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    La Fureur de vivre
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    239 critiques spectateurs

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    Joce2012
    Joce2012

    208 abonnés 592 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mai 2023
    Revu ce film très ancien, ça a quand même bien vieilli et paraît assez démodé tant au niveau de l'histoire que de la muse en scène
    g0urAngA
    g0urAngA

    84 abonnés 1 735 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mai 2014
    Rebel without a cause est une vision plutôt brillante d'une adolescence au style mythique (blouson en cuir et jeans typique).

    Le film est à la fois un appel au secours et une fugue, le tout, sur une journée. Bref, une tragédie de l'existence, filmée avec beaucoup de sensibilités et de talents, de même pour les comédiens.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    56 abonnés 1 164 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 septembre 2024
    Le film a surtout un intérêt historique car traitant du mal-être des jeunes, plus particulièrement des « gosses » de la classe moyenne, roulant en voiture et allant à l’université (en Californie). Ils sont face à des adultes aliénés, velléitaires, démissionnaires et ne les écoutant pas : ce sont des jeunes incompris mais oisifs et acceptant le modèle machiste de la bande, avec un mâle alpha dominant qui brime le plus faible, qualifié de poule mouillée (chicken). Déjà, on voit la masculinité toxique qui règle ses problèmes par la violence, les défis idiots (course de voitures en haut d’une falaise) et les armes à feu (comme la police d’ailleurs), typique de la société américaine. Le sujet est évoqué, de façon plus réaliste, la même année (1955), dans « Graine de violence » (« Blackboard jungle ») de Richard Brooks (1912-1992). « West Side Story » (1961) de Jerome Robbins et Robert Wise, bien que comédie musicale, a un contenu plus social : les 2 bandes de jeunes qui s’affrontent, sont issues de milieux pauvres : les Jets, Américains d’origine polonaise et les Sharks (immigrés d’origine portoricaine). Avec le recul, le film reste surestimé, essentiellement en raison de la présence de James Dean, mort à 24 ans, qui n’a tourné que 3 films, celui-ci s’intercalant entre « A l’est d’Eden » (1955) d’Elia Kazan et « Géant » (1956) de Georges Stevens, sorti à titre posthume, l’acteur étant mort dans un accident automobile juste après le tournage du film de Nicholas Ray et un mois avant sa sortie. Les 2 autres protagonistes, Natalie Wood (17 ans), jouant Judy et Sal Mineo (16 ans), jouant Platon, auront aussi des destins tragiques, la première se noyant à 43 ans et le second étant poignardé à 37 ans par un vagabond. Le titre français est un peu excessif, moins fidèle à l’esprit du film que le titre original.
    Fabios Om
    Fabios Om

    52 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 septembre 2021
    Un film sur le sujet acceptation des autre et de son adolescence lors que l'on est à université, avec des coup bas de partout de l'amour et des voyou qui souvent nous prennent en grippe ce qui le cas ici . Un film sur la jeunesse en crise ( mais bon elle est toujours en crise jamais contente !) brosse le portrait de la jeunesse des classes moyennes durant les années 1950. mais la vie étaient moins divertissante que a notre époque mais justement moins de distraction pour être plus avec sa famille et ses amies . Des coup bas , une excellente interprétation de James Dean pour un de ses dernier film . On décroche malheureusement assez rapidement .

    résumé :
    Un jeune homme qui viens d'arriver à los Angeles avec ses parent et pris en grippe par des étudiants qui lui lance de nombreux défis humiliant au cours de l'un d'eux un des étudiants trouve la mort . James Dean décide de voir la police malgré l'interdiction de ses parents .

    C'est un film qui laisse assez passif en fait, et ne dégage pas grand chose passe temps intéressant pour comprendre le charme rebelle du mythique James Dean, mais pas un film qui restera dans mes annales loins de la !
    thethythy
    thethythy

    22 abonnés 434 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 juillet 2011
    Sans James Dean comme acteur principal, ce film n'aurait pas connu si grand accueil aussi bien critique que populaire. C'est en effet lui qui "crève" l'écran et porte à bout de bras l'histoire d'une jeunesse américaine riche mais perdue, sans idéal, dans un monde de fous. Ce qui fut montré dans ce film, se retrouve aujourd'hui mais avec encore plus de violence.
    Redzing
    Redzing

