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    La Fureur de vivre
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    239 critiques spectateurs

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    annastarnomberon
    annastarnomberon

    138 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 février 2012
    A voir parce que c'est le film qui a fait de James Dean l'icone qu'il est aujourd'hui encore à titre posthume. Intéressant d'un point de vue historique, La fureur de vivre marque la naissance de la figure du rebelle droit et nous replonge à l'époque des blousons noirs et des affrontements sur l'honneur entre jeunes américains qui s'émancipent. Robert Zemeckis dans Retour vers le Futur rend d'ailleurs un hommage sympathique à la figure de l'adolescent fier, en reprenant le "nobody calls me chicken" de James Dean. Revenons-en à la Fureur de vivre : c'est encore une fois un film qui, pour moi, est un peu arbitrairement qualifié de culte. Ce statut, il le doit à ce qu'il représente (une époque bien particulière dans la jeunesse américaine, l'incompréhension entre les générations...) plus que pour sa qualité intrinsèque. Je suis restée quasiment de marbre et l'ai regardé sans vraiment rentrer dedans, même si je ne me suis pas ennuyée. C'est un film qui laisse assez passif en fait, et ne dégage pas grand chose. Par contre, l'incommunicabilité entre parents et jeune est plutôt très bien retransmise à l'écran, et le jeu de James Dean sur ce point est assez singulier et très juste. C'est donc un passe temps intéressant pour comprendre le charme rebelle du mythique James Dean, mais pas un film qui restera dans mes annales.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 920 abonnés 12 474 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juin 2021
    Difficile de faire plus mythique que ce film sur la jeunesse amèricaine. Au volant de voitures volèes, deux concurrents roulent à tombeau ouvert jusqu'au bord d'une falaise...Grand moment de cinèma ! Un ènorme succès mondial, un jeune acteur rebelle fauchè en pleine gloire, un tournage de lègende et surtout une approche du cinèma qui rassure une génération en mal de vivre...
    gregoire s.
    gregoire s.

    34 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 septembre 2022
    Film sur la jeunesse américaine dans les années 50, La Fureur de vivre signe le premier d'une série de trois films mythiques interprétés par James Dean et interrompu par la mort tragique de l'acteur à seulement 24 ans.
    Course de voiture, bagarre au lycée pour impressionner les filles, en outre un précurseur du teen movie à l'américaine.
    Le simple fait de voir cet acteur à l'écran suffit à faire de ce film un chef d'œuvre : 5/5.
    NeoLain
    NeoLain

    5 051 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 novembre 2008
    Il y à des films qui marque une génération, c'est un peu comme La fièvre du samedi soir, tout comme Travolta à la seconde ou apparait James Dean il s'impose. Un acteur qui donne toutes vérités de notre adolescence, rébellion, amitié, famille et l'amour. Ne pas oublier non plus Natalie Wood. La fureur de vivre est une fièvre de regarder ce film mais aussi de vivre.
    Akamaru
    Akamaru

