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    Birdman
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    3,8
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    946 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 octobre 2016
    Oscarisé comme une bête, le mérite-t-il? Faut reconnaître la virtuosité de ses longs plans séquences qui ont du demander un boulot dingue, pour un résultat surprenant. Keaton, oui, on peut dire que c'est le rôle de sa vie (marrant qu'ils le fassent presque tous à un âge relativement avancé. Norton est comme d'habitude impeccable aussi. Et puis il y a surtout cette capacité à entremêler la réalité (ce qui me fait penser à un autre film que j'ai trouvé beaucoup moins réussi, mais bon), le rêve (ou la fiction)...ce qui est peut être un peu la définition du cinéma....La bande musicale est essentiellement constituée d'un long solo de batterie, ça peut saouler, mais faut reconnaître l'efficacité pour souligner l'action. Bon, moi, j'ai beaucoup aimé ce drôle de film, et perso, mention spéciale pour les dix dernières secondes du film, ou un simple regard décide de l'issue de l'histoire. Chapeau.
    OwneD
    OwneD

    5 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 octobre 2016
    Ce film est un chef d'oeuvre. Pourtant, je ne suis pas un fan de films dramatiques. Pourtant, ce film à un rythme incroyable, encouragé par la batterie en fonds sonore. On est vraiment intrigué dès les premières minutes du film spoiler: lorsque Keaton est en lévitation
    . Puis, on en apprends davantage sur lui spoiler: et sa double personnalité
    , en quête de succès. Bref, le genre de film où il ne faut pas lire le synopsis, de peur de trouver cela ennuyant. Il suffit simplement de regarder le casting et l'engouement auprès du film pour comprendre que c'est une réussite cinématographique.
    mlight
    mlight

    24 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2017
    On se laisse immédiatement absorber par l'atmosphère de ce film, par ses jeux d'acteurs, Michael Keaton et Edward Norton c'est un vrai régal, la fluidité des transitions, la poésie que transmettent les musiques, des scènes aussi grotesques que dramatiques s'enchaînent avec une main de maître. Quasiment tout était réuni pour réellement me plaire et me faire décoller, ce fut le cas la plupart du temps, j'ai malheureusement été déçu par certains choix.. spoiler: Le fait de voir Sam regarder dans le ciel au tout dernier plan comme pour nous dire qu'il vole vraiment casse un peu cette scène où l'on aurait pu partir encore plus dans le délire de Riggan
    , quelques détails de ce genre font que je suis légèrement déçu mais rien de bien méchant, ce film reste à voir dans le genre film psychologique.
    liamsi
    liamsi

    18 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 octobre 2016
    Visuellement beau, techniquement impressionnant, histoire qui avance avec fluidité, réalisation maitrisée, jeu d'acteurs parfait, que demander de plus ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 octobre 2016
    Yaurait-il une tendance des BO à base de percussions ? Après l’horrible Whiplash, cet impressionnant Birdman est lui aussi rythmé, presque conduit, par des accélérations, freinages et syncopes de batterie. Cette BO percussive n’est pas le seul attribut notable du nouveau film d’Iñárritu. A l’instar de La Corde ou de L’Arche russe, Birdman se déploie dans le souffle d’un unique plan-séquence (ou dans son illusion).

    Arrêtons-nous un instant sur cet exploit technique. Hitchcock avait créé son film-plan-séquence dans le cadre d’un lieu unique et limité : un salon d’appartement new-yorkais. Il avait pensé à tout, le mouvement des nuages par la fenêtre, les lumières qui baissent au fur et à mesure de la soirée, mais il restait tributaire de la lourdeur des tournages en 35 mm, recourant au stratagème du gros plan/fondu au noir pour les changements de bobines toutes les dix minutes. Sokourov avait lui exploité les ressources mobiles et illimitées du numérique en promenant sa caméra légère à travers les dizaines de pièces et couloirs du musée de l’Ermitage.

