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Un visiteur
2,0
Publiée le 16 avril 2016
Tellement moins bien que le seigneur des anneaux. Pourquoi faire de cette histoire simple une trilogie qui peine à arriver au bout. Personnellement, je n'ai pas réussi à accrocher aux personnages et je me suis ennuyé. HEureusement que c'est bien foutu visuellement !
Deuxième volet et peut-être le moins bon de la trilogie du Hobbit (elle-même clairement en-deçà de ce qu'à pu nous offrir la trilogie du Seigneur des Anneaux), le film se regarde bien, mais sans plus. Il dure quand même presque trois heures. Le choix de faire d'une petit livre toute une trilogie cinématographique se ressent particulièrement dans ce film, où le scénario peut se résumer à pas grand chose, entrecoupé de scènes d'action. La plus grosse faiblesse de ce film (on pourrait parler d'erreur) est le choix d'introduire les personnages de Legolas et de Tauriel. Alors que ces personnages sont absents du livre, Peter Jackson fait le choix de les insérer dans cette histoire, et on ressent le but commercial derrière ce choix (notamment pour Legolas, un fan favorite de la trilogie du Seigneur des Anneaux). L'introduction de Smaug est plutôt réussie et le personnage est plutôt inquiétant. Les acteurs jouent bien leur rôle même ils ne sont pas forcément transcendants. Sinon, les scènes d'actions et les effets spéciaux (véritable point fort de Peter Jackson) sont quand même bluffants, il faut le reconnaître. La musique d'Howard Shore (auteur de la musique du premier film et de celle de la trilogie du Seigneur des Anneaux), même si elle ne diffère pas trop de celle d'Un Voyage Inattendu, accompagne très bien le côté épique du film. Le film se regarde bien tout de même.
Le Hobbit : La Désolation de Smaug réalisé par Peter Jackson en 2013. *Les points que j'ai appréciés → • Le retour de Legolas • L'histoire qui est toujours aussi bien menée • La scène des tonneaux
*Les points que je n'ai pas appréciés → • Absolument rien
*Conclusion → J'ai aimé, c'est un second film qui annonce une fin en apothéose. 10/10.
Déjà la qualité baisse un peu dans cet opus peut être par rapport au peu de matière que disposait Jackson par rapport au bouquin et surtout au premier volet du hobbit qui était excellent. Jackson s'égare un peu dans ses arcs narratifs secondaires et inventer de toute pièces et surtout on sent que l'action prend peu à peu l'ascendant sur l'histoire grevant un peu la qualité générale. Malgré tout cet opus reste bon et la réalisation effets spéciaux au top
Cette Saga n'a d'intérêt que ces aspects visuels qui sont magnifiques en 3D et au cinéma. En tout autre lieu, le film perd tout son intérêt qui n'est que visuel.
Quelle déception ! Ce second épisode confirme les faiblesses entrevus chez son prédécesseur. Smaug est une coquille vide de 2H40, une succession de sous intrigues sans intérêt et de personnages qui s'ébattent sans qu'on en ait rien à battre. Les dialogues sont tellement insipides que l'on ne développe aucune empathie pour des personnages qui s'agitent dans tous les sens sans provoquer chez nous le moindre intérêt ni la moindre émotion. On balance un gros nain qui débite des blagues devenues grasses comme dans les pires Apatow en espérant que cela soit divertissant ! Mais sans un minimum d'histoire forcément qu'on s'emmerde. Il ne suffit pas d'aligner les batailles pour faire un film. Si vous êtes incapable de rajouter du récit intéressant à l'oeuvre initiale, ne le faîtes pas ! Racontez nous la quêtes des 13 nains et du dragon pendant 1H30 point barre. Car franchement l'histoire d'amour c'est tellement grotesque que c'en est presque honteux. Sans être un fanatique de la Terre du Milieu je pense qu'il y a un certain respect à avoir pour ce monde non ? Navrant. Là où le premier avait encore conservé un semblant d'âme ou plutôt s'était transformé en abandonnant la noirceur du LOTR au profit d'un ton plus léger, Smaug tombe dans une niaiserie d'autant plus gênante que le film se prend au sérieux. Il n'y a déjà plus grand chose à sauver et on attend la fin du massacre avec impatience ! Si vous ne l'avez pas encore vu, Run you fools.
Un film avec de l'émotion du début à la fin. La version longue est magnifique. J'ai pleuré plus d'une fois. Ce film est un chef d'oeuvre. Mon personnage préféré est Fili, le neveu et l'héritier du trône d'Erebor. Il reste discret mais très présent. Dean O'Gorman dans le rôle de Fili : Incroyable !
Gros coup de coeur pour ce deuxième volet. Une véritable bouffée d'air frais, ce film nous arrache à notre vie et nos problèmes pour rêver de magie et de Dragon le temps d'une séance.
