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    Les Bien-aimés
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    benoitG80
    benoitG80

    3 409 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 septembre 2011
    "Les Bien-aimés" sous l'apparence légère que ce film donne à voir, est en réalité d'une profondeur rarement égalée au cinéma ! Le thème de l'Amour autour de la dualité "aimer/être aimé" fait l'objet d'une étude soignée et sensible ! Au fur et à mesure du temps qui passe, des années qui s'écoulent, l'histoire gagne en épaisseur, l'émotion est prenante...
    Le tout est de plus porté par des acteurs qui jouent au plus juste, qui nous touchent au plus profond.
    L'aspect comédie musicale n'est pas si anodin, les paroles des chansons sont en effet riches de sens tout comme l'est le cinéma de Christophe Honoré !
    Du vrai cinéma ! Bravo !!!
    Antonin T.
    Antonin T.

    37 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juin 2013
    Très belle fresque d'Histoire d'amour.
    J'ai bien aimé!
    shmifmuf
    shmifmuf

    178 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 septembre 2012
    La référence à Jacques Demy et le côté rétro du film sautent aux yeux. Mais Christophe Honoré est avant tout un réalisateur encré dans son époque (comme Alex Beaupain est un compositeur de son temps). Il réussit à faire cohabiter ces 2 choses avec un talent et une finesse rare.
    En résumé j'ai bien aimé.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2013
    Une comédie musicale caractéristique du cinéma d'Honoré entre légèreté et mélancolie, le tout acidulé avec les chansons entraînantes d'Alex Baupain, mais ce film choral a quelques longueurs.
    Moins bien au final que "les Chansons d'amour".
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 janvier 2013
    Non. non. non, non. Terriblement ennuyeux. Un scénario un jour peut-être ?
    cineccita
    cineccita

    46 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 septembre 2011
    Tout est beau dans ce film; les acteurs, les dialogues, la mise en scène...Christophe Honoré nous gratifie d'une petite perle.
    Acidus
    Acidus

    716 abonnés 3 707 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 décembre 2017
    Ce film de Christophe Honoré ne m'a pas emballé. Son scénario a tendance à partir dans tous les sens et on ne voit pas où souhaite nous mener le cinéaste. De plus, l'intrigue n'est guère intéressante, un peu niaise, et les chansons qui la parsèment n'apporte pas grand chose. La longue durée du film vient rajouter à notre calvaire. Les quelques bonnes idées de mise en scène d'Honoré ne viennent pas sauver ce long métrage ennuyeux et convenu.
    dejihem
    dejihem

    137 abonnés 672 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 août 2011
    S’IL VOUS PLAIT PAS D’INJURES mais là j’ai trop mal à ma fibre artistique, exigeante et tout et tout, je me sens out, trop de colère, trop peu de sentiments, overdose de parisianisme, de stupidité, de platitudes amoureuses, de CléoDeCinqAseptisé et d’oreilles en feu.
    UN FILM D’HORREUR !
    Tellement mal foutu, de mauvaises transitions, pas d’inventions que là ÇA SUFFIT, le cinéma français est mort, l’anéantissement nous guette : à l’aide je me noie, ma cassette, ma casquette, mes dévédés chéris de Kubrick, d’Almodòvar et de Wong-Kar-Waï à revoir d’urgence tellement je manque d’oxygène cinématographique !!
    Après ces instants fébriles dus au supplices du film de M. Honoré (mais je ne le suis pas) que je n’ai pu supporter qu’une petite heure en regardant ma montre toutes les cinq minutes :MERDE A LA FIN !
    Déjà que je suis allergique aux films « en-chantés » de Jacques Demy alors que les musicals américains sont parfaits (West Side Story, Carmen, Cabaret,… enfin pas tous américains mais ceux-là au moins ils ont de la gueule, du contenu, du vibrato, quelque chose de Jean-François Zygel -là je veux montrer que je regarde et que j’écoute les bonnes émissions de l’été-) et qu’il y a un peu de nouveauté formelle…
    UN PEU DE CRITIQUE CONSTRUCTIVE : là, coco, j’aurais plutôt choisi Maria de Medeiros et Béatrice Dalle, c’est quand même plus original, et coco Beaupain, tes chansons, je les aurais justes chantées a cappella, sans instrument, à la façon de belles voix comme les sopranos colorature, contre-ténors, contres altos et consorts, avec de meilleures transitions sonore PARCE QUE LÀ C’EST CHIOTIQUE ET MAL FILMÉ.
    Quant à Louis Guichard, de Télérama, on se calme, on boit frais et on retourne en vacances à Saint-Tropez!!
    octopus_fr2002
    octopus_fr2002

