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    Le Passé
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    711 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 juin 2013
    un traitement des personnages exceptionnel pour un film d'une densité incroyable. Particulièrement bouleversant et réalisé avec brio.
    Myene
    Myene

    19 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 juin 2013
    J'ai vu avec bonheur tous les Faradhi sortis à Paris je ne pouvais rater celui ci J'ai des réserves que je n'avais pas auparavant, car j'ai trouvé la partition moins convaincante ( le 93 plus iranisé que maghrébin)et que j"avais deviné certains rebondissements Est ce aussi parce que je connais les invariants de son œuvre? Dans chacun de ses films, volontairement à fin ouverte j'ai retrouvé: le contexte de crise dans une apparente volonté de résolution,les dévoilements successifs avec des vérités qui s'affrontent, des rapports familiaux plus ou moins tendus ou les enfants présents ( et à venir) obligent les adultes à avancer...Ici le nœud de l'intrigue est une officialisation d'une séparation effective et c'est comme d'habitude la femme qui est le moteur du changement, mais elle est bien ambivalente avec les missions de tiers qu"elle délègue à l'ex mari Cet acteur iranien est une merveille même quand il ne dit rien Il incarne ici( lui qui n'a pas d'enfants) la quintessence des qualités éducatives ! Bérénice Béjot sort sa vulnérabilité et ses limites( rejoignant Adjani ou Romy) la jeune actrice qui lui fait subir sa crise d'ado promet beaucoup, ainsi que le petit garçon révolté," trimbalé" qu'il est dans les versions approximatives et variables de son avenir. .A voir et à discuter entre amis..
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 juin 2013
    nul nul vraiment nul.. raté raté raté. n'allez surtout pas le voir. il faut plus regrder un film français
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 juin 2013
    Bérénice Béjot mérite son prix d'interprétation, c'est un très bon film. J'ai adoré, on ne voit pas le temps passé, les acteurs sont merveilleux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 juin 2013
    De belles images, des acteurs talentueux et beaucoup d'émotion. Tout ce qui manque au "Passé" est un scénario un peu plus recherché ... Car on passe une bonne partie du film a attendre quelque chose qui ne vient pas, l'histoire est assez faible et c'est vraiment dommage car le réalisateur avait tout a sa disposition pour réussir un chef d'oeuvre... Et au final on a " juste" un bon film, ce qui n'est deja pas si mal.
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    24 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2013
    Très beau film. Les acteurs sont bons et expressifs. La progression du récit et de la tension sont remarquables. Film très noir. Une idée de scénario excellente et superbement exploitée. Impressionnant. Ce réalisateur est diabolique. A quand son prochain film ? On est impatient.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 juin 2013
    Un film porté à bout de bras par Berenice Bejo.
    Tout les lauriers lui reviennent. Pas étonnant qu'elle est eut la palme d'or
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 juin 2013
    Un joli cocktail : De l’émotion, du suspens et de l’amour. Excellent!!!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 juin 2013
    Une dramatique qui met bien l'accent sur des situations conflictuelles, très bien apaisées par Ahmad (Ali MOSAFFA). Un film dur, fort, qui est prenant jusqu'à la fin ;o)
    Charles R
    Charles R

    52 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juin 2013
    Voici un film pour jours de pluie. On n'a pas oublié le précédent opus du cinéaste iranien, "Une séparation", un film superbement maîtrisé et où la profondeur de l'analyse n'excluait pas l'humour. Est-ce l'effet de la France, championne toutes catégories dans l'art de la morosité, où Asghar Farhadi a choisi de tourner son film? Toujours est-il qu'il filme comme les trois-quarts des cinéastes français, entretenant avec une espèce de délice la grisaille du quotidien pour laquelle il ne propose guère d'échappatoire. Il n'empêche que le film est beau, grave et musical alors que la musique proprement dite en est paradoxalement absente. L'histoire est proche de celle d'"Une séparation", à la différence près que le scénario est encore plus concentré sur quelques personnages, renforçant l'aspect théâtral de l'ensemble. Le divorce est au coeur du film, avec les conséquences qu'il entraîne et les secrets que va mettre au jour Ahmad, appelé de Téhéran par Marie, son ex, pour régler des formalités administratives. La mise en scène est proche de la perfection, avec de splendides mouvements d'appareil aussi discrets qu'efficaces. Quant à l'interprétation, elle ne peut que séduire tant les acteurs et actrices y sont criants de vérité. Au premier rang desquels il faut sans doute citer Tahar Rahim, dont on n'a pas oublié la prestation dans "Le prophète" et qui donne à son personnage ô combien ambigu une profondeur indiscutable, ex aequo avec Ali Mosaffa qui, dans le rôle d'Ahmad, se révèle pleinement convaincant. Côté féminin, nous n'avons pas trouvé en Bérénice Bejo l'interprète idéal qu'a récompensée le jury du Festival de Cannes : trop de démesure dans les scènes d'hystérie et un contraste trop appuyé avec les scènes où la belle Bérénice susurre des mots qu'une ouïe correcte a parfois du mal à saisir. En revanche, une très intéressante prestation d'une jeune actrice sans doute pleine d'avenir, Pauline Burlet. Et n'oublions pas Sabrina Ouazani, révélée par "L'esquive" d'Abdellatif Kechiche et qui parvient à donner un fameux relief à un personnage secondaire. Un mot aussi du petit Elyes Aguis, adorable bambin plein de malice dont on aimerait qu'il poursuivît une carrière dans le septième art.
    pio14
    pio14