    Iñárritu pousse encore plus loin l’extension du domaine de la caméra avec son plan-séquence presque aussi libre que l’air, qui se faufile à travers toutes les pièces, coursives, coulisses, étages, cintres d’une salle de théâtre de Broadway, et jusque dans la rue, les bars, toits et immeubles voisins. Il faut l’admettre, on est saisi, souffle souvent coupé, par la virtuosité de cette caméra fluide, labile, passe-muraille, qui semble branchée sur le pouls d’un théâtre et d’un quartier de New York en se riant des murs, ou de notions telles que le dedans et le dehors. Cette caméra omnisciente est à l’aune de notre époque de transparence où, sous la pression des possibilités technologiques, l’intimité, le privé, le secret reculent face au tout-visible.

    Cela précisé, Birdman ne se réduit pas à une performance technico-visualo-sportive, aussi impressionnante soit-elle. Le “Birdman” en question, c’est le superhéros hollywoodien qui a jadis valu richesse et célébrité à l’acteur Riggan Thomson, joué par Michael Keaton. Toute ressemblance entre l’acteur et son double, entre Birdman et Batman, entre Keaton et Riggan, etc. Détail amusant, Riggan semble doué dans la vie des superpouvoirs de Birdman, comme par exemple léviter, voler, faire bouger des objets à distance… Mais à l’instar du Vincent de Thomas Salvador, ses superpouvoirs ne lui sont d’aucune utilité. Riggan Thomson n’aspire qu’à une chose: briller dans une pièce de Raymond Carver, jouir des éloges de la critique new-yorkaise, troquer sa gloire de superhéros contre une trace artistique prestigieuse et durable. Après l’argent du beurre, Riggan Thomson voudrait le beurre, voire 
le cul de la crémière (et de la critique).

    Le film colle au train de Riggan pendant les quelques jours précédant la grande première : répétitions, changement de partenaire acteur, pressions de son agent, junkets avec la presse, défilé des anciennes maîtresses, confrontation avec sa fille, débats sur les avantages et inconvénients de la célébrité 2.0, conflit interne entre Riggan-Carver et Riggan-Birdman… En quelques heures et quelques mètres carrés sont condensés et concentrés tous les rêves, désirs, échecs, cauchemars, paradoxes publics et privés d’un acteur – et au-delà, de tout quinqua ou sexagénaire qui sent que les potentialités de son avenir se réduisent et qui cherche désespérément, urgemment, un sens à son existence. Car si Riggan a été un super Birdman, il a été un mari médiocre, un amant veule, un père nul, et un acteur… justement, il ne sait pas et c’est ce qu’il cherche à étalonner à travers la pièce de Carver.

    Il y a dans Birdman une dimension bling-bling, extravertie, “m’as-tu-vu”, consubstantielle au style d’Iñárritu, et qui souvent agace chez lui, mais il faut reconnaître aussi le côté pile de ces défauts : une énergie carnassière invraisemblable, qui emporte tout ici, bien aidée par la performance hallucinante du sosie de Julien Lepers, déployant toute son artillerie d’acteur chevronné avec une puissance et une jouissance très contagieuses (les autres, Norton, Watts, Stone… sont tous très bien aussi, mais la dynamo centrale, c’est Keaton).

    Et puis pour une fois qu’Iñárritu ne nous sert pas son humanisme Benetton surligné à la truelle mais dédie toute ses forces à une réflexion acide sur la culture, la célébrité et les métiers du spectacle, c’est bon à prendre. Pas bégueule, on prend.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 octobre 2017
    Ce serait faire preuve de mauvaise foi que de traiter Birdman de mauvais film. Loin de là. Seulement, 7 oscars, ce n’est pas rien. En le voyant, je m’attendais à un réel chef-d’oeuvre, et puis j’ai été déçu, comme un enfant devant une boule de glace qui s’écrase sur l’asphalte, il reste le biscuit, et c’est tout.

