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    On l’appelle Jeeg Robot
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    3,3
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    133 critiques spectateurs

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    Gfa Cro
    Gfa Cro

    55 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 mai 2017
    Vu et avis le 20170519

    Film plaisant qui mérite d être vu par les amateurs de supermechants, action.

    Le film fonctionne bien. Les traits de caractères sont trop outrés mais cela ne dérange pas du tout. Enzo est délicieusement naïf, les histoires annexes qui densifient le film sont bien (les mules, l asile, les chiens, le portable qui reste blanc finalement, les crèmes, ...). Le film n a pour prétention que de nous amuser et nous distraire un temps, il le fait très bien.
    rogerwaters
    rogerwaters

    146 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2017
    Présenté comme un film de super-héros, Jeeg Robot est surtout un drame sordide qui vient dépoussiérer le genre et qui ressuscite par la même occasion le cinéma populaire italien qui semblait assoupi ces dernières années. Certes, l’histoire reprend des thèmes classiques avec son héros doté de pouvoirs à cause de fûts chimiques, avec son méchant mégalo qui veut faire sauter une bombe en plein Rome. Toutefois, le traitement de l’intrigue n’a rien de banal puisque le cinéaste prend son temps pour filmer la Rome des bas quartiers, avec ses taudis, ses mafieux minables et sa population délaissée et sans avenir. Le personnage principal est lui-même un marginal qui reprendra goût très progressivement à la vie. En gros, le ton n’est pas à la gaudriole et le film est loin des divertissements américains. On note des excès de violence et même du gore à l’occasion. Toutefois, le rythme est parfois languissant et le temps paraît parfois long dans ce film de deux heures un peu trop étirées. Le montage, en étant resserré aurait pu être bien plus percutant.
    MediaShow
    MediaShow

    145 abonnés 536 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2017
    Première réalisation de Gabriele Maiteni, « On l’appelle Jeeg Robot » est une agréable surprise, nous proposant un film fantastique rempli d’ambition. La construction scénaristique n’est évidemment pas le gros point fort, avec un rythme assez lent et une seconde partie beaucoup trop courte. En revanche, le contenu est très intéressant, privilégiant le relationnel au spectaculaire. La direction artistique est honorable, tout le casting ! Un bel espoir pour le cinéma italien ! Retrouvez la critique entière sur : mediashowbydk.com !
    Aaaarrrrrgh
    Aaaarrrrrgh

    22 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 avril 2018
    Un film de super-héros italien, déjà, ca vend du rêve tellement cela paraît improbable. Mais en plus, le pari est réussi haut la main. C'est corrosif et décalé, pour un résultat burlesque, malgré son enveloppe très premier degré. Tout l'intérêt de "On l'appelle Jeeg Robot" repose en l'écriture des personnages, la forme étant très sobre, voir classique (si ce n'est quelques fulgurances).
    Robrex
    Robrex

    25 abonnés 940 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mai 2018
    Un film plutôt bon. D'habitude je m'y connais pas trop en film Italien, je connais pas trop la culture cinématographique Italienne, mais là, je reconnais que "On l'Appelle Jeeg Robot" est un bon film, mais pour moi, je dirais pas que c'est un film de super-héros, mais plutôt pas loin d'un film anti-super-héros, même c'est pas du même niveau que "Deadpool" par exemple. Vraiment, ce film m'a limite bluffé, je m'attendais vraiment à tomber sur un archétype de film de super-héros, et au final, pas du tout. C'est un film avec un scénario assez simpliste, mais avec des rebondissements imprévisibles et des scènes d'action vraiment fortes. A noter que j'ai vu le film en VO, ce qui m'a permis un peu d'apprendre l'Italien (on va dire), alors je sais pas ce que vaut la VF, si elle est mieux ou pas. En tout cas, je me suis laissé embarqué par ce film. Les acteurs jouent bien, notamment Claudio Santamarria qui interprète à fond son rôle. Llena Pastorelli qui surjoue un peu mais qui est pas trop mauvaise non plus, mais pour moi, la palme d'or revient à Luca Marinelli qui est excellent et qui vers la fin joue un méchant charismatique et délirant. Y'a des scènes violentes et vulgaires par-ci par-là, des moments drôles et dramatiques bien gérés et, comme je disais, des scènes de combat dantesques. Mais après, ça reste un film prenant et divertissant, mais pas non plus très marquant. Donc, si vous voulez jeter un coup d’œil à ce film, allez-y, c'est plutôt bon, mais pas un grand film non plus. En tout cas, bravissimo au réalisateur !!
    Vincent T.
    Vincent T.

