Julieta
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340 critiques spectateurs

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Ninho
Ninho

1 critique Suivre son activité

3,5
Publiée le 31 janvier 2025
Il y a beaucoup à dire sur cet œuf de dragon que nous a pondu Almodovar.
Les sensations se font ressentir du début à la fin, particulièrement lors des scènes de sex torrides entre Julieta et Xean (j’ai eu la barre tana que je suis).
Les passages des 3 différents BIRTHDAY d’Antia sont particulièrement touchants, le splendide jeu d’acteur d’Emma Suarez ne laisse personne indifférent.
Très étonnant qu’Antia soit soudainement devenue 3rbi à ses 18 ans, je me doute que c’est un message caché de notre réalisateur ce petit coquinou plein de surprises.
Nous sommes pris sans cesse dans le mélodrame. La soundtrack est divine, je l’écoute en boucle seule chez moi.
Bien sincèrement,
Michello Panini
Michello Panini

1 critique Suivre son activité

5,0
Publiée le 31 janvier 2025
QUE DIRE ?!

Almodóvar sait plus que tout transmettre des enseignements par l’émotion, et Julieta en est l’aboutissement SUPRÊME, l’apothéose cinématographique d’un artiste au sommet de son art. Est-ce un simple film que l’on oublie, eh bien ni oui NI NON, c’est une odyssée sensorielle, une plongée abyssale dans l’âme humaine, un voyage existentiel dont on ne ressort pas indemne. Il ne raconte pas une histoire, il nous tend un miroir, et ce que nous y voyons n’est rien de moins que la vérité brute de notre condition.

Le périple sentimental sans issue de Julieta m’a plusieurs fois évoqué le destin tragique des thons d’élevage. Condamnée à errer sans but, elle tourne en rond, elle se débat mollement dans sa tristesse avec la même résignation qu’un saumon qui sait qu’il finira collé à du roquefort dans mon sandwich.

J’ajouterai sur Julieta, que son état m’a rappelé cette sensation insupportable d’avoir une cuisse engourdie après être resté assis trop longtemps. Elle est là, elle existe, mais on a du mal à savoir si elle va se réveiller ou finir paralysée à jamais. Chaque tentative pour avancer semble douloureuse, si bien que les éternuements étranges du monsieur à l’avant détournait mon attention en une demi seconde.

Enfin et sans me vanter, disposant d’un bac+6 en psychologie j’ai même élaboré le profil psychologique de Xoan qui je pense, spoiler: s’il avait travaillé dans la métallurgie plutôt que dans la pêche, serait toujours vivant et sa fille n’aurait pas rejoint de secte en Suisse
. Ici le génie d’Almodovar se révèle, les choix que l’on fait sont ceux qui ont raison de nous. Quel réalisateur de génie… quelle grâce…

Note : Confort de la salle pas ouf la fille à côté de moi avaient la cuisse complètement engourdies.
Cadreum
Cadreum

9 abonnés 321 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 23 décembre 2024
Avec Julieta, Pedro Almodóvar délaisse totalement l’exubérance pour s’engager dans un récit plus sobre, empreinte de mélancolie et d’une élégance dépouillée. Inspiré par les nouvelles d’Alice Munro, le film devient une méditation sur la mémoire, la culpabilité, et ce lien viscéral qui unit une mère à son enfant, au cœur d’une quête almodovarienne du féminin.

Exit les éclats carnavalesques et la vivacité criarde : ici, chaque geste, chaque plan, respire la retenue. Pourtant, la mise en scène reste d’une intensité viscérale, où chaque détail visuel, chaque couleur, participe à la réflexion.

Almodóvar, maître du langage chromatique, réinvente sa palette : le rouge, jadis éclatant, se mue en une douleur contenue et en passion étouffée ; le bleu, profond et glaçant, devient le spectre de l’isolement et du manque. Entre ces teintes, des pastels adoucissent le cadre, traduisant la nostalgie d’un bonheur fragile.

Le film resserre son cadre, épousant l’intériorité de ses personnages. Les visages, les objets du quotidien, les espaces clos, deviennent autant de miroirs d’âmes tourmentées. Dans ce minimalisme, Almodóvar capte l’essentiel : la faille, le silence, le poids de l’absence.

Emma Suárez et Adriana Ugarte incarnent Julieta avec une intensité qui transcende l’écran, donnant corps à cette femme à la fois forte et fracturée. Leurs performances, d’une délicatesse rare, tissent un portrait à multiples facettes, où chaque regard, chaque hésitation, éclaire les méandres d’une vie marquée par l’amour et la perte.

