Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Sebastien L
18 abonnés
51 critiques
Suivre son activité
0,5
Publiée le 27 février 2016
Francois cluzet toujours aussi mauvais, au point de rendre un film pour le cinema en vulgaire telefilm pour M6... Heureusement qu il y a vincent cassel pour donner envie de regarder le film jusqu au bout... Mais attention navet !
Un film magnifique, drole et touchant! L'histoire d'une jeune fille amoureuse de la "mauvaise" personne! "Quand on aime les année ne compte pas"! Pétillant, frais et prenant! Une prestation des acteurs fantastique! Lola Le Lann et Alice Isaaz ne joue plus, elles vivent leur personnage! Cassel et Cluzet duo de choc pour garder dans les gonds l'énergie de leurs partenaires! Vraie réflexion sur le film faut il le suivre du côté moral ou sentimental? Bref au TOP !
Ce film est très touchant est laisse mur réflexion sur l'interprétation que l'on peut avoir de celui si cependant je pense que Louna est trés amoureuse meme si elle emploie des manières osées pour le montrer , il montre plus la trahison d'une grande amitié se une histoire d'amour meme so s'elle si est touchante
Déçu de ce film qui pourrai être un film sympathique mais gâcher par une actrice principal qui joue extrêmement mal !! Vraiment dommage car les 2 acteurs principaux joue toujours aussi bien !!
Un moment d’égarement est le remake d’un long-métrage de Claude Berri. Cette version 2015 se veut moins prude et plus osée. Malheureusement c’est le manque de retenue qui fait perdre la force à l’histoire. Lassé de voir perpétuellement le pourtant bon François Cluzet dans des rôles de papa hargneux, le spectateur n’y verra pas de changement. A l’inverse, Vincent Cassel parvient à nous séduire avec son cœur partagé entre la passion et la raison. Mais les deux jeunes actrices en font beaucoup trop et nuise à l’intérêt qu’on aurait pu se faire du film. En effet, Lola Le Lann est abusive en lolita névrosée et on se doute qu’il y est beaucoup de minette comme elle dans le coin. Alice Isaaz quant à elle, fait trop la tête, répond trop et se contraste trop à l’amour qu’elle porte à son entourage. Un moment d’égarement avait pourtant un scénario de qualité, mais l’excessivité de la mise en scène et des jeux finit par nous éloigner. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Perdu, oui, ce Moment d'égarement. Malgré toutes les pirouettes usitées ici et là, Vincent Cassel n'est pas convainquant, François Cluzet s'enferme de plus en plus dans son - ce qui devient - un monorôle de gars constamment énervé qui crie pour un oui pour un non mais qui ne fait peur à personne et ne maîtrise rien de son univers et se laisse berner par le premier venu. Là-dessus les rôles des filles sont aussi affligeants l'un que l'autre, sans parler de la conclusion - je n'ose pas employer le terme de "morale", ça me dégoutterait - spoiler: qui n'aurait pu être plus tirée par les cheveux .
Un moment d'égarement a souvent rimé pour moi avec ennui voir frustration. Il déploie néanmoins certaines qualités. La création de Richet décrit avec justesse la difficulté pour une génération de pères modernes d'éduquer et communiquer avec des ados. Il leur faut conserver leur autorité et assumer leur rôle de modèle mais également ne pas être trop stricte afin de développer une relation d'échange avec leur enfant. Il apparaît très complexe de placer la barre au bon niveau entre fermeté et laxisme. D'autant qu'une confiance donnée peut être trahit et qu'à l'inverse une trop grande fermeté peut amener à un blocage totale de la relation. A cet âge on impose pas non plus de règle à des ados sans accepter de concession. Comment interdire sans être réactionnaire ? Cluzet nous averti également de façon assez net sur le risque de devenir un vieux con hypocrite de mari. Un moment d'égarement expose aussi le mal être d'une gamine qui transfigure son complexe d’œdipe et exhibe ses charmes dans des tenues hyper sexualisées afin d'exister socialement et s'émanciper d'un père qui la croit encore "bébé". Elles n'ont de femme qu'un physique naissant avec un sens des responsabilités proche du zéro absolu mais comment les blâmer avec des mères démissionnaires ? Malgré toutes ces bonnes idées il manque à un Moment d'égarement un ressort scénaristique plus consistant, le film ne s'avance que vers une scène de dénouement cruellement dépourvue d'imprévues et dont l'intensité est de plus très décevante quand enfin elle se produit. Une chose est certaine : cela ne donne pas envie de faire des gosses !
