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Une étoile, parce qu'on ne peut pas faire moins. Le début est alléchant, on se dit que ça va peut-être devenir intéressant, mais très vite ça fait plouf. J'ai perdu 1h30 à espérer que ça allait s'améliorer… mais non. Mon optimisme me perdra ! Ça ne devient jamais mieux, pire, ça devient vraiment nul.
Rien à dire de vraiment négatif sur les acteurs, c’est plutôt correct de ce côté-là. Le problème, c’est l’histoire et le script. On ne peut pas faire de miracles quand dès le départ c’est bancal. Celui qui a eu la fausse bonne idée de refaire ce film aurait vraiment dû y réfléchir à sept fois.
Rien à dire de vraiment négatif sur les acteurs, c’est plutôt correct de ce côté-là. Le problème, c’est l’histoire et le script. On ne peut pas faire de miracles quand dès le départ c’est bancal. Celui qui a eu la fausse bonne idée de refaire ce film aurait vraiment dû y réfléchir à sept fois.
J'ai regardé Un moment d'égarement de Jean-François Richet, intrigué par les nombreuses recommandations sur les réseaux sociaux. Bien que le film ne manque pas de qualités, mon ressenti est mitigé.
Le point fort réside dans la réalisation : Richet maîtrise l'art de capturer des paysages enchanteurs et crée une ambiance estivale à la fois légère et pesante, en parfaite adéquation avec le sujet du film. Vincent Cassel et François Cluzet livrent des prestations solides, chacune teintée de nuances qui reflètent les dilemmes et les émotions complexes de leurs personnages.
Cependant, le scénario divise. Si la thématique du désir interdit est abordée avec un certain tact, certains choix narratifs laissent une impression de malaise mal dosé. Le traitement de la relation centrale, bien qu'intentionnellement provocateur, semble parfois effleurer les véritables enjeux moraux et psychologiques. Cette superficialité finit par limiter l'impact du film.
Un moment d'égarement est une œuvre intrigante, mais qui peine à dépasser son postulat initial pour offrir une réflexion plus profonde. Un film correct, sans doute surévalué sur les réseaux sociaux, mais qui mérite ma recommandation pour ses interprètes et son atmosphère.
Le point fort réside dans la réalisation : Richet maîtrise l'art de capturer des paysages enchanteurs et crée une ambiance estivale à la fois légère et pesante, en parfaite adéquation avec le sujet du film. Vincent Cassel et François Cluzet livrent des prestations solides, chacune teintée de nuances qui reflètent les dilemmes et les émotions complexes de leurs personnages.
Cependant, le scénario divise. Si la thématique du désir interdit est abordée avec un certain tact, certains choix narratifs laissent une impression de malaise mal dosé. Le traitement de la relation centrale, bien qu'intentionnellement provocateur, semble parfois effleurer les véritables enjeux moraux et psychologiques. Cette superficialité finit par limiter l'impact du film.
Un moment d'égarement est une œuvre intrigante, mais qui peine à dépasser son postulat initial pour offrir une réflexion plus profonde. Un film correct, sans doute surévalué sur les réseaux sociaux, mais qui mérite ma recommandation pour ses interprètes et son atmosphère.
C’est une comédie sympathique où deux pères sont aux prises avec deux adolescentes très délurées. Sur un scénario conventionnel, Vincent Cassel et François Cluzet forment un bon duo et accrochent bien à leur rôle. De beaux paysages embellissent les images et font passer les clichés sans encombre. On ne s’ennuie pas.
Un scénario presque incestueux (vraiment ? Deux pères amis avec leur fille chacun partent ensemble en vacances dans un endroit isolé ?), fait pour nous montrer des corps d’adolescentes nues.
On essaie encore de normaliser l’idée que les jeunes filles de 17 ans sont de dangereuses séductrices prêtes à tout pour coucher avec un homme de 3 fois leur âge. Pitié !
Les dialogues entre les ados n’ont aucune profondeur, un peu plus entre les deux amis masculins. Test de Beschdel = 0.