    27 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 mai 2017
    Un film de super-héros italien jouissif, consistant et innovateur qui met à terre l'ensemble des productions Marvel de ces dernières années. Un pur film de genre qui raconte une histoire forte, sensible et touchante.
    A la fois, film de genre, de gangster, de super-héros et d'amour, le réalisateur mélange les genres et offre une œuvre profondément humaine, poignante et divertissante.

    La structure du récit et la construction de la narration sont parfaites, les codes sont utilisés de manière brillante et le réalisateur nous prend à revers à chaque fois qu'on ne s'y attend pas.
    En peignant des personnages touchants et incarnés de manière subtils, le réalisateur peint une italie en déliquescence qui tente de se frayer un chemin pour s'extirper de sa condition.

    Compte tenu de son faible budget, le film offre tout de même des situations et des scènes très intéressantes voires épiques.
    Claudio Santamaria est parfait dans le rôle du gentil qui suscite autant l'adhésion que la répulsion. Le méchant interprété par Luca Marinelli est charismatique, grandiloquent et travaillé. Une grande réussite ! Enfin Ilenia Pasorelli offre une prestation complexe et bouleversante.

    Bref, le prototype du petit film de super-héros qui renouvelle un genre ultra codé tout simplement en construisant un vrai récit dans un environnement italien très bien mise en valeur à travers une vraie thématique au sens profond.
    On l'appelle Jeeg Robot est une énorme réussite.
    kieran_h3ld
    kieran_h3ld