    1 145 abonnés 4 494 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2012
    L'intrigue de "Rebel without a Cause", se déroulant sur une journée, est assez étrange et décousue. Mais le film vaut surtout pour la mise en scène de Nicholas Ray, et pour son trio d'acteurs principaux. James Dean, mort avant la sortie du film, deviendra une légende avec ce rôle de jeune sans repère, désabusé, et autodestructeur. Quant au film, il fera office d'emblème d'une génération en présentant un mal-être profond, bien loin de l'american way of life.
    Acidus
    Acidus

    735 abonnés 3 720 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 juillet 2012
    Un peu mieux qu' "A l'est d'Eden", premier grand rôle de James Dean, la pauvreté du scénario et de la mise en scène handicape une nouvelle fois ce "La fureur de vivre". La réflexion sur une jeunesse désenchantée reste intéressante d'autant plus qu'elle est toujours d'actualité mais cela n'en fait pas pour autant un bon film. Le succés de "La fureur de vivre" s'explique en grande partie par son acteur principal alors considéré comme l'icône du moment.
    Ti Nou
    Ti Nou

    508 abonnés 3 505 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 novembre 2010
    Nicholas Ray évoque le mal-être de la jeunesse avec suffisamment de justesse pour que "La fureur de vivre" devienne intemporel et universel. Chaque génération peut s'identifier et s'attacher à ce récit.
    Parkko
    Parkko

    161 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mars 2012
    Le film est très intéressant quand il s'intéresse aux adolescents. Du moins durant sa première partie. Il est parfois plus pertinent encore aujourd'hui que la grande majorité des films du genre qui sortent sur nos écrans maintenant. Par contre il est d'un immense machisme quand il s'intéresse aux relations de couple, et en plus c'est vraiment pas fin. Comme la fin, qui, malheureusement, s'enlise et devient une sorte de grand n'importe quoi. Mouais. Dommage, car le début était vraiment intéressant, et James Dean vraiment très bien (quel charisme).
    loulou451
    loulou451

    123 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 janvier 2012
    Revu récemment, la Fureur de vivre n'a pas vraiment perdu de sa qualité originale qui réside dans l'interprétation ahurissante de James Dean et dans la mise en scène époustouflante de Nicholas Ray. A leur côté, Natalie Wood et Sal Mineo font ce qu'ils peuvent pour tenir la distance, mais le duo les éclipse totalement. Pour le reste, au-delà de la flamboyance de la mise en scène, on regrettera les faiblesses d'un scénario plutôt conventionnel. A voir pour James Dean bien entendu.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 août 2014
    Rebel without a cause a accédé à la postérité principalement grâce à la présence de James Dean dans le rôle principal : son jeu m'a paru parfois inégal, notamment dans un premier quart d'heure vraiment poussif, mais force est de constater qu'il ne manque pas d'exercer une forme de fascination dans son rôle de jeune adolescent torturé, où sa figure d'ange fait merveille. Face à un gang de blousons noirs, il se voit contraint de se mettre en danger et de révéler sa force, une facette de lui-même qui lui déplaît profondément. Le film prend petit à petit de l'ampleur au travers des péripéties de ces groupes d'adolescents incontrôlables, et s’avère agréable à suivre. Oeuvre culte de l'époque, elle ne m'a cependant pas paru renversante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 août 2009
    Il faut savoir qu’avant que ce film sortit sur les écrans le 27 Octobre 1955 en rencontrant un énorme succès commercial et fit alors de James Dean un mythe, celui-ci trouva la mort auparavant, à 24 ans dans un accident de voiture le 30 septembre 1955, alors qu’il s’apprêtait à participer à une course automobile. Il faut dire aussi qu’aujourd’hui que le mythe est quand même attaqué car si James Dean est devenu un monstre sacré du cinéma, certaines critiques remettent toujours en cause sa légitimité en pausant la question si le comédien a pu faire suffisamment ses preuves en seulement 3 films. Toujours est-il, que James Dean a incarné à son époque, un idéal de jeunesse grâce à ce film générationnel tel que la fureur de vivre, en y interprétant un jeune rebelle, sensible et incompris, mal dans sa peau et angoissé.

