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Votre avis sur La Planète des Singes - Suprématie ?
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Le film conclut brillamment la trilogie entamée en 2011. Avec une intensité dramatique rare et des effets visuels saisissants, ce film s’impose comme une réussite dans le cinéma de science-fiction moderne.
La réalisation de Matt Reeves est impeccable, entre scènes de bataille immersives et moments d’émotion intenses. Andy Serkis, une fois de plus, livre une performance inoubliable dans le rôle de César. Son travail en capture de mouvement donne une profondeur impressionnante au personnage, et chaque geste ou regard semble chargé d’émotion. Les singes, d'ailleurs, sont tellement bien animés que l'on oublie parfois qu'il s'agit de CGI !
Ce volet aborde aussi des thèmes sombres et profonds comme la survie, la vengeance et la quête de paix. Le scénario, bien que simple, est porté par une tension constante et des enjeux psychologiques forts, ce qui rend la lutte entre humains et singes d'autant plus poignante. La bande sonore de Michael Giacchino, à la fois sobre et puissante, amplifie parfaitement chaque moment clé.
Le seul léger bémol serait peut-être le rythme, parfois ralenti par des scènes contemplatives qui, bien qu’intenses, pourront sembler un peu longues. Mais ce choix est justifié, car il sert parfaitement l'atmosphère du film.
Suprématie est un final épique et émotionnellement riche qui fait honneur à la franchise et qui reste longtemps en mémoire. Un excellent film mêlant science-fiction et drame captivant.
La réalisation de Matt Reeves est impeccable, entre scènes de bataille immersives et moments d’émotion intenses. Andy Serkis, une fois de plus, livre une performance inoubliable dans le rôle de César. Son travail en capture de mouvement donne une profondeur impressionnante au personnage, et chaque geste ou regard semble chargé d’émotion. Les singes, d'ailleurs, sont tellement bien animés que l'on oublie parfois qu'il s'agit de CGI !
Ce volet aborde aussi des thèmes sombres et profonds comme la survie, la vengeance et la quête de paix. Le scénario, bien que simple, est porté par une tension constante et des enjeux psychologiques forts, ce qui rend la lutte entre humains et singes d'autant plus poignante. La bande sonore de Michael Giacchino, à la fois sobre et puissante, amplifie parfaitement chaque moment clé.
Le seul léger bémol serait peut-être le rythme, parfois ralenti par des scènes contemplatives qui, bien qu’intenses, pourront sembler un peu longues. Mais ce choix est justifié, car il sert parfaitement l'atmosphère du film.
Suprématie est un final épique et émotionnellement riche qui fait honneur à la franchise et qui reste longtemps en mémoire. Un excellent film mêlant science-fiction et drame captivant.
Des effets spéciaux de haute voltige, de ce côté le réalisme des singes est vraiment impressionnant, pour ce qui est de l'histoire je l'ai trouvée moins passionnante que dans les deux premiers opus. Il y a de l'action (bien que l'apothéose finale ne soit pas grandiose) et de la tension mais encore une fois ca ne fonctionne pas aussi bien que dans le deuxième volet. Ca reste malgré tout un bon film plaisant à regarder. 7/10
Quand les singes prennent le trône : Suprématie ou César de la galère ?
César, c’est un peu le Jon Snow de la planète des singes : Il n’a rien demandé mais se retrouve à gérer un bordel cosmique avec une armée d’humains bien décidés à transformer ses potes en descente de lit. Tu pensais que la bataille de Winterfell était épique ? Attends de voir des singes balancer des bûches à la gueule des soldats comme si c’était la guerre des mondes version forêt amazonienne. Andy Serkis nous livre un César qui ferait pleurer Gollum lui-même, avec plus de charisme dans une ride que dans tout l’épisode VIII de Star Wars.
Dans "Suprématie", oublie les explosions façon Michael Bay, ici tout se joue dans le regard. Si tu as jamais ressenti des frissons en fixant un singe dans les yeux, prépare-toi à une séance d’hypnose émotionnelle. César a ce regard à la "I am Groot" qui te fait comprendre toute la misère du monde sans ouvrir la bouche. Et quand il la ferme, on se dit que parfois, c’est mieux. Il y a plus de profondeur dans ses yeux que dans la réflexion des fans de "Fast and Furious".
La neige, c’est sympa pour Noël, mais ici, elle est aussi chaleureuse qu’un épisode de Black Mirror. La nature, dans "Suprématie", c’est pas l’ami des singes, c’est leur pire ennemi après les humains. Matt Reeves nous balance des paysages à te glacer le sang, et pas dans le style mignon d’Elsa de la Reine des Neiges. Non, là c’est du vrai, du brutal, comme dirait l’autre. On est loin des décors en carton-pâte des années 70, ici chaque flocon te rappelle que la survie, c’est pas une balade de santé.