    31 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2022
    Après avoir été chamboulé par le magnifique Freaks Out, je me devais de voir le premier film du cinéaste italien Gabriele Mainetti. Comme vous pouvez le voir à ma note, je n'ai pas été déçu.
    A l'instar de Freaks Out, le jeune réalisateur met en scène le fantastique, le super héros,  différemment des productions super héroïques type Marvel/DC. Il installe quelque chose de réel, dans lequel on peut se retrouver. De toute manière on y voit beaucoup les prémices de Freaks Out, a pas mal d'endroits.
    Jeeg Robot c'est un vrai film de super héros ancré dans le réel, de par son contexte, (attentats, manifestation, tensions, mafia, comment le héros est perçu dans notre société), mais surtout par ses personnages. Son héros truand, voyous, qui regarde des pornos et bouffent des dannettes vanilles, qui vit une vie miserable, dans un appart merdique, ne trouvant pas de sens à sa vie, avant le fameux événement. On se sent au plus près des personnages, contrairement aux Marvel et tout le bazar, où même si on peut apprécier ces titans, jamais on ne ressent une réelle  empathie pour eux.
    La relation qui se crée entre Enzo (le héros) et Alessia s'avère être très touchante et importante dans le récit. Deux personnages pas gâtés par la vie, qui vont se compléter.
    Le premier va révéler une autre facette de lui, plus fragile, un homme solitaire, fermé, sans confiance en lui. La deuxième va être celle qui va faire qu'Enzo va se transformer, elle, la femme dans son monde, représentant l'innocence.
    Au delà de cet aspect réel et attachant, Jeeg Robot s'avère être un très bon film. Il nous dépeint un méchant fou furieux, terrible, extrêmement bien joué, un vrai super méchant comme on en voit dans les grosses productions, et pareil, il revient plus ou moins au méchant de Freaks Out.
    La mise en scène est vraiment excellente pour un premier film, le réal à plus d'un tour dans son sac. Il utilise très bien les effets spéciaux minimalistes auquel il a accès, au vu du petit budget de son film (moins de 2 millions d'€). Ce qui nous donne un florilège de scènes d'actions marquantes, fusillades, combats, et puis ce final d'une tension folle.
    Jeeg Robot c'est donc un premier film assez énorme, qui se démarque tout en étant maîtrisé de toute part. Une réussite totale.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 mai 2017
    Le mythe du super-héros a toujours fait rêver les foules. A une époque où mondialisation et internationalisation des échanges culturels sont de mises, un être doué de pouvoirs incroyables et défendant la veuve et l'orphelin, ça fait forcément rêver. Mais a côté des Avengers et autre Homme de fer, il existe une sorte de contre-culture évoquant la figure du super-héros dans ce qu'elle a de plus intimiste. "Incassable" bien sûr mais aussi "Kick-Ass" d'une certaine manière, sont des oeuvres qui ont fait le choix de porter aux nues leurs protagonistes pour explorer la part humaine de ces personnages incroyables. "On l'appelle Jeeg Robot", qui a la particularité d'être un film italien mais aussi une première pour le réalisateur Gabriele Mainetti, s'intéresse au destin d'Enzo, petit malfrat propulsé méga-criminel du jour au lendemain après avoir fait trempette avec des produits toxiques. Départ classique pour un film qui a le mérite d'explorer de façon originale les notions de bien et de mal. Ici, Enzo est le reflet d'une société portée par la peur et le désespoir dans une Rome minée par les attentats et tenue d'une main de fer par les familles mafieuses. Au milieu de toute cette violence, Alessia, jeune dingo transposant son univers à travers le prisme d'un manga japonais, fait figure d'innocence incarnée et va croiser la route d'Enzo. Entre consommation excessive de crèmes vanilles et visionnages compulsifs de pornos, le héros de cette histoire est constamment en équilibre entre perversité et pureté enfantine. Car ce n'est pas la force qui sauvera la ville de Rome mais bien une espèce de retour aux choses simples que sont l'imagination et l'amour dénué d'arrières pensées. Mainetti nous dépeint un monde baignant dans la perversion, à l'image de son méchant outrancier, et s'écarte en cela des enjeux habituels du film de super-héros où méchant veut détruire Terre et héros doit sauver tout le monde. Ici, c'est la lutte de l'âme qui est au centre de cette histoire et le film place ses enjeux dramatiques dans un contexte beaucoup plus réaliste et humain que les grosses écuries Marvel. L'ensemble est vraiment bien foutu et, malgré une fin qui se laisse rattraper par les archétypes du genre, il est intéressant de voir à quel point Mainetti a réussi le parfait dosage entre exploration des caractères et pur film de genre. On attend la suite de la carrière du bonhomme avec impatience.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    56 abonnés 1 164 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 novembre 2016
    Le réalisateur a mis 5 ans pour réaliser ce film (mais 1 an et demi seulement pour obtenir les droits du dessin animé japonais éponyme) car le cinéma de genre est réputé difficile en Italie. C’est pourquoi, il a aussi produit le film. Bien lui en a pris car il a été vu par 5 millions de spectateurs en Italie. Il a même raflé 7 prix Donatello (équivalent du César français). C’est l’histoire d’un petit voyou, Enzo, qui à la suite d’une poursuite, tombe dans le Tibre à Rome, plus exactement dans un fût de produits radioactifs coincé sous une barge. De retour chez lui, il s’aperçoit avoir une force herculéenne et une grande capacité de cicatrisation. Il décide d’utiliser ce pouvoir, d’abord, pour des rapines spoiler: (il descelle un distributeur de billets de banque)
    puis, sous l’influence de la fille d’un compagnon de galères (passionnée par le dessin animé japonais, Jeeg Robot et qui le prend pour ce super-héros), pour lutter contre un malfrat qui souhaite terroriser Rome. L’idée de départ est bonne, à savoir, prendre le contre-pied des superhéros américains Marvel en l’humanisant mais, malgré de bons effets spéciaux, le film manque de rythme à cause de la romance entre Enzo et la jeune fille, autiste mais au grand cœur. Pour le réalisateur, c’est la partie la plus importante du film ! C’est le 2e film italien de ce type (super héros) mais il n’arrive pas à la hauteur du « Garçon invisible » (2014) de Gabrielle Salvatores et qui était plus inventif et plus drôle.
    Marc L.
    Marc L.

    46 abonnés 1 604 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 novembre 2018
    Le succès jamais démenti depuis plus de dix ans des Marvelleries à grand spectacle a eu le mérite de réveiller les expériences et les sensibilités locales et, quelques années après un sympathique ‘Garçon invisible’, l’Italie, terre plutôt accueillante pour le genre, livre un nouvel opus superhéroïque à dimension humaine, qui ressemble surtout à un de ces polars violents et crapoteux façon ‘Suburra’, et qui dénonce au passage l’état de délabrement des infrastructures publiques et des quartiers populaires de la péninsule et la prolifération d’une sous-culture de la célébrité instantanée : la petite frappe qui va hériter par accident de pouvoirs surhumains va tout d’abord s’en servir égoïstement, pour son propre intérêt, avant de se découvrir une propension à oeuvrer pour le bien, au contact d’une jeune femme retardée, convaincue qu’il est le héros de l’Anime japonais dont elle est fan. Soucieux de sa street-credibilty, ‘On l’appelle Jeeg robot’ ne recourt jamais à la moindre imagerie numérique et s’attache plutôt à assumer dans une certaine mesure l’héritage néoréaliste italien, afin de dépeindre au mieux ces zones gangrenées par le crime organisé et abandonnée par les autorités. Il n’empêche que Gabriele Mainetti sait faire preuve, dans le même temps, d’un respect appuyé envers la logique des Comics américains, dont il se colle docilement à la structure narrative de base avec cet anti-héros qui va progressivement virer de bord, et un méchant grimaçant et excessif, qui n’est pas sans évoquer le Joker : il en ressort qu’un film qui pouvait potentiellement faire preuve d’énormément d’humour noir et de mauvais esprit - on en a quelques exemples durant la première demi-heure - privilégie sur la durée une approche totalement Premier degré. Néanmoins, ‘On l’appelle Jeeg robot’ demeure assez singulier, ne serait-ce que par cet environnement culturel auquel on n’est pas vraiment habitué, et le conformisme des films de superhéros est aujourd’hui tel que toute variation sur ce thème, qui échapperait miraculeusement au hollywood-washing, reste bonne à prendre. Il y a quelques décennies, l’Italie était le moteur principal du cinéma populaire européen : des films comme ‘Jeeg robot’ apportent la preuve que si les moyens font défaut, la volonté et les idées sont toujours bien présents.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 mai 2017
    Un excellent film! Je ne m'y attendais pas du tout, je suis allée le voir par hasard et une belle découverte !
    psychiio
    psychiio

