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bolt
126 abonnés
809 critiques
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3,5
Publiée le 8 mai 2017
Jeeg robot est un film touchant. Un film qui navigue entre comédie, drame, et action. Mais c'est surtout un film touchant et émouvant. Bref, un film étrange mais vraiment bien pensé
Belle surprise dans ce mélange des genres ! C'est bien la première fois que je découvre un film de mafieux et de Fantastique/science fiction et ça tient la route, on frôle même le Marvel ! L'histoire se veut "sérieuse", noire, délinquance, règlements de compte entre mafieux, on est pas là pour voir les 4 Fantastiques, sauf que le personnage principal; looser, mauvais se découvre des pouvoirs extraordinaires après avoir "gouté " aux produits radioactifs. Rien n'est drôle, on reste dans la série noire mais le film prend une tout autre tournure. Le caïd de la bande des vilains, quant à lui fait penser à un super méchant de chez Marvel, tout en restant cruel. Un bon mélange des genres réussi, à voir !
malgré quelques lacunes, on ne pourra certainement pas reprocher au film de miser sur l'originalité et sortir des sentiers battus. Entre drame social, film de gangsters et de super-héros avec un zeste d'humour noir, "On l'appelle Jeeg Robot" mélange habilement les genres pour s'imposer comme une belle fraîcheur italienne.
Film qui démarre très bien mais ensuite on a le droit à quelques longueurs et c'est dommage. ILS auraint du écourter un peu sans doute pour en faire un film parfait. Les acteurs sont plutôt bons. Et l'actrice magnifique.
Ce fût une incroyable expérience cinématographique. Je ne m’attendais vraiment pas à autant aimer ce petit projet italien. La distance que cela prend avec les grosses productions américaines fait du bien et continue à me faire penser que quand on veut on peut. Les Marvels sont des bons blockbusters, mais dans l’ensemble, cela n’apporte rien au public, à part les faire s’hébéter devant des gros bras en armure qui se fracassent la tête pendant deux heures. Là, Gabriele Mainetti apporte de belles valeurs. Ce doux mélange entre de l’Orange Mécanique de Kubrick dans l’ambiance, du Astérix et Obélix Mission Cléopâtre d’Alain Chabat lors des combats de super héros, les quelques références à The Dark Knight de Nolan et aux bons côtés d’Hancock de Peter Berg dans l’écriture du script ; cette multitude de genre utilisée par le cinéaste italien est rafraichissant.
Pour son premier long métrage, Gabriele Mainetti n’y est pas allé avec le dos de la cuillère. Il a produit et écrit ce petit bijou tout seul (un an et huit versions plus tard, le scénario était enfin opérationnel) puis s’est même offert le luxe de composer la musique. La musicalité proposée dans cette œuvre est vraiment louable et apporte un sens au propos de l’auteur. La critique sociétale subjacente fait corps avec les effets sonore, la photographie et un montage précieux d’Andrea Maguolo, lui aussi récompensé pour son travail dans Jeeg Robot. Le romain critique les bourgeois hautains des beaux quartiers de la capitale italienne et souhaite leur montrer que leurs idéologies sont fausses. Ce n’est pas parce qu’il y a un décalage entre la vie dans la capitale et dans la banlieue que les gens n’ont aucun rêve et surtout ne peuvent pas changer le monde.
Je ne vais pas aller plus loin dans l’analyse de cette œuvre, mais je vous encourage vivement à vous diriger dans vos salles de cinéma pour aller voir On l’appelle Jeeg Robot. Il n’y aura certes aucune star que vous connaissez, mais si vous souhaitez voyager, découvrir de nouvelles choses et pourquoi pas changer d’avis par rapport aux grosses productions hollywoodiennes, foncez, vous ne serez pas déçu !
N'hésitez pas à venir découvrir la critique complète et d'autres films sur notre blog ;)
On l'appelle Jeeg Robot ne se noie pas dans la masse, et c'est le moins que l'on puisse dire! Si l'interprétation fait penser à une réalisation de seconde zone, notamment le rôle du Gitan, caricatural à souhaits, la mise en scène imaginative et les effets visuels assez réalistes font de ce film d'action italien une petite réussite dans son genre. Loin des grosses productions américaines, Jeeg Robot parvient à happer le spectateur jusqu'au dénouement grâce à son originalité et à des personnages finalement assez attachants. A voir, ne serait-ce que pour oublier les multiples productions Marvel et DC comics qui se ressemblent presque toutes.