Quand les singes se lancent dans une mission sauvetage façon Michael Scofield, c’est tout sauf un jeu d’enfant. Les mecs partent en croisade pour libérer leurs potes enfermés par des humains qui feraient passer les orcs du Mordor pour des enfants de chœur. Pas de tatouages de plan sur le torse ici, juste de la souffrance brute et des stratégies dignes des meilleurs épisodes de MacGyver. Le film te colle au siège plus qu’un chewing-gum sous ta semelle.
Sous ses airs de film post-apocalyptique, "Suprématie" te balance des sujets bien actuels en pleine poire. Entre deux bastons, ça cause de l’humanité, de la survie, et même de la xénophobie, mais sans te faire un discours façon professeur d’histoire. C’est subtil, bien foutu, et ça te fait réfléchir sans que tu t’en rendes compte. Un peu comme quand tu réalises que Gandalf a fait tout le taf dans "Le Seigneur des Anneaux" pendant que les autres galéraient.
Si tu pensais que cette trilogie n’était qu’un prétexte pour voir des singes balancer des troncs d’arbre à la gueule des humains, tu te fourres le doigt dans l’œil. Matt Reeves nous livre un final qui déboîte tout sur son passage. Ce dernier opus est une pépite, une claque visuelle, et surtout une leçon d’humanité donnée par des primates en images de synthèse. Bref, si tu ne vas pas voir ça, tu mérites de finir dans une cage au zoo, juste à côté des vrais singes, mais avec moins de charisme qu’eux.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
César, c’est un peu le Jon Snow de la planète des singes : Il n’a rien demandé mais se retrouve à gérer un bordel cosmique avec une armée d’humains bien décidés à transformer ses potes en descente de lit. Tu pensais que la bataille de Winterfell était épique ? Attends de voir des singes balancer des bûches à la gueule des soldats comme si c’était la guerre des mondes version forêt amazonienne. Andy Serkis nous livre un César qui ferait pleurer Gollum lui-même, avec plus de charisme dans une ride que dans tout l’épisode VIII de Star Wars.
Dans "Suprématie", oublie les explosions façon Michael Bay, ici tout se joue dans le regard. Si tu as jamais ressenti des frissons en fixant un singe dans les yeux, prépare-toi à une séance d’hypnose émotionnelle. César a ce regard à la "I am Groot" qui te fait comprendre toute la misère du monde sans ouvrir la bouche. Et quand il la ferme, on se dit que parfois, c’est mieux. Il y a plus de profondeur dans ses yeux que dans la réflexion des fans de "Fast and Furious".
La neige, c’est sympa pour Noël, mais ici, elle est aussi chaleureuse qu’un épisode de Black Mirror. La nature, dans "Suprématie", c’est pas l’ami des singes, c’est leur pire ennemi après les humains. Matt Reeves nous balance des paysages à te glacer le sang, et pas dans le style mignon d’Elsa de la Reine des Neiges. Non, là c’est du vrai, du brutal, comme dirait l’autre. On est loin des décors en carton-pâte des années 70, ici chaque flocon te rappelle que la survie, c’est pas une balade de santé.
Quand les singes se lancent dans une mission sauvetage façon Michael Scofield, c’est tout sauf un jeu d’enfant. Les mecs partent en croisade pour libérer leurs potes enfermés par des humains qui feraient passer les orcs du Mordor pour des enfants de chœur. Pas de tatouages de plan sur le torse ici, juste de la souffrance brute et des stratégies dignes des meilleurs épisodes de MacGyver. Le film te colle au siège plus qu’un chewing-gum sous ta semelle.
Sous ses airs de film post-apocalyptique, "Suprématie" te balance des sujets bien actuels en pleine poire. Entre deux bastons, ça cause de l’humanité, de la survie, et même de la xénophobie, mais sans te faire un discours façon professeur d’histoire. C’est subtil, bien foutu, et ça te fait réfléchir sans que tu t’en rendes compte. Un peu comme quand tu réalises que Gandalf a fait tout le taf dans "Le Seigneur des Anneaux" pendant que les autres galéraient.
Si tu pensais que cette trilogie n’était qu’un prétexte pour voir des singes balancer des troncs d’arbre à la gueule des humains, tu te fourres le doigt dans l’œil. Matt Reeves nous livre un final qui déboîte tout sur son passage. Ce dernier opus est une pépite, une claque visuelle, et surtout une leçon d’humanité donnée par des primates en images de synthèse. Bref, si tu ne vas pas voir ça, tu mérites de finir dans une cage au zoo, juste à côté des vrais singes, mais avec moins de charisme qu’eux.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
En regardant "Planète des Singes : Suprématie", j'ai été profondément touché par son traitement mature de la guerre et de la vengeance. La quête de César, marquée par une douleur intense, est magnifiquement interprétée par Andy Serkis. Les scènes puissantes, dirigées par Matt Reeves, m'ont offert une réflexion poignante sur les dilemmes moraux et les sacrifices de la guerre. Les effets visuels immersifs renforcent cette expérience émotionnelle.