    42 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 avril 2017
    En 2015, Gabriele Salvatores signait un assez bon "Garçon Invisible", qui marquait, pour le pays, une première intrusion dans la SF.
    "Jeeg Robot" est construit sous la forme d'un parcours initiatique. D'abord raconté comme une histoire de gangsters, le film met en avant une nouvelle vision de l'héroïsme. Et, au milieu du trafic de drogue, s'ajoute un style plutôt inattendu : les super-pouvoirs.
    Le costume d'Enzo est simple, et se résume à un pull à capuche noir uniquement. La source de ses super-pouvoirs ? l'eau sale du Tibre. Solitaire, il vit dans un appartement sordide et se nourrit de crème à la vanille. Quand il découvre sa force surhumaine, il défonce un distributeur de billets devant les caméras de surveillance, de sorte que la vidéo se met à circuler sur YouTube et à récolter des milliers de vues. Devenu malgré lui une célébrité, Enzo est recherché par la police, mais aussi par le Gitan, un chef de gang fou et ambitieux.
    Parmi ce déluge d'action et d'aventures, arrive un genre nouveau : l'amour. Alessia, fan de "Steel Jeeg" va être la première à croire aux super-pouvoirs d'Enzo, et c'est elle qui va le pousser à les utiliser pour faire le bien et aider les autres. Grâce à elle, notre héros, trop habitué à la solitude et aux DVD porno, va découvrir qu'il a aussi un cœur.
    Attachants, les personnages sont tous bien composés et interprétés, avec un caractère différent les uns des autres.
    Même si le film ne prendra pas la tête du box-office français, il est pourtant bien réalisé, pétri de bonnes intentions.
    Dans une ambiance et une société ultra réaliste, où le terrorisme règne, les super-héros sont mis de côté et laisse place à une réalité pure et dure.
    Intelligent, "Jeer Robot" s'avère être une nouvelle expérience cinématographique, bien loin de celle d'Hollywood ...
    Manuel P
    Manuel P

    15 abonnés 172 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mai 2017
    Tout simplement génial. De l'humour, de l'amour, de la réflexion, de la satire... un ovni qui a bien mérité son succès, tant l'outrance est au rendez-vous. Et un vrai questionnement philosophique : qu'est-ce un héros ? Une interprétation de première classe et un duo de choc et de charme qui séduit d'emblée. Une production qui insuffle un vrai élan de fraîcheur à un genre trop hollywoodien initialement. Oui, il est possible de faire un film de super héros sans cape ou collant bicolore, sans être américain et avec un budget fauché de chez fauché. Un premier film qui annonce un réalisateur qui promet de compter à l'avenir dans le paysage du cinéma européen.
    Mysterfool
    Mysterfool

    10 abonnés 251 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2020
    Ce premier film c'est du vitriol ! Du Tarentino à la carbonara. Des personnages attachants dans une Roma pas toujours à son avantage.
    Ludo
    Ludo

    9 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2018
    Très bon film avec de très bon acteurs, bien plus charismatiques et subtiles que les médiocres français qu'on se coltine, un scénario original, un équilibre parfait entre comédie et drame, doublé d'une histoire fantastique de super héros improbables. La réalisation bien que classique n'est pas sans dynamisme et colle bien au film. Mention spéciale a Lucas Marinelli absolument génial en gitan efféminé et violent. J'ai mis 4 étoile pour l'originalité et la bouffée d'air frais que représente ce film.
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