Je n’ai rien contre les tenues, et je trouve les acteurs parfaits dans leur rôle. Bon, Cluzet toujours vénère, on s’en passe aussi ! Ça n’a pas de sens qu’il soit dans une vengeance aveugle alors que lui aussi mate les corps de jeunes filles/femmes du même âge que sa fille sur la plage.
C’est le fantasme d’hommes d’au moins 40 ans en image. Beurk 🤮
On essaie encore de normaliser l’idée que les jeunes filles de 17 ans sont de dangereuses séductrices prêtes à tout pour coucher avec un homme de 3 fois leur âge. Pitié !
Les dialogues entre les ados n’ont aucune profondeur, un peu plus entre les deux amis masculins. Test de Beschdel = 0.
Je n’ai rien contre les tenues, et je trouve les acteurs parfaits dans leur rôle. Bon, Cluzet toujours vénère, on s’en passe aussi ! Ça n’a pas de sens qu’il soit dans une vengeance aveugle alors que lui aussi mate les corps de jeunes filles/femmes du même âge que sa fille sur la plage.
C’est le fantasme d’hommes d’au moins 40 ans en image. Beurk 🤮
Un remake dispensable du film de Claude Berri (1977). Une sorte de MAJ 2.0 avec smartphones et réseaux sociaux. L’intrigue est pratiquement identique, ainsi que la fin, bien que plus tendue. Un bon film dans l’ensemble, mais qui frise par moment la caricature, question personnages. Faire un remake, finalement, ne présentait ici guère d’intérêt. Richet a manqué une belle adaptation qui aurait pu pleinement bénéficier d’une inspiration vraiment moderne.
Excellentes interprétions des 4 acteurs principaux (les papas et leurs filles). François Cluzet est spécialement très convaincant.
Lola Le Lann est très très bien. Dommage que parfois elle soit critiquée. Elle joue le jeu. Bon elle se dénude un peu mais rien n'est vulgaire et cela faisait partie du scénario, il y a eu des nus bien plus choquants et vulgaires.
Alors il y a des jaloux qui critiquent en négatif, ce n'est pas bien car pour son peu d'expérience elle a une très bonne interprétation.
On remarque au passage qu'il n'y a pas de dialogue vulgaire et la nudité n'apparait vraiment qu'une fois. On peut donc vraiment sincèrement en déduire que le film ne doit heureusement pas son succès à cette seule scène sur la plage.
Lola Le Lann est très très bien. Dommage que parfois elle soit critiquée. Elle joue le jeu. Bon elle se dénude un peu mais rien n'est vulgaire et cela faisait partie du scénario, il y a eu des nus bien plus choquants et vulgaires.
Alors il y a des jaloux qui critiquent en négatif, ce n'est pas bien car pour son peu d'expérience elle a une très bonne interprétation.
On remarque au passage qu'il n'y a pas de dialogue vulgaire et la nudité n'apparait vraiment qu'une fois. On peut donc vraiment sincèrement en déduire que le film ne doit heureusement pas son succès à cette seule scène sur la plage.
Super représentation des (jeunes) femmes à l'écran. On en peu plus de Vincent Cassel et de son masculinisme (toxique par définition). Stop
"Un moment d'égarement" (2015), réalisé par Jean-François Richet, s'élève comme un chef-d'œuvre émotionnel et captivant qui explore avec finesse les nuances complexes des relations humaines. Cette œuvre cinématographique offre une immersion dans un tourbillon d'émotions, tout en étant soutenue par des performances exceptionnelles et une direction artistique remarquable.
Le film raconte l'histoire poignante de deux amis, Laurent et Antoine, et de leurs filles respectives, qui partent en vacances ensemble dans un cadre idyllique. Ce qui commence comme une escapade joyeuse bascule soudainement dans un tourbillon émotionnel lorsque l'adolescente de l'un des amis développe des sentiments pour l'autre père. "Un moment d'égarement" réussit brillamment à naviguer dans des eaux délicates, abordant des thèmes délicats avec une sensibilité et une profondeur rares.
Vincent Cassel et François Cluzet livrent des performances époustouflantes, capturant avec une précision exceptionnelle les nuances complexes de leurs personnages. Leur chimie à l'écran est palpable, créant une tension émotionnelle qui se déploie tout au long du film.