    Le biscuit, c’est la forme, un plan séquence tant encensé autour duquel on ne tarit pas d’éloges. C’est mérité. C’est joli. Ça va entièrement dans le sens du film qui veut dépeindre une certaine réalité, montrer toutes les coulisses d’une pièce de théâtre, suivre ses personnages dans tous leurs travers, nous amener à être presque mal à l’aise en nous plongeant dans leur intimité. Quelques belles prouesses d’écriture dans certains dialogues.
    Et puis il y a la glace par terre, cet aspect intellectuel propre au film d’auteur, qui se veut passer des messages, faire des métaphores. Ça c’est sur papier. Dans Birdman, cet aspect intellectuel prend la forme d’une surenchère de fantastique, d’une fin qui sous tous ses aspects sinon l’absurdité de la vie n’a aucun sens, lâchée comme un ultime « démerdez-vous à trouver une interprétation magnifique et cohérente, si vous n’y arrivez pas c’est que vous n’avez rien compris », une bande sonore réalisée dans sa majeure partie par une batterie à faire mal à la tête et quelques plans fixes qui se veulent pétris d’un intellect illusoire.
    Une histoire originale, celle de Ronald Reagan, un acteur de blockbusters qui veut se reconvertir au théâtre, mais comme le fait remarquer Emma Stone (la fille de Reagan) : Tout le monde se fout de ces histoires de célébrités et de leur ego trip. On cherche à critiquer les blockbusters, voire la critique en général ( spoiler: qui crie au conceptuel quand un homme se suicide sur scène
    ), mais finalement il n’y a pas tant de matière, si ce n’est que les blockbusters engrangent les recettes en utilisant toujours les mêmes recettes. Le reste des thèmes, c’est du déjà-vu, sous traités à cause de la volonté du trop-plein de sous-thèmes: on citera le thème du père absent spoiler: qui, par miracle, renoue avec sa fille et son ex-femme à la fin
    . Trop de thèmes, trop d’intellectualisme, trop de volonté d’originalité (dans la musique à la batterie par exemple), trop de laisser-place à l’imagination. Trop de choses dans Birdman, ce qui en fait un film brouhaha et fourre-tout dans une carapace d’intellect saupoudré de sa réalisation au top. Il mérite indéniablement certains de ses oscars, un par un, sa pléthore d’oscars, mais si l’on assemble tout, le film est un désordre qui attend que les spectateurs veuillent bien lui donner un sens.
    Creepy_Chinchilla
    Creepy_Chinchilla

    19 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 octobre 2016
    Avant même de connaitre le synopsis de Birdman, je connaissais le film sous le terme de « ce-film-entièrement-réalisé-avec-un-faux-plan-séquence ». Curieuse de voir une nouvelle prouesse d’Alejandro Gonzalez Innaritu (après Babel et The Revenant), et cette affiche qui me faisait de l’oeil, je me suis lancée. Après visionnage, je dirai que je m’attendais à plus ou à quelque chose de différent. Je ne peux pas parler de déception, mais ce ne serait pas non plus le genre de comédie dramatique que je pourrai revoir inlassablement. Il est à voir, c’est tout.
    J’ai eu du mal à rentrer dans le film durant la première demi-heure, tant j’étais focalisée sur la performance technique. Parmi les premières images du film, il y a celle de Riggan Thomson au premier plan et derrière lui, un poster d’un héros sombre et masqué. On ne peut pas vraiment évoquer le hasard, lorsque la première idée qui me vient à la vue de ce plan est celle de Batman. En effet, c’était intelligent de faire référence à la carrière de Michael Keaton de Batman à aujourd’hui, en utilisant la carrière fictive de Riggan Thomson de Birdman à Broadway. Tout le film oscille d’ailleurs à la frontière entre réalité et fiction, entre la scène et la vie réelle. Et ce, dès la scène d’ouverture : vole-t’il vraiment ? spoiler: A noter qu'à la fin du film, Riggan enlève son pansement, son masque, il embrasse sa nature d’oiseau…Et saute. Ou s’envole. La boucle est bouclée car incrédules, on se repose la question. Que ce soit au début ou à la fin, le spectateur est libre d’interprétation.

