mal dégrossi dans son comportement et ses habitudes, perdu et mal parti dans la vie, sera malgré ses nouveaux pouvoirs, loin d'être le reflet de ceux auxquels on pense.
    C'est bien cet aspect, en le voyant évoluer dans un contexte dangereux et anxiogène, en défenseur de sa petite protégée encombrante mais très touchante (Ilenia Pastorelli), qui nous ravie au plus haut point, toute plongée dans son monde de manga délirant qu'elle est !
    Cette note va d'ailleurs influencer l'esprit du film avec beaucoup de malice !
    On passe ainsi de l'horreur brute et sanguinaire à la douceur naïve en un instant, de la folie pure et incontrôlable à une étreinte douce et réconfortante...
    Indescriptible et du jamais vu !
    Ici, au contraire des productions américaines, et même de l'excellente parodie "Deadpoll", on s'éloigne de très loin des codes en vigueur, et ce sont des situations complètement surréalistes qui font la différence; elles s'enchaînent à la folie, avec des personnages déjantés et très différents, et ce sans que l'on s'y attendent le moins du monde.
    Dans le genre Claudio Santamaria (Jeeg Robot) paraîtrait même bien sage à côté de l'extravagant et déglingué Luca Marinelli (Le Gitan)...
    Tout n'est que surprise jusqu'à la fin (et quelle fin explosive !), tout est nouveau et hors norme...
    Et que ça fait du bien, franchement !
    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 536 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2018
    On l'appellera aussi et surtout un très bon film !

    Imaginez une surprise italienne qui, plutôt que de renier ce style très européen où se mêle un univers violent rempli de personnages déjantés à un certain ancrage dans la réalité, le ferait fondre dans l'ossature archétypale d'un film de super-héros et secouerait le tout dans un shaker avec quelques litres de Danette à la vanille en guise d'accompagnement !
    Voilà, vous avez une vague idée de ce à quoi ressemble "On l'appelle Jeeg Robot" et c'est bien cette force d'utiliser les codes super-héroïques dans un contexte ne leur correspondant absolument pas qui fait tout le sel du film de Gabriele Mainetti.

    Les origines des pouvoirs, la découverte qui en découle, le choix éternel de les utiliser pour le bien ou le mal, un événement dramatique pour trouver la bonne voie, l'inévitable affrontement final contre un super-vilain,... Tous ces passages obligés du film de super-héros se retrouvent dans "On l'appelle Jeeg Robot" mais sont ici placés au sein du monde cruel et semi-réaliste des petites frappes du banditisme italien qui leur donne une toute autre perspective que l'angle habituel des blockbusters habituels US par exemple.
    Voir Enzo, un voyou sans envergure et à la limite de la misanthropie totale être amené à embrasser un destin de super-héros n'est la chose la plus habituelle des standards du genre, d'autant plus que, pour renforcer son côté hybride, le film lui colle deux obsessions plus qu'étranges : les films X et la Danette (oui !). Ce sera d'ailleurs une des mimiques les plus astucieuses du long-métrage : mixer constamment une déviance adulte à un détail plus puéril et pousser le côté incongru du résultat jusqu'à un certain paroxysme pour créer des ressorts aussi bien cartoonesques que dramatiques. Cela se révélera bien évidemment très amusant avec le grand méchant du film "Le Gitan", un petit gangster déjanté qui se rêve parrain (car obsédé par la célébrité du fait d'un passé de star de la télé-réalité) et fan un peu trop jusqu'au-boutiste de variété italienne, ou ses compères affublés de surnoms ridicules mais cela ajoutera aussi une réelle profondeur avec Alyssa, la voisine d'Enzo, réfugiée dans un comportement infantile (c'est elle la fan du dessin animé japonais "Jeeg Robot") pour échapper à un passé terriblement douloureux, elle deviendra peu à peu la clé de voûte du destin de ce curieux super-héros en devenir et leur relation à la fois tendre et conflictuelle sera une lueur d'humanité véritablement émouvante qui traversera l'ensemble du film.

