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    La Fureur de vivre
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    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    527 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mars 2016
    James Dean est mort à 24 ans avant d’avoir vu le film en salle, cela accentue son coté tragique que son l’aspect théâtral avait déjà sacralisé. ‘’La fureur de vivre’’ est malgré ses quelques défaut un des plus beaux témoignages du cinéma sur la jeunesse à problème, celle qui souffre terriblement de manque d’affection familiale et qui l'utilise pourtant pour justifier ses comportements. Question cinéma, c’est magnifique; le CinémaScope est manié de main de maitre dans des lieux clos qui rappellent la fin du monde évoquée dans le planétarium, les gros plans sur Jim associé à Judy sont d’une beauté absolue et la composition des images un régal constant. Seul bémol à mon sens, la composition de Sal Mineo trop jeune pour être ici un bon acteur (14 ans, il sera infiniment meilleur en Dov Landau dans ‘’Exodus’’) et dont on comprend mal l’importance du rôle. Les deux célèbres scènes de violence : le combat au couteau et la course de voiture sont des modèles du genre, à voir et revoir comme témoignage du talent de Ray lorsque la violence l’inspire. Le lyrisme qui se dégage parfois des lieux de tournage apporte à l’ensemble une note artistique marquée…Qui peut prétendre en voyant ‘’La fureur de vivre’’ que ce cinéma là n’est pas de l’art? Dean, Wood, Ray trois artistes aux terribles destins qui nous donnent tant de plaisir!
    Ricco92
    Ricco92

    182 abonnés 2 093 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2018
    Second film mettant en vedette James Dean sorti moins d’un mois après sa mort, La Fureur de vivre est un film toujours aussi mythique plus de 60 ans après sa sortie. Le blouson rouge de l’acteur, le combat au couteau et la course de voitures restent gravés dans tous les esprits. Quelques mois après la sortie de Graine violence, Nicholas Ray dépeint une jeunesse délinquante cette fois issue des beaux quartiers. Celle-ci semble perdue en partie à cause de l’échec de la cellule familiale : le père de Jim, plein de bonne volonté, ne possède aucune autorité et est écrasé par sa femme (au point qu’il porte un tablier féminin dans une séquence) ; le père de Judy ne lui manifeste aucune affection ; les parents de Platon sont absents (sa mère est constamment en voyage et son père ne donne plus de nouvelles) et c’est une tutrice qui l’élève… Ces jeunes sont interprétés par une nouvelle génération d’acteurs brillants : James Dean (devenu une star pendant le tournage avec À l’est d’Éden, ce qui poussa la production à retourner toutes les séquences déjà réalisées afin que le film soit en couleurs et non plus en noir et blanc), Natalie Wood (bien qu’elle soit présente sur les écrans depuis qu’elle a 4 ans), Sal Mineo, Dennis Hopper (dont c’est la première apparition à l’écran)… La Fureur de vivre est donc une étape importante dans la reconnaissance de l’adolescence comme étant un âge à part dans la vie et comme ayant sa propre culture (Elvis Presley devient réellement une star quelques mois plus tard) mais est également un film très puissant servie par un cinémascope aux couleurs flamboyantes (alors qu’à cette époque les drames sociologiques étaient surtout réalisés en noir et blanc et en formats moins larges). Ainsi, malgré un petit détail narratif oublié dans sa conclusion (ce qu’il reste de la bande de Buzz va-t-elle continuer à vouloir se venger ?), La Fureur de vivre est une véritable réussite du cinéma hollywoodien qui transforma en icône un acteur au jeu révolutionnaire trop vite disparu : James Dean.
    Alain D.
    Alain D.

