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Votre avis sur Metropolis ?
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Metropolis (1927) faisait partie de cette longue liste de classiques qui manquent à ma culture cinématographique, néanmoins en ce qui concerne spécifiquement celui-ci, il ne m'était pas totalement inconnu, non pas grâce aux différentes images devenues iconiques qu'on a tous vus en sachant très bien d'où elles sont tirées, mais parce que je connaissais une version alternative, une version remontée, amputée de quelques scènes et débarrassée des différents panneaux textuels et autres indications scénaristiques, sur laquelle le producteur et musicien américain Jeff Mills a composé une nouvelle orchestration électronique et même techno, qui prend tout son sens à l'aune des thématiques qui infusent toute l'œuvre du musicien, à savoir le rapport de l'homme à la technologie et les questionnements sur le futur qu'ils soient optimistes ou pessimistes.
Il était donc plus que temps d'enfin regarder ce monument du septième art dans sa version initiale. Je n'ai nullement la prétention de me faire l'exégèse de tous les critiques, analystes et historiens du cinéma qui ont commenté par le passé cette œuvre fondatrice, ni même de me livrer à une analyse qui ne ferait que ressasser ce que des gens biens plus intelligents et légitimes que moi ont déjà dit. Je peux toutefois affirmer qu'à mes yeux et de façon absolument subjective, cette expérience a été véritablement passionnante.
J'aimerais cependant vous exposer ce que j'en ai compris, satyre sociale, dont le futurisme d'ordre science fictionnel qui caractérise ses décors, illustre le caractère déterministe et par conséquent inéluctable qu'il veut exposer et dénoncer. Fritz LANG à la façon d'un entomologiste scrute cliniquement les rapports verticaux qu'entretiennent depuis toujours les hommes, les relations de dominants et dominés, la hiérarchie arbitraire qui dessine les destins de chacun.
Traiter de cette lutte des classes par le biais de l'espoir induit dans sa théorie de l'automatisation et de la robotisation que serait le futur, qui mènerait l'humanité vers un avenir où elle serait libérée de ses chaînes d'esclave, me parait être à la fois émanant d'un cinéaste dont la vision ne peut être comprise autrement que comme nihiliste, pessimiste et sombre quant à la destinée humaine. Mais alors que notre société moderne s'enorgueillie d'être parvenue à cette utopie du tout robotisé qui loin d'avoir supprimé les rapports verticaux entre masses laborieuses et élites bourgeoises à au contraire créé d'autres rapports de dépendances et de servilités où les gagnants ou les privilégiés restent les mêmes, conférant à l'ensemble en sus de son pessimisme une aura prophétique troublante.
A l'instar d'une vision marxiste de la société, la fatalité ne pourra dès lors n'être remodelée que par une grogne sourde, une révolte totale ou peut-être pour conserver une lueur d'optimisme par le truchement d'un amour qui ici revêt dans ce que j'en ai compris et perçu le rôle du transfuge de classe qui prendrait conscience de l'existence d'un monde à la fois parallèle au sien, mais inextricablement liés.
En résumé un chef d'œuvre dont la réputation n'est nullement usurpée ou exagérée qu'il faut absolument voir une fois dans sa vie, un indispensable à toute construction cinéphile ou d'ordre culturelle et pour revenir à la version alternative exposée en introduction, l'album de la bande originale composée par Jeff Mills vient d'être éditée en vinyle et il existe une version DVD de sa relecture que je vous conseille aussi en supplément de l'original.
Il était donc plus que temps d'enfin regarder ce monument du septième art dans sa version initiale. Je n'ai nullement la prétention de me faire l'exégèse de tous les critiques, analystes et historiens du cinéma qui ont commenté par le passé cette œuvre fondatrice, ni même de me livrer à une analyse qui ne ferait que ressasser ce que des gens biens plus intelligents et légitimes que moi ont déjà dit. Je peux toutefois affirmer qu'à mes yeux et de façon absolument subjective, cette expérience a été véritablement passionnante.