    À l'heure où Marvel et DC règnent en maître sur le genre super-héroïque en faisant disparaître le nombre de propositions US plus atypiques ("Super", "Defendor" ou même "Kick-Ass"), "On l'appelle Jeeg Robot" fait figure d'exception, un OFNI venu d'Italie qui fait un bien fou en redéfinissant le mythe du super-héros dans une réalité où le héros humain, lui, n'a pas grand chose de super. Évidemment, à l'image de son méchant supra-caricatural, le trait est grossi à l'extrême dans la violence et l'humour noir pour ne pas oublier de livrer un excellent divertissement au passage mais l'intelligence dont fait preuve "On s'appelle Jeeg Robot" pour remanier des codes dont on croit tout connaître dans un monde quand même pas si loin du nôtre lui octroie indiscutablement le caractère de petite pépite du genre.
    PsychoHead
    PsychoHead

    54 abonnés 219 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2017
    Ah enfin un film de super héros pas comme les autres... Et j'ai beaucoup aimé.
    Très bien réalisé, les acteurs sont tous impeccable, la b.o très bonne.
    J'ai adoré notre héros principal un peu looser sur les bords mais qui devient vite attachant surtout avec sa relation avec Alessia. Mais j'ai aussi adoré le personnage du "Gitan", complètement taré et violent.
    Tantôt Émouvant, tantôt violent, tantôt drôle, un film qui mélange les genres parfaitement.
    Une très bonnes découverte, je conseille si vous en avez marre des Marvel ou autres.
    Vinz1
    Vinz1

    186 abonnés 2 447 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mai 2017
    Ce "Hancock" à l'italienne est assez sympathique d'autant qu'il est à mille lieues des films estampillés Marvel, même s'il contient moins d'effets spéciaux et de scènes de combat dantesques. Malgré un scénario fourre-tout somme toute assez prévisible dans son déroulement, il faut avouer que voir cet antihéros au cœur tendre fondre devant une charmante jeune femme de 5 ans d'âge mental et fan de manga est assez réjouissant. Quant au personnage du méchant, il est très bon et cabotine à outrance comme il le faut ! Alors même si l'on assiste-là à la naissance d'un nouveau super-héros plus proche du peuple, il manquera toutefois à ce film un petit quelque chose d'indéfinissable pour en faire un chef-d'oeuvre...
    selenie
    selenie

    6 331 abonnés 6 203 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2017
    Gabrieli Maineti a dû créé sa propre société de production et a produit le film personnellement avec un budget de seulement 1,7 millions d'euros... Super-héros lié au manga, mais l'histoire est aussi un mélange des genres, avec romance et mafia. Loin de copié le réalisateur-producteur-compositeur du film digère ses références et les enrichis de spaghetti-manga pour un résultat surprenant mais efficace et fun. De l'humour noir et cynique, de la violence juste assez trash, une dose parodique mais juste assez pour que la dramaturgie l'emporte sur le ridicule, le fil étant parfois ténu.
    Site : Selenie
    traversay1
    traversay1

    3 638 abonnés 4 875 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mai 2017
    Alors comme ça, On l'appelle Jeeg Robot serait un film de super-héros ? A l'italienne, certes, mais indéniablement influencé par le genre. On fait comment quand on déteste ce type de films, trop souvent synonymes de divertissements décérébrés ? Eh bien, on s'assoit dans son fauteuil de cinéma et on se laisse surprendre par une histoire originale, par la folle mise en scène d'un réalisateur, Gabriele Mainetti, qui s'est fait la main sur 4 courts-métrages, par l'outrance de certaines scènes, par la bizarrerie de beaucoup d'autres et enfin par son réalisme dans sa grise vision d'une banlieue romaine. C'est somme toute l'itinéraire d'un gars assez ordinaire et plutôt mal parti dans la vie qui hérite de super-pouvoirs par hasard. Ce n'est évidemment qu'un prétexte pour Mainetti qui expose une vision sociale sans concession mais d'une justesse imparable (et qui serait valable pour de nombreux pays européens) : environnement vicié, réseaux sociaux addictifs, terrorisme agissant, mafias omniprésentes ... Un tableau accablant. Où les notions de bien et de mal ne veulent plus rien dire pour des citoyens lobotomisés et accros à Youtube et ses vidéos qui font du moindre délinquant une star instantanée, le voyou en question s'intéressant d'ailleurs moins à l'argent qu'à la quête de notoriété. Quelle époque ! Et pour en revenir à notre soi-disant super-héros, ne serait-ce pas plutôt la tendresse qui lui confère de nouveaux pouvoirs, à commencer par un début d'humanité. Bref, On l'appelle Jeeg Robot, avec ses différents niveaux de lecture, mais aussi son humour goguenard et son sens du suspense, est une jolie surprise transalpine qui, contrairement aux apparences, ne peut se réduire à un genre en particulier. Et c'est la raison pour laquelle ce film sort du lot, libre et émancipé, malgré ses influences qu'il digère et domestique avec aisance.
    Nyns
    Nyns