Avec Julieta, Almodóvar ne cherche pas l’éclat, mais la profondeur. Il transforme le minimalisme en puissance émotionnelle, réaffirmant son art de raconter l’intime avec une beauté presque douloureuse, où chaque image semble chuchoter un secret universel.
Caroline M
Caroline M

31 abonnés 171 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 1 décembre 2024
Almodóvar nous offre ici un chef-d’œuvre empreint de tendresse et de profondeur, explorant avec une finesse inégalée les liens entre les femmes, notamment la relation mère-fille. Dans “Julieta”, il relègue une fois de plus les personnages masculins au second plan, mettant en lumière la complexité des sentiments féminins. Son message: Rien n’est plus féminin, que la façon dont souffre une femme. Ce film s’impose sans conteste comme l’une de ses plus grandes réussites, sublimée par la musique envoûtante de Chavela Vargas.
Timothé G.
Timothé G.

1 abonné 21 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 16 août 2024
Almodovar nous conte l'histoire de Julieta, une femme bouleversée par la disparition de sa fille et qui, après avoir tenté d'accepter la distance, cherchera à renouer le contact au travers de ses souvenirs. Almodovar poursuit, dans sa mise en scène et ses personnages, son style très chic poétique. L'histoire de Julieta est celle du deuil de son père, de sa fille, de sa mère. Elle nous tient en haleine tout du long pour nous bouleverser à plusieurs reprises. Adriana Ugarte et Emma Suárez sont toutes les deux excellentes dans leurs interprétations.
Hardecho
Hardecho

1 abonné 62 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 22 juin 2024
Un portrait de femme d'une sensibilité et d'une justesse absolues, bien qu'affecté par un démarrage très lent et très convenu. Mais surtout, que c'est déprimant! Ce destin qui s'enfonce inexorablement dans la dépression et la solitude apparaît si commun qu'il pourrait être celui de tout un chacun. spoiler: Julieta commet de petites erreurs (culpabilité mal placée, non-dits), et avec un petit "coup de pouce" du destin, précipite sa vie dans un tourbillon de tristesse.
. Comme disent les américains "life happens"... Bref, malgré une photographie superbe, des actrices impeccables et ce coup de génie qu'est la scène de la serviette, on sort de ce film avec le moral dans les chaussettes.
Shawn777
Shawn777

622 abonnés 3 535 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 29 janvier 2023
Après le tout aussi flamboyant que décevant "Les Amants passagers", Pedro Almodóvar revient en 2016 avec un film, cette fois aux antipodes, mais tout aussi décevant, du moins à mon goût ! Comme si le réalisateur avait eu tellement honte de son précédent film et qu'il voulait cette fois rattraper le coche en montrant qu'il était encore un réalisateur "sérieux" capable de faire des films d'auteur dignes de ce nom. Mais à trop vouloir aller dans cette direction, nous avons tous les clichés du genre. Ce que j'apprécie d'ordinaire beaucoup chez le réalisateur, c'est justement sa capacité à réalisateur des films d'auteur mais toujours avec une touche de folie, de couleurs vives, de personnages hors-normes. Et là, on ne retrouve aucun de ces ingrédients. Tout est sinistre, les couleurs sont fades et ternes et les personnages n'ont rien de fou-fou. Pour la faire courte, on suit ici la vie pourrie de Julieta qui nous la raconte au travers de lettres destinées à sa fille qu'elle n'a pas revue depuis douze ans. Comme d'habitude, le réalisateur nous dépeint le portrait de plusieurs femmes (quatre précisément : la mère, la fille, Marian et Ava) et nous sommes dans un des thèmes récurrents du réalisateur : le rapport conflictuel mère/fille dont découle de nombreux secrets. Mais justement, un des principaux problèmes du film, c'est qu'on nous promet un twist (comme d'habitude chez le réalisateur) mais qui n'arrive jamais. Comme d'ailleurs de nombreuses questions qui sont restées sans réponses, le film lâche au débuts des interrogations, des ébauches de mystères mais qui ne mèneront jamais à rien de concret. D'ailleurs, toute la première partie du film est plutôt ennuyeuse. Il ne se passe pas grand-chose, on suit simplement la vie un peu pourrie de Julieta qui se dégrade au fil du temps. Certes, je n'ai pas peut-être pas su être sensible à ce personnage (je ne parle principalement que d'elle car les autres personnages gravitant autour d'elle sont soit des mystères qui ne sont jamais élucidés - comme par exemple les comportements parfois troublants de Xoan et Marian - ou alors jamais correctement traités, comme la fille, présente de par son absence, ce qui est très réussi, mais qui manque de profondeur) mais son portrait est tout de même, je trouve, assez plat. Même dans la mise en scène, même si nous avons des plans réussis, Almodóvar nous aura habitué à des plans bien mieux construits et bien plus originaux ! "Julieta" est donc un film qui possède certes quelques qualités, notamment dans sa seconde partie qui se veut plus prenante (mais qui retombe comme un soufflé avec sa fin) mais qui fait clairement partie, enfin du moins pour moi, des moins inspirés du réalisateur !
velosolex
velosolex