J'aimerais cependant vous exposer ce que j'en ai compris, satyre sociale, dont le futurisme d'ordre science fictionnel qui caractérise ses décors, illustre le caractère déterministe et par conséquent inéluctable qu'il veut exposer et dénoncer. Fritz LANG à la façon d'un entomologiste scrute cliniquement les rapports verticaux qu'entretiennent depuis toujours les hommes, les relations de dominants et dominés, la hiérarchie arbitraire qui dessine les destins de chacun.
Traiter de cette lutte des classes par le biais de l'espoir induit dans sa théorie de l'automatisation et de la robotisation que serait le futur, qui mènerait l'humanité vers un avenir où elle serait libérée de ses chaînes d'esclave, me parait être à la fois émanant d'un cinéaste dont la vision ne peut être comprise autrement que comme nihiliste, pessimiste et sombre quant à la destinée humaine. Mais alors que notre société moderne s'enorgueillie d'être parvenue à cette utopie du tout robotisé qui loin d'avoir supprimé les rapports verticaux entre masses laborieuses et élites bourgeoises à au contraire créé d'autres rapports de dépendances et de servilités où les gagnants ou les privilégiés restent les mêmes, conférant à l'ensemble en sus de son pessimisme une aura prophétique troublante.
A l'instar d'une vision marxiste de la société, la fatalité ne pourra dès lors n'être remodelée que par une grogne sourde, une révolte totale ou peut-être pour conserver une lueur d'optimisme par le truchement d'un amour qui ici revêt dans ce que j'en ai compris et perçu le rôle du transfuge de classe qui prendrait conscience de l'existence d'un monde à la fois parallèle au sien, mais inextricablement liés.
En résumé un chef d'œuvre dont la réputation n'est nullement usurpée ou exagérée qu'il faut absolument voir une fois dans sa vie, un indispensable à toute construction cinéphile ou d'ordre culturelle et pour revenir à la version alternative exposée en introduction, l'album de la bande originale composée par Jeff Mills vient d'être éditée en vinyle et il existe une version DVD de sa relecture que je vous conseille aussi en supplément de l'original.
J'ai vu ce film dans sa version de 1984, avec la bande son de Giorgio Moroder. La durée du long métrage est d'environ 80 minutes, ce qui est suffisant je trouve. C'est un film qui a quand-même quasiment 100 ans et qui est très théâtral. Les décors sont assez monumentaux et les effets spéciaux assez avancés pour l'époque. On peut même parler de superproduction cinématographique. L'histoire est assez visionnaire, avec cette masse d'ouvriers esclaves et cette élite dirigeante qui contrôle tout. À l'heure actuelle, tout ceci est réalité, et le monde entier ressemble à la cité de Metropolis. Les musiques et les bruitages apportent un vrai plus à ce film qui est muet à la base. Ça permet de le faire entrer dans l'ère moderne. Les chansons sont placées aux bons moments. Cette version musicale plaira donc surtout aux fans de Giorgio Moroder.
Un film magnifiquement réalisé et totalement avant-gardiste sur son temps. Il reste encore aujourd'hui un incroyable film de science fiction.
Avant-gardiste et surprenant pour l'époque ! Métropolis est probablement le premier film de science fiction et les effets spéciaux réalisés dans les années 1920 sont exeptionnels.
Chef-d'oeuvre incontesté du cinéma muet et de science-fiction. Et cela grâce a la mise en scène ingénieuse de Fritz Lang, à la superbe performance de son casting, a la grande beauté de sa photographie et aussi pour son scénario particulièrement riche.
Dans l'univers effervescent du cinéma du début du XXe siècle, Fritz Lang a réalisé un exploit visuel et narratif avec son film Metropolis. Cette œuvre, qui transcende les frontières du temps et du genre, demeure une pierre angulaire incontestée de la science-fiction et du cinéma expressionniste, malgré ses origines dans l'ère du cinéma muet.