    219 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mai 2017
    Le genre super-héro est déjà tellement surexploité du côté des grosses productions hollywoodiennes qu'il est difficile d'imaginer une petite production, italienne en plus (!), tenter d'y faire une apparition remarquée. Concernant le fondé de la démarche on a tendance à être retissant à l'idée d'un nouvel anti-héro refourgué de pouvoirs par hasard. Surtout quand les pouvoirs en question n'ont rien d'extraordinaire, force décuplée et régénération de son corps. Première réaction : c'est tout? Ils se lancent dans la gorge du loup avec un superhéros si basique? Et puis on comprend vite que c'est là, la véritable force de ce film. Laissons à Marvel et DC Comics le soin de nous trouver de super pouvoirs encore pas imaginés... Jeeg Robot n'est pas là pour ça. En fait il utilise plutôt la recette des tout premiers films du genre qui fonctionnaient très bien. Trouver une trame s'intégrant à une ambiance, à un lieu, pour finalement ne pouvoir dissocier l'un et l'autre dans la fiction. Avec Rome la magnifique en décors (même si elle n'est pas filmer au mieux), la mafia italienne, la crise qui touche le pays et des manifestations pacifiques face à la menace terroriste sur la capitale, sans oublier la ferveur autour du football, indissociable avec la culture italienne aussi, on est happé par l'intrigue. Le déjanté Gitan qui joue le rôle du super méchant en rappellera bien d'autre même s'il a un petit quelque chose, une folie dans le regard toute appréciée. C'est surtout la force tranquille de notre héro qui est plus inédite, en donnant tantôt du mystère insondable, tantôt la force à ses apparitions, et réussira à laisser place à l’empathie. Le manga à la sauce napolitaine est assez incongru pour être retenu aussi, mais ce n'est pas tout, la relation toute particulière entre notre héro et la femme qui le révélera est aussi originale. Quand on sait que cette dernière n'est pas saine d'esprit mais reste autant attachante et bénéfique pour lui. Un type de relation trop atypique pour avoir sa place dans le moule des superproductions américaines feront de ce "blockbuster" italien une expérience plutôt appréciée. Voilà plutôt dans quel sens Lo chiamavano Jeeg Robot fait sa confortable place. Mais vous l'aurez compris, pour la surenchère de spectaculaire et les pouvoirs étranges, passez votre chemin.
    Estonius
    Estonius

    3 462 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 février 2018
    Un doigt de super-héros, de la violence tarantinesque, des mafieux, une nana bipolaire complètement à l'ouest (mais charmante), un méchant complètement allumé (très important le méchant, Hitchcock disait que pour qu'un film soit réussi, le méchant devait être réussi) qui en plus est un youtubeur compulsif, mélangez et ça peut donner n'importe quoi ! Sauf qu'ici c'est très bon, le scénario est un peu tordu mais ce n'est pas très grave, les amateurs de super-héros purs et durs vont détester, ben oui, ici on est dans un autre monde, on est dans les faubourgs de Rome, pas sur Xandar ! Les acteurs sont tous au top aussi bien Claudio Santamaria, le gentil, Luca Marinelli, l'affreux que la belle Ilenia Pastorelli, la foldingue, et remarquablement dirigés. On est scotché et la longue scène finale avec son final granguignolesque vaut son pesant de cacahuètes (malgré qu'elle soit trop longue). Et dire que c'est son premier long métrage à Mainetti, il promet, le mec !
    janus72
    janus72

    48 abonnés 270 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mai 2017
    Assez bizarroïde, ce film mais tout plein de genres dans un shaker à l'italienne et secoue bien fort ! ! !
    Plutôt violent, dans les faits et le propos, ça surprend et fait sourire, voire rire jaune, avec sous-jacent la misère - la petite truanderie des bas-fonds Romains.
    A voir avec un certain recul ;-)
    Pierre Andre E
    Pierre Andre E

    14 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2017
    Film de super héros assez original ( la ville de Rome vue de façon un peu sale et glauque ), des situations décalées, on passe un bon moment. Un croisement d'univers assez réussi.
    dagrey1
    dagrey1

    100 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mai 2017
    Poursuivi par la police dans les rues de Rome, Enzo plonge dans les eaux du Tibre et entre en contact avec un baril de substance radioactive. Il se retrouve doté de pouvoirs surnaturels et décide de les mettre au service de la bonne cause.