Le Richet de ma "6T" , meilleur que Kassovitz et sa "haine" fait dorénavant du commercial. Après un début lourd, et très mal joué par les deux jeunes actrices, tout s'arrange dans la seconde partie mieux écrite et grâce à Vincent Cassel. Dommage que Thomas Langmann fils de Berri soit à l'origine du remake de son père, et qu'Azuelos ait été appelé en renfort pour écrire des scènes à la LOL... Fin ambiguë.
On pourra sûrement trouver bizarre le choix de Jean-François Richet d'enchaîner sur ce remake d'une comédie dramatique de Claude Berri au thème ayant largement perdu de son côté sulfureux, sept ans après le large succès critique et commercial que furent "L'instinct de mort" et "L'ennemi public n°1", biopic réussi sur le parcours de Jacques Mesrine. Thomas Langmann déjà producteur du diptyque de Richet lui propose donc cette relecture du film de son père après avoir songé un temps à monter le projet avec Maïwenn. On l’a dit revu le même thème revu presque quarante ans plus tard a perdu de sa capacité à choquer surtout quand le beau-père coupable est incarné par Vincent Cassel en lieu et place de Jean-Pierre Marielle. Malgré tout la mécanique fonctionne toujours du quadragénaire tout d’abord sûr de lui devenu, après une faiblesse passagère, le jouet d’une petite lolita (Lola Le Lann) dévergondée, fille de son meilleur ami. La partition de Vincent Cassel assez loin ici de son registre habituel, sauve en grande partie le film d’une plate et trop fidèle lecture de l’œuvre initiale où François Cluzet en surrégime a bien du mal à nous faire croire à ses origines corses. On passe donc un bon moment avec en sus de jolis plans sur les formes déjà accomplies de la jeune Lola Le Lann qui se révèle la véritable bonne surprise du film mais on peut tout de même se demander la justification d’une telle entreprise en dehors d’un hommage rendu à son père par Thomas Langmann et d’une volonté de surfer sur la popularité des deux acteurs principaux.
Une charmante comédie - doublée d'une "drame amical" - portée par le jeu de Vincent Cassel et François Cluzet et la plastique de Lola Le Lann et Alice Isaaz.
Passé la première partie où se succède stéréotypes en tout genre et langage de jeunes ridicules, le film parvient peu à peu à trouver une trame intéressante et les ados parviennent enfin à être crédible. Richet s'attarde heureusement plus sur une amitié qui tourne mal qu'à une histoire d'amour impossible. Cassel est très juste, le contraste avec Cluzet qui se ridiculise en faisant des tonnes de mimiques inutiles est saisissant.
Que dire ? Ce n'est pas un mauvais film, les acteurs ne sont pas mauvais, l'histoire à du potentiel mais pourtant Un Moment d'Egarement manque cruellement de crédibilité ! Louna est une gamine à qui on a envie de donner des baffes : elle décide en 2 jours qu'elle est amoureuse et se jette sur Vincent pour sa supposée première fois ? L'image que Jean-François Richet donne des adolescentes est désolante. A 17 ans, une fille n'est pas aussi naïve. Le problème ce n'est pas qu'elle couche avec le père de sa meilleure amie (meilleur ami de son père), c'est qu'on ne comprend pas ses décisions, elle a juste l'air stupide.
Avec l'affiche et les acteurs on s'attend à une bonne comédie bon enfant. Raté. film qui se déroule quasiment toujours de nuit. Même en pleine journée la maison est sombre, ça donne presque mal aux yeux. L'histoire nous tient en haleine, on se demande comment cela va se dénouer... et puis bof. On aimerait un final plus explosif et plus explicite.
je n'ai pas vu l'original donc n'ai pas d'éléments de comparaison. Disons que ce film n'est pas déplaisant, bons acteurs, histoire prenante et intéressante mais dérangeante, en particulier à cause de la fille de Cluzet au comportement ultra caricatural, aguicheuse, merdeuse, calculatrice et nunuche en même temps et sa copine guère plus crédible tant la relation avec son père semble superficielle. L'aspect imbroglio et merdier général qui monte crescendo est en revanche très bien traité. On suit l'histoire comme un semi thriller avec une tension permanente et une angoisse du dénouement qu'on anticipe explosif bien évidemment... à voir mais sans en attendre trop malgré Cassel et Cluzet au casting.