Metropolis nous plonge dans une société dystopique divisée entre la splendeur vertigineuse de la ville haute et la misère oppressante de la ville basse, révélant une critique sociale poignante qui résonne encore aujourd'hui. La complexité des thèmes abordés, tels que le conflit entre la classe ouvrière et les élites, la peur de la déshumanisation par la technologie, et la quête d'un médiateur, trouve un écho dans notre propre réalité, marquant ainsi sa pertinence perpétuelle.
Visuellement, le film est un tour de force. Les décors monumentaux et les effets spéciaux, particulièrement avancés pour l'époque, créent un monde immersif qui est à la fois étrange et étonnamment familier. La mise en scène de Lang, avec son utilisation de miniatures complexes, de techniques d'éclairage innovantes et d'effets visuels révolutionnaires comme l'effet Schüfftan, a non seulement défini l'esthétique du cinéma moderne mais continue de servir de référence à de nombreux réalisateurs contemporains.
L'influence culturelle de Metropolis est immense, se manifestant dans des œuvres aussi variées que les films de science-fiction, la musique pop, et même la bande dessinée. Des artistes comme Madonna et des films tels que Blade Runner et Dark City s'inspirent visiblement de son imagerie et de ses thèmes, prouvant que le langage visuel de Lang est universel et intemporel.
Au cœur de Metropolis réside une partition musicale aussi dynamique que son imagerie. La musique originale de Gottfried Huppertz, interprétée par un orchestre symphonique, ne se contente pas d'accompagner l'action; elle amplifie l'émotion et l'intensité de chaque scène, enrichissant l'expérience visuelle avec une profondeur sonore qui préfigure l'importance des bandes sonores dans les films modernes.
En définitive, Metropolis n'est pas seulement un film : c'est une expérience qui continue d'inspirer, de provoquer et de fasciner. Son audace artistique et sa profonde humanité font de ce film une œuvre éternelle, une exploration visuelle et thématique qui reste, près d'un siècle plus tard, aussi captivante et pertinente qu'au moment de sa création. Fritz Lang, avec cette magistrale épopée, a non seulement capturé l'imagination de son époque mais a également jeté un pont vers les futures générations, faisant de Metropolis un véritable monument du septième art.
Metropolis nous plonge dans une société dystopique divisée entre la splendeur vertigineuse de la ville haute et la misère oppressante de la ville basse, révélant une critique sociale poignante qui résonne encore aujourd'hui. La complexité des thèmes abordés, tels que le conflit entre la classe ouvrière et les élites, la peur de la déshumanisation par la technologie, et la quête d'un médiateur, trouve un écho dans notre propre réalité, marquant ainsi sa pertinence perpétuelle.
Visuellement, le film est un tour de force. Les décors monumentaux et les effets spéciaux, particulièrement avancés pour l'époque, créent un monde immersif qui est à la fois étrange et étonnamment familier. La mise en scène de Lang, avec son utilisation de miniatures complexes, de techniques d'éclairage innovantes et d'effets visuels révolutionnaires comme l'effet Schüfftan, a non seulement défini l'esthétique du cinéma moderne mais continue de servir de référence à de nombreux réalisateurs contemporains.
L'influence culturelle de Metropolis est immense, se manifestant dans des œuvres aussi variées que les films de science-fiction, la musique pop, et même la bande dessinée. Des artistes comme Madonna et des films tels que Blade Runner et Dark City s'inspirent visiblement de son imagerie et de ses thèmes, prouvant que le langage visuel de Lang est universel et intemporel.
Au cœur de Metropolis réside une partition musicale aussi dynamique que son imagerie. La musique originale de Gottfried Huppertz, interprétée par un orchestre symphonique, ne se contente pas d'accompagner l'action; elle amplifie l'émotion et l'intensité de chaque scène, enrichissant l'expérience visuelle avec une profondeur sonore qui préfigure l'importance des bandes sonores dans les films modernes.