    spoiler: La condition psychologique de ce protagoniste, me rappelle l’oeuvre de Marianne Satrapi, The Voices : on oscille entre la vision magnifiée du héros, sa manière d’encrer ses fabulations dans le réel et puis l’on découvre l’envers du décor.

    Je n’ai parlé que du personnage de Michael Keaton, cependant Emma Stone et Edward Norton, ont un joli jeu d’acteurs. Un peu cliché mais, j’ai beaucoup aimé cette scène d’Action ou Vérité où tout deux se révèlent. Leurs personnages sont aussi là pour apporter une petite touche d’humour.
    Nous avons donc le point de vue de la caméra qui s’infiltre partout, nous sommes en backstage et même plus : nous sommes jusque dans la tête du personnage central. Nous sommes dans les coulisses de sa vie, nous entendons ses pensées, grâce à cette voix grave et envoûtante qui nous les narre. L’introspective de ce dernier porte majoritairement sur la question de l’égo, ou plutôt de la reconnaissance.
    Birdman nous parle des frontières entre ce que l’on est, ce que l’on croit être et ce que l’on veut être. Mais dans une interprétation plus globale, Birdman est une critique sur le cinéma d’aujourd’hui, ou plus particulièrement, une critique des blockbusters plus ou moins issus de comics.
    Ashitaka3
    Ashitaka3

    107 abonnés 1 206 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2016
    La mise en scène est élégante et joue, de ses longs faux plans séquences, avec le spectateur. Doté d'un casting en béton, Inarritu filme cette incroyable introspection de Michael Keaton, à la frontière de la vie de l'acteur lui-même et celle de son personnage, sans faire d'erreur sur ce périple visuel constant. On en sort facilement séduit, pleins de questions et admiratif. Le traitement paraît démonstratif, survolant un sujet pleins de promesses, mais a su revenir à des fondamentaux classiques mais efficaces, au moment souhaité, sans tourner au ridicule. La musique est étonnante, le rythme puissant, les intentions honnêtes. Le film est bavard mais certaines séquences valent le détour à elles seules. Je me serai attendu à plus de parallèles avec le rêve, l'inconscient, à rentrer beaucoup plus dans la folie, ou quelque chose de plus sombre. L'ensemble reste soigné, culotté et surprenant.
    Serpiko77
    Serpiko77

    58 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 août 2016
    Une maîtrise parfaite du plan-séquence, ultra-rythmé, cynique, drôle et dialogues très bien ficelés, la première partie de ce film est un régal. Malheureusement la seconde se concentrant uniquement sur le héros et délaissant totalement les personnages secondaires qui étaient pourtant intéressant l'est beaucoup moins.
    Pierre P.
    Pierre P.

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 août 2016
    Birdman est un très beau film avec des acteurs de talents, une mise en scène magique et un scénario riche en rebondissements. Mais malgré toutes ces bonnes notes la fin du film me déçoit énormément, pour moi la film devait ce terminer sur scène avec la mort de l'acteur ! La fin ouverte de inaritu est trop ouverte et laisse trop de mistere ! Très bon film mais une fin décevante !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 juin 2016
    Les acteurs y excellent -Michael Keaton et Edward Norton en particulier. L'idée du film tout en plan séquence ou presque est une superbe idée dans ce cas là car il sert le scénario. Birdman n'est pas si omniprésent que ça, ce dont j'avais peur. Ses venues dans la tête du vieil acteur usé mais doué sont savamment orchestrées et mettent en avant les doutes et les regrets du protagoniste. Bref, un film original, bien joué, bien filmé. Un très bon moment !
    VOSTTL
    VOSTTL