    3 129 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juin 2012
    Si James Dean est devenu la légende que l'on sait,il le doit surtout à ce chef d'oeuvre de Nicolas Ray,le premier film à atteindre avec autant de vérité la rébellion et le mal-être adolescent."La Fureur de vivre"(1954),trouve son style quelque part entre le classicisme de l'âge d'or hollywoodien et la modernité naturaliste à venir.Ce tiraillement sert le propos de l'adolescence malmenée des années 50.Ray prouve que même les jeunes des familles de la classe moyenne peuvent sombrer dans la délinquance ou les jeux extrêmes,juste par désœuvrement ou pour prouver leur valeur.Ainsi 2 mâles peuvent s'affronter au couteau,ou participer à une course-suicide,juste par défi,et alors qu'ils s'apprécient...Les coupables sont facilement identifiables:des familles faibles,absents ou désintéressés.Ces ados,sans repères parentaux,ont du mal à faire le deuil de leur enfance,ils se constituent une famille de substitution.Ils vivent au jour le jour,et James Dean incarnait mieux que quiconque cette figure mythique du rebelle tourmenté,en jouant un Jim Stark ténébreux.Natalie Wood montrait beaucoup d'aplomb pour ses 17 ans,et Sal Mineo révélait sa nature auto-destructrice.Ray a capté cette urgence de vivre,ce monde à part qu'est l'adolescence finissante.Un drame culte.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 mai 2016
    Voilà un classique très iconique, un film qui est resté dans les mémoires en partie grâce à son acteur principal : James Dean. Après sa magistrale performance dans A l'est d'Éden, j'avais bien envie de voir ce qu'il pouvait donner dans ce film. Au final il est bon, moins que dans le film de Kazan, mais il est bon quand-même, tout comme les autres acteurs. Le film traite de pas mal de thématiques intéressantes sur l'adolescence, la jeune génération, il est très ambitieux à ce niveau mais malheureusement pas toujours subtile, la faute à une écriture de personnages quelquefois un peu bancale, surtout celui de Wood (on y croit pas, ce qu'elle fait, son caractère, sa façon de changer de petit-copain comme ça, de n'exister que par l'intermédiaire d'un mec...). En me relisant je me rends compte qu'on pourrait croire que je défonce le film, alors que non, c'est bien : le technicolor est beau et il y a des séquences vraiment marquantes, mais c'est inférieur à ce à quoi je m'attendais et au chef-d'œuvre suprême qu'on me vantait.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 octobre 2013
    j'ai trouvé ce film d'une tristesse. Il y a une tension dramatique durant tout le film qui est magnifique. Il en ressort un sentiment de gâchis pour tous ces jeunes. JAMES DEAN est quand à lui GEANT, il est bouleversant et troublant de sincérité du début à la fin. A voir.
    reymi586
    reymi586

    479 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 août 2010
    La présence de James Dean à l'écran est impressionnante, il fait de ce film un chef d'oeuvre!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 novembre 2008
    Ce film est considéré comme un chef d'oeuvre. L'intérêt d'un chef d'oeuvre est normalement de résister au temps et devenir ainsi intemporel. Il n'en est rien de la fureur de vivre.<br/>
    Plutôt réalisé avec les pieds et très planplan, assez mal joué dans son ensemble, regarder ce film est plutôt une épreuve. Si vous devez en plus le regarder en VF celà relève alors de la torture psychologique.<br/>
    James Dean ne mérite pas ce status d'icône trans-générationel, ni celui de comédien surdoué. On peut comprendre que la mort donne du talent et de la dimension aux gens, mais hélas, mourir est donné à tout le monde.<br/>
    Heureusement le cinéma a évolué depuis cet opus en carton pate, parfum de guimauve. Même la violence à la douceur du coton dans ce film... Tant de fureur pour rien.<br/>
    Reste un propos sociologiquement interessant, mais rien qui ne puisse durer tant la forme apathique éclipse le tout dans son néant.
    Ricco92
    Ricco92

    230 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2018
    Second film mettant en vedette James Dean sorti moins d’un mois après sa mort, La Fureur de vivre est un film toujours aussi mythique plus de 60 ans après sa sortie. Le blouson rouge de l’acteur, le combat au couteau et la course de voitures restent gravés dans tous les esprits. Quelques mois après la sortie de Graine violence, Nicholas Ray dépeint une jeunesse délinquante cette fois issue des beaux quartiers. Celle-ci semble perdue en partie à cause de l’échec de la cellule familiale : le père de Jim, plein de bonne volonté, ne possède aucune autorité et est écrasé par sa femme (au point qu’il porte un tablier féminin dans une séquence) ; le père de Judy ne lui manifeste aucune affection ; les parents de Platon sont absents (sa mère est constamment en voyage et son père ne donne plus de nouvelles) et c’est une tutrice qui l’élève… Ces jeunes sont interprétés par une nouvelle génération d’acteurs brillants : James Dean (devenu une star pendant le tournage avec À l’est d’Éden, ce qui poussa la production à retourner toutes les séquences déjà réalisées afin que le film soit en couleurs et non plus en noir et blanc), Natalie Wood (bien qu’elle soit présente sur les écrans depuis qu’elle a 4 ans), Sal Mineo, Dennis Hopper (dont c’est la première apparition à l’écran)… La Fureur de vivre est donc une étape importante dans la reconnaissance de l’adolescence comme étant un âge à part dans la vie et comme ayant sa propre culture (Elvis Presley devient réellement une star quelques mois plus tard) mais est également un film très puissant servie par un cinémascope aux couleurs flamboyantes (alors qu’à cette époque les drames sociologiques étaient surtout réalisés en noir et blanc et en formats moins larges). Ainsi, malgré un petit détail narratif oublié dans sa conclusion (ce qu’il reste de la bande de Buzz va-t-elle continuer à vouloir se venger ?), La Fureur de vivre est une véritable réussite du cinéma hollywoodien qui transforma en icône un acteur au jeu révolutionnaire trop vite disparu : James Dean.
    ptiverat
    ptiverat