5 abonnés 51 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 11 septembre 2022
J’ai revu ce film que j’avais vu à sa sortie avec un grand plaisir, l’appréciant encore davantage. Réalisé en 2016, il semble en fait hors du temps, dans une sorte de dimension mythologique propre à la Grèce, dont d’ailleurs l’évocation des mythes, est constante. Ce n’est pas un hasard si l’héroïne de cette histoire est professeur de littérature antique. Qu’elle soit appréciée par des adolescents, en raison de son enseignement aimable, et quelque peu sexualisé, quand elle évoque les voyages d’Ulysse, est bien dans la manière d’Aldomovar, qui fait passer les registres ensorceleurs de la femme, de la comédie au drame.
Qui n’a pas eu envie d’avoir pareille professeur à 15 ans ? Pas étonnant que les cours de Julieta rencontre un tel succès, et que la directrice de son établissement la félicite ! Il faut se faire conteur pour susciter la passion, et mettre de la chair pour enflammer l’imaginaire et créer des vocations. C’est le grand mérite d’Almodevar d’avoir retenu ces principes.
Tous ces films s’articulent entre raison et sentiments, mais pas à la manière de Jane Austen. Almodevar est sans doute un grand cinéaste moraliste, mais lié à la conscience personnelle de chaque homme ou femme, et non au regard de la société, et de ses tabous. Il plonge parfois dans les thèmes les plus morbides, comme beaucoup de réalisateurs espagnols avant lui, mais il possède une telle énergie vitale, qui se voit dans le traitement, surfant sur la comédie, qu’on ne peut que le comparer aux héros antiques, Ulysse et Thésée, triomphant des gorgones, et faisant la nique à la mort, par l’énergie vitale qu’il développe
C’est à mon avis un des plus grands films d’Aldomovar, le fruit d’une maturité accomplie. Le thème central tourne autour de la culpabilité et du regret, de l’autoflagellation stérile, avec ses conséquences en chaîne, sur la dépression, la perte de l’estime de soi, et celle de ses proches.
La séquence du train, au début, où la jeune femme va se culpabiliser irrationnellement de n’avoir pas compris le message désespéré d’un voyageur solitaire qu’elle avait pris pour un harceleur, semble faire écho ensuite à cet autre drame personnel qui va toucher aussi sa fille par ricochet.
De toutes petites actions, des paroles manquantes, auraient elles suffit à enrayer la marche du destin, retenir celui qui faisait le pas de façon volontaire ou non, vers l’inéluctable, ou l’accident ?…
Le « si j’avais su » s’il est est constant n’est jamais évoqué. Bien que les individus soient conscients de leur névrose, ils semblent incapables de sortir de leur apathie morbide, restant dans un trauma dépressif.
Cette Julieta si entreprenante quand elle est jeune femme, va réussir à dépasser son deuil, et « refaire sa vie », en compagnie de sa fille qui grandit. Que surgisse un nouveau drame, lié à la volonté de sa fille de prendre ses distances et de partir sans laisser d’adresse, l’aura laissée désemparée, mais toujours combattante, et finalement pleine d’une colère salvatrice. Elle fait le ménage, déchire les photos et change d’appartement.
Qu’elle croise dans la rue, dix ans plus tard, la meilleure amie d’enfance de sa fille, lui donnant quelques éléments de communication qu’elle a eut avec cette dernière , par le plus grand hasard d’une autre rencontre fortuite, la voilà plongée dans une dépression qui va mettre en danger la relation avec son nouvel ami, pourtant plein d’empathie et de respect, qu’elle refuse de suivre pour vivre au Portugal.
C’est comme une fatwa, une malédiction, tant les femmes évoquées dans ce film semblent sombrer dans le même processus mortifère.
La femme morte après un coma du voyageur qu’elle rencontre dans le train, fait écho avec le sort funeste de la première épouse de son mari, et même à l’histoire de sa propre mère, sombrant dans la démence.
Ce film passant sans cesse d’une époque à l’autre, et du bonheur à la dépression, par le biais du journal que Julieta a décidé d’écrire, par besoin vital, comme une bouteille à la mer de sa fille disparue, ramène les moments clés. La maison de son mari pécheur, avec ses vues idylliques sur la mer est prégnante, et incarne la perfection de l’amour, et du refuge. C’est le jardin d’Eden, le miel de la vie. Si ce n’est qu’elle gardée par cette domestique, une étrange pythie, qui tachera dans un premier temps d’éloigner Julieta, avant de lui jeter plus tard cette mise en garde : Une femme doit rester au foyer, et renoncer à son métier au risque de voir le malheur entrer dans la maison.
C’est le combat entre la modernité et la tradition, la trace que celle ci laisse culturellement en nous. Nous avons beau nous convaincre que nous sommes libres, la parole des autres nous structure. Les choix que nous faisons ont aussi extrêmement d’importance sur la vie des autres. A travers nos fuites ou nos enthousiasmes pour eux, nous les autorisons à s’aimer ou nous les amenons à douter d’eux mêmes.
Il faut peut être être passé soi même par la dépression, le deuil, pour comprendre bien plus que dans le discours, notre responsabilité sur les autres. Ainsi nous reconnaissons alors comment nous avons pu être cruel , et stupide. Voilà le sens de la lettre que Julieta reçoit enfin, avant qu’elle ne parte à la suite dans un voyage de retrouvailles dont nous ne saurons rien
Starwealther
Starwealther