    72 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 septembre 2011
    Quel ennui!!! Ai cru que ça ne finirait jamais! Quelle musique lamentable! Quelles paroles idiotes!
    Pauvre Catherine! Comment ose-ton lui faire jouer des rôles aussi benêts? Que de poncifs à la mode!
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 27 août 2011
    Les bien-aimés a été diffusé après la remise des prix à Cannes. Nous avions faim, soif, sommeil, froid : nous ne tînment pas.

    On en avait vu la moitié, avec des choses sympathiques et d'autres beaucoup moins... sans pour autant que les mauvais côtés nous dissuadent de voir le film dès qu'on en aurait l'occasion.

    On entend souvent qu'il y a les anti et les pro Honoré. Nous ne sommes ni anti ni pros. On aime "Dans Paris", "17 fois Cécile Cassard" ou "La belle personne". On trouve que "Ma mère" est objectivement raté.

    Venons en au fait. "Les bien-aimés" n'est certainement pas le pire film que l'on ait vu cette année. Il est cependant très inégal voire raté.

    Les personnages sont "hystériques" au sens psychiatrique du terme : incapable d'aimer en réciprocité, toujours à courir après qui les fait souffrir et les fuit. Madelaine (Ludivine Sagnier/Catherine Deneuve) est unefemme qui trouve sympathique de se prostituer et ensuite d'épouser un homme pour son bien-être matériel. Elle lui dit je t'aime alors qu'elle pense le contraire voire "ne peut plus voir sa gueule". Difficile d'avoir de l'empathie pour ce personnage. Idem sa fille, quant à elle, aime un garçon qui ne peut l'aimer et fait languir un "pauvre" garçon interprété par Louis Garrel. On trouvera donc un peut primaire ce résumé de l'Etat amoureux.

    Tous les personnages semblent se confondre : ils souffrent mais sont tous très libérés, très youpi on se prostitue, on le fait derrière une porte, pendant qu'un autre pleure juste à côté, dans le hall d'un immeuble, on se retrouve à l'hôtel, à trois. Ce qui donne des scène proches du théâtre de boulevard -"cache toi dans le placard" et des scènes d'amour que Polanski décrivait comme inésthétique "le c.. qui bouge, je trouve ça obscène, gênant."

    Ludivine Sagnier (une de nos actrices préférées) est peu crédible en Deneuve jeune : tout cinéphile garde en mémoire Deneuve jeune et donc le transfert ne se fait pas -idem pour la jeune fille qui joue Chiara Mastroianni ado. Louis Garrel, à contre-emploi, est tout aussi peu vraisemblable ; surtout dans la partie où il est censé avoir presque la quarantaine. Milos Forman est un grand cinéaste, mais un mauvais acteur. Les coups de théâtre boulevardiers sont à la fois convenus et mal venus. La photographie, âpre, n'est pas tendre avec les acteurs.