    96 abonnés 1 939 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2016
    Je vais manquer d’originalité en disant que ce film est avant tout une prouesse technique dont le parti pris est traduit en deux plans-séquences. Plans-séquences travaillés au montage car je préfère employer ce verbe que « tricher » comme je l’ai entendu ou lu à l’époque de sa sortie même si « tricher » n’avait rien d’insultant. Peu importe, c’est réussi et captivant. Après tout, le choix de filmer ainsi est non seulement une trouvaille mais elle s’inscrit parfaitement avec le sujet et surtout le lieu : le théâtre. La scène d’un théâtre en soi n’est pas cloisonnée, elle est complètement offerte, ouverte et grouille d’acteurs et le plan-séquence s’impose. Pourtant, la coulisse, les loges, les couloirs, le coin restauration, la terrasse, le hall sont cloisonnés et l’exploit est de décloisonner ce théâtre new-yorkais. Et c’est limpide. Prouesse technique et prouesse de jeu car j’imagine que pour les acteurs cela a dû être assez périlleux d’intervenir au bon timing. Il ne fallait pas se manquer. Si tel était le cas, serais-je assez naïf de croire que la scène a dû être reprise depuis le début ? J’en doute. Le montage est là pour jouer les rustines ! Peu importe, pour les acteurs ce devait être une expérience surprenante, une expérience proche du jeu théâtral. J’ignore si c’était volontaire, mais Michael Keaton joue un rôle proche de ce qu’il a joué : « Batman » ; quand la réalité croise la fiction sous les traits d’un même acteur. Michael Keaton est impérial dans son rôle limite schizophrène. Tous les acteurs sont remarquables, à voir en V.O, évidemment. « Birdman » c’est aussi le doute qui anime les comédiens, leur défi, leur volonté de donner du sens à leur vie d’artiste en préservant leur part d’égo indispensable à la réussite. Enfin, je ne commenterai pas la fin, le scénariste lui-même est dans l’incapacité de la commenter, le film appartient à l’imaginaire du spectateur. Elle aurait pu en d’autres circonstances, un scénario faiblard, un film classique dans sa forme et sa mise en scène, plomber la globalité du récit ; ici, la fin, non seulement interroge et c’est légitime mais elle participe quelque part à la schizophrénie, entendez à l’énergie même du film.
    lejojoducoin
    lejojoducoin

    22 abonnés 876 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 mai 2016
    Beaucoup de récompenses pour ce film, qui se destinent à nouveau, comme beaucoup de prix aux oscars, aux cinéphiles. Je n'en serai pas si ditirambique, avec un film qui a peiné a m'emballer, tant par ses messages subliminaux, que ses nombreuses métaphores cinématographiques. On suit donc la tentative de relance de carrière d'un acteur sur les planches de Broadway, dont son égo ultradimensionné lui fera perdre la tête. Les jeux d'acteur sont excellents, et c'est pour moi la vrai note positive, avec Edward Norton et Mickael Keaton magnifiques en premier lieu. La fin m'a laissée perplexe, spoiler: avec en premier lieu une tentative de suicide ratée on ne sait comment, et pour finir, un saut dans le vide se transformant en vol d'oiseau.
    C'en est trop pour moi, qui suis très rationnel, et c'est pourquoi je ne blame pas ce film. Faites en vous même l'expérience, et surtout admirez la très grande qualité du casting.
    Tan g
    Tan g

    11 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 mai 2016
    je vais faire vite car ce film ne mérite pas que je développe : bien foutu techniquement mais creux , prétentieux et rempli de verbiage
    vincent L.
    vincent L.

    240 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 mai 2016
    Film assômant, bavard, soûlant dans une histoire confuse et Inintéressante. Grosse déception cinématographique, Michael Keaton est, à mon avis, complètement dépassé par le rôle.
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