Cependant, j'ai noté quelques incohérences dans la dernière scène d'action, ce qui a légèrement diminué l'impact final. Malgré cela, Matt Reeves a signé une excellente trilogie, maîtrisée de bout en bout, avec une superbe conclusion qui reste marquée par une profondeur et une intensité impressionnantes.
Cependant, j'ai noté quelques incohérences dans la dernière scène d'action, ce qui a légèrement diminué l'impact final. Malgré cela, Matt Reeves a signé une excellente trilogie, maîtrisée de bout en bout, avec une superbe conclusion qui reste marquée par une profondeur et une intensité impressionnantes.
Le meilleur pour la fin !!!
Un chef-d’œuvre IN-CRO-YABLE !!!
Ce film nous fais passer par plusieurs panels d’émotions.
Comme dans les 2 précédents films l’acting est au top nous retrouvons un Woody HARRELSON qui est charismatique, détestable et glaçant et Andy SERKIS est juste extraordinaire pour moi il ne joue même plus César, il est César !
La BO est juste fantastique et une œuvre parfaitement écrite.
Juste avant de revoir cette trilogie je vous aurai dis que mon préféré était le 1er mais ça a changé SUPRÉMATIE reste pour moi meilleur que les précédents.
Certainement une des meilleurs trilogies de la dernière décennie.
Un chef-d’œuvre IN-CRO-YABLE !!!
Ce film nous fais passer par plusieurs panels d’émotions.
Comme dans les 2 précédents films l’acting est au top nous retrouvons un Woody HARRELSON qui est charismatique, détestable et glaçant et Andy SERKIS est juste extraordinaire pour moi il ne joue même plus César, il est César !
La BO est juste fantastique et une œuvre parfaitement écrite.
Juste avant de revoir cette trilogie je vous aurai dis que mon préféré était le 1er mais ça a changé SUPRÉMATIE reste pour moi meilleur que les précédents.
Certainement une des meilleurs trilogies de la dernière décennie.
Un classique de science fiction ! Jamais on a vu un personnage en CGI aussi charismatique : césar est tellement splendide que ce soit niveau esthétique ou écriture. Tout dans ce film est parfait, bien dosé, parfois drôle mais surtout on ressent l'horreur et l'angoisse des singes mais également des humains. C'est le plus gros point fort du film : arriver à comprendre quelques secondes le point de vue du colonel. C'est vraiment incroyable ce qu'a fait Matt Reeves et son équipe. Bravo aussi à Andy Serkis quel talent ! C'est la parfaite conclusion de la saga, c'est vraiment du très très haut niveau d'un point de vue mise en scène et écriture. Chapeau vraiment je suis ébahi !
Une superbe conclusion de cette première trilogie qui, même si elle pousse les potards du dilemme cornélien toujours plus loin, revêt des enjeux un peu moins spectaculaires que le second volet.
La mise en scène reste intelligente et belle mais moins prégnante, en lien peut être avec l’environnement dans lequel se déroule l’intrigue (même si la modélisation de la neige et du vent sur la fourrure des singes hérisse le poil).
La thématique de la vengeance et sa haine aveuglante est une peu moins originale que la belle réflexion du second volet sur ce qui fait humanité chez l’humain (et le singe).
Une belle trilogie qui vaut largement un détour attentif et qui mérite de se lover dans la bibliothèque des grands classiques de la SF post-apocalyptique.
La mise en scène reste intelligente et belle mais moins prégnante, en lien peut être avec l’environnement dans lequel se déroule l’intrigue (même si la modélisation de la neige et du vent sur la fourrure des singes hérisse le poil).
La thématique de la vengeance et sa haine aveuglante est une peu moins originale que la belle réflexion du second volet sur ce qui fait humanité chez l’humain (et le singe).
Une belle trilogie qui vaut largement un détour attentif et qui mérite de se lover dans la bibliothèque des grands classiques de la SF post-apocalyptique.
Dernier film de la trilogie, il se révèle autant sombre et dur qu'émouvant et plein d'espoir pour les Singes. L'histoire ne regorge pas de batailles à tout va, elle prend son temps et nous montre plutôt les côtés durs de la capture, les relations entre César et les siens, ou encore entre César et le Colonel qui ont tous deux des motivations différentes afin de protéger leurs espèces, car les humains ne sont toujours pas à l'abri du virus.
C'est toujours aussi époustouflant visuellement, Andy Serkis qui interprète César est grandiose face à la motion capture, les traits de visages et expressions sont encore plus minutieux qu'auparavant.
