Héritage familiale, musical et donc personnel, ce nouveau Pixar sort encore plus des sentiers battus et connus en s'invitant dans la culture Mexicaine et plus précisément, le jour des morts.
S'il est incontestable que le visuel 3D est et restera implacable jusqu'à faire confondre certains personnage pour des vrais (mention d'honneur à Mama Coco) tant l'ultra détail est présent et digne d'une performance capture
, celle de la musique reste original car en vérité, jamais depuis "Les 3 Caballeros" l'Amérique latine n'avait été mise à l'honneur et honnêtement, on sort radicalement nous aussi de notre zone de confort tant ces instruments ne sont réellement pas utilisés et mis en avant chez Disney. Visuel démontant, bande-son festive et ultra coloré,
les chants maintenant le sont tout autant et la v.f. montre une fois de plus sa très nette qualité audio ou l'accent espagnol y est fait avec perfection, mais le cast est à coup sûr d'origine hispanique car sinon, ça s'entendrait bien trop.
Scénario, un héritage bafouer, mais lorsqu'il est décortiquer de manière ludique sous la forme d'une enquête, notre héros parvient aux secret de son passé car, le film
montre quand même avec une certaine bonne exagération, la "dictature" d'une grand mère ne voulant pas entendre parler de musique, empêchant toutes tentatives. Une vie renfermée ou tout doit constamment être diriger par les mêmes.
Des personnages secondaires haut en couleurs, un royaume des morts sublime ou l'imaginaire de l'au-delà est superbement imaginer dans les moindres aspects. Scènes colorées, poétiques, d'action et aussi comique avec certaines mascottes, les vérités éclatées, un final sensible et simplement touchant ou l'on se rend compte au final,
que ce film porte le nom d'un personnage hyper secondaire n'étant évoquer, que dans sa douce et paisible jeunesse. Quant au concert XXL, référence nette au Stade de France et autres méga stade.
Récit dynamique, 3D parfaite et bande-son festive, un Pixar carnavalesque avec sa pointe morbide.