    507 abonnés 3 212 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juillet 2015
    Une belle photographie et une très grande réalisation de Nicholas Ray de 1956. Cette belle histoire symbolise l'adolescence rebelle de James Dean qui exprime à la perfection le malaise de la jeunesse américaine. Malgré quelques incohérences dans le scénario, ce drame passionnant vous envoute pour ne plus vous lâcher. L'histoire, dont les ingrédients de base sont : amitiés, bravoure et honneur évoque également les amours d'ados et les conflits parentaux. Des interprétations magistrales de Natalie Wood dans le rôle de Judy et de James Dean, qui crève l'écran dans la peau de Jim Stark. Excellents seconds rôles pour Sal Mineo (John) et Corey Allen (Buzz).
    Judy se retrouve au poste de police, tout comme Jim Stark qui s'est fait ramasser pour ivresse sur la voie publique et John Crawford qui a tiré sur un animal. Jim, Judy et John vont au même lycée de Dawson. Jim, nouveau au Lycée (il vient de déménager), s'intéresse à Judy. Mais elle est l'amie de Buzz, le chef de la bande de voyous du lycée. Ils ont tous 16 à 18 ans et veulent prouver qu'ils sont des Hommes et pas des dégonflés.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 15 avril 2012
    Quand on voit ce film pour la première fois au 21e siècle, on se demande bien comment ces enfantillages, parfois ridicules, ont pu donner à ce film le statut de culte.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 avril 2013
    Deuxième films du regretté James Dean confirmant l'immense talent qu'il possédait en lui. A ses côté se mêle la très belle Nathalie Wood et le torturé Sal Mineo comme pour renforcer la légende de ce film aujourd'hui culte les trois acteurs connurent une mort prématuré.
    Une oeuvre incroyable dressant un portrait sans concession d'une jeunesse en mal de sensation et révolté incarné par la présence de Dean qui fut proclamé icône de toute une génération. A l'image d'un Brando dans "L’Équipée Sauvage" les scènes ou Dean intervient semble être en apesanteur, retenant son souffle pour voir ce qui va se passée comme dans cette scène spoiler: du duel de couteau ou cette course au bords de la falaise
    .
    Bref une oeuvre culte à voir ou revoir sans modération!!!!
    ptiverat
    ptiverat

    12 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2013
    Bien sûr ce film ouvre les portes à tous les futurs teenage movies et est la quintessence du drame éternel : l'incompréhension des adultes envers leurs ados (ou vice-versa c'est pareil) . Si les moyens de délinquance des 50's semblent ridicules aujourd'hui, comparés à la violence actuelle des gangs et de leurs gangbangs (portes tournantes) sexuels, il n'en reste pas moins qu'une révolte est une révolte. Bien sur aujourd'hui les parents écoutent leurs enfants-rois mais les enfants-rois se transforment quand-même en ados rebelles. C'est dans l'optique du conflit éternel inter-générationel qu'il faut regarder ce film qui évidemment vieillit assez mal, qui fut coupé par les censeurs et dont les 3 protagonistes principaux sont morts de façon tragique ( Nathalie Woods noyé à 43 ans, Sal Mineo assassiné dans son stationnement à 37 ans et Dean dans un accident de voiture à 25 ans).Tout un programme quand on a cela en tête!
    Il a un certain charme suranné et on rêve d'un monde qui pourrait revenir à tant de violence innocente! Les courses de voiture d'antan sont proches du car surf de notre époque ( quelques degrés au-dessus) et les baisers se donnent maintenant presqu'au berceau mais les années passent et quelque chose demeure et c'est effectivement cette fureur de vivre.

    Reste que le film souffre de plusieurs lacunes et non le moindre étant l'âge de Dean pour jouer les ados de 17 ans! Dean n'a pas l'air de 17 ans et d'un étudiant de High school américain ( et dire qu'ils voulaient prendre Brando????) contrairement à Sal Mineo, casting parfait et qui se révèle très bon. D'ailleurs la plupart des membres du gang sont trop vieux pour être crédibles. Seul Mineo l'est et, à la limite, Woods.

    La deuxième grande lacune est l'éclairage surtout dans la partie finale tournée au Planétarium , et au manoir du millionnaire Jean-Paul Getty ( détruit après le tournage). Sur mon dvd remasterisé on y voit souvent à peu près rien! Erreur moderne ou ancienne je ne sais?

    Pour nous spectateurs de l'ère moderne(?) la tension scénaristique du film est beaucoup plus douce qu'elle ne devait l'être aux spectateurs des années 50. Nous en avons tellement vu que nous sommes comme des pornos addicts qui en réclament toujours plus pour faire bander, ici, nos esprits. Parlant de sexualité il y a une tension presque homosexuelle entre Dean et Mineo et les scénaristes et le réalisateur s'en sont bien défendus. Reste que la quête du personnage de Mineo, pour celui de Dean, semble dépasser la quête du petit frère se cherchant un grand-frère.

    Bon tout cela est correct, sans plus, comme le jeu de Dean que je ne vois vraiment pas en quoi il est si spectaculaire et unique! Voyons voir pourquoi tout joue pour lui:
    1/ le contexte de l'époque. il reste un rebelle dans ce film qui veut entretenir un dialogue avec ses parents et refuse de couper les ponts. Un rebelle gentil finalement que tous peuvent aimer.
    2/ le fait que son type de jeu fait de vulnérabilité était plus vu au théâtre et rarement joué au cinéma par des acteurs masculins. Il est le premier à oser.
    3/ Au premier abord,strictement du point de vue jeu, sa notoriété me semble surfaite et l'évidence de sa grandeur ne m'apparaît pas ici contrairement à Brando! Mais le mystère de Brando crève plus facilement l'écran que la révolte juvénile et tragique de Dean. celle-ci par contre devient accessible à tous en un clignement d'oeil. Son charme juvénile est puissant et tous peuvent croire que James pourrait être dans leur gang ou leur petit ami et ce contrairement à Brando dont le jeu et la beauté trônent dans des sphères inaccessibles.