La réalisation de Jean-François Richet est à la fois subtile et immersive. La magnifique photographie accompagne parfaitement l'atmosphère méditerranéenne, offrant des paysages à couper le souffle qui se fondent harmonieusement avec l'intensité émotionnelle de l'intrigue.
Le scénario, écrit par Lisa Azuelos, parvient à échapper aux clichés attendus et à explorer la complexité des relations interpersonnelles. La narration astucieuse maintient le public en haleine, révélant progressivement les émotions enfouies et les conséquences inattendues de ce moment d'égarement.
La bande sonore, avec ses choix musicaux réfléchis, renforce l'impact émotionnel du film, accentuant les moments poignants et les rebondissements dramatiques.
En résumé, "Un moment d'égarement" transcende les conventions du drame romantique, offrant une expérience cinématographique riche en émotion et en subtilité. Avec des performances exceptionnelles, une réalisation habile et une narration captivante, le film s'impose comme une exploration sincère des complexités humaines et des relations tendues. Un moment d'égarement qui laisse une empreinte durable dans le cœur des spectateurs.
Le film raconte l'histoire poignante de deux amis, Laurent et Antoine, et de leurs filles respectives, qui partent en vacances ensemble dans un cadre idyllique. Ce qui commence comme une escapade joyeuse bascule soudainement dans un tourbillon émotionnel lorsque l'adolescente de l'un des amis développe des sentiments pour l'autre père. "Un moment d'égarement" réussit brillamment à naviguer dans des eaux délicates, abordant des thèmes délicats avec une sensibilité et une profondeur rares.
Vincent Cassel et François Cluzet livrent des performances époustouflantes, capturant avec une précision exceptionnelle les nuances complexes de leurs personnages. Leur chimie à l'écran est palpable, créant une tension émotionnelle qui se déploie tout au long du film.
La réalisation de Jean-François Richet est à la fois subtile et immersive. La magnifique photographie accompagne parfaitement l'atmosphère méditerranéenne, offrant des paysages à couper le souffle qui se fondent harmonieusement avec l'intensité émotionnelle de l'intrigue.
Le scénario, écrit par Lisa Azuelos, parvient à échapper aux clichés attendus et à explorer la complexité des relations interpersonnelles. La narration astucieuse maintient le public en haleine, révélant progressivement les émotions enfouies et les conséquences inattendues de ce moment d'égarement.
La bande sonore, avec ses choix musicaux réfléchis, renforce l'impact émotionnel du film, accentuant les moments poignants et les rebondissements dramatiques.
En résumé, "Un moment d'égarement" transcende les conventions du drame romantique, offrant une expérience cinématographique riche en émotion et en subtilité. Avec des performances exceptionnelles, une réalisation habile et une narration captivante, le film s'impose comme une exploration sincère des complexités humaines et des relations tendues. Un moment d'égarement qui laisse une empreinte durable dans le cœur des spectateurs.
"Un Moment d'Égarement," dirigé par Jean-François Richet en 2015, plonge audacieusement dans les méandres complexes des dilemmes moraux et des relations humaines.
spoiler:
Au cœur de l'intrigue se trouve une liaison troublante entre une jeune fille de 17 ans et un homme mûr de 45 ans, ajoutant une dimension audacieuse au récit.
Le film aborde avec franchise l'ambiguïté de cette relation, soulignant les nuances émotionnelles et morales qui en découlent. La jeunesse insouciante et la recherche d'identité de la jeune fille se heurtent à la maturité et à la complexité des émotions de l'homme, créant ainsi une dynamique fascinante empreinte de tension.
L'exploration des dilemmes moraux est délicate et subtile, spoiler: dévoilant les conséquences de cette liaison sur la santé mentale de la jeune fille.
Richet évite habilement de simplifier cette relation, préférant laisser les spectateurs naviguer dans les eaux troubles des choix moraux et des conséquences émotionnelles.
Sur le plan technique, le film excelle avec une cinématographie captivante qui capture l'atmosphère ensoleillée de l'île méditerranéenne. Les performances, en particulier celles de Vincent Cassel et François Cluzet, sont convaincantes et apportent une profondeur considérable aux personnages.