83 abonnés 1 238 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 14 mai 2022
Dans "Julieta", on suit les péripéties d'une femme qui a connu beaucoup de misère dans sa vie, Almodovar n'est pas dans le comique pour cette fois! D'ailleurs, aucun moment ne sera comique pendant le film. Almodovar s'intéresse à la perte d'un être cher, à la culpabilité, du remord d'où la réplique "Ton absence remplit ma vie et la détruit". Beaucoup de douleurs dans cet Almodovar, il y dresse encore un portrait de femme devant faire face seule à de grosses difficultés. Je découvre avec beaucoup de joie, une actrice espagnole absolument magnifique du nom de Adriana Ugarte, dommage que l'on ne la voit pas plus souvent! Un bon film de Almodovar mais qui est peut être un peu trop sérieux, le côté comique de certaines scènes propre aux habitudes de Almodovar manquent un peu.
SB88
SB88

26 abonnés 1 267 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 4 mai 2022
Comme beaucoup de films d'Almodovar, j'accroche au début puis le suspens tombe direct comme un seau au fond du puits. Ça devient une sorte de série type Hélène et les garçons : avec des petites histoires personnelles sans intérêt et des ressorts qui ne valent pas le coup ! C'est de la banalité dont Almodovar tente de faire un drame. Bof
2,8/5
nefer666
nefer666

3 abonnés 11 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 25 avril 2022
Magnifique et bouleversant film du début à la fin. En tant que maman d'une fille de 14 ans, je comprends l'héroïne du film et les sentiments qui la traversent et je ne souhaite ça à aucune mère ! La musique du générique de fin est égale bouleversante. Le film m'a tenu en haleine du début à la fin ! Bravo au maestro du cinéma, Monsieur Almodovar ! 👍😊
Hugues GISSLER
Hugues GISSLER

8 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 16 avril 2022
Histoire abracadabrantesque à laquelle on ne croit pas une seconde. spoiler: La fille soi disant nourrit un ressentiment féroce contre la mère et pourtant elle s'en occupe avec dévouement pendant des années sans rien laisser transparaître: c'est impossible !!
spoiler: D'autre part on se demande vraiment comment la fille peut penser que c'est sa mère la coupable : elle a quand meme le droit de faire la gueule une aprés midi quand elle aprrend que son mari la trompe régulièrement !!
C'est donc trés mauvais et en plus terriblement dépressif : si j'ai bien compris pour le cineaste une femme doit être morte, grabataire handicapée ou desesperee drôle de façon d'aimer les femmes !! Le role de la secte n'est pas explicitée. Quand on arrive à la fin bâclée on se dit : tout ce scenario invraisemblable pour cela !!!
Patjob
Patjob

35 abonnés 630 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 16 avril 2022
L’itinéraire de cette attachante Julieta est fait de séparations ; c’est le fil conducteur du film. Elles interviennent pour des raisons et dans des conditions différentes, mais sont toutes de terribles épreuves pour elle. Pour son entourage aussi, mais c’est elle que la caméra de Almodovar suit en quasi permanence. Des séparations donc, et des questions sur le sentiment de culpabilité qu’elles génèrent. Le film est caractéristique du style du réalisateur Espagnol « mature », dépouillé des flashs agressifs et transgressifs des œuvres de jeunesse, tant par les thèmes et la construction de l’histoire que par le choix des plans, images et couleurs. Les différents drames vécus laissent toujours une petite place à l’espoir. Une fois encore, on en ressort avec les sentiments contradictoires de beauté et de dureté de la vie.
Ducerceau
Ducerceau

14 abonnés 654 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 16 avril 2022
Évidemment, c'est un beau film comme tous ceux de Pedro Almodovar. Mais c'est trop triste et du coup, je n'ai vraiment pas envie de le revoir.
fooker95
fooker95

4 abonnés 76 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 10 septembre 2021
L'histoire est belle et magistralement mise en image par le talent d'Almodovar, mais le film souffre d'un côté mélodramatique trop mièvre, d'un jeu d'acteurs trop prononcé et de ruptures brutales que le scénario amène mal, faute d'avoir suffisamment creusé la psychologie des personnages.
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