    4/C'est un très bon acteur, doué d'un charisme certain, avec un sens de l'improvisation maîtrisé (la scène d'ouverture) et des silences bien nourris. Son mythe réside plutôt en ce qu'il fut le premier à incarner sur l'écran la rébellion de toute une jeunesse. En cela la cause dépasse le jeu de l'acteur certes talentueux. Il portait à l'intérieur de lui, de sa vie d'orphelin, les éléments qui allaient alimenter son jeu; le tout aidé par un physique qui le rend vulnérable et attachant, une timidité et une fragilité si désirable, et surtout cette vie cohérente entre les rôles qu'il choisissait et son quotidien. Rien de banal! tout pour faire rêver, tout pour s'inscrire dans une légende fulgurante. Par cette cohérence et cette intégrité, l'homme devient un grand artiste, un symbole de toute une génération! il est unique et il devient difficile d'être objectif et de juger son jeu sur l'écran sans être avalé par la cause de Dean. Dean est un rebelle avec une cause!

    Pour s'être inscrit dans la légende cinématographique et pour avoir osé le premier film sur l'adolescence à partir d'un point de vue d'adolescents et aussi pour la superbe scène métaphorique du planétarium (est-ce là que Robert Lepage a piqué certaines idées?)et pour le mythe Dean, je veux bien accorder de peine et de misère un 3 étoiles! Je reste rebelle mais pour la cause cinéma!
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 838 abonnés 3 958 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 avril 2010
    Je viens de voir mon premier film avec James Dean, j'ai entendu pas mal de choses sur lui, et ce sur ce film, "les gens ont aimé car il était beau", "un grand film"…
    Il fallait que je fasse ma propre opinion.
    Ce film traite des manques de repères de l'adolescence, du passage à l'âge adulte etc. C'est pas mauvais, mais disons que ça a pas mal vieillit, je ne suis pas si vieux que ça et je n'arrivais pas m'identifier à un de ces personnages, ce film a perdu avec le temps son impact, il n'est pas universelle, contrairement aux 400 coups de Truffaut, l'enfance nue de Pialat ou même les gosses de Tokyo d'ozu, bien que ça traite de plus jeunes enfants.
    On peut psychanalyser la relation père fille de la donzelle et se son méga complexe d'électre, mais c'est pas forcément super intéressant. Surtout que la métaphore de Dean qui devient le père pour Platon et pour la fille je trouve ça un brin culcul.
    Et puis c'est un brin machiste, la passation de "pouvoir" entre le père de la fille et son "mari" elle a toujours besoin d'un homme et blablablabla…
    Et puis je n'ai pas trouvé Dean si "beau" que ça, ni qu'il jouait si bien, faut que je vois à l'est d'eden pour me faire une autre idée, mais disons que j'ai été déçu.
    C'est pas chiant, mais c'est pas transcendant…
    Benjamin A
    Benjamin A

    655 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mars 2014
    On peut regretter que ce film soit réduit à James Dean, en effet La Fureur De Vivre est avant tout un des meilleurs films traitant de la délinquance juvénile aux USA. On y suit le personnage de Jim Stark, brillamment interprété par James Dean, symbolisant le malaise de sa génération, vulnérable et déchiré comme en témoigne sa réplique "Vous m'écartelez !" criez à ses parents auprès de qui il cherche conseil. Jim se sent incompris par le monde qui l'entoure, ses parents, les gens de son âge, ses professeurs... Nicholas Ray étudie aussi la recherche de sensation forte à travers ce personnage. Avec d'autres âmes en détresse, Judy et Plato, ils se réfugieront dans une villa abandonné à Los Angeles à l'écart du monde pour une fin réussi et touchante. Certaines scènes sont superbes, à l'image de la course de voiture. Mise à part un James Dean bouleversant et qui retranscrit parfaitement la complexité de son personnage, les autres interprétations sont parfaites, à l'image de la toute jeune Natalie Wood. Un très bon drame et une ode à la liberté.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 6 janvier 2010
    Un film assez mou dans l'ensemble ou malgré une trés bonne prestation de J.Dean, on s'ennuie ferme. Certes les doublages y sont pour quelque chose mais quand même. Le titre tranche complètement avec la pseudo violence qui figure dans le film. Tout fait faux. Alors évoqué le mal être de cette jeunesse de l'époque c'est bien beau, évoquer le symbole paternel sous divers aspect c'est bien, mais bon faut y arriver au bout du film !
    yannick R.
    yannick R.