    Dommage car les 1ers plans du films et certaines scène peuvent être jolies -mais c'est peu en 2h30.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    91 abonnés 406 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 août 2011
    Étalé sur plus d’un demi-siècle, de Paris à Montréal, en passant par Prague et Londres, le film est une immense fresque qui interroge la condition d’aimer et d’être aimé au travers du destin de deux femmes : Madeleine la mère et Véra sa fille. Commencé dans l’allégresse de l’amour naissant et ses promesses, Les Bien-aimés bascule rapidement dans le drame et la tragédie, non seulement parce que les événements de 1968 en Tchécoslovaquie rattrapent les protagonistes, mais aussi parce qu’à titre personnel l’usure et les désillusions ont commencé à produire leurs désastreux et inexorables effets. Dans les deux heures suivantes qui voient ainsi défiler le temps des années 70 au milieu des années 2000, le ton et l’atmosphère gagnent en gravité et en tragédie. Si dans Les Chansons d’amour, la mort constituait au final une opportunité à redémarrer, fût-ce dans la douleur et les crises, elle apparaît davantage ici comme une finalité indépassable, ou au prix d’autres sacrifices libératoires. L’amour n’est décidément pas heureux et encore moins durable, gangréné par les trahisons et les compromissions. Mais, outre le constat noir et ö combien réaliste de l’échec amoureux, Les Bien-aimés est aussi un grand film sur le manque : celui d’un père ou d’un amant. Un manque que le temps amoindrit ou transforme, mais n’abolit jamais. En ancrant son nouveau long-métrage dans la durée – les décennies qu’il traverse et les 140 minutes de projection – Christophe Honoré a tout loisir d’analyser les ravages du temps. Catherine Deneuve, nouvelle venue dans la troupe, jouant le rôle de Madeleine adulte, confesse que pendant longtemps « on ne voit pas le temps passer, et que d’un coup on sait qu’il ne va plus rien se passer ». Cruelle remarque d’une femme que les épreuves n’ont pas épargnée.
    Dans une des chansons, composées et arrangées par le fidèle Alex Beaupain, Chiara Mastroianni, fabuleuse de bout en bout, déplore que le temps des chansons soit terminé. Derrière ce malicieux clin d’œil à son rôle de Jeanne, Christophe Honoré réalise un film terriblement dépressif à l’image des chansons tristes et mélancoliques qui le rythment. En dépit du changement radical de tonalité, la manière de filmer la nuit ses comédiennes déambulant et chantant, fumant sans fin, de les saisir en plans rapprochés et de capter par instantanés les ambiances des villes ne trompe pas. Ne dérogeant pas à ses habitudes (tournage rapide, fidélité aux équipes), le réalisateur de Non ma fille, tu n’iras pas danser franchit une étape supplémentaire en réussissant pleinement cette fresque ambitieuse sans rien renier de ses anciennes méthodes. Dans le parti pris de romanesque qu’il revendique, tournant résolument le dos au cinéma social, Christophe Honoré, audacieux et brillant, se pose de plus en plus comme le digne héritier de Jacques Demy : parce qu’il fait chanter ses interprètes, mais aussi parce qu’il est en train de créer un univers personnel et reconnaissable, signe indiscutable d’un véritable talent. C’est aussi pour cela qu’il divise et nourrit autant de controverses.
    tixou0
    tixou0

