Rare film français que j’ai enregistré, je l’avou, j’avais y à plusieurs mois de cela, mais écrivant ces lignes le Mercredi 17 Mai 2017 à 00h21, des extraits du film dont celui ou l’une des actrices se jetait nue sur l’un des acteurs. Sur le coup, ça m’avait légèrement surpris. Puis, je l’ais enregistrer, et là, révélation. J’ai juste adoré. Un jeu du chat et de la souris entre un adulte et une jeune femme. Un véritable choc générationnel aussi entre les 2 pères, pourtant amis de longue date, l’un ayant un caractère plus moderne que l’autre. L’interprétation de François Cluzet fut géniale, chaque gros moment fut un énorme moment. Vincent Cassel en victime quotidienne de la fille de son amis en très mauvaise posture à chaque fois qu’elle le mettait dans l’embarra le plus total. Un régal. Une performance de Lola simplement géniale en jeune amoureuse qui avec son charme dévastateur, nous met mal à l’aise tellement elle est bonne.
Les scènes telles que la chambre avec Cassel au beau matin, une autre ou il revient des courses et qu’il discute avec elle devant l’entrée de la maison, et bien sûr, la longue scène de la plage. A celle-là, juste bonne, mais qui aura largement mérité un -12 Ans, car l’on voit parfaitement Lola se déshabiller face à Cassel, un corps parfait, un regard intimidant.
Avec son fameux moment ou elle se jette sur lui. Et puis, je viens de voir son box-office sur Allociné, un échec total, 715 152 entrées et en peine été en plus. C’est pas la saison pour moi. Après, l’autre atout charme, Alice, ce sera faite assez discrète dans les gros moment, vu qu’on était mis dans le bain avec la première.
De très belle prises aériennes sur la corse, bon point du film, et la scène de la grosse soirée sur la plage avant le nu, très révélateur pour le père principal et la fille principale. Une très bonne manière de filmer la non-réaction du 2ème père qui ne voit rien venir et d’une 2ème fille qui elle par contre, se rend compte de tous. Par contre, les dernières secondes furent décevante, on ne sait même pas ce que tous deviennent. Nada, générique de fin, couper clair et net. Ça m’à tuer.