Comme dans le premier opus de cette prélogie, nous suivons avec plaisir Thorin et ses amis nains, ainsi que Gandalf et Bilbon. La route est encore longue, mais ce sont autant d'obstacles nécessaires pour les préparer psychologiquement à la fin de cette aventure.
C'est surtout là que nous avons le plaisir de découvrir l'aspect urbain de la Terre du Milieu, ainsi que le passé de l'un des personnages emblématiques de la trilogie originale spoiler: (Legolas) , et surtout, le meilleur dragon jamais vu dans un film live depuis Draco dans "Cœur de dragon" en 1996. spoiler: (Smaug)
Et, une fois de plus, Peter Jackson nous prouve à quel point il est passionné par son sujet. spoiler: Car ce qu'il a décidé d'en faire va au-delà du simple fait de vouloir faire un film. N'est-ce pas à cela que l'on reconnaît les meilleurs réalisateurs ?
Cette suite du premier Hobbit nous replonge dans l'univers tolkien que Peter Jackson maîtrise à la perfection. Comme pouvait l'être les suites des seigneurs des anneaux, celle de l'hobbit ne déçoit pas car elle est le prolongement de l'histoire et on s'empresse déjà à voir le dernier épisode pour connaître le dénouement de cette histoire passionnante.
J'étais vraiment emballé par le premier opus mais la j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop de scènes d'affrontements, pour moi ça a manqué de découverte. Ça n'empêche que nous avons droit à des décors somptueux et des effets spéciaux digne de ce nom. Ce qui est sur c'est qu'on ne s'ennuie pas avec ce second film mais je suis tout de même un peu retissant pour le troisième volets.
Décidément, Peter Jackson adore l'idée de faire des demi-suites. Avec sa trilogie précédente, il nous engouffrait dans les tourments de ses personnages, non sans mal, mais avec ce deuxième chapitre, "La désolation de Smaug", Jackson certifie à tout point de vue ses convictions. A l'image du casting général qui, malgré tout, peine pendant de très longs moments. "Le Hobbit, la désolation de Smaug", deuxième volet de cette nouvelle trilogie, narre la continuité des exploits des nains en route pour récupérer leur royaume. Ici, décors, costumes, photographie, musique, montage et mise en scène ont toujours la même aura que sur le précédent opus et procurent à chaque instant un pur moment de bonheur, et de roublardise !, de la part du géant Jackson qui connaît la recette. Avec une surprise de taille, le dragon Smaug, dévoilé en entier pour un rendu esthétique et réaliste le plus abouti possible. Bravo Monsieur le réalisateur ! D'autant que la cerise sur le gâteau, pour les fans de la première heure, c'est une apparition on ne peut plus revigorante et affolante, Sauron, l'Ange de la Mort par excellence ! Du bonheur brut ô combien jouissif !! Mais là où le bat blesse, c'est que Jackson fait de ce volet deux parties : la première, qui nous fait rester au côté de nos très chers nains, et la seconde, dominé par l'affrontement des nains contre le dragon Smaug. Et l'on ressort du film avec l'entière impression d'être passé à côté de quelque chose. Quoi ? Les acteurs. L'ossature qu'avait pris le premier volet entre le solide duo Armitage/Freeman s'effrite du fait qu'Armitage n'arrive pas à porter son écu de chêne comme l'aurait fait Aragorn (Mortensen) dans "Les deux tours", puis Martin Freeman fait du Bilbon Sacquet au lieu de nous servir du Martin Freeman : sa spontanéïté est partie, reste Martin qui fait ce qu'il peut face à tout ce monde devant lui. Pour rester sur le casting, pointons les nouveaux venus Legolas-Orlando Bloom ("Pirates des Caraïbes"), Tauriel-Evangeline Lilly (sa notoriété explose lors du phénomène "Lost") du côté des elfes, le second du Roi des Hommes (lui-même incarné par Stephen Fry ("Gosford park")), mais également Benedict Cumberbatch (Scherlock dans la série anglaise du même nom et remise au goût du jour) dans le rôle de Smaug, tous convaincant à souhait. Les premiers présents sont toujours excellents, à l'image de Ian McKellen-Gandalf qui ne fait que relever la hauteur d'interprétation générale du film. La première partie s'égrène ainsi à rester sur ses appuis, tandis que la seconde s'envole (avec Smaug dans les airs) pour des combats toujours plus intenses les uns que les autres. Pour terminer, "Le Hobbit : La désolation de Smaug" est un bien un spectacle total en demi-teinte face au premier volet, "Un voyage inattendu". 2 étoiles sur 4. Spectateurs, Smaug n'attend pas ! Accord parental souhaitable.
Mon préféré de la trilogie du hobbit je pense. Contrairement au dernier, il y a autre chose que du spectacle, le film est équilibré et complet, en sortant de la salle j'avais l'impression d'être allé voir un des films de la trilogie originale du Seigneur des Anneaux (bon je le classe quand-même en-dessous, n'exagérons-pas). En tout cas cette trilogie vaut le coup, quoi qu'on en dise !