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FaRem
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3,5
Publiée le 3 octobre 2017
Matt Reeves toujours aux commandes pour la seconde fois depuis le reboot de la franchise avec ce troisième volet qui est différent et moins axé sur l'action que "L'affrontement" ce qui peut sembler logique vu le titre de ce dernier, mais cela ne l'empêche pas d'être tout aussi réussi. Ce film nous montre la bataille pour la "suprématie", mais pas forcément de la façon qu'on n'attend du moins pas immédiatement, car les deux camps sont confrontés à divers problèmes qui semblent inverser les rôles. Pendant deux heures, peu d'action hormis au début et à la fin, mais une histoire plus sobre et plus profonde qui contient beaucoup de références religieuses et aux films originaux. Une histoire plus symbolique et axée sur la réflexion, mais qui garde ce qui a fait le succès de la saga. La rivalité entre les deux camps est toujours aussi forte et cruelle, les personnages toujours charismatiques, il y a la même émotion et empathie puis le rendu visuel est une nouvelle fois bluffant de réalisme. Andy Serkis est toujours impressionnant et cette fois-ci, il trouve un bon adversaire en la personne de Woody Harrelson qui est vraiment étonnant dans le rôle du méchant. Les raisons sont différentes, mais j'ai aimé ce film qui complète bien le précédent, qui est aussi spectaculaire que touchant et qui est surtout à la fois un bon divertissement et un bon film les deux à la fois ce qui n'arrive pas souvent avec les blockbusters.
Beaucoup de longueurs sur cet épisode qui n'apporte pas grand chose à la saga. Dommage ça à part 1plan ridiculement loupé, les effets spéciaux sont très bons.
deception comparé aux deux précédents opus. le scenario est mou, ca manque d'action, de suspens, à chaque instant on se demande quand est-ce que le film va démarrer. bref c'est long pour ce que c'est.
Matt Reeves clôture cette saga de très belle manière, en prenant une nouvelle fois à contre emploi la plupart des blockbusters actuels qui se soucient uniquement de donner dans la surenchère visuelle. Notre réalisateur se penche lui avant tout sur ces personnages, en particulier sur le singe César, plus réel que jamais et magnifiquement interprété par Andy Serkys, le roi incontesté de la performance capture. Une histoire touchante, poétique, poignante, à la photographie irréprochable. Bref une grande réussite.
Ma critique complète sur mon blog: mesmotsen169.blogspot.fr
Le film serait très bon si les mimiques de Cesar n'étaient pas aussi répétitives: toujours la même expression, le même regard, la même respiration d'agacement...C'est vite caricatural. Sinon l'histoire déroule des clichés inévitables, rappelant ces westerns où les indiens pacifiques sont harcelés par des cow-boys va-t-en-guerre, mais le rythme est très bon, les décors soignés, le scénar maintient la tension de façon continue, et on ne s'ennuie pas. Pas mal du tout, mais sans être un film exceptionnel.
3ème et ultime episode de la trilogie planète des singes, suprematie a le don de rallier action et émotion, avec un soupçon d'humour. On se prête à avoir de la compassion pour les humains tant leur destin est tracé. Les clins d'oeil aux premiers films sont la bienvenue et donne envi de les revoir. Serkis est toujours excellent dans ce genre d'exercice, et celà attriste de savoir qu'on ne le verra plus en tant que César.
Je ne suis pas une fan et c'était le premier de la trilogie que je suis allez voir au cinéma . Je n'ai pas regretté car la qualité de césar et certain autres personnages sont bien fait, cependant certains n'était pas si bien fait mais ce n'est qu'un détaille sinon l'histoire est très bien et émouvante !
dernier opus un peu décevant. on s'attendait à une vrai bataille entre les singes et les humains. les images sont belles, la mise en scene soignée. c'est au niveau du scénario que ça bloque selon moi. a voir néanmoins si on est fan de la série.