    3 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2013
    Admirable film avec une histoire captivante . Beaucoup d'émotions distillées par de très bons acteurs. A voir absolument parce que cela fait du bien!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 juin 2013
    Belle distribution, belles interprétations. On regarde défiler l'histoire une boule au ventre. Mais je reste sur ma fin, je ne saurais l'expliquer. Peut être trop de ??
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 juin 2013
    Ce film m'a laissé une impression quelque peu mitigée, j'ai beaucoup aimé les précédents films, mais je ne suis pas réellement entré dans cette histoire. Cette femme, partagée entre plusieurs hommes, ce mystère avec la femme du personnage joué par Tahar Rahim, le pressing, la fille fugueuse... Je suis resté perplexe. Je ne me suis pas ennuyé mais je trouve ce film mineur par rapport aux précédents, ou du moins moins original. La dernière image du film est magnifique même si c'était cousu de fils blancs.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 juin 2013
    La prestation des comédien est magnifique, celle des enfants, bluffante. On sent qu'il ont été dirigés avec brio, confiance et amour. Quand au film et à son montage, l'articulation de l'intrigue nous laisse sans arrêt en éveil. C'est savamment dosé et d'une grande subtilité. Un excellent film.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 355 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 juin 2013
    Quand j’étais allé voir "Une séparation", le précédent film d’Asghar Farhadi, je m’étais demandé si ce film aurait eu autant de succès s’il s’était passé en Occident et non en Iran. "Le passé", c’est presque la réponse à ma question. Comme "Une séparation", ce film est l’histoire... bah d’une séparation. Cette histoire est racontée de manière linéaire, s’efforçant de faire le plus authentique possible, ne s’intéressant à rien de particulier si ce n’est à saisir une « tranche de vie » avec le plus de sincérité possible. Dans le principe c’est couillu car au fond c’est bien maigre. Donc, bref, tout repose sur le talent du cinéaste à donner vie à ce corps bien frêle. Et c’est là que se trouve pour moi le problème, c’est que je trouve justement que la réalisation de Farhadi n’a rien de vraiment transcendal pour m’émerveiller devant cette histoire banale. C’est qu’en plus, à force de m’emmerder devant ses films, j’ai fini par trouver une façon simple de décrire ce style de réalisation finalement qui me lasse si vite tant il est basique. 1° je passe tous mes acteurs sous Xanax pour qu’ils parlent mollement et laissent trois secondes entre chaque phrase. 2° Je compose mes plans selon la grammaire la plus simpliste qui soit : plan d’ensemble si les personnages se rapprochent, champs-contrechamps s’ils s’opposent. 3° Les bruits d’ambiances sont la clef de l’authenticité : on en fout partoooout et touuuuuut le temps. 4° Faire reposer le scénario sur une vérité humaine fondamentale selon Farhadi : les hommes sont des êtres raisonnables capables de paroles réconciliatrices (surtout les Iraniens qui, eux, savent résoudre les soucis comme on répare les lavabos), alors que les femmes sont toutes des hystériques, certes attachantes, mais forcément source d’emmerdes. Désolé, mais sur moi ce type de recettes simplistes ne marche pas du tout. Je trouve ça répétitif, pas très inventif, souvent caricatural, mais surtout paradoxalement je trouve ça fort artificiel. Alors après Farhadi a cette science du silence qui fait qu’on peut être séduit par la liberté qui nous est laissé de combler les trous. Why not... C’est vrai que j’avoue que ça a marché à quelques moments : le mot était juste, adapté à la situation posée, le cadre sobre. J’en étais même arrivé à vouloir l’aimer ce film... Seulement voilà... Je ne comprendrais toujours pas qu’on passe plus de deux heures à raconter une histoire qui se raconte en une ; je ne comprendrais toujours pas ce refus d’enrichir l’histoire par des péripéties, et surtout je ne comprendrais jamais cette phobie de l’artifice narratif qui pourtant permet d’éviter ces introductions interminables et ces situations qui perdent en densité sur la longueur. Alors du coup, contrairement à "Une séparation", je peux encore comprendre qu’on trouve quelque-chose de touchant dans ce "Passé", mais quand c’est à ce point dilué et souillé par des choix aussi peu inventifs, moi ça me laisse quand même sur ma faim.
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