En définitive, Metropolis n'est pas seulement un film : c'est une expérience qui continue d'inspirer, de provoquer et de fasciner. Son audace artistique et sa profonde humanité font de ce film une œuvre éternelle, une exploration visuelle et thématique qui reste, près d'un siècle plus tard, aussi captivante et pertinente qu'au moment de sa création. Fritz Lang, avec cette magistrale épopée, a non seulement capturé l'imagination de son époque mais a également jeté un pont vers les futures générations, faisant de Metropolis un véritable monument du septième art.
Chef d'oeuvre ! J'ai pas d'autres mots qui me viennent à l'esprit... Fritz Lang a réalisé le meilleur film de SF du Cinéma, objectivement ! C'est somptueux durant 2h30,où on s'ennuie pas une seconde. Scénaristiquement c'est fabuleux, avec un sous-texte brillant. Le message du film est très réel en 2024 ! Une mise en scène parfaite ! et que dire de ces effets "visuelles" pour l'époque ! Chef d'oeuvre !
Un film muet marquant avec une belle sensibilité et une jolie mise en scène. Une œuvre qui porte bien son nom de classique de la science-fiction. Très poétique.
Première fois que je regarde un film muet et je me dis que le son c’est quand même quelque chose de pas mal (même s’il y a de la musique et quelques affichettes) ! Le récit n’est pas toujours d’une grande clarté au début. J’ai été étonné d’y voir autant d’allusions bibliques (la tour de Babel, les 7 péchés capitaux, la sauveuse habitée « Maria » qui souhaite l’abolition des classes). En fait cette histoire ressemble à Jesus qui veut libérer le peuple Juif en version futuriste/lutte des classes avec une amourette en bonus. Bon c’est quand même bien barré comme film
spoiler:
(Maria qui fusionne avec un androïde tout en restant vivante : outch !). La fin termine en révolution/apocalypse/déluge et un mélange de bossu de notre Dame.
Au final ce Gloubi-boulga a énormément vieilli, est bien barré, veux en faire trop mais n’est pas complètement inintéressant à certain moment.
Au final ce Gloubi-boulga a énormément vieilli, est bien barré, veux en faire trop mais n’est pas complètement inintéressant à certain moment.
Dix ans avant Les Temps Modernes de Chaplin, la machinerie de la modernité urbaine érigée en Babel moderne à la recherche de son médiateur. L'invention de la dystopie urbaine et sociale sur fond d’expressionnisme futuriste.
Film très prenant, très beau, qui dénonce le travail forcé, l'esclavage, l'inégalité sociale. L'émotion est au rendez-vous avec des scènes très exagérées et poussées, le scénario est un peu bâclé et expédié par moment, et on comprend pas tout, notamment lors des visions du personnage principale.
La présence de 3 actes, le jeu d'acteur surjoué mais génial, la musique magnifique et originale avec son leitmotiv bien travaillé et son utilisation des motifs du Dies Irae et de la Marseillaise.
Un peu trop long, 30 min de trop, surtout que le 3ème acte est un peu niais.
Cependant un film à voir au moins une fois dans sa vie, car un excellent classique quand on aime les films en noir et blanc muet.
Un mélange intéressant de drame de science-fiction et de pantomime.
La présence de 3 actes, le jeu d'acteur surjoué mais génial, la musique magnifique et originale avec son leitmotiv bien travaillé et son utilisation des motifs du Dies Irae et de la Marseillaise.
Un peu trop long, 30 min de trop, surtout que le 3ème acte est un peu niais.
Cependant un film à voir au moins une fois dans sa vie, car un excellent classique quand on aime les films en noir et blanc muet.
Un mélange intéressant de drame de science-fiction et de pantomime.
Un bon film qui as assez bien vieilli et dont les thématiques restent moderne ( elles sont d'ailleurs mieux traité qu'aujourd'hui dans certains films )
L'ambiance est plutôt immersive même si je décrochais par moment.
J'ai bien aimé le fait de regarder un film muet et de deviné ce que les personnages se disent sans forcément avoir besoin de panneaux de texte, résultant d'un bon travail.