    Et ce drame humain racontant les 24 H de la vie de trois adolescents en quête de repères, évoque à la fois la solitude de l'adolescence, la difficulté de communication entre adultes/jeunes, les premiers amours et la violence d’une certaine jeunesse en quête d'une raison de vivre. Par ailleurs, il est intéressant de voir dans cette œuvre tendre, lyrique et violente que l’origine de leur mal être ou de leur emportement, vient du fait que les 3 personnages principaux se sentent seuls, abandonnés ou incompris par leurs parents, et ce film a le mérite ainsi de montrer l’importance du rôle de la famille ou d’une bonne compréhension/communication entre enfants/parents. Le film souligne aussi à travers un scénario assez simple que les 3 jeunes protagonistes de l’histoire étant en quête d’affection et de reconnaissance, sont animés par une relation difficile avec leur père. C’est ainsi l’absence d’autorité et de repères qui perturbe Jim, la condamnation de la sexualité tout en rejetant la tendresse de sa fille qui oppose Judy à son père, où c’est l’absence totale des parents notamment du père, qui trouble fortement Plato.

    Mais dans ce film intempor
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 mars 2018
    Le thème est intéressant pour un film au final conventionnel, banale histoire d'ennui de jeune en manque de sensation forte jouant avec le feu avec cette association de voyous, un scénario prévisible, la partie du jeu qui se termine mal, difficile de s'émouvoir, la célèbre légende posthume de James Dean dans les mémoires, un acteur glamour à retenir qu'a une performance hors norme, il rentre dans le commun des mortels, je n’ai pas été marqué.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 juin 2012
    En 1955, Nicholas Ray (qui avait déjà réalisé "Le violent" avec Bogart et "Les diables de Guadalcanal" (son deuxième film le plus connu aujourd'hui) avec John Wayne) met en scène James Dean (tout juste sorti de "A l'est d'Eden" (1954), on le retrouvera dans "Géant" de Stevens et décèdera, au volant de sa Porsche, 2 semaines après la fin du tournage), Sal Mineo (revu par la suite dans "Marqué par la haine" de Robert Wise et "Les cheyennes" de John Ford, lui aussi mort dans un accident d'avion en 1976) et Nathalie Wood (révélée par ce film, elle jouera ensuite dans les non moins célèbres "West side story" (toujours du même Wise !) et "La fièvre dans le sang" (aussi de Monsieur Kazan) notamment avant de mourir noyée (en 1981)) pour en faire un film sur le problème de l'adolescence.
    Ces trois stars montantes apportent toutes le tonus du film. La génération rebelle est vue au travers de l'incompréhension des adultes, mais aussi par une jeunesse qui se recherche. En celà, Sal Mineo apporte tout son savoir-faire dans ce domaine puisque son rôle est écrit avec fragilité mais détermination. Pour la scène qui apporte son devoir de mémoire, il s'agit bien sur de la course de voiture à côté de la falaise où la cool attitude est fraîchement apportée par James Dean. Nathalie Wood porte non seulement la touche féminine du film, mais fait en sorte de marquer de sa griffe "La fureur de vivre" : elle est la raison de vivre de James Dean, une sorte de confidente, mais aussi un moteur important pour l'histoire de la nuit de folie qu'ils vont vivre. Elle a la pêche et le transmet d'une façon complètement communicative que James Dean en tombe amoureux. Tout son talent est exprimée et cela crève l'écran.
    Tous les trois concourent ainsi à la réussite du film, mais malgré cette réalisation "classique", Nicholas Ray apporte son savoir-faire, et James Dean toute son aura démystifiante qui a l'art d'irradier l'écran de par une présence (un charisme) et une nonchalence tout à fait exceptionnelle.
    "La fureur de vivre" se démarque par ces qualités (scénaristique aussi, car Nicholas est à l'origine du script, ce que je prends le temps de souligner) qui font, à ce jour encore (57 ans après sa sortie !!!) un film toujours d'actualité à cause de son sujet.
    Film mythique aussi de par l'interprétation générale sans (aucune !) faille, tous morts tragiquement par la suite (mais aussi par la réalisation qui donne le ton grâce à un générique de début bougrement efficace).
    "La fureur de vivre" est donc à voir impérativement une fois dans sa vie pour une culture cinématographique inoxydable.
    A noter : Dennis Hopper tient ici l'un de ses tout premiers rôles !!! On le connaît tous pour ses interprétations dans "Apocalypse now" ou "Easy rider". Mais on l'a aussi vu aux côtés de John Wayne ("100 dollars pour un shérif") et Viggo Mortensen ("The indian runner").
    Tendax_montpel
    Tendax_montpel

    33 abonnés 631 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 avril 2010
    James Dean est superbe dans ce film qui a l'ambition de porter à l'écran une génération. La forme a un peu vieilli mais le fond reste assez actuel, décrivant l'énergie de la jeunesse qui se heurte au vide. La surprise provient du scénario, notamment dans le dernier tiers du film, avec un vrai renversement des points de vue.
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