Demi déception pour cet ultime volet de la planète des singes. L'histoire se suit sans déplaisir mais je trouve personnellement que ça manque de souffle. Me manque quelque chose d'un peu épique pour ce dernier chapitre. Il ne se passe finalement pas grand chose et le final m'a déçu. Bien réalisé, bien joué, mais aucun effet wow. Manque d'intensité dramatique pour moi également. Pas de surprise. Je m'attendais à mieux.
Troisième et dernier volet de cette nouvelle saga de « La Planète des singes », « Suprématie » apparaît dans la lignée des précédents, au moins en matière de qualité. Il y a même peut-être une légère montée en puissance concernant les titres, d'autant qu'on sait gré aux scénaristes de parvenir à trouver une histoire vraiment différente à chaque fois, empêchant l'impression de lassitude qui aurait pu s'installer. De plus, techniquement et visuellement cela reste très propre, très soigné, avec un vrai sens du spectacle tout en prenant un minimum soin des personnages (celui d'Amiah Miller est une belle trouvaille) et de leurs motivations, le parti pris évident pour les singes pouvant paraître un peu manichéen, mais offrant un regard différent et intéressant en comparaison des blockbusters habituels. Dommage qu'en définitive, le film ne m'ait pas emporté plus que ça. J'apprécie la démarche, la force de certaines images (la traversée sous la neige avec cette musique imposante : vraiment pas mal), sans jamais réellement m'enflammer. Peut-être cette numérisation des singes avec lesquelles j'ai vraiment un souci, ou cette difficulté qu'a Matt Reeves à nous impliquer corps et âme dans la bataille, quelques soucis de cohérence spoiler: (la petite fille se baladant dans le camp comme à l'hôtel, l'évasion finale rondement menée) empêchant également l'œuvre de se situer au sommet de la hiérarchie des blockbusters hollywoodiens récents, comme en témoigne le protagoniste (bien) incarné par Woody Harrelson : gros potentiel, intéressant, sans parvenir à être aussi marquant qu'il ne le devrait. Reste qu'en matière de spectacle intelligent, mené avec talent et sobriété, avec ce qu'il faut d'enjeux et de modernité dans le propos, « La Planète des singes : Suprématie », n'oubliant nullement son glorieux ancêtre de 1968, apparaît comme l'une des grosses productions de qualité en cette année jusqu'ici plutôt moyenne.
Une belle conclusion pour cette trilogie qui a débuté en 2011 ! Là où le premier film se voyait comme un blockbuster estivale divertissant, avec de saisissants effets spéciaux et un émouvant jeune César/Serkis en motion capture, cet épisode final est un film bien plus réfléchi, raisonné et grave. Maintenant, César est incontestablement le leader mûr, prévoyant et sage de la race des singes. Chef de famille, père fondateur de tout un peuple, il est bien plus conscient que les êtres humains eux-mêmes que la nature reprend ses droits et que le temps est venu de décider qui peuplera cette nouvelle planète sauvage. Traité comme un drame humaniste, on est bluffé par la sincérité des émotions et on en oublie totalement qu'il s'agit de motion-capture, c'est dire à quel point les progrès techniques et le talent du jeu des acteurs ont été fulgurants ces 5 dernières années ! On a donc pas fini d'entendre parler d'Andy Serkis, le père fondateur d'une toute nouvelle race d'acteurs-performeurs.
Une magnifique conclusion de Matt Reeves à sa nouvelle trilogie, à la fois chargée en émotion comme en action mais qui ne perd pas de vue son propos principal et qui n'oublie pas les références aux films des 60's, un blockbuster comme on en voit trop peu en ce moment qui nous gardent divertis tout en nous invitant à réfléchir ....
De bon effets spéciaux ne suffisent pas à faire un bon film. Que toutes les situations soient incohérentes quasiment du début à la fin rendent le film rend le film sans intérêt puisqu’on n'y croit pas une seconde. Dommage