    96 abonnés 966 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 septembre 2010
    Un chef-d'oeuvre intemporel et universel qui parle d'amour, d'amitié, de rébellion face à l'ordre établi, et d'idéalisme.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 039 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 janvier 2016
    J'ai longtemps entendu parler de "La Fureur de vivre" comme étant le meilleur film de son défunt acteur, le mythique James Dean. Seulement voilà, un problème se pose : je l'ai vu y'a quelques semaines, et je dois vous confesser un détail vraiment gênant : le film m'a déçu au point de n'en n'avoir pas la moyenne. Fait étrange, je n'avais rarement vu de film de cet époque ayant tant vécu; pour un truc aussi culte, et avec une telle réputation, c'est un peu comme une gifle que je me suis prise en plein visage. Non parce qu'il faut quand même avouer que c'est terriblement kitsch, au jour d'aujourd'hui; non pas que ce soit un critère de notation ( heureusement d'ailleurs ), mais dans l'appréciation globale de l'oeuvre, ça entre forcément en compte.En est-il pour le moins absolète? Je serai plutôt enclin à vous répondre positivement et, bien entendu, je vais vous dire pourquoi. Premièrement, c'est dû au travail de Nicholas Ray derrière la caméra, qui signe une oeuvre certes bonne, mais loin d'être intemporelle. De plus, le travail sonore a franchement pris un coup de vieux, du genre violent. L'interprétation globale donne elle-même cette impression; elle est vraiment dépassée, plutôt clichée, stéréotypée, quand on y réfléchit. Pourtant, je dois reconnaître aux acteurs qu'ils jouent bien; je pense qu'il est inconcevable de dire que Dean était mauvais. Extrêmement charismatique et investi dans son rôle, il se donne à fond, impressionnant notamment de par sa sensibilité. Seulement, voilà qu'ils ne sont jamais aidés par les dialogues de l'oeuvre, vieillissants, cuculs, ridicules parfois; faut quand même avouer que certains moments tombent dans le stéréotype à l'eau de rose; le moment où elle parle des lèvres de James Dean, c'était vraiment trop pour moi; j'ai pas pu tenir mon attention plus longtemps sur les répliques que les mecs s'envoient ( pendant cinq minutes seulement, je vous rassure ). Mais attention, tout dans le film n'est pas à jeter; le scénario, par exemple, se révèle original dans le fond, et vraiment convaincant dans sa forme. Les thèmes rebattus restent d'actualité ( peut-être la seule chose qui n'a pas vieilli dans l'oeuvre ), notamment au sujet de cette jeunesse pas du tout en phase avec son temps ( rappelant notamment, plus de dix piges plus tard, Mai 68 ). Bien trouvée, l'idée de base est bien exprimée et mise en place. Mais voilà que quelque chose coince : détail tout bête, la raison pour laquelle les trois bad guys s'en prennent au héros reste flou. Non seulement c'est tiré par les cheveux, mais c'est pas crédible une seconde. Car voilà ce qui manque cruellement au film : du réalisme. C'est aussi cela qui l'a poussé à vieillir si vite, je pense. La plupart des évènements ne sont pas assez solidement ancrés dans le réel pour s'avérer crédible. De plus, un réel défaut d'écriture se trouve sur les personnages, surtout sur Platon, terriblement mal foutu, au niveau de la personnalité. Loin de moi l'idée, cependant, de dire que tout est mauvais; comme je l'ai déja écris plus haut, des qualités persistent ( il en fallait bien pour une note pareille ). Les plans, recherchés et originaux, affichent un fort désir de se démarquer des autres; c'est original, joli, agréable, en bref, c'est tout ce que j'attendais.J'ai notamment apprécié le travail sur les couleurs, surtout permit par le technicolor, véritable bonheur visuel. Pour le coup, c'est vraiment agréable à regarder, notamment durant la scène d'attaque dans le manoir abandonné, vraiment bien foutue. Vous l'aurez compris, "La Fureur de vivre" fut une véritable déception. Non pas que ce soit mauvais, c'est juste décevant. Dommage, je m'attendais vraiment à mieux. Loin d'être intemporel.
    sly-stallone88
    sly-stallone88

    164 abonnés 2 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2012
    le film culte qui consacra James Dean !!! incontournable mais vieillissant !!!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 avril 2012
    Ensemble intéressant et bien construit. Cependant, ce film manque tout de même d'originalité et de génie. Nicholas Ray aura fait bien mieux !
    Laurent H
    Laurent H

    38 abonnés 1 016 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 novembre 2010
    La colère d'un jeune homme dans les annee 50, c'est valable encore maintenant.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 août 2011
    Un des pires films que j'aie jamais vus, tellement bizarre et a cote de la plaque que j'ai cherche tout le long la raison pour laquelle il est connu... en vain.
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