C'est donc un affrontement assez sombre et éprouvant, mais il y a également quelques touches d'humour qui permettent de temps à autre de détendre l'atmosphère, notamment par ce petit singe à doudoune. La fin clôture avec émotion cette superbe trilogie
C'est toujours aussi époustouflant visuellement, Andy Serkis qui interprète César est grandiose face à la motion capture, les traits de visages et expressions sont encore plus minutieux qu'auparavant.
C'est donc un affrontement assez sombre et éprouvant, mais il y a également quelques touches d'humour qui permettent de temps à autre de détendre l'atmosphère, notamment par ce petit singe à doudoune. La fin clôture avec émotion cette superbe trilogie
Même s'il le visionnage est chargé en émotions, je trouve qu'il y a trop de raccourcis/ d'incohérences Scénaristiques.
Je lui préfère donc le 2ème même si celui-ci reste très bon !
Je lui préfère donc le 2ème même si celui-ci reste très bon !
Le meilleur film des 10 films " Planète des singes " du cinéma à égalité avec " La planéte des singes , les origines " , aussi bien l' un que l' autre , ces 2 films , font même partie des meilleurs films de tout les temps , ils sont même mieux , que les 5 films de la première saga " planéte des singes " , des années 1970 , qui sont des chefs d' œuvre , auquel j' ai mis 5 étoiles comme note , aux 5 films .
Un bon scénario , une superbe histoire émouvante , avec beaucoup d'émotions intenses , beaucoup de suspens , beaucoup de tensions psychologiques , pas d' action pendant tout le film , mais les scènes d' actions sont spectaculaires et impressionnantes .
Un bon scénario , une superbe histoire émouvante , avec beaucoup d'émotions intenses , beaucoup de suspens , beaucoup de tensions psychologiques , pas d' action pendant tout le film , mais les scènes d' actions sont spectaculaires et impressionnantes .
Alors sa va être simple je fais pas se commentaire pour dire plein d'arguments je veux juste dire que se
film est magnifique et que la fin me fera toujours autant mal au cœur (mais dans bon sens). Et puis j'avoue je vien de le regarder pour le je sais pas combien tième fois et la j'avoue les larmes sont partis.
film est magnifique et que la fin me fera toujours autant mal au cœur (mais dans bon sens). Et puis j'avoue je vien de le regarder pour le je sais pas combien tième fois et la j'avoue les larmes sont partis.
Ce troisième volet se révèle globalement convaincant et poursuit efficacement la saga. J'ai apprécié l'histoire, malgré quelques irrégularités rythmiques. Visuellement, le film est à la hauteur des deux premiers, offrant un véritable plaisir pour les yeux. Matt Reeves nous livre donc un film agréable dans l'ensemble.
https://critiqueslucas.odoo.com
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ferdinand75
Un manque flagrant de profondeur pour cet OPus qui mise tout sur les effets spéciaux et les combats. un côté redondant et peu innovant .
Peut être le plus puissant de la saga avec le premier. Cette opus à une photographie magnifique, des thèmes intelligents et difficiles, on nous fait bien comprendre que depuis le début de cette guerre il n'y a ni méchant ni gentil . Jamais je n'aurais cru que faire un film sur l'holocauste avec des singes aurait autant marché . [ Spoiler] Je trouve cependant qu'il y a beaucoup de facilité scénaristique pendant l'évasion [ fin du Spoiler] , les scènes d'action sont aussi très bonne et la fin du film est très touchante.
Cette suprematie est le plus faible de la trilogie, alors certes c'est toujours bien fait mais pendant 2h20 il ne se passe quasi rien et même rien qui explique vraiment pourquoi les singes ont pris possession de la terre.
spoiler:
César veut se venger tout le film mais est incapable d'agir quand le choix s'impose à lui. Cette histoire de virus qui se réactive 15 ans après pour provoquer de nouveaux symptômes a ceux qui ont su s'en sortir et à dormir debout. [spoiler]Les deux premiers arrivaient à créer une cohérence avec la saga et surtout permettait de s'attacher aux personnages ici rien . On continue à nous présenter César comme un grand chef mais au final un chef incapable de décider, engluer dans une vengeance qu'il ne sait même pas lui même s'il veut l'assouvir
César veut se venger tout le film mais est incapable d'agir quand le choix s'impose à lui. Cette histoire de virus qui se réactive 15 ans après pour provoquer de nouveaux symptômes a ceux qui ont su s'en sortir et à dormir debout. [spoiler]Les deux premiers arrivaient à créer une cohérence avec la saga et surtout permettait de s'attacher aux personnages ici rien . On continue à nous présenter César comme un grand chef mais au final un chef incapable de décider, engluer dans une vengeance qu'il ne sait même pas lui même s'il veut l'assouvir
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