L'ambiance est plutôt immersive même si je décrochais par moment.
J'ai bien aimé le fait de regarder un film muet et de deviné ce que les personnages se disent sans forcément avoir besoin de panneaux de texte, résultant d'un bon travail.
Révolutionnaire de son époque, le chef d’oeuvre de Fritz Lang n’en reste pas moins pertinent encore aujourd’hui malgré le fait que ce soit un film muet. «Les complotistes» y verront une confirmation du «monde apocalyptique», les autres verront une brillante analyse avant-gardiste de l’histoire nazie qui a faillit faire péricliter le monde, les cinéphiles en verront un objet d’étude. Dans tout les cas, le film continue à questionner et à passionner. Une chose est sûre, ils mettra encore tout le monde d’accord.
Métropolis un classique ! Avec ces décors impressionnants, sa musique qui rythme bien le tout ! On ne voie pas les 2h30 passer !
Véritable chef-d'œuvre, je comprends pourquoi on le considère comme un classique du cinéma qui a profondément impacté la pop culture
Les acteurs jouaient très bien (surtout l'acteur principal) et tous les personnages étaient bien écrits, ainsi que véritablement attachants pour les deux protagonistes (surtout Freder)
Les deux acteurs principaux eux-mêmes ont vraiment un beau faciès et c'était des plus agréables à voir à l'écran
Visuellement parlant, c'est un véritable bijou : du décor aux effets spéciaux, mais également la structure des plans… c'étaient si bien réfléchi et créait à la perfection l'atmosphère du film et l'univers dans lequel évolue les personnages
D'autant que, pour un vieux film, la qualité un peu "vieillotte" n'était absolument pas gênante tant la caméra était bien maniée
Pour un film en noir et blanc, muet et long de 2h 30, je ne me suis pas ennuyé un seul instant
Le scénario est bien ficelé et la mise en scène est excellente : l'histoire se comprends facilement
Pour des spectateurs de 2022, c'est sûr que certains éléments du scénario pourraient nous apparaître comme du déjà-vu, mais n'oublions pas qu'il s'agit d'un film des années 30. Il a, j'en suis convaincu, exploité ces éléments bien avant tous les films du XIXème siècle, qui, eux, réexploitent parfois du déjà-vu : Metropolis n'est donc pas à pénalisé et j'ai su apprécier l'histoire du film en profondeur
En bref, Metropolis et son rétrofuturisme en noir et blanc sur fond d'engagement est un film à voir (et à apprécier), ne serait-ce que pour sa culture cinématographique
Les acteurs jouaient très bien (surtout l'acteur principal) et tous les personnages étaient bien écrits, ainsi que véritablement attachants pour les deux protagonistes (surtout Freder)
Les deux acteurs principaux eux-mêmes ont vraiment un beau faciès et c'était des plus agréables à voir à l'écran
Visuellement parlant, c'est un véritable bijou : du décor aux effets spéciaux, mais également la structure des plans… c'étaient si bien réfléchi et créait à la perfection l'atmosphère du film et l'univers dans lequel évolue les personnages
D'autant que, pour un vieux film, la qualité un peu "vieillotte" n'était absolument pas gênante tant la caméra était bien maniée
Pour un film en noir et blanc, muet et long de 2h 30, je ne me suis pas ennuyé un seul instant
Le scénario est bien ficelé et la mise en scène est excellente : l'histoire se comprends facilement
Pour des spectateurs de 2022, c'est sûr que certains éléments du scénario pourraient nous apparaître comme du déjà-vu, mais n'oublions pas qu'il s'agit d'un film des années 30. Il a, j'en suis convaincu, exploité ces éléments bien avant tous les films du XIXème siècle, qui, eux, réexploitent parfois du déjà-vu : Metropolis n'est donc pas à pénalisé et j'ai su apprécier l'histoire du film en profondeur
En bref, Metropolis et son rétrofuturisme en noir et blanc sur fond d'engagement est un film à voir (et à apprécier), ne serait-ce que pour sa culture cinématographique
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