    14 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2013
    Bien sûr ce film ouvre les portes à tous les futurs teenage movies et est la quintessence du drame éternel : l'incompréhension des adultes envers leurs ados (ou vice-versa c'est pareil) . Si les moyens de délinquance des 50's semblent ridicules aujourd'hui, comparés à la violence actuelle des gangs et de leurs gangbangs (portes tournantes) sexuels, il n'en reste pas moins qu'une révolte est une révolte. Bien sur aujourd'hui les parents écoutent leurs enfants-rois mais les enfants-rois se transforment quand-même en ados rebelles. C'est dans l'optique du conflit éternel inter-générationel qu'il faut regarder ce film qui évidemment vieillit assez mal, qui fut coupé par les censeurs et dont les 3 protagonistes principaux sont morts de façon tragique ( Nathalie Woods noyé à 43 ans, Sal Mineo assassiné dans son stationnement à 37 ans et Dean dans un accident de voiture à 25 ans).Tout un programme quand on a cela en tête!
    Il a un certain charme suranné et on rêve d'un monde qui pourrait revenir à tant de violence innocente! Les courses de voiture d'antan sont proches du car surf de notre époque ( quelques degrés au-dessus) et les baisers se donnent maintenant presqu'au berceau mais les années passent et quelque chose demeure et c'est effectivement cette fureur de vivre.

    Reste que le film souffre de plusieurs lacunes et non le moindre étant l'âge de Dean pour jouer les ados de 17 ans! Dean n'a pas l'air de 17 ans et d'un étudiant de High school américain ( et dire qu'ils voulaient prendre Brando????) contrairement à Sal Mineo, casting parfait et qui se révèle très bon. D'ailleurs la plupart des membres du gang sont trop vieux pour être crédibles. Seul Mineo l'est et, à la limite, Woods.

    La deuxième grande lacune est l'éclairage surtout dans la partie finale tournée au Planétarium , et au manoir du millionnaire Jean-Paul Getty ( détruit après le tournage). Sur mon dvd remasterisé on y voit souvent à peu près rien! Erreur moderne ou ancienne je ne sais?

    Pour nous spectateurs de l'ère moderne(?) la tension scénaristique du film est beaucoup plus douce qu'elle ne devait l'être aux spectateurs des années 50. Nous en avons tellement vu que nous sommes comme des pornos addicts qui en réclament toujours plus pour faire bander, ici, nos esprits. Parlant de sexualité il y a une tension presque homosexuelle entre Dean et Mineo et les scénaristes et le réalisateur s'en sont bien défendus. Reste que la quête du personnage de Mineo, pour celui de Dean, semble dépasser la quête du petit frère se cherchant un grand-frère.

    Bon tout cela est correct, sans plus, comme le jeu de Dean que je ne vois vraiment pas en quoi il est si spectaculaire et unique! Voyons voir pourquoi tout joue pour lui:
    1/ le contexte de l'époque. il reste un rebelle dans ce film qui veut entretenir un dialogue avec ses parents et refuse de couper les ponts. Un rebelle gentil finalement que tous peuvent aimer.
    2/ le fait que son type de jeu fait de vulnérabilité était plus vu au théâtre et rarement joué au cinéma par des acteurs masculins. Il est le premier à oser.
    3/ Au premier abord,strictement du point de vue jeu, sa notoriété me semble surfaite et l'évidence de sa grandeur ne m'apparaît pas ici contrairement à Brando! Mais le mystère de Brando crève plus facilement l'écran que la révolte juvénile et tragique de Dean. celle-ci par contre devient accessible à tous en un clignement d'oeil. Son charme juvénile est puissant et tous peuvent croire que James pourrait être dans leur gang ou leur petit ami et ce contrairement à Brando dont le jeu et la beauté trônent dans des sphères inaccessibles.