    696 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 août 2011
    Histoire de Madeleine, de 1964 (elle a alors 20 ans) à 2010 : ses amours (Jaromil le médecin passion et François le garde républicain raison), sa fille Vera (perdue entre deux hommes elle aussi : Clément prof comme elle et romancier, et Henderson l'Américain, musicien gay et séropositif), sa légèreté et ses douleurs (les disparitions de Jaromil et de Vera). Une histoire somme toute plutôt ordinaire, tout juste effleurée par l'Histoire : Printemps de Prague - Madeleine fuit alors la Tchécoslovaquie avec sa fille de 4 ans, le pays de Jaromil - 11 septembre, quand Vera détournée sur Montréal y trouvera le terme d'une existence insupportable. Ambiance roman-photos au début du film, virant au mélodrame, et carrément au drame, au fur et à mesure de cette chronique familiale, le tout relancé régulièrement façon comédie musicale par des intermèdes chantés - on retrouve là avec plaisir le Christophe Honoré des "Chansons d'amour", mais pour un récit plus ample et parfaitement maîtrisé.
    C'est un brin longuet, mais cela se voit sans ennui, et l'interprétation, dans l'ensemble, est un vrai plus : citons surtout Chiara Mastroianni qui réussit là une superbe performance en Vera, toute en fêlures, Paul Schneider (Henderson), Rashda Bukvic (Jaromil jeune, du charisme à revendre) et Michel Delpech (pour qui ce coup d'essai est un coup de maître - absolument parfait en François vieillissant). Mais Ludivine Sagnier est agaçante comme à son ordinaire (le seul avantage est qu'elle fait une Madeleine jeune crédible sur le plan physique) et l'inévitable Louis Garrel (Clément) tout autant. Reste "Madeleine" : assez bonne composition de Catherine Deneuve, dont on regrettera seulement qu'elle n'ait l'âge du rôle que pour le dernier quart d'heure de ces "Bien-aimés" (par antiphrase, un peu comme les "Bienveillantes").
    Parkko
    Parkko

    159 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 septembre 2011
    Qui se dévoue pour expliquer à Christophe Honoré que le cinéma c'est aussi des personnages et des situations ? C'est impressionnant le nombre de choses qui ne se passent que dans le cinéma d'Honoré. Cette accumulation de scènes insensées, de protagonistes incohérents fatigue plus qu'elle n'amuse. On a bien du mal à s'intéresser à ce scénario qui se perd sur beaucoup de thèmes différents sans jamais réellement choisir et les retournements de situations improbables et incroyables. Comme si cela ne suffisait pas, Christophe Honoré accumule les symboles lourdeaux qu'il voudrait lourd de sens, mais qui ne font finalement, que plomber un film qui n'avait pas besoin de ça.
    Alors certes, on sent un travail dans la mise en scène. Mais je n'ai jamais trouvé qu'il parvenait bien à filmer ses personnages et ses nombreux gros plans finissent par agacer. Heureusement, le film n'est pas dérangeant à regarder et les chansons sont agréables à écouter. Bref, "Les bien-aimés" peine à convaincre pleinement.
    traversay1
    traversay1

    3 558 abonnés 4 856 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 août 2011
    Les bien-aimés de Christophe Honoré ce sont Les chansons d'amour en plus ambitieux (trop ?), avec un thème basique : l'amour ou, plutôt, les amours des femmes, forcément compliquées, en l'occurrence celles d'une mère et d'une fille. Et les époques de valser, de 1964 à 2007, à Paris, Prague, Londres, Montréal et ... Reims. Honoré, libre et léger, se fiche bien de paraître mièvre ou d'être comparé à Bunuel et Demy, ce dernier pour les chansons guimauve et pour le style. Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoutez pas les autres. Pétillant, le film est moins convaincant quand il devient sérieux et évoque la répression du printemps tchécoslovaque ou le 11 septembre. Il s'autorise des ruptures franches qui coïncident avec la disparition de deux personnages, mais la transition se fait sans heurts, appuyée par des comédiens inspirés. Catherine Deneuve et, surtout, Chiara Mastroianni séduisent, Ludivine Sagnier agace (Louis Garrel aussi), Milos Forman étonne et Michel Delpech se révèle. Alors oui, ce ne sont que des histoires d'amours, au pluriel, mais la patte d'Honoré sublime la chose et donne du bon temps, si l'on n'est pas bégueule, et prêt à se laisser embarquer par une chronique sentimentale élégante et racée de 2 heures 20 que l'on n'a pas le temps de voir passer.
    reymi586
    reymi586

    466 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 mai 2012
    Dès la première chanson j'ai su que je n'allais pas accrocher, j'ai trouvé que ça sonnait vraiment faux! L'histoire qui commence pas mal s'emballe et devient presque incohérente... Et qu'est ce que c'est long!
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