    Si le pitch vous fait penser à "Toxic avenger", vous êtes dans un registre tout de même un peu différent et tout de même moins trash."On l'appelle Jeeg Robot" est un film hautement réjouissant.
    Blasé par la galaxie des films Marvel et DC Comics de plus en plus creux, aseptisés et inoffensifs, j'ai regardé avec bonheur ce film de super héros italien avec des personnages comme "le gitan" qui ont de "vraies gueules, des gangsters de la Camorra sans pitié et un super héros un peu bedonnant et looser sur les bords qui n'est pas vraiment pas "Captain America". Son appartement est un taudis. Même la copine "un peu perchée" du Héros, amateur de pornos à ses heures, a des seins comme des obus mais une "dentition à refaire".

    Le scénario se tient bien, le film excelle dans sa seconde partie avec des règlements de compte, de la violence, de l'humour, de la tendresse et un très chouette final!

    Gabriele Mainetti a inventé le genre du super héros spaghetti. Espérons que cela fera autant de bien au genre que le western spaghetti n'en a fait au western américain.

    Le casting du film est excellent: Claudio Santamaria -Jegg- (vu dans Romanzo criminale), Luca Marinelli -le Gitan-(vu dans la grande bellaza) et Ilenia Pastorelli.

    Ah oui, j'oubliais...Jegg s'empiffre de "danette" à la vanille...
    DarkAkuma02
    DarkAkuma02

    57 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2017
    A Rome, un truand se jette dans le Tibre afin d'échapper à deux hommes qui le poursuivaient et se trouve exposé à des produits chimiques. Il se rend compte plus tard qu'il dispose d'une résistance et d'une force surhumaines, mais décide de les mettre à profit pour voler de l'argent.
    J'ai trouvé ce film étonnant, il s'agit d'une petite production faisant preuve de beaucoup d'ambition avec une approche personnelle du concept de super-héros. Ce long-métrage comporte plusieurs références à la culture pop, aux super-héros et aux mangas, mais ça ne m'a jamais semblé forcé et cela servait plutôt bien l'histoire. L'intrigue cumule les genres avec de l'action et de la violence très graphiques, des séquences plus intimistes ainsi que de la romance, ce qui la rend difficile à classer. Les personnages font preuve d'originalité avec un protagoniste finalement assez sobre dans ses expressions et d'autres qui surjouent, notamment l'antagoniste, mais cela apporte un certain équilibre au récit.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    252 abonnés 884 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mars 2017
    Loin d’être le film de super héros que l’on s’imaginait, On L’Appelle Jeeg Robot a plus des allures de drame plus proche des films italiens qui arrivent à franchir les frontières du pays ces dernières années que du véritable renouveau du film du super héros qu’il prétend être. La réalisation de Gabriele Mainetti manque clairement d’audace et de folie qui rappelleraient les mangas dont il dit pourtant s’inspirer. Difficile de comprendre ce qui a valu autant de récompenses à ce long métrage plus destiné au fond à ceux qui n’aiment pas les films de super héros qu’aux véritables fans du genre. [lire la critique complète sur le site]
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 septembre 2017
    Ah, non, là, pas d'accord avec l'ensemble des critiques. Ça ne vaut même pas un Marvel. Faut pas abuser, le scénario n'est pas piqué des hannetons. Le scénariste a du se prendre une bonne méningite pour écrire ça !
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    215 abonnés 2 864 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2017
    Si l'attribution des pouvoirs, dans une scène de poursuite assez facile, et le combat final, peu habile, n'ont pas profité du meilleur développement, ce Jeeg Robot a une personnalité forte. Comme si Guy Ritchie avait avalé du Roberto Benigni.
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