    4/C'est un très bon acteur, doué d'un charisme certain, avec un sens de l'improvisation maîtrisé (la scène d'ouverture) et des silences bien nourris. Son mythe réside plutôt en ce qu'il fut le premier à incarner sur l'écran la rébellion de toute une jeunesse. En cela la cause dépasse le jeu de l'acteur certes talentueux. Il portait à l'intérieur de lui, de sa vie d'orphelin, les éléments qui allaient alimenter son jeu; le tout aidé par un physique qui le rend vulnérable et attachant, une timidité et une fragilité si désirable, et surtout cette vie cohérente entre les rôles qu'il choisissait et son quotidien. Rien de banal! tout pour faire rêver, tout pour s'inscrire dans une légende fulgurante. Par cette cohérence et cette intégrité, l'homme devient un grand artiste, un symbole de toute une génération! il est unique et il devient difficile d'être objectif et de juger son jeu sur l'écran sans être avalé par la cause de Dean. Dean est un rebelle avec une cause!

    Pour s'être inscrit dans la légende cinématographique et pour avoir osé le premier film sur l'adolescence à partir d'un point de vue d'adolescents et aussi pour la superbe scène métaphorique du planétarium (est-ce là que Robert Lepage a piqué certaines idées?)et pour le mythe Dean, je veux bien accorder de peine et de misère un 3 étoiles! Je reste rebelle mais pour la cause cinéma!
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 095 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 avril 2010
    Je viens de voir mon premier film avec James Dean, j'ai entendu pas mal de choses sur lui, et ce sur ce film, "les gens ont aimé car il était beau", "un grand film"…
    Il fallait que je fasse ma propre opinion.
    Ce film traite des manques de repères de l'adolescence, du passage à l'âge adulte etc. C'est pas mauvais, mais disons que ça a pas mal vieillit, je ne suis pas si vieux que ça et je n'arrivais pas m'identifier à un de ces personnages, ce film a perdu avec le temps son impact, il n'est pas universelle, contrairement aux 400 coups de Truffaut, l'enfance nue de Pialat ou même les gosses de Tokyo d'ozu, bien que ça traite de plus jeunes enfants.
    On peut psychanalyser la relation père fille de la donzelle et se son méga complexe d'électre, mais c'est pas forcément super intéressant. Surtout que la métaphore de Dean qui devient le père pour Platon et pour la fille je trouve ça un brin culcul.
    Et puis c'est un brin machiste, la passation de "pouvoir" entre le père de la fille et son "mari" elle a toujours besoin d'un homme et blablablabla…
    Et puis je n'ai pas trouvé Dean si "beau" que ça, ni qu'il jouait si bien, faut que je vois à l'est d'eden pour me faire une autre idée, mais disons que j'ai été déçu.
    C'est pas chiant, mais c'est pas transcendant…
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    79 abonnés 834 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 mars 2014
    Rebel Without a Cause n'a absolument rien pour lui, ce film est d'une faiblesse incroyable à tous les niveaux et le peu proposé est d'un absurde et d'une incohérence à faire réagir mêmes les plus tolérants. Que ce soit l'intrigue même, inintéressante car quasi inexistante, ou les personnages dont on n'apprend rien et qui sont même franchement un peu flippants dans leurs comportements, tout est survolé dans le scénario qui, comme souvent à l'époque, a cherché à mélanger plusieurs genres sans jamais en approfondir aucun, l'exemple le plus flagrant étant la romance précipitée et totalement irréaliste entre Jim et Judy. Le fond est donc des plus mauvais qu'il soit et malheureusement la forme n'arrange rien car cette histoire est extrêmement mal mise en scène, mal montée et la musique ne cadre pas du tout avec l'action.
    yayo
    yayo

    65 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 février 2011
    Dire que James Dean a joué dans si peu de films sur grand écran, mais quels film! Dans la fureur de vivre tout son talent nous explose à la face.
    shmifmuf
    shmifmuf

    182 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 novembre 2012
    Le film mythique par excellence, qui traverse les époques plutôt pas mal, même si la société à bien évoluée depuis.
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