Lorsque le cinéma italien a des airs Boolywoodiens, c’est une véritable bouffée d’air frais qu’on se prend dans le visage. Jeed Robot raconte l’histoire d’un homme recherché, on se sait pourquoi, par la police. Pour se cacher, Enzo va plonger dans les eaux crasseuses d’un port. Il tombe alors dans un tonneau radioactif et réalisera bientôt qu’il est doté d’une force surhumaine et de capacités régénératives. En face de lui, un méchant égocentrique cherche à créer le buzz en provoquant un acte malveillant. Jeeg Robot raconte le combat entre les deux hommes mais aussi la rencontre avec une jeune femme restée gamine dans sa tête pour qui Enzo va tomber amoureux. Jeeg Robot est un film de super anti-héros à prendre au second degré. L’humour plane perpétuellement sur le film d’action. C’est alors qu’on se pose parfois la crédibilité des personnages secondaires. L’exagération est-elle voulue ou leur jeu est-il vraiment mauvais. Car Gabriele Mainetti nous étonne à chaque moment. Ses plans sont maîtrisés et la mise en scène est captivante, mais surtout, la cinéaste trouve toujours le moyen de conclure ses séquences par des situations comiques. Ainsi, notre personnage principal au physique abrupte et ses fesses molles, braque des distributeurs de billets pour se payer des Danettes et des DVD pornos. Jeeg Robot est un film qui réinvente le genre super-héros en se jouant de lui en mettant en scène un outsider pour notre plus grand plaisir. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Une curiosité, un film de super héros italien qui reprend les codes des films Marvel mais adaptés pour parler de la société italienne. Car le personnage central du film n’est pas un héros à la base. Petit délinquant affreux sale et méchant, car vivant dans un quartier très pauvre et n’ayant que ça pour survivre, il va d’abord se servir de ses nouveaux pouvoirs pour voler avant de prendre conscience de certaines choses et de défendre les personnes de son groupe social qui sont les premières victimes comme lui de la mafia, de la crise économique, des attentats... Cela ne révolutionne pas le genre loin de là, surtout que le film est loin d’avoir les moyens américains mais cela apporte une touche d’originalité intéressante.
Jeeg Robot tente de décaler les codes stéréotypés du film de super héros. Pour autant, à part un changement dans la dimension spatiale, rien de bien surprenant n'apparaît. Les personnages lorgnent vers la caricature, l'histoire aurait gagné à être d'avantage concise, et les scènes d'action, tres réussies, ne sont pas assez présentes. Finalement On l'appelle Jeeg Robot est une série B un peu amusante, mais vite ennuyeuse.
Loin des films de la franchise Marvel, ce super anti-héros italien réussit l'exploit d'allier second degré, humour, action et psychologie, mafia, avec un duo de personnages irrésistible: un voyou raté au cœur tendre et une jeune femme fragile immature. Cela fonctionne à merveille et il y a fort à parier qu'une suite sortira bientôt...
En voyant ce synopsis, je me suis demandé c'est quoi ce navet, donc forcément je l'ai regardé, et j'ai été très surpris. Le schéma est classique, l'anti-héros qui devient attachant toussa toussa.. Mais le coté très réaliste et terre a terre apporte une bonne bouffée d'air frais aux films de héros qui en ont grandement besoin ! On a un espèce de mélange film gangster / super héros qui marche plutôt bien, et qui nous captive pleinement pendant les 2h de films. La fin par contre est plus ou moins prévisible dès le début... 3.5/5
Un film cru, qui n'hésite pas à enchaîner les scènes de violences bestiales, avec des acteurs en grande forme, mais l'histoire de vengeance et des gangs est peu intéressante si vous n'êtes pas fans de ce genre de film. Le film entame alors son rythme de croisière qui est très lent après un début explosif, et seule la fin viendra nous relancer dans l'action pure. Malheureusement pour le (anti-)héros, on le trouve bien fade au point que le méchant sadique (qui explose la tête de ses partenaires à coups de téléphone mobile... grande séquence !) est plus sympathique à regarder. Film italien modeste oblige, pas beaucoup d'effets spéciaux ni de fonds verts, tant mieux (cela nous fait des vacances par rapport aux blockbusters qui n'usent que de cela maintenant....). Si vous avez regardé la bande-annonce auparavant, vous n'aurez pas de surprise car tout y est dévoilé, aussi je vous conseille de l'éviter pour garder tout le panache de ce petit film de super-anti-héros. Pas aussi attachant que je l'espérais vu les retours dithyrambiques qui avaient suivis sa sortie au cinéma, mais certainement un très bon film pour ceux qui aiment l'action pure et les séquences de défoulement sadique d'un méchant très charismatique.
Dans l'esprit d'un Incassable avec beaucoup moins de style, ce film est une assez belle représentation / hommage aux films de super héros et à l'animation japonaise. Le film est touchant, n'abuse pas d'effets spéciaux,présentent des personnages haut en couleur, pas trop caricaturés et crédibles. Une vraie surprise à découvrir Merci à UGC pour l'avant première en présence du réalisateur !
Bon film de "super héro " mais sans les moyens d Hollywood ni sa dramaturgie excessif. le personnages sont attachiants et le méchant très décalé.et trash. le scenario et explications sont un peu simplistes mais ça se regarde avec un bon second degré