Cependant, le film n'est pas sans quelques écueils. Certaines parties de l'intrigue peuvent sembler prévisibles, et l'exploration des thèmes moraux pourrait être encore plus poussée. Malgré cela, "Un Moment d'Égarement" reste un portrait puissant des intrications émotionnelles et morales de la nature humaine. La Corse est magnifique
Le film aborde avec franchise l'ambiguïté de cette relation, soulignant les nuances émotionnelles et morales qui en découlent. La jeunesse insouciante et la recherche d'identité de la jeune fille se heurtent à la maturité et à la complexité des émotions de l'homme, créant ainsi une dynamique fascinante empreinte de tension.
L'exploration des dilemmes moraux est délicate et subtile, spoiler: dévoilant les conséquences de cette liaison sur la santé mentale de la jeune fille.
Richet évite habilement de simplifier cette relation, préférant laisser les spectateurs naviguer dans les eaux troubles des choix moraux et des conséquences émotionnelles.
Sur le plan technique, le film excelle avec une cinématographie captivante qui capture l'atmosphère ensoleillée de l'île méditerranéenne. Les performances, en particulier celles de Vincent Cassel et François Cluzet, sont convaincantes et apportent une profondeur considérable aux personnages.
Cependant, le film n'est pas sans quelques écueils. Certaines parties de l'intrigue peuvent sembler prévisibles, et l'exploration des thèmes moraux pourrait être encore plus poussée. Malgré cela, "Un Moment d'Égarement" reste un portrait puissant des intrications émotionnelles et morales de la nature humaine. La Corse est magnifique
Je voulais mettre 5 car j'ai bien aimé le film mais la fin m'a un peu déçue car on ne sait pas si Laurent et Louna finissent ensembles
spoiler:
malgré qu'on s'en doute.
.
.
Objectivons
Bien qu'Un moment d'égarement ne traite pas d'un sujet si fréquent, il en aborde un qui peut se poser, presque tabou - bien que légal - et qui doit traverser l'esprit de nombre d'hommes dans la position de Vincent Cassel dans ce film.
C'est assez réaliste, du moins dans le cadre de pères meilleurs amis. Enfin, je pense...
C'est assez réaliste, du moins dans le cadre de pères meilleurs amis. Enfin, je pense...
La distribution des roles et le casting est parfait. Surtout Francois Cluzet qui est un veritable plaisir a regarder s'enerver. Une comedie dramatique simple et amusante.
Scénario douteux et film assez déplacé...La différence d'âge n'est pas le gros problème, (bien qu'il aurait été agréable d'avoir une jeune fille non mineur avec un homme de plus de 40 ans...), le problème réside surtout dans le développement de la relation qui se noue entre les personnages principaux. La caricature des jeunes est trop poussée
Nicothrash
Elle est amusante la filmographie de Jean François Richet, on passe de la comédie à l'action, de l'intimiste français au grand spectacle américain. Et pour le coup, ici on est plus sur l'intimiste français avec un scénario intéressant même s'il n'est pas nouveau. Richet instaure une sorte de gêne mêlée à de la tension qui nous happe toute la première partie du métrage. Et puis il se lâche et on part un peu dans tous les sens, on perd le message originel et on a presque tendance à rire d'une situation qui ne l'est pas vraiment. Ce changement de cap surprend et est d'autant plus dommageable qu'il faut supporter cette petite peste de Lola Le Lann (son personnage j'entends bien évidemment) mais surtout un François Cluzet complètement hystérique et à côté de la plaque, les deux sont d'ailleurs constamment dans le sur jeu quand Alice Isaaz est beaucoup plus sobre et touchante et Vincent Cassel impeccable comme à son habitude. Finalement le moment n'est pas désagréable mais le ton dédramatisant de la seconde partie m'a posé problème car on passe du coup à côté du ou des thématiques principales. Dommage mais ça se laisse voir une fois tout de même.
Une bonne comédie, remake d’un film de Claude Berri que je n’ai pas vu. Vincent Cassel, pris dans cette souricière a trouvé le juste ton alors que François Cluzet en fait des tonnes. A leurs côtés, les charmantes Alice Isaaz et Lola Le Lann, dont c’est le premier rôle, ne déméritent pas.
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